Découverte de soi (2)
Récit érotique écrit par Snorky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Découverte de soi (2)
Un an...
Je continuais à travailler avec celui qui m’avait initié et cela faisait un an que nous n’avions pas recommencé. Nous continuâmes à échanger des mails chauds mais nous ne pouvions pas nous voir en dehors.
Lui continuait de voir ses amis et moi, impossible de me libérer. Je vivais ses ébats par procuration.
Il m’avait dit que ses amis se rappelaient encore de moi et me reverraient volontiers. Puis enfin après un an, l’occasion se représenta.
Lui se retrouvait seul et moi aussi. Lorsqu’il m’en parla, je ne pus qu’accepter.
J’avais envie d’être désiré par des hommes. Ce désir animal, impérieux.
Il me dit avoir tout préparer et que ses amis seraient là aussi. Rien que cela m’électrisait mais me faisait à nouveau peur.
Lorsque j’arrivais chez lui vers les 17 heures, il m’expliqua ce qu’il avait manigancé.
J’allais leur servir l’apéritif vêtu d’une tunique longue, ressemblant à une tenue romaine. Sans rien dessous.
Rien qu’à voir cette jupette, je sentais déjà les mains se glissaient dessous. J’avais envie de la mettre mais en même temps la honte me tiraillait.
Pendant qu’il descendit finir les préparatifs, j’enfilais la tunique et posais le bandeau dans mes cheveux. Je le rejoignis ensuite.
Timidement, frissonnant comme s’il faisait froid, j’avançais vers lui. Son regard fut ma récompense. J’y lu l’envie et cela me redonna mes forces.
Là, maintenant, je voulais un avant-goût. Un an d’attente et j’étais près de lui, une simple tunique sur le corps.
Je me plaqua rapidement contre lui, dos à lui. Il m’embrassa le cou et ses mains descendirent sur mon bassin puis vers mon entre-jambe.
Délicieux, j’en écartais déjà les jambes pour qu’il puisse me caresser. Il joua avec la jupette sans jamais toucher ma peau.
Brulant, je dû prendre une de ses mains et la passer sous la jupe. Le contact délicieux de sa main remontant vers mes bourses et mon sexe.
Le désir était là, puissant. J’étais prêt à tout. Mais il n’en fut rien, il me repoussa en me disant de garder cette fougue pour tout à l’heure.
A 18h les invités arrivèrent. Surpris, nous fûmes 8 au total. Heureusement, un autre des invités enfila la même tenu que moi.
Très vite mon ami nous conduisit dans la cuisine pour le service. Il m’expliqua alors que nous serions à leurs ordres lors du service.
Le cœur battant, je revenais au salon avec mon nouvel « associé », portant l’alcool et les verres. Les six hommes étaient répartis sur 3 fauteuils et le canapé.
Ils discutaient de tout et de rien pendant le service mais quelques mains se posaient négligemment sur nous. Je sursautais quasiment à chaque fois.
Mon ami me prit alors sur ses genoux et me dit juste de regarder.
Je vis alors l’autre jeune homme être attiré vers un fauteuil, sur les genoux d’un invité. Deux autres hommes vinrent rejoindre le couple et commencèrent à s’occuper de lui.
Les mains avides passèrent sur son corps et sa jupe fut vite relevée. J’assistais à cela le cœur battant.
J’entendis à l’oreille : regarde bien, après c’est toi.
Je compris alors toute la chose, j’allais assister à ce qui allait m’arriver. Le feu m’envahit, mon sexe se tendit.
L’un des hommes masturbait le jeune pendant que l’autre lui caressait les cuisses. Celui qui était sous lui continuait de l’embrasser, remontant ses bras vers le haut.
Je le voyais, s’offrir à eux comme j’allais le faire.
Un des invités se redressa et présenta son sexe à la bouche du jeune home qui commença à le sucer doucement, tendrement. Tout d’abord le gland, puis la hampe, de plus en plus profond et goulûment.
J’entendis le bruit de succion.
Puis l’homme entre les cuisses du jeune sorti son sexe, récolta le liquide qui en suintait déjà, y ajouta celui des autres.
Comme s’il avait compris, le jeune s’ouvrit, bascula son bassin et l’autre pu caresser son anus. Lui étalant le liquide poisseux et lubrifiant.
Il répéta cela plusieurs fois puis frotta son gland et sa tige dans cette raie offerte.
Mon ami me demanda alors d’aller tenir la queue afin qu’elle passe bien dans ce cul. Affolé, j’obéis et je pu alors être au première loge lorsque le gland força le passage doucement, lorsque l’anus céda et s’ouvrit.
Peu à peu, le sexe fut engloutit dans ce trou, je reculais légèrement, complètement hypnotisé.
Le jeune homme était là, offert, suçant et se faisant défoncé.
Cela dura une ou deux minutes et l’invité explosa dans le cul. Il se retira et pris la place de celui sur le canapé. Ils échangèrent. Le sexe du nouveau conquérant étant assez gros et il se lubrifia lui aussi avant de refaire la même chose. Je fus obligé de l’accompagner également.
Là encore l’anus céda et le sexe entra complètement. Le jeune homme masturbé, ne put tenir plus longtemps et je dus gober son gland pour attendre son sperme.
A peine posais-je mes lèvres sur sa queue qu’il m’envoya son sperme dans la bouche.
Plein de sperme, je suçais sa queue doucement, ne gênant pas la fin de la sodomie qui ne tarda pas à venir. L’homme se tendit, souffla, accéléra puis s’arrêta.
Il me demanda de venir voir et je pu voir son sexe sortir, laissant un anus dilaté.
Il était là, offert, le cul ouvert, devant ces hommes lubriques. J’allais ressembler à cela. C’était le message.
Je sentis alors que l’on me tirait en arrière, vers un fauteuil où était assis mon ami.
C’était à moi ! à moi !
Ouvert, offert. Je n’osais pas les regarder. Quelle image allais-je donner.
Il ne me laissèrent pas le temps de réfléchir. Je fus envahi par ces mains, caressé, embrassé, masturbé.
L’un d’eux me suça le cul, m’embrassa le trou en relevant mes cuisses.
Une queue se présenta, je l’attrapa puis la suçota, m’appliquant. Puis je goba tout ce que je pus.
Mon cul fut lubrifié et je sentis des doigts me fouiller. Des mains maintenaient mes jambes écartaient. Mon ami me soufflait des mots crus.
Une queue finit par se poser sur ma raie et se frotter.
Puis le gland vint butter sur mon trou, conquérant. On prit ma main pour la posé sur cette queue, de façon à la guider, la tenir pendant qu’elle allait entrer.
Je la sentis pousser, gluante. Puis d’un coup mon anus céda et son sexe m’envahit. Plus de résistance, il était dedans.
Ma main fut plaquée entre son bassin et mes fesses. Cela faisait longtemps que j’en avais envie.
J’avais légèrement arrêté ma pipe mais je la repris de plus belle tandis que l’autre faisait des vas et vient lent mais puissant.
Je me masturbais en même temps, doucement. Me laissant dans l’extase, le sexe douloureux.
Après avoir jouis en moi rapidement, l’homme fut remplacé par un autre et je pu à nouveau sentir mon cul céder. Ce fut plus facile.
Je pris également une giclée dans ma bouche, que j’avala/bava à moitié.
Je me retrouva sans queue à sucer. Mon ami me força à regarder autour.
4 hommes étaient là, l’un d’eux planté dans mon cul. Ils me regardaient, assis sur mon ami, le bassin relevé, en train de me faire enculer.
Ouvert et exhibé, soumis à leurs envies.
L’homme sortit son sexe et montra mon anus. Je ne pouvais le voir mais je me rappelais bien du spectacle.
Honteux, je voulu cacher cela de mes mains mais mes cuisses étaient bien tenues et mon ami m’attrapa doucement mes mains et les releva.
Il me dit que c’était beau, il fallait laisser montrer cela.
L’homme revint doucement puis ce fut flou. Je devins lubrique.
J’avalais les queues par mes deux trous, je me livrais sans retenues à eux.
Je fus autoriser à jouir au dernier à me pénétrer. Ce fut bon. Mon ami me masturbait.
L’homme me sentit jouir lorsque mon anus suivit mes contractions.
Lorsque je sorti du canapé, j’avais les jambes flageolantes. Puis je sentis mes fesses gluantes. J’étais nu au milieu d’eux.
Mon ami n’avait pas pu prendre part à tout cela, étant sous moi. Alors il me demanda de revenir.
Pendant que tout le monde reprenait l’appéritif, je dus me poser sur lui, mes jambes sur les accoudoirs. Face à tout le monde, nu, je pris son sexe et le guida dans mon cul.
Je fus prit là, en plein apéritif, devant tous. Et j’étais rouge de honte au début puis le plaisir venant, je finis par onduler, monter et descendre sur sa queue.
Je me cambrais en avant, mordillant ma lèvre. Parfois les yeux fermés, la bouche ouverte.
Je me permis même quelques petits gémissements (les yeux fermés, pour ne pas les voir). Très vite ma bouche fut remplie par une queue bien raide.
C’était grivois, mon ami n’a pas mis longtemps à venir. Moi non plus.
Je finis également ma pipe en masturbant l’homme et collant son sperme sur ma langue.
J’étais heureux d’avoir pu exciter cet homme.
La fin de l’apéro fut avec une queue dans le cul, jusqu’à ce qu’elle soit trop molle pour tenir.
Je continuais à travailler avec celui qui m’avait initié et cela faisait un an que nous n’avions pas recommencé. Nous continuâmes à échanger des mails chauds mais nous ne pouvions pas nous voir en dehors.
Lui continuait de voir ses amis et moi, impossible de me libérer. Je vivais ses ébats par procuration.
Il m’avait dit que ses amis se rappelaient encore de moi et me reverraient volontiers. Puis enfin après un an, l’occasion se représenta.
Lui se retrouvait seul et moi aussi. Lorsqu’il m’en parla, je ne pus qu’accepter.
J’avais envie d’être désiré par des hommes. Ce désir animal, impérieux.
Il me dit avoir tout préparer et que ses amis seraient là aussi. Rien que cela m’électrisait mais me faisait à nouveau peur.
Lorsque j’arrivais chez lui vers les 17 heures, il m’expliqua ce qu’il avait manigancé.
J’allais leur servir l’apéritif vêtu d’une tunique longue, ressemblant à une tenue romaine. Sans rien dessous.
Rien qu’à voir cette jupette, je sentais déjà les mains se glissaient dessous. J’avais envie de la mettre mais en même temps la honte me tiraillait.
Pendant qu’il descendit finir les préparatifs, j’enfilais la tunique et posais le bandeau dans mes cheveux. Je le rejoignis ensuite.
Timidement, frissonnant comme s’il faisait froid, j’avançais vers lui. Son regard fut ma récompense. J’y lu l’envie et cela me redonna mes forces.
Là, maintenant, je voulais un avant-goût. Un an d’attente et j’étais près de lui, une simple tunique sur le corps.
Je me plaqua rapidement contre lui, dos à lui. Il m’embrassa le cou et ses mains descendirent sur mon bassin puis vers mon entre-jambe.
Délicieux, j’en écartais déjà les jambes pour qu’il puisse me caresser. Il joua avec la jupette sans jamais toucher ma peau.
Brulant, je dû prendre une de ses mains et la passer sous la jupe. Le contact délicieux de sa main remontant vers mes bourses et mon sexe.
Le désir était là, puissant. J’étais prêt à tout. Mais il n’en fut rien, il me repoussa en me disant de garder cette fougue pour tout à l’heure.
A 18h les invités arrivèrent. Surpris, nous fûmes 8 au total. Heureusement, un autre des invités enfila la même tenu que moi.
Très vite mon ami nous conduisit dans la cuisine pour le service. Il m’expliqua alors que nous serions à leurs ordres lors du service.
Le cœur battant, je revenais au salon avec mon nouvel « associé », portant l’alcool et les verres. Les six hommes étaient répartis sur 3 fauteuils et le canapé.
Ils discutaient de tout et de rien pendant le service mais quelques mains se posaient négligemment sur nous. Je sursautais quasiment à chaque fois.
Mon ami me prit alors sur ses genoux et me dit juste de regarder.
Je vis alors l’autre jeune homme être attiré vers un fauteuil, sur les genoux d’un invité. Deux autres hommes vinrent rejoindre le couple et commencèrent à s’occuper de lui.
Les mains avides passèrent sur son corps et sa jupe fut vite relevée. J’assistais à cela le cœur battant.
J’entendis à l’oreille : regarde bien, après c’est toi.
Je compris alors toute la chose, j’allais assister à ce qui allait m’arriver. Le feu m’envahit, mon sexe se tendit.
L’un des hommes masturbait le jeune pendant que l’autre lui caressait les cuisses. Celui qui était sous lui continuait de l’embrasser, remontant ses bras vers le haut.
Je le voyais, s’offrir à eux comme j’allais le faire.
Un des invités se redressa et présenta son sexe à la bouche du jeune home qui commença à le sucer doucement, tendrement. Tout d’abord le gland, puis la hampe, de plus en plus profond et goulûment.
J’entendis le bruit de succion.
Puis l’homme entre les cuisses du jeune sorti son sexe, récolta le liquide qui en suintait déjà, y ajouta celui des autres.
Comme s’il avait compris, le jeune s’ouvrit, bascula son bassin et l’autre pu caresser son anus. Lui étalant le liquide poisseux et lubrifiant.
Il répéta cela plusieurs fois puis frotta son gland et sa tige dans cette raie offerte.
Mon ami me demanda alors d’aller tenir la queue afin qu’elle passe bien dans ce cul. Affolé, j’obéis et je pu alors être au première loge lorsque le gland força le passage doucement, lorsque l’anus céda et s’ouvrit.
Peu à peu, le sexe fut engloutit dans ce trou, je reculais légèrement, complètement hypnotisé.
Le jeune homme était là, offert, suçant et se faisant défoncé.
Cela dura une ou deux minutes et l’invité explosa dans le cul. Il se retira et pris la place de celui sur le canapé. Ils échangèrent. Le sexe du nouveau conquérant étant assez gros et il se lubrifia lui aussi avant de refaire la même chose. Je fus obligé de l’accompagner également.
Là encore l’anus céda et le sexe entra complètement. Le jeune homme masturbé, ne put tenir plus longtemps et je dus gober son gland pour attendre son sperme.
A peine posais-je mes lèvres sur sa queue qu’il m’envoya son sperme dans la bouche.
Plein de sperme, je suçais sa queue doucement, ne gênant pas la fin de la sodomie qui ne tarda pas à venir. L’homme se tendit, souffla, accéléra puis s’arrêta.
Il me demanda de venir voir et je pu voir son sexe sortir, laissant un anus dilaté.
Il était là, offert, le cul ouvert, devant ces hommes lubriques. J’allais ressembler à cela. C’était le message.
Je sentis alors que l’on me tirait en arrière, vers un fauteuil où était assis mon ami.
C’était à moi ! à moi !
Ouvert, offert. Je n’osais pas les regarder. Quelle image allais-je donner.
Il ne me laissèrent pas le temps de réfléchir. Je fus envahi par ces mains, caressé, embrassé, masturbé.
L’un d’eux me suça le cul, m’embrassa le trou en relevant mes cuisses.
Une queue se présenta, je l’attrapa puis la suçota, m’appliquant. Puis je goba tout ce que je pus.
Mon cul fut lubrifié et je sentis des doigts me fouiller. Des mains maintenaient mes jambes écartaient. Mon ami me soufflait des mots crus.
Une queue finit par se poser sur ma raie et se frotter.
Puis le gland vint butter sur mon trou, conquérant. On prit ma main pour la posé sur cette queue, de façon à la guider, la tenir pendant qu’elle allait entrer.
Je la sentis pousser, gluante. Puis d’un coup mon anus céda et son sexe m’envahit. Plus de résistance, il était dedans.
Ma main fut plaquée entre son bassin et mes fesses. Cela faisait longtemps que j’en avais envie.
J’avais légèrement arrêté ma pipe mais je la repris de plus belle tandis que l’autre faisait des vas et vient lent mais puissant.
Je me masturbais en même temps, doucement. Me laissant dans l’extase, le sexe douloureux.
Après avoir jouis en moi rapidement, l’homme fut remplacé par un autre et je pu à nouveau sentir mon cul céder. Ce fut plus facile.
Je pris également une giclée dans ma bouche, que j’avala/bava à moitié.
Je me retrouva sans queue à sucer. Mon ami me força à regarder autour.
4 hommes étaient là, l’un d’eux planté dans mon cul. Ils me regardaient, assis sur mon ami, le bassin relevé, en train de me faire enculer.
Ouvert et exhibé, soumis à leurs envies.
L’homme sortit son sexe et montra mon anus. Je ne pouvais le voir mais je me rappelais bien du spectacle.
Honteux, je voulu cacher cela de mes mains mais mes cuisses étaient bien tenues et mon ami m’attrapa doucement mes mains et les releva.
Il me dit que c’était beau, il fallait laisser montrer cela.
L’homme revint doucement puis ce fut flou. Je devins lubrique.
J’avalais les queues par mes deux trous, je me livrais sans retenues à eux.
Je fus autoriser à jouir au dernier à me pénétrer. Ce fut bon. Mon ami me masturbait.
L’homme me sentit jouir lorsque mon anus suivit mes contractions.
Lorsque je sorti du canapé, j’avais les jambes flageolantes. Puis je sentis mes fesses gluantes. J’étais nu au milieu d’eux.
Mon ami n’avait pas pu prendre part à tout cela, étant sous moi. Alors il me demanda de revenir.
Pendant que tout le monde reprenait l’appéritif, je dus me poser sur lui, mes jambes sur les accoudoirs. Face à tout le monde, nu, je pris son sexe et le guida dans mon cul.
Je fus prit là, en plein apéritif, devant tous. Et j’étais rouge de honte au début puis le plaisir venant, je finis par onduler, monter et descendre sur sa queue.
Je me cambrais en avant, mordillant ma lèvre. Parfois les yeux fermés, la bouche ouverte.
Je me permis même quelques petits gémissements (les yeux fermés, pour ne pas les voir). Très vite ma bouche fut remplie par une queue bien raide.
C’était grivois, mon ami n’a pas mis longtemps à venir. Moi non plus.
Je finis également ma pipe en masturbant l’homme et collant son sperme sur ma langue.
J’étais heureux d’avoir pu exciter cet homme.
La fin de l’apéro fut avec une queue dans le cul, jusqu’à ce qu’elle soit trop molle pour tenir.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent. la suite continue agreablement la première partie.