tante Mariam sodomisée - histoire érotique

<p>Agadir 9

On est rentré de la plage ma cousine Sara et moi, on a mangé et elle s'est préparée pour sortir, elle sera de garde à l'hôpital à partir de 16 heures.
Il était déjà quinze heures trente, tante Mariam lui a dit qu'elle amènerait sa fille à son boulot, et qu'elle me déposerait en route, parce que moi j'avais des rapports à terminer, Nadir, le cousin, voulait rester à la maison regarder un match de foot à la télé.
Donc, on a pris la voiture, Mariam me déposa devant chez moi comme je le lui indiquai, elle faisait comme si elle ne savait pas où j'habite, et elle a continué son chemin vers l'hôpital pour déposer sa fille.
15 minutes après j'entends frapper à la porte, qui c'est?, c'est Mariam, me répondit la tante, j'ouvre, je venais juste de me mettre à l'aise dans un short et je m'apprêtais à prendre une douche.
J'ouvre et elle entre avec un carton sous le bras, voilà je t'ai préparé des gâteaux pour que tu puisses passer la semaine.
Merci
Je les mets à la cuisine
D'accord, merci beaucoup.
Elle revient de la cuisine ôte sa djellaba et reste avec une nuisette, elle s'était parfumée avant d'arriver, on sentait l'odeur de jasmin embaumer ma garçonnière, elle s'accroche à mon coup on s'est enlacé dans un grand baiser d'amour, nos langues se sont entremêlées comme des serpents en cage, j'ai glissé ma main sous sa nuisette pour lui caresser le dos, et j'ai trouvé qu'elle ne portait pas de soutifs, j'ai descendu ma main vers ses fesses, pas de culotte non plus, là j'ai profité pour lui masser les lobes de ses fesses, et glisser un doigt dans sa raie, elle a gémi à ce contact avec sa peau, elle a la peau douce, les fesses bien bombées, la raie du cul sans un poil, j'ai saisi les bretelles de sa nuisette et je la lui ai enlevé, elle était nue. Elle prend un coussin du canapé le met sur le plancher sous ses genoux et s'accroupit devant moi, elle baisse mon short et sort ma bite, qui était déjà en érection, elle a commencé par lécher le gland avec des coups de langues qui n'ont pas dépassé le méat, elle a lapé le liquide pré séminal qui coulait déjà, ensuite elle a étendu son léchage vers la tige montant et descendant, elle a même léché mes couilles, pendant ce temps je lui caressais le dos ensuite les seins, finalement elle a engouffré une bonne partie de ma bite dans sa bouche et a commencé a pomper, je lui ai pris la tête et commencé a la baiser par la bouche, je lui touchais le fond de la gorge, j'étais déchainé, j'allais et venais dans sa bouche, une bouche tiède et lisse, on dirait une chatte, j'ai senti que j'allais venir, j'ai retiré ma bite de sa bouche et on s'est étendu sur le tapis du salon.
Elle s'est mise à l'envers sur moi, amenant sa chatte vers moi et engloutissant ma bite en 69,j'ai commencé à lui lécher la foufoune, elle gémissait pendant qu'elle me suçait, moi je me régalais de son vagin j'aspirai le petit bouton et je le relâchais, elle gémissait, j'avais plein de son nectar sur la gueule, elle a lâché ma bite et a lancé un long gémissement OOOOOGGGGGGHHHHHHHHH, elle venait de joui, j'ai reçu dans la bouche une bonne quantité de cyprine, elle s'est remis à l'ouvrage, pompant et gémissant, j'ai senti ma sève monter et j'ai joui lui envoyant dans la gorge de bonnes giclées de sperme qu'elle avala, elle nettoya ma bite et roula, sur le tapis à côté de moi.
On est resté étendu un petit moment le temps de reprendre haleine, elle est allé à la cuisine, amena deux verres de jus, on a bu, et on s'est remis à l'ouvrage.
Mariam est venue sur moi, elle a commencé à m'embrasser sur la bouche, elle descend vers mon tors, déposant des baisers et léchant partout, moi je la caressais, sur le dos, ensuite je suis arrivé à ses fesses que je caressais aussi, je l'ai renversé et je me suis mis sur elle, lui rendant son baiser, j'ai attrapé un sein dans ma main que je caressais et l'autre en bouche que je léchais, elle gémissait, j'ai étendu ma main jusqu'à sa foufoune, toute trempée, je lui ai glissé un doigt, elle gémissait, OUIIIIIIIIII C'EST BOOOOOOOON,CONTINUUUUUUUUUUUUUU, mon ami commence à se réveiller, elle a étendu la main et l'a saisi, elle m'a branlé un peu et ma tige s'est raidi, j'ai une bonne érection.
Je suis descendu vers sa foufoune et j'ai entamé un cunnilingus, elle criait OUIIIIIIIIIII QUE C'EST BOOOOOOON, je lui ai travaillé la foufoune je lui mordillais le petit bouton, en même temps je lui ai glissé un doigt dans le petit trou espérant qu'elle veuille accepter, elle n'a rien dit, elle gémissait, sa respiration s'est accélérée, OUI OUI,OUI , JE VAIS JOUIR OH J'AI JOUI,MERCI.
Je me suis arrêté lui laissant le temps de savourer son orgasme comme un bon neveu avec sa tante.
Elle m'a demandé de la pénétrer, elle a levé les jambes en l'air et je me suis mis sur elle, j'ai placé mon gland à l'entrée de sa chatte et j'ai poussé, c'est allé comme dans le beurre, elle était bien lubrifiée la chatte, je l'ai pilonné un peu, et je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes, elle s'exécuta promptement, cambrant le derrière, j'avais devant moi un spectacle magnifique une belle chatte suintante et un cul magnifique, il y avait aussi ce trou du cul, encore vierge, pas de trace d'effraction, j'ai engagé mon zob dans la chatte lentement en même temps je lui ai glissé un doigt dans le cul, elle n'a rien dit, j'ai continué à la baiser par la chatte tout en lui rajoutant un deuxième doigt, elle a sursauté mais n'a rien dit, je lui dit attend, et je suis allé chercher la vaseline, j'ai mis la vaseline sur mes doigt et sur le trou de son cul, j'ai réengagé mon zob dans sa chatte et mes doigts dans son cul, elle trouvait que c'est bon, j'ai rajouté un troisième et j'ai commencé à lui élargir le trou du cul, je lui dis et si je te fais le cul, elle m'a dit qu'elle était vierge de ce lieu mais elle m'a donné l'autorisation d'essayer, puisque j'en avais envie, j'ai placé mon gland sur la rosette qui était déjà dilatée et j'ai poussé, le gland a disparu, elle lança un cri, "Oh tu me fais mal" je me suis arrêté, lui laissant le temps de s'habituer à cette intrusion, j'ai rajouté de la vaseline sur ma tige et j'ai poussé un petit peu, elle me dit "Oh doucement tu vas me déchirer", j'ai continué, j'ai retiré un peu mon zob et j'ai poussé, cette fois je ne me suis arrêté que arrivé à la garde, la respiration de Mariam s'est coupé, elle tapait le plancher avec sa main signe de douleur, je suis resté planté en elle un petit moment de façon à laisser passer la douleur, je sentais la paroi interne de ses intestins bouger, mon zob a moulé sa place, j'ai commencé mes va et viens, la douleur s'est transformée en plaisir, Mariam commence à haleter et gémir, mes va et viens étaient lents et marqués par des arrêts, elle me demande de continuer.
Pour donner plus de mordant et de plaisir, j'ai mis Mariam sur le dos, j'ai mis ses jambes à mon cou et je l'ai pénétré par l'anus tout en la regardant, à part la grimace qu'elle a eu en la pénétrant, son visage était radieux, un sourire se marquait sur ses lèvres, ses yeux étaient mi clos, sa respiration saccadée sans soubresauts, sa bouche ouverte laissant apparaître une dentition des plus soignée, de temps en temps on entendait un " oui " à peine perceptible sortant du fond de la gorge, mais à peine je lui ai touché le vagin et attrapé son clitoris qui était bien apparent qu'elle lance un long gémissement, j'ai continué à la ramoner tout en souhaitant que je ne jouisse jamais afin d'admirer cette Venus soumise à mon désir et de rester dedans une éternité, elle me demanda d'aller plus vite, j'ai juste accéléré mon mouvement trois fois et j'ai senti son sphincter m'enserrer la base de la verge, et la paroi interne de son rectum en ébullition , elle a joui, ses liquides ont coulé à flot sur ma bite, ses muscles se sont relâchés, elle ferma les yeux.
Sa jouissance dessina un tableau magnifique, ses joues ont rougi, sa beauté s'est accentuée on dirait qu'elle venait de se maquiller, sa vulve dégagea une odeur enivrante, je l'ai laissé savourer son orgasme ensuite j'ai repris mon acharnement sur ce cul, je suis allé en petits mouvement de va et viens, tout en lui enserrant les seins entre mes mains, elle gémissait toujours.
J'ai accéléré mes mouvements, et j'ai senti la jouissance arriver, j'étais hors de moi, j'enculais et enculais, je n'avais pas envie que ça se termine mais tout a une fin et j'ai joui, une jouissance extrême, l'extase, des giclées de spermes à ne pas en finir sortaient de mon organisme, provocant une pression énorme de les entrailles de la femme, Mariam a eu aussi un autre orgasme, je me suis avachi sur elle tout en sueur, et haletant, dire qu'un orgasme te fait dépenser un nombre de calories impressionnant, j'étais crevé. Mon chibre s'est retiré de l'anus de ma partenaire avec un ploc, laissant échapper toute la semonce emmagasiné dans le cul, mais on ne prête pas attention à ce détail, cela fait partie de l'acte sexuel. Elle me dit qu'elle a bien profité de cette enculade, elle ne connaissait pas cette voie de jouissance et qu'elle trouvait cela magnifique et qu'elle était prête à le refaire, par moi bien sûr, chaque fois que l'occasion se présente.
Mariam s'est levé en mettant sa main derrière et est partie à la salle de bains se nettoyer, elle en est sortie le bas de son corps noué dans une serviette, mais boitillant un peu, j'ai pris aussi ma douche on a pris un rafraichissant, elle s'est habillée et partie, tout en me donnant rendez vous pour un autre jour. Peut être le mercredi!! Mais j'ai oublié on va fêter l'anniversaire de Sara le samedi elle m'a dit avant de descendre les escaliers.
(Prochain chapitre Agadir 10)







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