Découverte de soi (3)
Récit érotique écrit par Snorky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Découverte de soi (3)
Connaissez-vous les soirées élection « chaudasse » ?
Je ne connaissais pas non plus. C’est un terme du sud de la France.
Mon ami et finalement mon initiateur me parla de soirées organisées où chaque groupe amenait une « petite cochonne ».
A la fin de la soirée, l’une d’elle était élue chaudasse.
Lui et un de ses amis pensaient m’amener à la prochaine. Il m’envoya les règles :
- Tenue libre
- Chaque partenaire colle un petit sticker rouge ou bleu suivant la prestation
Il m’expliqua un peu comment cela se passait les fois d’avant et cela ressemblait quand même à une orgie.
Autant j’avais aimé l’intimité, autant là cela semblait fou. Puis il me demanda de me décider et je lui répondis oui.
Pendant plus d’un mois je me mis à préparer mes affaires. Il m’avait donner des exemples des fois précédentes.
Au final je ne pû me résoudre à trop exubérant ou dénudé mais une idée me vint
Des collants épais, opaque et une robe courte mais volage. Je ne portais pas des lunettes mais j’en mis des fausses, type secrétaire.
Pas de culotte, je fis un trou à l’entre-jambe.
Mon ami était pressé de me voir ainsi.
Le jour J je le rejoignis dans le sud et malgré mes suppliques ils ne voulurent pas me prendre tout de suite. Ils voulaient me garder frais pour le soir.
Quelques essayages et ils finirent d’ajuster mes affaires. Là encore, rien à faire, je ne pus passer à la casserole.
Nous primes la voiture pour se retrouver dans une fermette dont la grange avait été aménager pour ce genre de réception et de rencontre.
Lorsque je vis la salle, je me rendis vraiment compte de ce que je faisais. Le fantasme est une chose, faire en est une autre.
Il devait y avoir 5 groupes et visiblement 5 cochonnes.
Qu’est-ce que je faisais là ! habillé en femme. Mes mains étaient froides et je fus pris de tremblement. J’avais froid, peur, tout.
Je ne pus que m’accrocher à mon ami et le suivre dans la salle. Nous fûmes bien accueillis et je sentis des yeux me scruter.
La pièce était sombre, pleine de bougie. Une boule de lumière au centre. Il y avait un coin alcool et des matelas, fauteuils au centre puis des chaises autours. Comme une piste de danse.
Je regardais furtivement les autres concurrents dont les tenus étaient assez légères. L’un d’eux avait juste une sorte de cache sexe à bretelles.
Il y eu de la musique et l’on servit à boire. Je bus énormément, j’eu même du mal à tenir mon premier verre à cause des tremblements.
Les autres avaient déjà commencé à chauffer les convives et mon ami me laissa.
J’eu un grand moment de solitude mais heureusement l’alcool faisait son effet. Les cochonnes allaient de groupe en groupe servir et allumer le feu. J’ai tenté la même chose mais je n’y arrivais pas. C’était la première fois, je ne savais pas faire.
Je pris alors une autre tactique, moins provocante mais plus timorée. J’effleurais et m’excusais, exagérais la prude. Déjà les autres avaient entrepris des pipes au centre, je fus également diriger vers un matelas. Mon cœur battait fort, une main sous ma jupe me dirigeais vers le centre. Deux hommes me présentèrent directement leurs queues que je persistais à n’embrasser que du bout des lèvres timidement, juste le gland. Mes mains caressaient tout doucement les bourses. Autour d’autres nous regardaient. La musique était forte maintenant.
A genoux, je sentis une troisième présence derrière moi qui passait ses mains sous ma jupe. Cela m’électrisa. J’en profita pour marquer un faux sursaut et un léger gémissement. Il me passa du gel, s’essuya sur mes fesses et voulut relever ma jupe mais je l’en empêcha doucement, faussement.
Puis je lâchais les queues et le força à se mettre sur les talons. Je me plaça dos à lui et posa mes fesses sur ses genoux. Légèrement relevé, je vins placer sa queue dans ma raie. Puis je me mis à fixer les deux autres, qui se masturbaient doucement.
Lentement, je fis glisser le sexe sur mon trou puis peu à peu je le fis entrer. L’homme voulu accélérer mais je l’arrêta.
Son sexe me perça, mon anus avait cédé. Enfin. Je me sentais mieux. Fini la honte. Je voulais cela. Avoir du plaisir et en donner.
J’ouvris ma bouche et me cambrais, ce qui incita les autres à revenir me tendre leur queue. Cette fois ci je les avala.
Je fus enculé sur le matelas, à genoux la jupe légèrement relevée, suçant et masturbant tour à tour deux queues.
Personne ne s’occupait de moi mais tant pis.
Je sentais l’homme derrière venir taper contre mes fesses.
Lorsqu’il eut finit, je le sentis sortir et je fus mis au sol sur le côté. Une bite me fut proposée à sucer et je fus à nouveau sodomisé mais de côté. Ma jambe relevé sur l’épaule de l’homme. Je me caressa d’une main, toute pudeur abandonnée.
Je fus pris en levrette, sur le dos. J’éjacula deux fois et en retour, j’avalais ou laissais le sperme couler sur moi.
J’étais envahi. J’avais de petits stickers posés sur l’épaule, pour chaque plaisir que j’offrais.
J’eu un moment pour me relever, je sentis mes cuisses poisseuses et mon cul sale. Lorsqu’un autre vint, je fis mine de le repousser, d’en avoir assez mais pas fort. Cela eu un effet sur d’autres qui eurent envie de me « forcer ».
Ce fut alors un jeu, je luttais doucement lorsque six gars me soulevèrent. Ils me portèrent en travers d’un fauteuil. Tenus, mes jambes furent écartées, et l’un d’eux vint me planter sa queue. Je les regardais en gémissant des nons coquins.
Un autre goba ma queue raide.
Je me transforma alors en cochonne, je gémissais, suçais. Puis lorsqu’une queue sortait, j’en demandais une autre. Encore. Encore.
L’un d’eux approcha et me montra une queue large, énorme. Non lui dis-je. Pas toi.
Mais déjà il se dirigeait entre mes fesses. Je fis semblant de bouger mais j’étais « tenu ». Je le supplia de ne pas le faire. Qu’il allait m’ouvrir.
En secret je le voulais, tout de suite.
Il me pénétra, sorti. Puis revint. Cela plusieurs fois. Il montra mon anus à d’autres. Je les suppliais de me cacher, de ne pas regarder.
Puis il me défonça. Je jouis quasi immédiatement et j’eu le droit à des mots crus.
Je leur demanda plus sérieusement de me lâcher. Ils furent surpris et le firent. Le gros sexe s’extirpa. J’allongea l’homme et me mis à califourchon sur lui. Les autres d’abord gênaient comprirent et vinrent m’encourager.
Devant je ne sais combien d’homme, je me faisais baiser.
Je montais et descendais sur sa grosse queue, ses mains bien caller sur mes hanches. Il gémit et éjacula dans mon cul.
Je fus ensuite obliger de passer à quatre patte pour montrer mon anus dilaté, coulant, poisseux et irrité.
Je ne pus accepter plus personne et ne fus pas la chaudasse mais c’était bon et je pense que je m’en étais bien tiré.
Je ne connaissais pas non plus. C’est un terme du sud de la France.
Mon ami et finalement mon initiateur me parla de soirées organisées où chaque groupe amenait une « petite cochonne ».
A la fin de la soirée, l’une d’elle était élue chaudasse.
Lui et un de ses amis pensaient m’amener à la prochaine. Il m’envoya les règles :
- Tenue libre
- Chaque partenaire colle un petit sticker rouge ou bleu suivant la prestation
Il m’expliqua un peu comment cela se passait les fois d’avant et cela ressemblait quand même à une orgie.
Autant j’avais aimé l’intimité, autant là cela semblait fou. Puis il me demanda de me décider et je lui répondis oui.
Pendant plus d’un mois je me mis à préparer mes affaires. Il m’avait donner des exemples des fois précédentes.
Au final je ne pû me résoudre à trop exubérant ou dénudé mais une idée me vint
Des collants épais, opaque et une robe courte mais volage. Je ne portais pas des lunettes mais j’en mis des fausses, type secrétaire.
Pas de culotte, je fis un trou à l’entre-jambe.
Mon ami était pressé de me voir ainsi.
Le jour J je le rejoignis dans le sud et malgré mes suppliques ils ne voulurent pas me prendre tout de suite. Ils voulaient me garder frais pour le soir.
Quelques essayages et ils finirent d’ajuster mes affaires. Là encore, rien à faire, je ne pus passer à la casserole.
Nous primes la voiture pour se retrouver dans une fermette dont la grange avait été aménager pour ce genre de réception et de rencontre.
Lorsque je vis la salle, je me rendis vraiment compte de ce que je faisais. Le fantasme est une chose, faire en est une autre.
Il devait y avoir 5 groupes et visiblement 5 cochonnes.
Qu’est-ce que je faisais là ! habillé en femme. Mes mains étaient froides et je fus pris de tremblement. J’avais froid, peur, tout.
Je ne pus que m’accrocher à mon ami et le suivre dans la salle. Nous fûmes bien accueillis et je sentis des yeux me scruter.
La pièce était sombre, pleine de bougie. Une boule de lumière au centre. Il y avait un coin alcool et des matelas, fauteuils au centre puis des chaises autours. Comme une piste de danse.
Je regardais furtivement les autres concurrents dont les tenus étaient assez légères. L’un d’eux avait juste une sorte de cache sexe à bretelles.
Il y eu de la musique et l’on servit à boire. Je bus énormément, j’eu même du mal à tenir mon premier verre à cause des tremblements.
Les autres avaient déjà commencé à chauffer les convives et mon ami me laissa.
J’eu un grand moment de solitude mais heureusement l’alcool faisait son effet. Les cochonnes allaient de groupe en groupe servir et allumer le feu. J’ai tenté la même chose mais je n’y arrivais pas. C’était la première fois, je ne savais pas faire.
Je pris alors une autre tactique, moins provocante mais plus timorée. J’effleurais et m’excusais, exagérais la prude. Déjà les autres avaient entrepris des pipes au centre, je fus également diriger vers un matelas. Mon cœur battait fort, une main sous ma jupe me dirigeais vers le centre. Deux hommes me présentèrent directement leurs queues que je persistais à n’embrasser que du bout des lèvres timidement, juste le gland. Mes mains caressaient tout doucement les bourses. Autour d’autres nous regardaient. La musique était forte maintenant.
A genoux, je sentis une troisième présence derrière moi qui passait ses mains sous ma jupe. Cela m’électrisa. J’en profita pour marquer un faux sursaut et un léger gémissement. Il me passa du gel, s’essuya sur mes fesses et voulut relever ma jupe mais je l’en empêcha doucement, faussement.
Puis je lâchais les queues et le força à se mettre sur les talons. Je me plaça dos à lui et posa mes fesses sur ses genoux. Légèrement relevé, je vins placer sa queue dans ma raie. Puis je me mis à fixer les deux autres, qui se masturbaient doucement.
Lentement, je fis glisser le sexe sur mon trou puis peu à peu je le fis entrer. L’homme voulu accélérer mais je l’arrêta.
Son sexe me perça, mon anus avait cédé. Enfin. Je me sentais mieux. Fini la honte. Je voulais cela. Avoir du plaisir et en donner.
J’ouvris ma bouche et me cambrais, ce qui incita les autres à revenir me tendre leur queue. Cette fois ci je les avala.
Je fus enculé sur le matelas, à genoux la jupe légèrement relevée, suçant et masturbant tour à tour deux queues.
Personne ne s’occupait de moi mais tant pis.
Je sentais l’homme derrière venir taper contre mes fesses.
Lorsqu’il eut finit, je le sentis sortir et je fus mis au sol sur le côté. Une bite me fut proposée à sucer et je fus à nouveau sodomisé mais de côté. Ma jambe relevé sur l’épaule de l’homme. Je me caressa d’une main, toute pudeur abandonnée.
Je fus pris en levrette, sur le dos. J’éjacula deux fois et en retour, j’avalais ou laissais le sperme couler sur moi.
J’étais envahi. J’avais de petits stickers posés sur l’épaule, pour chaque plaisir que j’offrais.
J’eu un moment pour me relever, je sentis mes cuisses poisseuses et mon cul sale. Lorsqu’un autre vint, je fis mine de le repousser, d’en avoir assez mais pas fort. Cela eu un effet sur d’autres qui eurent envie de me « forcer ».
Ce fut alors un jeu, je luttais doucement lorsque six gars me soulevèrent. Ils me portèrent en travers d’un fauteuil. Tenus, mes jambes furent écartées, et l’un d’eux vint me planter sa queue. Je les regardais en gémissant des nons coquins.
Un autre goba ma queue raide.
Je me transforma alors en cochonne, je gémissais, suçais. Puis lorsqu’une queue sortait, j’en demandais une autre. Encore. Encore.
L’un d’eux approcha et me montra une queue large, énorme. Non lui dis-je. Pas toi.
Mais déjà il se dirigeait entre mes fesses. Je fis semblant de bouger mais j’étais « tenu ». Je le supplia de ne pas le faire. Qu’il allait m’ouvrir.
En secret je le voulais, tout de suite.
Il me pénétra, sorti. Puis revint. Cela plusieurs fois. Il montra mon anus à d’autres. Je les suppliais de me cacher, de ne pas regarder.
Puis il me défonça. Je jouis quasi immédiatement et j’eu le droit à des mots crus.
Je leur demanda plus sérieusement de me lâcher. Ils furent surpris et le firent. Le gros sexe s’extirpa. J’allongea l’homme et me mis à califourchon sur lui. Les autres d’abord gênaient comprirent et vinrent m’encourager.
Devant je ne sais combien d’homme, je me faisais baiser.
Je montais et descendais sur sa grosse queue, ses mains bien caller sur mes hanches. Il gémit et éjacula dans mon cul.
Je fus ensuite obliger de passer à quatre patte pour montrer mon anus dilaté, coulant, poisseux et irrité.
Je ne pus accepter plus personne et ne fus pas la chaudasse mais c’était bon et je pense que je m’en étais bien tiré.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bof pas trop mauvais sans plus.