début de soirée avec la cousine - histoire érotique

Agadir 10

Ce jour là j'ai eu à m'occuper de la tante Mariam, qui, après avoir déposé sa fille à son boulot est revenue à mon appartement, (voir chapitre précédent" tante Mariam sodomisée").c'est arrivé vers 17 heures.
Vers 21 heures mon téléphone sonne, qui ça peut bien être à cette heure,
Allo, qui c'est?
C'est moi, Sara
Que se passe t-il Sara
Je suis en face de ton immeuble, j'ai fini ma garde et je suis passée te voir
Eh bien monte c'est le troisième étage,
Au bout d'un petit moment on sonne à ma porte d'appartement, effectivement c'était Sara, je la fais entrer, elle me fait la bise plus près des lèvres, elle me dit "ça sent quoi chez toi?" le jasmin je lui dis, ta mère est venue m'apporter des gâteaux, elle ouvre grand les yeux, je vois un brin de jalousie ou de suspicion sur ses traits.
Ma mère est venue ici ?
Oui pourquoi pas ? C'est ma tante.
Oui mais pour quelle raison ?
Elle m'a juste apporté des gâteaux et elle est partie, elle a d'ailleurs emporté du linge sale
Elle est gentille, ma mère……….
Oui, vous avez de la chance d'avoir une mère pareille
J'ai peur qu'elle me trouve ici si elle revient
Je ne crois pas qu'elle revienne sans raison
Avec elle on ne sait jamais.
Sara s'est assise dans un fauteuil, je lui ai apporté un verre de jus, elle l'a bu, elle avait soif, je lui ai demandé si sa garde était tranquille, elle m'a dit que ça s'est bien passé
Tu n'es pas pressée
Non j'ai pour une heure encore avant de rentrer
Eh bien essayons d'en profiter
Je me suis assis sur le dossier du fauteuil où Sara était assise et j'ai commencé à lui passer ma main dans les cheveux, à lui caresser le dos, elle était encore habillée, je l'ai approchée de moi et je l'ai embrassé sur la bouche, on est resté collé un petit moment faisant jouer nos langues entre elles. J'ai commencé à avoir une érection, elle s'en est rendu compte et elle a posé sa main libre sur mon entrejambe, faisant des massages à ma trique par-dessus du tissu du short, l'effet fut immédiat, l'érection a été instantanée.
J'étais torse nu, Sara s'est lové sur mon ventre me laissant lui caresser le dos et passer mes mains dans les cheveux, elle me massait la verge par-dessus le tissu du short, à un certain moment elle a mis sa main à l'intérieur du short et s'est saisi de ma verge et a commencé à me branler, ma respiration s'est accélérée, je gémissais doucement, je ne voulais pas jouir tout de suite.
Je me suis levé et j'ai entrainé Sara vers la chambre, elle m'a suivi, là j'ai commencé à lui ôter ses vêtements, la veste, la jupe a glissé à ses pieds, la chemise a suivi, restaient que le soutif et la culotte, je l'ai prise dans mes bras et j'ai commencé à l'embrasser, profitant de cela j'ai mes mais dans son dos et j'ai dégrafé son soutif, les bretelles sont tombées et le soutif a suivi, je me suis occupé de ses nibards, je les pétrissais, ensuite je les léchais un à un, les pointes étaient érigées par l'excitation elle gémissait, nous étions toujours debout.
Ensuite je me suis agenouillé devant Sara et j'ai attrapé les fesses et je l'ai approché à moi collant sa culotte à mon visage et j'ai commencé à humer avec avidité les senteurs dégagées par sa fente, je lui mordillais le pubis, elle gémissait, j'ai mis mes mains à l'intérieur de sa culotte du côté des fesses et j'ai caressé et pétri les fesses, elle gémissait, ses main étaient posées sur ma tête , elle jouait avec ma tignasse, j'ai risqué un doigts dans son cul ,elle a cambré son derrière et a gémi fortement, profitant de cela je lui ai baissé sa culotte, elle a relevé les pieds un à un pour se débarrasser du dernier vêtement.
Je l'ai lâché et je me suis éloigné un peu histoire d'admirer cette Vénus.
Elle s'est agenouillé devant moi, m'a baissé mon short pour l'enlever complètement, on était tous les deux nus, et cela sans rien nous dire, comme si le scénario avait été écrit de cette manière, que des gestes.
Toujours à genoux devant moi, Sara a pris ma tige en bouche, elle a commencé une fellation lente, tenant la base de la verge avec une main et avec l'autre elle me caressait les bourses, j'étais sur le point de jouir, j'ai attrapé sa tête et je l'ai forcé à aller plus vite, je n'ai pu me retenir et j'ai joui dans sa gorge, elle a tout avalé, elle m'a nettoyé la verge s'est levé et est allé s'étendre sur le lit, je me suis placé entre ses jambes et je suis remonté en déposant des bisous le long de ses jambes et ses cuisses et j'ai engouffré ma tête entre ses cuisses, elle n'attendait que çà, j'ai engagé ma langue dans sa chatte qui était déjà dégoulinante, et j'ai commencé un léchage lent allant du bas de sa chatte vers le haut et ensuite du haut en mordillant le clitoris vers le bas jusqu'à sa rondelle que je léchais aussi, cela déclencha des gémissements de Sara, des gémissements lents et forts, elle savourait le plaisir que je lui procurais, à un certain moment elle a été secoué par des soubresauts arquant son dos et lâchant un torrent de cyprine, elle venait de jouir dans un râle et ensuite le silence, je voulus m'approcher plus, mon érection avait repris, j'ai approché ma tige de sa foufoune et je lui ai touché les lèvres de sa vulve avec, elle a vite réagi, " non pas aujourd'hui, attends le samedi, jour de mon anniversaire, comme je te l'avais promis, j'ai une envie folle de t'avoir en moi". Cette foufoune m'attirait, surtout qu'elle est vierge, encore étroite, je lui ai écarté les grosses lèvres et j'ai regardé le fond rose, attirant, provocant, je voulais que soit mienne cette chatte, mais comme dit Sara je dois attendre. Elle se mit sur le ventre me montrant ses fesses et les écartant en me disant "contente toi de ce côté pour le moment, de toute façon nous pouvons jouir tous les deux de ce côté la aussi", je lui réponds que j'aime son trou du cul et que je l'aimerai toujours. J'ai déposé des baisers sur les fesses de Sara, je lui ai craché sur la rondelle et je l'ai massé un peu provoquant chez Sara un gémissement, elle mit un coussin sous le ventre de façon à relever le cul, je ne voulais pas la baiser tout de suite malgré qu'elle le désirait intensément. J'ai continué à admirer ce corps magnifique, après l'acte sexuel l'intérêt baisse, c'est la loi de la baise.
Vas-y, qu'est ce que tu attends?
Laisse-moi t'admirer un peu
On n'a pas toute la nuit, je dois rentrer. En plus j'ai envie de t'avoir en moi
Comme elle avait insisté, j'ai pris mon tube de lubrifiant, je lui ai mis un peu sur la rondelle et un peu sur ma verge, et sans préambule j'ai posé mon gland sur le petit trou et la prédisposition aidant c'est allé comme un couteau chaud dans du beurre, je l'ai pénétrée jusqu'à la garde. Un cri de douleur ou de joie me répond AAAAAAGGGGGGHHHH, OUIIIIIIIIIIII, je l'ai arrimée par les épaules et j'ai commencé à la ramoner, marquant de temps en temps un repos pour savourer le contact avec ce corps et la laisser souffler un peu, car depuis la pénétration elle n'a pas cessé de souffler et gémir, son corps tremblait, elle était en transe, je n'ai jamais eu affaire à une fille qui a telle plaisir avec le sexe anal, elle n'avait pas de censure, "OUI BAISE MOI FORT COUSIN" elle gueulait "PLUS PROFOND,PLUS VITE,NE T'ARRÊTE PAS" j'ai continué à la besogner mais à mon rythme, doucement et à mi verge, c'était presque un chantage, " c'est pour quand la foufoune" je lui dis, "plus tard, mais baise plus fort", " je te donnerai ma virginité le samedi" elle disait, sentant son orgasme arriver et ce par les contractions de son anus, je me suis mis à limer plus profond et plus vite, elle jouit avec un cri"MERCIIIIIIIIIIIIII COUSIIIN", moi aussi j'étais sur le point d'avoir mon orgasme, je l'ai mise à quatre pattes et je n'ai pas fait plus de trois allers et venus que j'ai joui, lançant une bonne quantité de foutre dans les entrailles de ma chère cousine, le reste des giclées ont été envoyées sur les fesses, elle se tourna vers moi, me prend en bouche nettoyant toute ma bite avant de s'effondrer sur le lit avec un sourire qui en disait long, je me suis étendu à côté d'elle. Après nous être reposés je lui demande comment on va procéder pour le samedi, elle me dit qu'elle avait un stratagème et qu'elle me le dirait à temps. Après on a pris une douche ensemble, elle se rhabilla et je suis descendu avec elle pour lui trouver un taxi……
Le dépucelage sera une autre histoire, donc à samedi …………….