Déchéance

- Par l'auteur HDS Lipa94 -
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Déchéance Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Déchéance
Je m’appelle Isabelle, j’ai 35 ans, blonde cheveux courts 1m75 pour 55kg, on dit de moi que je suis une belle femme.
Je suis avocate dans un grand cabinet.
Je n’ai pas trop le temps pour ma vie amoureuse, bien sûr j’ai eu quelques relations (il faut bien que le corps exulte) mais les mecs je les baise et je les jette.
Dans mon job, je suis quelqu’un d’exigeant, on peut dire que mes subordonnés me craignent.
Il y a quelques mois, le cabinet a été racheté par un groupe chinois, cela n’a pas changé grand-chose et comme je suis plutôt compétente je n’ai pas grand-chose à craindre.
Jusqu’à ce fameux soir où je fus convoquée dans le bureau du nouveau patron, un asiatique d’une cinquantaine d’années toujours tiré à quatre épingles, très poli. Il ne m’avait jamais adressé la parole et je dois avouer que cette convocation m’avait un peu surprise.
Je pensais qu’il allait me féliciter pour ma dernière affaire qui avait rapportée pas mal d’argent.
- Bonjour mademoiselle, je vous en prie asseyez-vous.
Le fauteuil face à lui était profond et je tirais sur ma jupe pour cacher mes cuisses bronzées.
- Si je vous ai demandé de venir, c’est parce que nous avons un problème.
Je pris un air étonné et me redressais dans le fauteuil.
- Je n’ai rien à vous reprocher concernant votre travail, mais disons plutôt que votre attitude ne correspond pas à notre culture.
- Je ne comprends pas, je fais mon job sérieusement et je vous fais gagner de l’argent (dis-je d’un ton sec).
- Je vous le répète ce n’est pas votre travail qui est en cause, mais vous.
Je commençais à craindre le pire mais je ne suis pas du genre à me démonter et je me renfrognais prenant cet air méprisant qui généralement coupe court à tout reproche.
Mais mon boss se contenta de sourire.
- Voilà exactement ce que je vous reproche, votre attitude hautaine, vous ne le savez peut-être pas mais dans notre culture la courtoisie et la politesse sont des valeurs importantes et j’ai observé la manière dont vous vous comportez avec vos subordonnés et ce n’est pas ce que j’attend d’une collaboratrice aussi douée soit elle.
- Si vous voulez vous séparer de moi, dites-le franchement, il y a plusieurs cabinets qui seraient ravis de m’embaucher. En plus mes indemnités de licenciement vous couteront cher.
- Je regrette que vous le preniez comme ça, en effet si votre attitude n’est pas corrigée notre collaboration s’arrêtera, pour la suite de votre carrière, je suis désolé de vous informer que j’ai fait ma petite enquête et que vous vous bercez d’illusions, votre réputation vous fait beaucoup de tort et je doute que vous trouviez rapidement un autre poste.
Je dois dire que cette dernière phrase me cloua sur place, à vrai dire je m’en doutais un peu, ayant gagné plusieurs affaires contre des cabinets prestigieux en employant parfois des arguments un peu limites.
Je tentais de radoucir ma voix.
- Vous proposez quoi Monsieur.
Mon changement d’attitude lui procura un sourire, ce qui eut le don de m’énerver ?
- Comme vous l’avez dit vous êtes une excellente avocate et j’ai décidé de vous offrir une chance.
- Je vous écoute (ma voix reprit un peu d’assurance)- Vous êtes une très belle femme et beaucoup d’entre nous vous désirent.
Je n’aimais pas mais alors pas du tout la tournure de cet entretien.
- Qu’est-ce que mon physique a à voir avec mon job (même si parfois il m’est arrivé d’en jouer)- Permettez que je poursuive (le ton était devenu plus sec), vous savez que dans notre culture on apprécie les femmes dévouées, voire obéissantes, donc ce que je vous propose c’est dans un premier temps de nous satisfaire sans rechigner, je suis sûr que vous comprenez ce que je veux dire, bien sûr pendant quelques temps vous ne vous occuperez plus d’affaires, si vous passez cette étape vous retrouverez votre place sinon….
Je n’en croyais pas mes oreilles, je me levais comme une folle.
- Mais ça ne va pas, vous êtes malade, je ne suis pas comme vos putes de secrétaires, il n’en est pas question.
- A vous de voir, je me doutais que vous réagiriez comme cela, mais je vais être magnanime je vous laisse 48 heures pour réfléchir, passé ce délai soit vous acceptez ma proposition soit nous nous séparons, vous pouvez disposer.
Le ton était sans appel, je me levais et sorti, abasourdie par cet entretien.
Inutile de vous dire que les 48 heures qui suivirent furent les plus longues de ma vie.
Dans un premier temps je passais quelques coups de fil à la concurrence, mais il avait raison, soit on me raccrochait au nez soit on me faisait comprendre qu’il n’y avait aucune chance pour moi (souvent je notais comme un ton moqueur dans la voix de mes interlocuteurs)Au bureau je m’ennuyais ferme n’ayant plus de dossier à traiter et je remarquais que mes collègues me regardaient d’un air narquois.
Le matin avant la fin de l’ultimatum, je trouvais un paquet dans mon bureau avec ce mot.
« Bonjour Mademoiselle Isabelle, je pense que vous avez eu le temps de réfléchir, voilà ce que je vous propose, vous trouverez dans ce paquet votre nouvelle tenue, soit vous vous en revêtez et vous accepter votre nouveau rôle, soit vous passez à la comptabilité, si vous acceptez je vous attends dans mon bureau »J’ouvris le paquet m’attendant à une tenue de catin, mais au lieu de ça je trouvais, un tailleur jupe strict noir, un chemisier blanc, un collant et des escarpins noirs. La parfaite tenue des secrétaires asiatiques qui désormais écumaient le cabinet.
Je restais prostrée, mon job c’était ma vie sans lui je n’étais plus rien, aussi je pris ma décision et m’habillais en prenant soin de garder mes sous-vêtements. J’avais une boule dans le ventre mais je pris mon courage à deux mains et me dirigeait vers le bureau du boss d’une démarche mal assurée en ignorant les regards amusés de mes subordonnés et des secrétaires qui pouffaient sur mon passage.
Quand j’entrais dans la pièce, mon patron me regarda d’un regard satisfait.
- Je vois que vous avez choisi la bonne solution, nous allons commencer tout de suite mais je vous demande de laisser la porte grande ouverte, que vos collègues voient que vous avez décidé de changer.
Je restais debout, ne sachant que faire, la porte ouverte me rassurait, me disant que ce n’allait pas aller trop loin si tout le monde pouvait me voir, la suite me prouva que non.
- Pour commencer je vais vous apprendre les bonnes manières, vous allez vous mettre à genoux face à moi, je veux que vous vous prosterniez à mes pieds.
Je n’avais pas le choix, il voulait m’humilier devant tout le monde, malgré la honte qui commençait à m’envahir je m’exécutais et me retrouvais face à lui à genoux, ma jupe me gênait mais je l’empêchais de remonter en la serrant avec mes deux mains.
- Les petites européennes ne savent pas se prosterner. Vous allez vous penchez jusqu’à ce que votre tête touche le sol, les deux bras sur le sol en avant.
Je pris la pose, cette fois ma jupe remonta sur le haut de mes cuisses.
Il se leva et je l’entendais tourner autour de moi, j’avais fermé les yeux, cette situation humiliante était bizarre.
Il s’arrêta derrière moi et je sentis qu’il remontait ma jupe sur mes fesses en se servant de ses pieds.
- Bien Isabelle, désormais vous êtes une femme publique et vous devrez obéir à tous les désirs des membres de ce cabinet, bien sûr vous pouvez encore refuser mais vous connaissez le prix à payer. Je veux entendre votre consentement de votre voix.
- Je suis une femme publique et je satisferais tous les désirs des membres du cabinet.
Ma voix était mal assurée mais je sentais une drôle de sensation m’envahirIl me laissa encore un instant dans cette position, tâtant mon corps avec ses pieds, il s’arrêta devant moi et posa un de ses pieds sur ma tête en appuyant pour que mon visage soit plaqué sur la moquette. Je commençais à respirer fort, je savais que j’allais faire tout ce qu’il allait me demander.
- Bien relevez-vous et placez-vous devant moi vous devez baisser les yeux et je ne veux pas vous entendre.
Je me relevais gauchement, ma jupe était remontée sur mes fesses, je ne remarquai même pas l’attroupement devant la porte, même si quelques gloussements parvenaient à mes oreilles.
- Vous allez vous déshabiller entièrement et ensuite vous vous mettrez à quatre pattes devant moi.
Je n’avais plus aucun contrôle sur la situation et je fis ce qu’il dit, bientôt je fus nue à quatre pattes dans ce bureau.
- Je suis satisfait de votre attitude, vous allez maintenant faire le tour du bureau dans cette position votre tête doit être baissée vous vous arrêterez quand je vous le dirais ?
J’hésitais à obéir mais au point où j’en étais, je commençais à ramper devant lui, je ne savais pas ce qu’il faisait pendant que je faisais la chienne, et je dus faire une dizaine de tours avant qu’il ne me dise de stopper. J’entendais les rires et les commentaires mais au lieu de m’inhiber je décidais de leur montrer que je savais dépasser la honte.
- Bonne petite chienne blanche, venez devant moi, vous n’êtes plus Maitre Isabelle mais notre salope soumise, votre nouveau nom est truie Isa, répétez le haut et fort que tout le monde profite de votre nouveau statut.
- Je suis TRUIE ISA.
S’adressant aux spectateurs de ma déchéance.
- Vous pouvez retourner travailler si vous voulez vous amuser avec la truie ne vous gênez pas elle ne peut rien refuser mais pour l’instant je m’en occupe seul.
Je me demandais ce qui allais se passer, j’étais toujours dans ma position et n’osais pas relever mon regard.
- La truie va mettre accroupie jambes écartées devant moi, je veux qu’elle tente ces bras et qu’elle me donne la patte comme une bonne chienne.
Je commençais à sentir les larmes monter mais je pris la pose et tendis mes deux mains devant moi. Il me tapota la tête comme on le ferait avec un animal de compagnie il mit sa main dans la mienne et je ne sais pas ce qui me pris je posais mes lèvres et embrassait cette main.
- Je vais travailler maintenant, TRUIE ISA va se mettre sous mon bureau sa tête entre mes jambes.
Je savais ce qui allait se passer et bizarrement j’en avais envie,aussi je passais sous le bureau rapidement.
Il s’assit et commença à traiter son courrier, j’avais mon visage posé sur son entrejambe et n’osait pas bouger.
- Truie Isa va lécher ma queue au travers de mon pantalon je veux qu’elle bave.
Je sorti ma langue et commençais à la passer le long de son sexe à travers la toile. Je sentais que cela commençait à faire son effet car il devenait dur.
Il se déboutonna, sorti sa queue qui se dressa contre mon visage.
- Truie Isa sait ce qu’il lui reste à faire.
Et sans ménagement il s’enfonça dans ma bouche, commençant un va et vient en me tenant par les cheveux.
Il me baisait la bouche, j’étouffais sous ses coups de butoir mais je mettais tout mon cœur à le sucer. J’allais lui montrer que je savais y faire.
Il jouit dans ma bouche assez rapidement.
- Truie Isa n’avale pas, elle n’est pas digne de ça, elle va recracher dans sa main et lécher le jus en me regardant.
Je crachais et comme une chienne je léchais le sperme chaud.
- Bon ! fin de cette première séance vous pouvez vous rhabiller mais sans mettre de sous-vêtements, Je vous rappelle votre nouveau rôle, vous devez vous soumettre à toutes les demandes de qui qu’elles viennent, vous avez compris ?
- Oui j’ai compris Monsieur.
Je me rhabillais rapidement en suivant ses instructions, ma jupe cachant à peine mon cul. J’avais encore le gout de son sexe dans la bouche et quelques gouttes séchaient sur mon menton.
Je sortis précipitamment du bureau et m’enfermais dans les toilettes, bizarrement tout cela m’avait plutôt excitée et je me masturbais en repensant à la scène.
En sortant des toilettes je savais que désormais j’allais me soumettre. Le reste de la journée fut plutôt calme, visiblement mon passé de femme hautaine intimidait encore mes collègues même si les regards goguenards en disaient longs.

(Fin du premier épisode, si vous en voulez d’autres faites le savoir)

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