Découverte d’un autre aspect de mes colocs en période de confinement codid-19 épisode 2
Récit érotique écrit par MarcAlsace [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Découverte d’un autre aspect de mes colocs en période de confinement codid-19 épisode 2
Merci pour tout vos commentaires.
Olivier c’est levé et est parti faire ce qu’il avait prévu. Je me suis levé à mon tour et j’ai changé le lit et fait tourner les draps. J’ai aéré sa chambre aussi. J’ai pris une douche me suis fait un lavement et j’en avais besoin, j’ai ensuite déjeuné léger. Sylvain est apparu à ce moment-là.
Sylvain : Bonjour Marc, pas trop mal au cul ?
Moi : Un peu mais de grasse pas un mot aux potes ni à qui que ce soit, je ne tiens pas à passer pour une folle ou un truc dans ce genre. Ce qui se passe ici est priver.
Sylvain : Pas de soucis, de toute façon tu appartiens à Olivier, je ne te toucherais pas ce n’est pas mon truc même si tu suces divinement bien.
Moi : Olivier m’a dit qu’il faudrait surement que je te suce souvent.
Sylvain : Peut-être une fois à l’occasion mais ce n’est pas mon truc. De toute façon, tu vas avoir beaucoup de boulot avec Olivier et ses copains après le confinement .Tu ne sais pas dans quoi tu t’es embarqué.
Moi : C’est allé trop vite hier, je n’ai rien compris à ce qui m’arrivais. J’espère juste qu’il sera doux avec moi et qu’il ne me prendra pas pour une merde après le confinement. Même si je ne le montre pas je suis quelqu’un de sensible et je ne sais pas pourquoi, j’ai un sentiment de protection avec lui ainsi qu’une profonde envie de vivre avec lui.
Sylvain : Toi tu es tombé amoureux ou alors il ta déjà brisé le mental et fais de toi sa chose. Si c’est le cas il m’épate. Bon je vais faire les courses en face, tu peux donner un coup d’aspirateur dans tout le duplex ?
Moi : Oui pas de soucis.
Sylvain : A propos ont voit ton jockstrap à travers ton short. Tu l’as fait exprès ou c’est lui qui te l’a demandé ?
Moi : Il a demandé que mon cul soit mis en valeur.
Sylvain : Toi tu vas te faire baiser en permanence. C’est un black, et un black sa baise tout le temps.
Il n’a pas attendu ma réponse et est parti. J’ai vaqué à mes occupations, ensuite j’ai étudié et suivi mon cours en ligne mais ce n’est pas évident même si je reconnais que le corps professoral fait énormément d’effort pour nous. « Je vous en remercie ainsi que toutes les personnes indispensable à la vie quotidienne et qui doivent prendre des risques pour nous ». Je n’ai pas entendu Olivier rentré et ai été surpris lorsqu’il est entré dans ma chambre.
Olivier : Ah tu es la salope ! Viens ici !
J’ai été le trouvé.
Olivier : Tourne-toi !
Il a sorti je ne sais quoi de son sachet en fait si un collier en cuir noir large qu’il ma fixer au coup. Il y a attaché une laisse.
Olivier : Bien tourne toi et penche toi en avant !
Je me suis exécuté, j’ai senti du gel et ensuite il m’a inséré un plug de petite taille dans le fion.
Olivier : Tu vas le gardé tout le temps sauf pour aller à la toilette et au fur et à mesure je t’en mettrais des plus gros. Ça va t’habitué au gros calibres. Tiens ce soir tu mettras ça, tu laisses agir 15 minutes et ensuite tu passes sous la douche. Je viendrais contrôler.
Il me montre un tube de crème épilatoire.
Olivier : Ensuite une fois bien imberbe, tu seras vraiment ma femelle. En attendant j’ai fin, fait moi quelque choses et ah oui tu me fileras 50 € pour mes dépenses pour toi. J’ai fait 50/50 ! File !
Il me met une tape sur le cul. Je suis parti dans la cuisine et je lui ai fait un sandwich. J’ai l’air malin avec le collier. Olivier de loin Olivier : A propos ici je ne veux te voir qu’en jock ou string plus besoins de vêtements.
Moi : Mais Olivier : Mais quoi !
Moi : Rien Olivier : Rien qui !
Moi : Rien mon male Olivier : Mieux ! A poil ! Dépêche-toi !
Une fois uniquement en jock, je lui ai apporté sont sandwich et il a étudié une bonne partie de l’après-midi. Sylvain rentré des courses a semblé fort amusé de la situation mais ne m’a rien dit.
J’ai étudié aussi et vers 18.00 j’ai pris ma douche prenant soins auparavant d’enlevé le collier et le plug. J’ai mis la crème épilatoire et j’ai attendu 15 minutes comme demander mais ça chauffe. Une fois sous la douche tous mes poils sont tombés avec le gant de toilette. Je suis sans poils même mon cul est nickel. Ça me fait tout drôle. Olivier est venu me rejoindre pour contrôler et m’a placer une cage de chasteté.
Olivier : Maintenant tu n’as plus besoins de jouir que du cul, tu ne te branleras plus. Je te veux avec un sexe de femme. Demain tu iras te faire percer l’oreille et un téton chez un pote, je te donnerais l’adresse et son phone. Il te fera rentrer par l’arrière-boutique.
Moi : Mais avec le confinement ?
Olivier : Si tu te fais arrêter, tu diras que tu vas à la pharmacie et je te rassure mon pote est fort porté sur l’hygiène, il porte des gants et un masque. Tu ne risques rien.
Moi : Et que vont dire mes parents ?
Olivier : Tu leur diras que c’est pour plaire à ton mec a moins qu’ils ne savent pas pour toi ?
Moi : Si ils sont au courant mais ils voudront te connaître. Tu sais en Alsace ils ne sont pas, non laisse tomber. C’est ma vie après tout.
Olivier : A partir de maintenant ta vie est à moi, et je ne te laisserai pas tomber après le confinement. Sylvain m’a dit que tu avais peur de ça.
Moi : Oui j’ai peur.
Il m’a pris dans ses bras pour m’enlacé et me faire comprendre qu’il tenait à moi ou qu’il me protègerait, je ne sais pas trop mais j’ai été ému au point d’en avoir un sanglot et une larme à l’œil. Mais ça n’a pas duré.
Olivier : Penche-toi en avant !
Je me suis penché et il m’a inséré en douceur un plug plus gros avec un renfort de gel.
Olivier : Voilà avec celui-là je pourrais te prendre plus facilement et à fond directement. Remet ton collier et prépare nous a mangé ensuite je te réserve une autre surprise dans ma chambre. A propos merci pour les draps.
Moi : Pas de quoi je l’ai fait naturellement pour mon male.
Olivier : C’est bien tu commences à comprendre ou est ta vrai place naturel de femelle.
J’ai été nous faire à manger, une salade de volaille avec des pommes de terre et quelques merguez de volailles que Sylvain avait ramené. Une fois mangé, j’ai fait la vaisselle avec Olivier et Sylvain. Ensuite Sylvain s’est retiré pour aller chez la voisine avec qui il nique de temps en temps. Nous avons regardé les infos et ensuite un film.
Olivier : Bon on va se couché !
Je l’ai suivi dans sa chambre pas trop rassuré je dois le dire, j’ai un peu peur de sa brutalité. Une fois dans sa chambre il m’a placé des menottes en cuir aux poignets ainsi qu’aux chevilles.
Olivier : Comme ça tu es encore plus ma chose. Tu les porteras en permanence maintenant sauf pour sortir. Déshabille-moi !
Je lui ai ôté ces vêtements et j’ai remarqué qu’il avait mis un cockring. Il était semi membré mais elle paraissait déjà plus grosse. Il m’a mis à genoux et m’a présenté sa queue que j’ai dû sucer. Je me suis appliqué et lui a pris les choses en mains. Il m’a forcé plus d’une fois la glotte et n’ayant pas l’habitude mon repas a fini par remonté, j’ai juste eu le temps de courir à la toilette. Olivier m’a suivi pour m’aider.
Olivier : Ça va bébé ?
Moi : Oui, je n’ai pas l’habitude. Je vais boire un verre d’eau ça va aller.
Olivier : Au moins maintenant, tu as l’estomac vide bébé. Je vais pouvoir t’apprendre la gorge profonde. J’adore ça. Fait à ton aise bébé je t’attends dans le lit.
Ça me fait tout drôle qu’il m’appelle bébé, je me suis rendu dans la cuisine et j’ai bu. Je suis retourné dans la chambre et me suis couché dans le lit prêt de lui. Il m’a embrassé longuement, il bandait fort. Ensuite il m’a fait placer de dos sur le rebord du lit tête en arrière. Je vois ou il veut en venir, j’ai déjà maté des vidéos pornos et j’ai toujours rêvé de faire ce genre de chose mais pas avec un machin aussi énorme.
Olivier : Ouvre la bouche bien grande et respire à fond quand tu vas la sentir au fond essaye de déglutir je vais y allé en douceur.
Effectivement il y est allé en douceur, j’ai fait un gros effort pour y arriver mais j’ai encore des renvois et envie de vomir. Je bave aussi. Il m’encourage.
Olivier : C’est bien bébé, tu y es presque. Va ’y encore quelques centimètres. T’es presqu’une pro, tu me fais du bien. T’es une bonne salope.
J’ai commencé à fatigué dans cette position, il l’a senti et a arrêté. Il m’a alors couché sur le ventre et attaché les mains dans le dos.
Olivier : Je vais me faire ton beau petit cul bébé en douceur. Tu l’as mérité.
Il m’a doucement retiré le plug, ce qui m’a fait du bien et l’impression d’être vide mais il a présenté sont gland et est rentré assez rapidement ce qui m’a fait pousser un cri.
Moi : Doucement, tu me fais mal.
Il s’est retiré et est aller chercher quelque chose dans son sac.
Olivier : Avec ça ont ne t’entendra plus que gémir.
Moi : Non pas sa, mffffffIl venait de me placé un baillon avec une espèce de pénis à l’intérieur et à bien serrer la sangle. Il a repris sa position et est rentré à nouveau dans mon cul. J’ai eu beau grogner et gesticulé la pénétration a été longue mais total d’un coup. J’en ai pleuré tellement ça m’a fait mal.
Olivier : Voilà bien à fond d’un coup, c’est bien bébé. Tu fais des progrès. Maintenant je vais te baisé comme une petite reine.
Effectivement il m’a baisé mais en douceur, la douleur à fait place à une autre sensation que je décrirais comme du plaisir. J’ai gémi et ai commencé à bandé mais avec la cage de chasteté pas possible mais ça ne me dérange pas au final. J’ai le sentiment que je ne dois que donner du plaisir à mon male. Il m’a détaché les mains et a fini par m’enlevé le baillon. Il m’a fait mettre à quatre pattes pour plus de sensation pour comme pour moi. J’ai senti un truc coulé le long de ma jambe et je me suis rendu compte que je mouillais du cul tellement je prenais mon pied. Ensuite il m’a retourné et a mis mes jambes sur ses épaules et un coussin en dessous des fesses pour me relever. Il m’a encore sodomisé pendant 10 minutes dans cette position avant de me retirer ma cage de chasteté et de me branlé tout en baisant.
Olivier : Vas-y bébé, je t’autorise à jouir.
Je n’ai pas trainé et j’ai joui jusqu’à m’en foutre sur le visage et dans ma bouche qui était ouverte sous l’effet de la jouissance. Il a ramassé mon sperme avec ses doigts et me les a mis en bouche. J’ai sucé avidement ses doigts toujours en trance.
Olivier : C’est bien bébé, dorénavant tu ne jouiras que quand je te l’autorise et tu boiras ton sperme.
Il s’est retiré de mon cul et a porté sa queue à hauteur de ma bouche. Il a commencé à ce branlé.
Olivier : Ouvre la bouche et tire la langue en bonne salope que tu es. Tiens voilà le jus de ton male. Avale !
Je ne me suis pas fait prier et j’ai tout avalé. Je ne me savais pas aussi salope mais il a un je ne sais quoi en lui qui me donne envie d’être une salope et être sa salope. De moi-même j’ai nettoyé sa queue. Une fois la tension redescendue… Olivier : Bon bébé on prend une douche ensemble, je te remets ta cage et on dort. Demain tu remettras toi-même tes accessoires après avoir été chez mon pote.
Nous avons pris une douche ensemble. Lui a une douche à l’italienne alors que moi j’ai une douche cabine plus petite. Il a été sensuel avec moi, me caressant, me lavant et m’embrassant. Nous bandions tous les deux mais nous sommes restés sage. Après nous être séché. Il m’a remis ma cage et après avoir rangé nous nous sommes couchés dans mon lit, le sien étant encore une fois dans un triste état suite à nos ébats. Il s’est mis dans mon dos et comme il bandait toujours à rentrer sa queue dans mon cul.
Olivier : Dort avec ma queue en toi bébé, ta petite chatte s’y habituera.
Moi : Oui mon hommeOlivier : Dort bien bébé, je t’aime.
J’ai eu un frisson et j’ai eu une larme qui est sortie.
Moi : Je t’aime mon cœur.
Il s’est rendu compte que je pleurais, il s’est encore plus serré contre moi et m’a fait des petits bisous.
Bonne nuit Marc
Olivier c’est levé et est parti faire ce qu’il avait prévu. Je me suis levé à mon tour et j’ai changé le lit et fait tourner les draps. J’ai aéré sa chambre aussi. J’ai pris une douche me suis fait un lavement et j’en avais besoin, j’ai ensuite déjeuné léger. Sylvain est apparu à ce moment-là.
Sylvain : Bonjour Marc, pas trop mal au cul ?
Moi : Un peu mais de grasse pas un mot aux potes ni à qui que ce soit, je ne tiens pas à passer pour une folle ou un truc dans ce genre. Ce qui se passe ici est priver.
Sylvain : Pas de soucis, de toute façon tu appartiens à Olivier, je ne te toucherais pas ce n’est pas mon truc même si tu suces divinement bien.
Moi : Olivier m’a dit qu’il faudrait surement que je te suce souvent.
Sylvain : Peut-être une fois à l’occasion mais ce n’est pas mon truc. De toute façon, tu vas avoir beaucoup de boulot avec Olivier et ses copains après le confinement .Tu ne sais pas dans quoi tu t’es embarqué.
Moi : C’est allé trop vite hier, je n’ai rien compris à ce qui m’arrivais. J’espère juste qu’il sera doux avec moi et qu’il ne me prendra pas pour une merde après le confinement. Même si je ne le montre pas je suis quelqu’un de sensible et je ne sais pas pourquoi, j’ai un sentiment de protection avec lui ainsi qu’une profonde envie de vivre avec lui.
Sylvain : Toi tu es tombé amoureux ou alors il ta déjà brisé le mental et fais de toi sa chose. Si c’est le cas il m’épate. Bon je vais faire les courses en face, tu peux donner un coup d’aspirateur dans tout le duplex ?
Moi : Oui pas de soucis.
Sylvain : A propos ont voit ton jockstrap à travers ton short. Tu l’as fait exprès ou c’est lui qui te l’a demandé ?
Moi : Il a demandé que mon cul soit mis en valeur.
Sylvain : Toi tu vas te faire baiser en permanence. C’est un black, et un black sa baise tout le temps.
Il n’a pas attendu ma réponse et est parti. J’ai vaqué à mes occupations, ensuite j’ai étudié et suivi mon cours en ligne mais ce n’est pas évident même si je reconnais que le corps professoral fait énormément d’effort pour nous. « Je vous en remercie ainsi que toutes les personnes indispensable à la vie quotidienne et qui doivent prendre des risques pour nous ». Je n’ai pas entendu Olivier rentré et ai été surpris lorsqu’il est entré dans ma chambre.
Olivier : Ah tu es la salope ! Viens ici !
J’ai été le trouvé.
Olivier : Tourne-toi !
Il a sorti je ne sais quoi de son sachet en fait si un collier en cuir noir large qu’il ma fixer au coup. Il y a attaché une laisse.
Olivier : Bien tourne toi et penche toi en avant !
Je me suis exécuté, j’ai senti du gel et ensuite il m’a inséré un plug de petite taille dans le fion.
Olivier : Tu vas le gardé tout le temps sauf pour aller à la toilette et au fur et à mesure je t’en mettrais des plus gros. Ça va t’habitué au gros calibres. Tiens ce soir tu mettras ça, tu laisses agir 15 minutes et ensuite tu passes sous la douche. Je viendrais contrôler.
Il me montre un tube de crème épilatoire.
Olivier : Ensuite une fois bien imberbe, tu seras vraiment ma femelle. En attendant j’ai fin, fait moi quelque choses et ah oui tu me fileras 50 € pour mes dépenses pour toi. J’ai fait 50/50 ! File !
Il me met une tape sur le cul. Je suis parti dans la cuisine et je lui ai fait un sandwich. J’ai l’air malin avec le collier. Olivier de loin Olivier : A propos ici je ne veux te voir qu’en jock ou string plus besoins de vêtements.
Moi : Mais Olivier : Mais quoi !
Moi : Rien Olivier : Rien qui !
Moi : Rien mon male Olivier : Mieux ! A poil ! Dépêche-toi !
Une fois uniquement en jock, je lui ai apporté sont sandwich et il a étudié une bonne partie de l’après-midi. Sylvain rentré des courses a semblé fort amusé de la situation mais ne m’a rien dit.
J’ai étudié aussi et vers 18.00 j’ai pris ma douche prenant soins auparavant d’enlevé le collier et le plug. J’ai mis la crème épilatoire et j’ai attendu 15 minutes comme demander mais ça chauffe. Une fois sous la douche tous mes poils sont tombés avec le gant de toilette. Je suis sans poils même mon cul est nickel. Ça me fait tout drôle. Olivier est venu me rejoindre pour contrôler et m’a placer une cage de chasteté.
Olivier : Maintenant tu n’as plus besoins de jouir que du cul, tu ne te branleras plus. Je te veux avec un sexe de femme. Demain tu iras te faire percer l’oreille et un téton chez un pote, je te donnerais l’adresse et son phone. Il te fera rentrer par l’arrière-boutique.
Moi : Mais avec le confinement ?
Olivier : Si tu te fais arrêter, tu diras que tu vas à la pharmacie et je te rassure mon pote est fort porté sur l’hygiène, il porte des gants et un masque. Tu ne risques rien.
Moi : Et que vont dire mes parents ?
Olivier : Tu leur diras que c’est pour plaire à ton mec a moins qu’ils ne savent pas pour toi ?
Moi : Si ils sont au courant mais ils voudront te connaître. Tu sais en Alsace ils ne sont pas, non laisse tomber. C’est ma vie après tout.
Olivier : A partir de maintenant ta vie est à moi, et je ne te laisserai pas tomber après le confinement. Sylvain m’a dit que tu avais peur de ça.
Moi : Oui j’ai peur.
Il m’a pris dans ses bras pour m’enlacé et me faire comprendre qu’il tenait à moi ou qu’il me protègerait, je ne sais pas trop mais j’ai été ému au point d’en avoir un sanglot et une larme à l’œil. Mais ça n’a pas duré.
Olivier : Penche-toi en avant !
Je me suis penché et il m’a inséré en douceur un plug plus gros avec un renfort de gel.
Olivier : Voilà avec celui-là je pourrais te prendre plus facilement et à fond directement. Remet ton collier et prépare nous a mangé ensuite je te réserve une autre surprise dans ma chambre. A propos merci pour les draps.
Moi : Pas de quoi je l’ai fait naturellement pour mon male.
Olivier : C’est bien tu commences à comprendre ou est ta vrai place naturel de femelle.
J’ai été nous faire à manger, une salade de volaille avec des pommes de terre et quelques merguez de volailles que Sylvain avait ramené. Une fois mangé, j’ai fait la vaisselle avec Olivier et Sylvain. Ensuite Sylvain s’est retiré pour aller chez la voisine avec qui il nique de temps en temps. Nous avons regardé les infos et ensuite un film.
Olivier : Bon on va se couché !
Je l’ai suivi dans sa chambre pas trop rassuré je dois le dire, j’ai un peu peur de sa brutalité. Une fois dans sa chambre il m’a placé des menottes en cuir aux poignets ainsi qu’aux chevilles.
Olivier : Comme ça tu es encore plus ma chose. Tu les porteras en permanence maintenant sauf pour sortir. Déshabille-moi !
Je lui ai ôté ces vêtements et j’ai remarqué qu’il avait mis un cockring. Il était semi membré mais elle paraissait déjà plus grosse. Il m’a mis à genoux et m’a présenté sa queue que j’ai dû sucer. Je me suis appliqué et lui a pris les choses en mains. Il m’a forcé plus d’une fois la glotte et n’ayant pas l’habitude mon repas a fini par remonté, j’ai juste eu le temps de courir à la toilette. Olivier m’a suivi pour m’aider.
Olivier : Ça va bébé ?
Moi : Oui, je n’ai pas l’habitude. Je vais boire un verre d’eau ça va aller.
Olivier : Au moins maintenant, tu as l’estomac vide bébé. Je vais pouvoir t’apprendre la gorge profonde. J’adore ça. Fait à ton aise bébé je t’attends dans le lit.
Ça me fait tout drôle qu’il m’appelle bébé, je me suis rendu dans la cuisine et j’ai bu. Je suis retourné dans la chambre et me suis couché dans le lit prêt de lui. Il m’a embrassé longuement, il bandait fort. Ensuite il m’a fait placer de dos sur le rebord du lit tête en arrière. Je vois ou il veut en venir, j’ai déjà maté des vidéos pornos et j’ai toujours rêvé de faire ce genre de chose mais pas avec un machin aussi énorme.
Olivier : Ouvre la bouche bien grande et respire à fond quand tu vas la sentir au fond essaye de déglutir je vais y allé en douceur.
Effectivement il y est allé en douceur, j’ai fait un gros effort pour y arriver mais j’ai encore des renvois et envie de vomir. Je bave aussi. Il m’encourage.
Olivier : C’est bien bébé, tu y es presque. Va ’y encore quelques centimètres. T’es presqu’une pro, tu me fais du bien. T’es une bonne salope.
J’ai commencé à fatigué dans cette position, il l’a senti et a arrêté. Il m’a alors couché sur le ventre et attaché les mains dans le dos.
Olivier : Je vais me faire ton beau petit cul bébé en douceur. Tu l’as mérité.
Il m’a doucement retiré le plug, ce qui m’a fait du bien et l’impression d’être vide mais il a présenté sont gland et est rentré assez rapidement ce qui m’a fait pousser un cri.
Moi : Doucement, tu me fais mal.
Il s’est retiré et est aller chercher quelque chose dans son sac.
Olivier : Avec ça ont ne t’entendra plus que gémir.
Moi : Non pas sa, mffffffIl venait de me placé un baillon avec une espèce de pénis à l’intérieur et à bien serrer la sangle. Il a repris sa position et est rentré à nouveau dans mon cul. J’ai eu beau grogner et gesticulé la pénétration a été longue mais total d’un coup. J’en ai pleuré tellement ça m’a fait mal.
Olivier : Voilà bien à fond d’un coup, c’est bien bébé. Tu fais des progrès. Maintenant je vais te baisé comme une petite reine.
Effectivement il m’a baisé mais en douceur, la douleur à fait place à une autre sensation que je décrirais comme du plaisir. J’ai gémi et ai commencé à bandé mais avec la cage de chasteté pas possible mais ça ne me dérange pas au final. J’ai le sentiment que je ne dois que donner du plaisir à mon male. Il m’a détaché les mains et a fini par m’enlevé le baillon. Il m’a fait mettre à quatre pattes pour plus de sensation pour comme pour moi. J’ai senti un truc coulé le long de ma jambe et je me suis rendu compte que je mouillais du cul tellement je prenais mon pied. Ensuite il m’a retourné et a mis mes jambes sur ses épaules et un coussin en dessous des fesses pour me relever. Il m’a encore sodomisé pendant 10 minutes dans cette position avant de me retirer ma cage de chasteté et de me branlé tout en baisant.
Olivier : Vas-y bébé, je t’autorise à jouir.
Je n’ai pas trainé et j’ai joui jusqu’à m’en foutre sur le visage et dans ma bouche qui était ouverte sous l’effet de la jouissance. Il a ramassé mon sperme avec ses doigts et me les a mis en bouche. J’ai sucé avidement ses doigts toujours en trance.
Olivier : C’est bien bébé, dorénavant tu ne jouiras que quand je te l’autorise et tu boiras ton sperme.
Il s’est retiré de mon cul et a porté sa queue à hauteur de ma bouche. Il a commencé à ce branlé.
Olivier : Ouvre la bouche et tire la langue en bonne salope que tu es. Tiens voilà le jus de ton male. Avale !
Je ne me suis pas fait prier et j’ai tout avalé. Je ne me savais pas aussi salope mais il a un je ne sais quoi en lui qui me donne envie d’être une salope et être sa salope. De moi-même j’ai nettoyé sa queue. Une fois la tension redescendue… Olivier : Bon bébé on prend une douche ensemble, je te remets ta cage et on dort. Demain tu remettras toi-même tes accessoires après avoir été chez mon pote.
Nous avons pris une douche ensemble. Lui a une douche à l’italienne alors que moi j’ai une douche cabine plus petite. Il a été sensuel avec moi, me caressant, me lavant et m’embrassant. Nous bandions tous les deux mais nous sommes restés sage. Après nous être séché. Il m’a remis ma cage et après avoir rangé nous nous sommes couchés dans mon lit, le sien étant encore une fois dans un triste état suite à nos ébats. Il s’est mis dans mon dos et comme il bandait toujours à rentrer sa queue dans mon cul.
Olivier : Dort avec ma queue en toi bébé, ta petite chatte s’y habituera.
Moi : Oui mon hommeOlivier : Dort bien bébé, je t’aime.
J’ai eu un frisson et j’ai eu une larme qui est sortie.
Moi : Je t’aime mon cœur.
Il s’est rendu compte que je pleurais, il s’est encore plus serré contre moi et m’a fait des petits bisous.
Bonne nuit Marc
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