Ma vie en coloc avec Olivier mon male Alfa 4 : Houssa suite - histoire érotique

Histoire réel et non fictive comme noter dans l’histoire précédente. Merci !
Je me suis habiller d’un jock, le plug gros des plug, le harnais, les attaches poignets et chevilles. Je me suis rendu dans la cuisine ou Olivier m’attendait.
Olivier : Ta nuit a été bonne bébé ?
Moi : Oui mais j’ai un peu mal au cul et je n’ai pas pris un pied si terrible. J’aime mieux avec toi.
Olivier : Il va falloir t’y habituer, Houssa va loger quelques jours avec nous. Pourquoi n’a tu pas pris ton pied ?
Moi : Je ne suis pas parvenu à me détendre. Tu sais en Alsace, avec un de mes ex et je n’en n’ai pas eu beaucoup je te rassure. Pour me détendre, il me faisait renifler du Poppers. Je me laissais faire et partais dans le délire. Houssa n’y a pas été de main morte. Avec toi je me détends facilement, je ne sais pas pourquoi.
Olivier : Je vais aller te chercher ce que tu demandes. Il est normal que tu sois plus détendu avec moi, je suis ton mâle bébé et je suis ton protecteur dominateur. Tu es ma femelle bébé. On va te laisser te reposer aujourd’hui, tu en as besoins. Tu restes dans le divan et si tu as besoins de quelque chose, tu demandes à Houssa ou à moi. On va juste s’absenter une heure pour reprendre quelques affaires et les cours de Houssa dans son Kot. Je prends ta voiture. Repose toi, tu es crever, ça ce voie, et je veux que mon homme, ma petite femme soit en forme pour ce soir.
Moi : Merci mon cœur.
Ils sont partis, et moi je me suis mis dans le divan. J’ai reçu un appel de ma mère à qui je n’avais pas donné signe de vie depuis deux jours. Je l’ai rassuré et lui ai dit que j’avais quelqu’un dans ma vie pour le moment. Je lui ai dit que c’était Olivier. Elle l’avait rencontré, lors de mon installation dans ce Duplex. J’ai eu un blanc au téléphone, avant de me dire de faire attention, que ça ne lui plaisait pas de trop que je fréquente un noir, parce que notre village votre en majorité pour le FN et que serait mal venu. J’ai balayé son argument en lui disant que l’amour et le sexe ne faisait pas de politique. Elle a fini par me donner raison. Elle m’a encore répéter de faire attention avant de me donner des nouvelles de ma mémé qui est sorti de l’hôpital et se repose chez nous pour ne pas la remettre dans sa maison de retraite. Apparemment, il y a beaucoup de décès Covid-19 dans cette maison. Mon père surveille le vignoble et est déjà à la recherche de saisonnier Roumain, mais avec le confinement en France pas facile. Je lui explique qu’ici en Belgique ce sont les agriculteurs de fraises et autres légumes qui ont le même problème. J’ai vu ça aux informations. Je finis la conversation avec ma mère et je continue de me reposer. Je dors dans le divan et c’est un doux baisé d’Olivier qui me réveille. Houssa, derrière lui, en fait de même mais est beaucoup plus chaleureux. Je commence à bander mais ma cage fait en sorte…. Enfin je bande mou. Je me lève pour aller à la toilette, faire un besoin naturel et Olivier me suis.
Olivier : Je vais te retirer ta cage bébé, je ne vais pas te brider pour le moment. J’en ai parlé avec Houssa et de toute façon ta queue est devenue toute petite. Je cherchais à en arriver là, mais Houssa m’a dit que de temps en temps il était passif mais ne voulait pas se faire baiser par du gros. Tu comprends ce que je veux dire ?
Moi : Merci pour la cage mais de toute façon, je ne veux que te satisfaire. Je ne jouirais que si tu le veux ou m’en donne l’autorisation. Tu es sérieux pour Houssa ? Tu veux que je le baise ?
Olivier : S’il te le demande et si tu veux, oui tu as mon autorisation.
Il m’a alors embrassé avant de m’attirer vers le lit de m’y coucher, enlever mon plug et me faire l’amour en douceur. Moi qui devais me reposer. Il a fécondé sa petite femme que je suis avant de me remettre mon plug et de me faire nettoyer sa queue. Ensuite il m’a porté dans le divan ou j’ai sombré un sommeil réparateur et avec un sourire qui en disait long sur mon bonheur. Vers 18.30, c’est Houssa qui m’a réveiller pour un apéro sur la terrasse ou il fait encore une fois très bon. Olivier était en train de nous préparer un barbecue. C’est tout de même rageant de devoir rester à l’intérieur par un temps pareil. Moi je serais plutôt du style à m’allonger sur un drap dans le parc voisin et prendre le soleil mais cela nous est interdit. Et sur notre terrasse plein sud, il fait intenable de 12.00 à 17.00 donc obligé de rester à l’intérieur. Nous pouvons sortir et nous promener mais seul ou alors avec 1m50 de distance et à moins d’un kilomètre du duplex. Le parc interdit, les rues commerçantes désertes c’est déprimant. La Cité Ardente comme disent les Liégeois pour son côté festif et animer, fait vraiment peine à voir. Moi qui adore allez m’amuser avec les copains dans le Carré, dans les bistrots hétéro, « oui je sais il y a des bars gay au centre-ville mais n’ayant pas de copains gay ici, je n’y vais pas. De plus si je croise quelqu’un de l’université ça risque de jaser » c’est rater pour le moment. Donc je ne sors que pour les courses. Mais bon revenons au barbecue d’Olivier qui a été vraiment très bon. Ils ont fait la vaisselle, alors que moi je regardais les infos. La première ministre Belge faisant le point sur les mesures du confinement et les ratés de son gouvernement d’union national et temporaire avec pouvoir spéciaux. Encore une histoire Belge. Je ne comprends pas comment un si petit pays pourtant charmant, peut-être aussi divisé politiquement parlant. Il y a neuf ministres de la santé ici. Enfin Bref. Olivier et Houssa sont venu ce lover contre moi et nous avons regardé un film. N’en pouvant plus je les ai laissé finir et suis allé me coucher. Ils sont venus se blottir contre moi, j’ai senti mon homme me retirer mon plug en douceur et le remplacer par sa queue. Houssa m’a tourner le dos et est venu frotter son cul contre ma queue. Celle-ci a commencé à gonfler naturellement. Mon homme m’a fait renifler du Poppers, ce qui ma détendu d’un coup et donner envie aussi. J’ai craché dans une de mes mains un peu de salive et j’en ai mis contre l’anus de Houssa. Rien que de lui faire ça, il gémissait. Il a pris ma queue dans sa main et l’a dirigé vers son trou. Je l’ai laissé faire, il c’est empaler en douceur, avant de lui-même faire des mouvements de va et vient. Olivier a commencé à me labourer. Et moi par la même occasion labouré Houssa.
Houssa : Vas y Marc, défonce moi bien le trou, c’est bon.
C’est là que je me suis rendu compte que je ne portais pas de capote. J’ai eu un mouvement de recul, stoppé par mon mec qui avait compris.
Olivier : Reste bébé, il est clean. Il a fait le test en même temps que moi et n’a pas baiser entre-temps. Il me l’a dit ce matin.
Il m’a encore fait renifler du Poppers, et j’ai continué à baiser Houssa. J’ai fini par lui jouir dans le cul, mon homme m’a féconder en même temps. Houssa et mon homme se sont dégager, Houssa m’a fait me retourner, lui aussi et j’ai senti sa queue contre mon fion, j’ai encore repris une dose de Poppers dans le nez via mon mec et Houssa m’a alors sauter en douceur mais profondément. Mon mâle c’est remis à bander et c’est branler au-dessus de ma bouche. Houssa n’a pas trainé à me féconder aussi dans un râle puissant. J’ai joui du cul aussi à ce moment-là et j’ai eu un orgasme anal. J’ai joui une deuxième fois.
Olivier : Ouvre la bouche bébé et tire la langue, je vais te donner ton dessert.
J’ai ouvert en bonne salope que je suis et j’ai tous avalé avant de nettoyer la queue de mon mâle Alfa, mon maître. Je suis ensuite allé me nettoyer à la salle de bain et me suis recoucher auprès d’eux. Houssa à pousser sa queue semi bandé dans mon cul pour la nuit, alors que mon mec me faisait des bisous partout. Je heureux de ce moment ensemble, je me sens de mieux en mieux avec mon mec et son copain. J’ai dormi en ivre de bonheur entre ces deux mâles. Mon mâle Alfa et un mâle actif et passif aussi ce qui n’est pas pour me déplaire.
Bonne nuit Marc