Le cadeau 2

- Par l'auteur HDS Lipa94 -
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le cadeau 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le cadeau 2
Elle est chez elle troublée par ce qu’il vient de se passer.
Une douche brulante ne suffit pas à la calmer mais son mari va bientôt rentrer et elle essaye de reprendre ses esprits.
Elle se dit qu’elle est folle, qu’est ce qui m’a pris, je me suis conduite comme la dernière des catins.
Mais d’un autre côté, elle avait aimé être attachée, utilisée sans pouvoir résister, elle savait bien qu’elle n’aurait eu qu’un mot à dire pour que tout s’arrête mais elle ne l’avait pas dit.
Elle ne lui en voulait pas, après tout elle s’il y avait quelqu’un à blâmer c’était elle.
La soirée fut comme d’habitude assez routinière, elle aurait voulu que son mari la prenne sauvagement mais il l’avait repoussé arguant d’une journée éreintante.
Le lendemain au bureau, elle fit bonne figure mais elle n’arrêtait pas de regarder son téléphone espérant un message de son photographe.
N’y tenant plus, elle profita d’une pause pour appeler.
- Allo, c’est moi.
- Salut, comment vas-tu ?
- Bien.
Un silence gêné suivit, aucun des deux ne sachant quoi dire.
- Je voudrais savoir si tu as eu le temps de développer les photos d’hier.
- Pas encore, mais si tu peux passer en fin de journée je pense que ce sera fait.
- OK, je passe ce soir.
Elle raccrocha, elle se sentait idiote d’avoir relancé, il allait croire qu’elle voulait recommencer et même si c’est ce qu’elle espérait elle ne voulait pas qu’il la prenne pour une fille facile.
La journée au travail lui sembla interminable et pour une fois elle ne traina pas au bureau.
Arrivée devant l’immeuble, elle hésita, fit plusieurs fois le tour du pâté de maisons.
Bon prends ton courage à deux mains, tu es ridicule et puis les passants commencent à te regarder bizarrement.
Quand il lui ouvrit la porte, elle ne put s’empêcher de rougir mais elle fit comme si rien ne c’était passé.
Il avait l’air un peu déçu, il faut dire que contrairement à la dernière fois sa tenue n’était pas très sexy.
Un jean moulant et un gros pull blanc.
Il l’invita à s’assoir dans le salon, lui proposa un thé, on aurait dit deux vieux amis.
Il posa devant elle une chemise noire.
- Tu avais l’air impatiente, alors j’ai fait au plus vite, je n’ai pas eu trop le temps de les retoucher car j’avais un autre modèle cet après-midi.

Elle n’osait pas le regarder, l’allusion à l’autre fille l’avait un peu contrariée.
D’une main hésitante elle ouvrit la chemise, les photos étaient en noir et blanc et il avait tenu parole sur aucune on ne voyait son visage, elle ressentit la même chose que lorsqu’elle avait regardé la section privée du site de son ami.
Son corps blanc entravé dans des poses suggestives la troublait.
- Elles te plaisent ? moi je les trouve plutôt réussies.
- Je ne sais pas trop, j’ai l’impression que ce n’est pas moi.
- Je t’assure que c’est bien toi, d’ailleurs si tu doutes j’en ai d’autres qui devraient t’éclairer.
Il sortit une autre chemise et posa les clichés sur la table basse. Cette fois pas de doute, on voyait distinctement son visage, la bouche déformée par le sexe de son photographe, sur une autre on la voyait recouverte de sperme, la langue tirée. Elle était fascinée mais elle se sentait trahie.
- Tu m’avais juré que tu ne prendrai pas de photos permettant de me reconnaitre.
- Rassure-toi, celles-là sont pour ma collection personnelle, d’ailleurs si tu ne veux pas que je publie les autres il suffit de le dire.
Elle ne répondit pas, n’arrivant pas à détacher son regard des clichés.
- Non je t’ai promis de te laisser les publier, je suis une femme de parole et je te fais confiance mais j’avoue que je suis un peu décontenancée.
- Tu n’avais pas l’air si décontenancée que ça hier, ose me dire que tu n’as pas aimer.
- Ce n’est pas ça mais je ne suis pas ce genre de femme qui baise avec le premier venu.
Elle regretta aussitôt ses paroles, elle n’avait pas voulu le blesser.
- Sympa pour le premier venu, je ne t’ai obligé à rien maintenant il faudrait mieux que tu t’en ailles j’ai du travail.
- Excuse-moi, je suis désolée ce n’est pas ce que je voulais dire.
- Bien sûr, tu sais ça faisait longtemps que je voulais baiser, la petite chefaillon hautaine, allumeuse qui croit qu’elle est la meilleure et qui méprise ses collègues, alors tires toi j’ai eu ce que je voulais et tant pis si tu as des remords.
Elle lui jeta un regard noir, se leva et sans un mot elle quitta l’appartement en claquant la porte.
Sur le palier elle se sentait bizarre, jamais on ne lui avait parlé comme ça, elle avait envie de pleurer et en même temps elle était en colère. Elle ne voulait pas que cela finisse comme cela.
Sans trop réfléchir, elle sonna à la porte dans l’intention de s’excuser.
- Tu as oublié quelque chose ? La voix était agacée et le regard méprisant.
- Excuse-moi si je t’ai énervé, je ne voudrais pas que tu croies que je regrette ce qu’il s’est passé hier.
Il la fixait méchamment, il lui prit le bras et l’entraina dans le salon. Elle allait s’assoir dans le canapé avec l’espoir de reprendre la conversation mais il l’en empêcha.
- Tu restes debout face à moi et tu baisses les yeux, tu vas devoir faire plus que des excuses, tu vas voir comment je traite les petites connasses dans ton genre, maintenant tu es libre de partir mais si tu restes je te déconseille de me contrarier. Tu as compris ?
Elle était devenue blême, le ton, les insultes l’avait fait sursauter, elle ressentait de la colère mais aussi de l’excitation.
- Je reste et je vais faire tout ce que tu veux. Sa voix était blanche presque plaintive, elle n’osait pas le regarder.
- Commence par te foutre à poil, quand tu viens me voir je veux que tu sois sapé comme une salope, alors enlève moi ces fringues de mémère.
Elle hésita un instant, mais maladroitement elle enleva ses escarpins déboutonna son jean qu’elle fit glisser le long de ces jambes en se tortillant, elle passa le pull au-dessus de sa tête et se retrouva en sous-vêtements devant son ami.
- Qu’est-ce que tu n’as pas compris par te foutre à poil, ne me fait pas perdre mon temps, enlèves tout.
Elle passa ses mains dans son dos pour dégrafer son soutient gorge et le fit glisser le long de ses bras découvrant sa poitrine, elle mit ses bras devant ses seins dans un geste de pudeur inutile.
- Madame joue les prudes !!! retires tout je t’ai dit et vite.
Elle avait les larmes aux yeux, mais elle obéit et bientôt elle fut nue.
- Tu vois ce n’est pas si compliqué, maintenant tu vas mettre tes mains sur la tête et aller à l’autre bout de la pièce en marchant lentement et en remuant ton gros cul.
Elle avait abandonné toute velléité de rébellion, se retourna et marcha jusqu’au mur d’en face., elle sentait le regard de son bourreau sur ses fesses.
- Voila une vraie petite soumise, tu fais moins la fière madame la cheffe, si tes collègues te voyaient ils rigoleraient bien.
Les mots ne la blessaient même plus, la honte avait fait place au désir.
- Retourne-toi et met toi à quatre pattes, tu vas venir en face de moi. Bien tu deviens obéissante.
- Oui je t’obéis dit-elle d’une petite voix.
- Il va falloir que tu en fasses plus que ça, pour commencer à partir de maintenant tu me vouvoies et tu m’appelles monsieur, tu as compris.
- Oui Monsieur j’ai compris.
- Maintenant tu vas t’incliner devant moi, la tête sur le sol et le cul en l’air, les bras tendus et tu vas rester dans cette position aussi longtemps que je le décide.
Elle resta dans cette pose humiliante de longues minutes, n’osant pas relever la tête, elle l’entendait marcher dans la pièce, ouvrir des tiroirs, elle avait un peu peur mais pour rien au monde elle ne voulait le décevoir.
Il se plaça derrière elle et elle sursauta quand il lui introduit un doigt dans le sexe.
- Ce n’est pas vrai ça, tu mouilles ! je savais que tu étais une vraie salope, il va falloir que je te punisse pour ça.
Elle sentie qu’il promenait quelque chose, qu’elle devina être une cravache le long de son dos. Le premier coup lui fit l’effet d’une brulure et lui arracha un cri.
- Ta gueule, tu vas ameuter les voisins, tu vas compter à voix haute.
Chaque coup sur ses fesses, son dos la faisait se cambrer, mais les larmes qui inondaient son visage ne l’empêchèrent pas de compter. Cela lui parut interminable mais il s’arrêta enfin au bout de trente coups.
- Tu te verrais, tu ne ressembles plus à rien, écartes les fesses avec tes mains, ouvres bien ton cul.
Cette fois, elle hurla lorsqu’il introduisit un plug dans son trou, elle s’effondra mais son Maitre n’avait aucune pitié.
- Je suis sûr que tu es une pucelle du cul, tu vas garder ce plug et gare à toi s’il tombe.
Instinctivement elle serra les fesses.
Il la prit par les cheveux et l’a mis à genoux, elle comprit ce qu’il voulait et elle s’approcha pour lui ouvrir la braguette.
Une gifle l’a fit reculer.
- Je ne t’ai pas demandé de me sucer, tu es vraiment stupide, tu vas demander l’autorisation de me pomper.
- Monsieur, puis je sucer votre bite. Elle ne se reconnaissait plus, elle avait perdu toute pudeur.
- Bien salope sort ma queue et appliques toi.
Elle sorti le sexe dressé de son amant et commença à le lécher tout le long, elle salivait descendait sur les couilles, les prenant en bouche, puis engouffrait la verge qu’elle pompa goulument.
- T’es vraiment une salope, tu suces comme une vraie pute, descend bien je veux sentir ta bave sur mes couilles.
Elle s’étouffait mais comme il lui maintenait la tête elle ne pouvait que gémir.
- J’ai toujours rêvé de te baiser arrêtes de pomper et mets-toi en levrette.
Une fois en position, il s’introduit brutalement et commença à la pilonner brutalement ponctuant le tout par des claques bien senties sur les fesses.
Le plug et les coups de boutoirs eurent vite fait de lui procurer un orgasme fulgurant, tout son corps se mit à trembler, elle plaqua les fesses contre le ventre de son amant qui ne tarda pas à jouir en elle.
- Tu es une bonne chienne, maintenant tu vas lécher ma queue et la nettoyer.
Elle sortit sa langue et commença à la passer le long du membre en s’appliquant pour ne pas en perdre une goutte.
- Bon pour une première fois tu ne m’as pas trop déçue, va prendre une douche et gardes le plug.
Une fois terminée, elle se présenta à nouveau devant lui.
- Rhabille-toi, si tu veux continuer ton éducation de soumise tu reviens demain à la même heure, tu devras porter une robe courte sans sous-vêtements et bien sûr je veux que le plug soit en place. Si tu ne reviens pas ce ne sera plus la peine de me contacter, tu as compris.
- Oui Monsieur, j’ai compris je reviendrai demain.
- Casse-toi maintenant et ne retire le plug que quand tu seras chez toi.




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