Découverte des sexe-toys par la belle mature - Renaissance 04
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Découverte des sexe-toys par la belle mature - Renaissance 04
Découverte des sexe-toys par la belle mature - Renaissance 04
Romain, un écrivain, sociologue de trente-quatre ans - homme à femmes - rencontre fortuitement dans un autobus, Victoria, cinquante et quelques.... Une forte femme, bien proportionnée, dotée d’une forte poitrine. Malgré son âge certain, elle a un joli visage, rond, bien fardé, des lèvres pleines et des yeux d'un bleu porcelaine. C'est une femme majestueuse et ses chairs ne sont pas flasques du fait de sa rondeur sans doute. Elle a une belle peau d'un blanc laiteux. Cette femme se laisse séduire par le jeune homme qui la trousse sans vergogne dans son appartement du 6e arrondissement de Paris. Le couple s’adonne à une nuit de réjouissances licencieuses et suggestives. Au réveil, Paul initie Victoria à la sodomie, dans la douleur et le plaisir.
********************************************************************************
Il est presque midi lorsque les deux amants refont surface. Ils s'étaient profondément endormis, terrassés par leurs exploits amoureux. Victoria confuse de sa conduite regarde Romain en coin. Celui-ci se rend compte de sa gêne, l'enlace, puis, tout en la bécotant, lui susurre des paroles rassurantes.
- Vous êtes extraordinaire ma chère Victoria, jamais je n'aurais imaginé les qualités charnelles dont vous avez fait preuve, vous êtes certainement la femme avec qui j'ai eu le plus de plaisir à faire l'amour de toute mon existence. Je n'en reviens pas de vos dispositions. Quel temps perdu, vous vous rendez compte ! J'espère seulement que je ne vous ai pas trop fait souffrir, mais quel cul vous avez ! Rien que d'y penser je rebande déjà, si, si vérifiez.
Victoria, blottie dans les bras de son amant fait descendre sa main le long de son corps et prend la verge dans ses doigts. Celle-ci augmente peu à peu de volume dans sa main, alors, s'enhardissant, elle imprime au sexe un va-et-vient masturbatoire qui la fait encore grossir. Reconnaissante des gentilles paroles de Romain, elle se laisse glisser le long du corps masculin, puis prenant la verge entre ses lèvres, elle titille le gland avec sa langue, cherchant même à l’entrer dans le méat entrouvert. Enfin elle aspire la verge tout en donnant des coups de langue en même temps. Elle triture doucement les bourses pour ne pas lui faire mal, et, curieuse, elle agite un doigt autour de la rosace du cul de l'homme. Celui-ci se tortille de plaisir. Étonnée de le voir prendre du plaisir à cet attouchement effronté, la quinquagénaire dirige son index vers l'accès de l'anus, l'aventurant dans le conduit anal. Romain pousse de petits gémissements, mais ne proteste pas. La verge a pris encore plus d'ampleur dans la bouche de Victoria. Excitée par cette situation, elle suce avec encore plus d'ardeur la verge qu'elle a enfournée dans sa bouche, furetant avec son doigt le postérieur de son amant qui apparemment prend beaucoup de plaisir à la fellation et à l'intromission du doigt qui sonde son anus.
D'un seul coup, sa verge explose au fond de son gosier. Victoria tenant fermement la tige entre ses doigts, déglutit et avale toute la semence projetée au fond de sa gorge. Elle est heureuse de rendre à Romain tout le plaisir qu'il lui a procuré. Le sperme dégouline à présent de ses lèvres alors qu'elle lèche la liqueur poisseuse qui sort du méat qu'elle presse délicieusement avec ses lèvres. Elle y trouve elle aussi son bonheur, découvrant qu'il est agréable de pouvoir jouir du plaisir qu'elle donne à cet instant à son amant.
Deux heures plus tard, après s'être légèrement restauré avec Victoria, Romain se retire. Il lui promet de lui téléphoner et de la revoir bientôt, mais actuellement il a une semaine assez chargée, ne pouvant s’engager dans les jours qui viennent. D'ailleurs il a un rendez-vous avec un journaliste en fin d'après-midi et il faut qu'il passe à son appartement pour se changer et surtout récupérer. Il se sent fourbu, car jamais il n'a fait l'amour avec une cavale de cette sorte. Les jeunes femmes n'ont pas la moitié du tempérament dont a fait preuve cette femme mûre. Il est vrai qu'elle ne fait pas du tout son âge physiquement, car à part ses volumes, elle n'est pas flasque et a très peu de rides, et puis sexuellement elle a tout d'une jeune vierge et a des ardeurs très juvéniles. De surcroît, intellectuellement, elle est très intelligente et a beaucoup de sensibilité artistique. Romain songe qu'il la gardera comme maîtresse le plus longtemps qu'il le pourra, souhaitant même la partager avec des amis.
De son côté, Victoria se retrouve seule et pense à tout ce qui vient de lui arriver depuis à peine vingt-quatre heures. Elle réalise qu'elle est amoureuse de ce garçon, comment faire autrement après ce qu'il lui a fait découvrir. Mais, réalise-t-elle, c'est sans espoir, la différence d'âge est trop grande. Il est vrai que leur entente physique est incroyable, il a indéniablement pris beaucoup de plaisir, elle l'a bien vu encore dernièrement, lorsqu’elle l'a masturbé avec ses doigts, ses lèvres et sa langue, il a laissé éclater sa jouissance devant elle sans se retenir.
Quant à elle, elle n'en revient encore pas. Après tout ce qu'il lui a fait subir en si peu de temps, elle ne peut se cacher qu'elle a aimé ces ébats aussi inqualifiables que délectables, même, ou peut être à cause de la souffrance qu'elle a subie avec un certain alanguissement. Serait-elle masochiste ? Non ! Le bonheur d'être caressée, léchée et pénétrée dans son vagin a été certainement le plus fort. Malgré la douleur ressentie, elle est certaine que la sodomisation qu'elle redoutait tant va lui procurer une autre jouissance, plus diffuse sans doute, mais très perverse. Et puis ces petites tortures qu'elle a endurées, cette fessée, ces morsures sur les seins et dans le cou, la violence avec laquelle il s'est introduit dans son derrière, tout cela lui donne encore maintenant les frissons d'une intense volupté.
Elle serre les cuisses, ressentant une douce chaleur envahir son ventre de femme. Comme elle est étendue dans la baignoire où elle a fait couler un bain assez chaud avec des sels parfumés, sa main se dirige vers son intimité où elle se frotte l'entrejambe avec une savonnette. Avec un brin de perversité, elle la fait glisser sur le capuchon du clitoris, ce qui la fait frissonner, puis, écartant les grandes lèvres de l’autre main, elle la fait pénétrer à l'intérieur de la vulve, la poussant le plus loin possible. Elle a un bref orgasme, mais elle veut encore jouir, aussi, retirant la savonnette, elle introduit une bouteille ronde en plastique contenant du shampooing qu'elle fait aller et venir pour retrouver les sensations de la verge qui lui a donné tant de plaisir. Elle pistonne ainsi longuement la chatte jusqu'à l'épuisement complet de ses sens.
Vers la fin de l'après-midi, Victoria téléphone à sa meilleure amie Maty, qui en fait, s'appelle Martine. C'est une jolie femme de quarante-quatre ans, elle est petite mais bien faite, un peu ronde, les cheveux blond roux et la peau naturellement brune et mate avec des yeux bleu-vert magnifiques, ses seins bien ronds ne sont que rarement supportés par un soutien-gorge. Elle est représentante à son compte pour de grandes marques de parfum et elle voyage beaucoup. Mariée à un homme de quarante-huit ans qui se prénomme Hubert, elle a une vie très libre ce qui lui permet de raconter souvent à Victoria quelques aventures vécues lors de ses nombreux voyages. Celle-ci d'ailleurs, soupçonne son amie d'avoir participé avec son mari à des parties fines. Les deux amies décident de se retrouver le lendemain pour déjeuner dans un restaurant près des Champs Elysée.
Le jour suivant Victoria achève de se préparer pour déjeuner avec son amie. Elle a choisi de porter une robe bleue en crêpe assez décolletée, permettant ainsi à ses seins plantureux d'être mis en valeur. Sa silhouette n'est pas désagréable à regarder malgré ses rondeurs. Ses jambes gainées de nylon sont très appétissantes sous la jupe en corolle qui lui arrive juste un peu au-dessous du genou. Elle retrouve Maty au restaurant où, après avoir choisi leur menu, elles se font leurs confidences habituelles.
Cette fois, Victoria a beaucoup de choses à raconter à son amie. Après l'apéritif et quelques verres de vin, elle ne peut cacher son aventure de la veille et de l'avant-veille. D'abord pudique, elle parle de la rencontre de Romain et de leur aventure amoureuse sans trop de précision, puis devant l'insistance de Maty, elle se laisse aller à plus de confidences et, toute rougissante, elle confie tout ce qu'elle a découvert : les caresses linguales de son intimité, sa surprise d'avoir pu avaler le sperme de son partenaire et après quelques réticences, elle confesse surtout son plaisir de s'être fait sodomiser. Maty n'en revient pas d'apprendre que son amie, si pudique et qui n'a plus fait l'amour depuis si longtemps, ait eu sur le tard la révélation de sa sexualité. Elle en est très heureuse pour elle et elle la félicite.
Toute rougissante, Victoria lui confie également, que se retrouvant dans sa baignoire, elle n'a pu s'empêcher de se masturber, d'abord avec une savonnette, ensuite avec une bouteille de shampooing qu'elle s'est introduite dans le vagin. Confuse, elle demande à Maty dont elle connaît les exploits amoureux, si elle ne pourrait pas lui acheter un vibromasseur dans un sex-shop, car elle n'ose pas aller dans cet endroit. Maty, tout en riant, lui annonce que son mari Hubert lui en rapporte de tous les coins du monde lorsqu'il voyage et qu'elle en possède une bonne cinquantaine chez elle. Aussi elle propose à Victoria de lui en faire choisir un ou deux en passant à son domicile après le repas.
Les deux femmes s’en vont bras dessus, bras dessous, en remontant les Champs Elysée pour rejoindre le domicile de Maty qui se trouve en haut de l'avenue Marceau. Les deux amies une fois arrivées s'installent dans le salon et Maty rapporte à Victoria trois boites formant écrin, contenant un grand nombre d'olisbos. Il y en a en plastique dur ou souple, en bois, en ivoire et même un qui est recouvert de peau de serpent. Ils sont de formes et de grosseurs différentes, les uns avec des moteurs vibrants, les autres sans. Maty explique que certains plus petits sont destinés à la pénétration anale, il y en a aussi avec deux fausses verges accolées, une grosse et une beaucoup plus petite destinée à la double pénétration.
Victoria est un peu surprise de voir tous ces objets destinés à satisfaire « la femme ». Maty gouailleuse, lui propose d'en essayer un. Victoria se récuse avec effroi. Alors son amie, excitée par les confidences de Victoria et par leur conversation érotique, choisit un godemiché très réaliste couleur chair en caoutchouc souple. Puis, s'asseyant sur le canapé, elle retrousse sa robe sans façon devant Victoria ahurie qui découvre à cette occasion que son amie ne porte pas de culotte et que de surcroît, elle est entièrement épilée. Maty, se saisit du gode, actionne la molette mettant en marche le moteur électrique, puis écartant les cuisses, elle se l'applique sur le pubis, le descend vers le clitoris en entrouvrant les grandes lèvres avec son autre main. Enfin, elle introduit l'engin au plus profond de la matrice, et l'agite en le faisant aller et venir, d'abord lentement, puis de plus en plus vite. Bientôt, elle pousse des gémissements de plaisir qui se terminent en une longue clameur voluptueuse.
Victoria a assisté à toute cette scène avec une certaine curiosité, mêlée d’une vive excitation, elle sent les pointes de ses seins durcir et une douce tiédeur envahir son entrejambe. À ce moment, Maty vient s'asseoir à côté d'elle en tenant le godemiché et susurre à l'oreille de son amie.
- Chérie tu veux l'essayer, cela fait beaucoup de bien tu sais !
Tout en lui disant cela, elle remonte la robe son amie et glisse la main tenant le gode entre les cuisses qui tressaillent et s'entrouvrent. Victoria abasourdie se laisse faire n'osant protester. Maty, profitant de sa faiblesse, écarte la large culotte en satin, puis elle frotte doucement le vibromasseur sur le sexe qui déjà s'imbibe des sécrétions vaginales de la quinquagénaire. Victoria électrisée, proteste qu'elle ne veut pas, tout en écartant un peu plus les cuisses à l'entreprise de cette amie diabolique. Maty, après avoir promené lentement l'engin sur le clitoris enflammé, le fait pénétrer alors très doucement dans la vulve qui mouille abondamment.
Victoria se laisse faire maintenant avec joie tout en suppliant son amie de continuer tant sa jouissance est intense. Celle-ci manipule la verge artificielle avec vigueur dans le vagin, puis se souvenant des confidences qu'elle a reçues au restaurant, elle introduit un doigt dans l'anus qui vient d’être défloré, il y a peu. Victoria a un brusque sursaut de défense, mais, vaincue par le plaisir que lui donne son amie, elle laisse le doigt la fouiller au plus profond de son postérieur, pendant que les vibrations de la verge artificielle excitent toutes les parois de son vagin. Soudain, ne pouvant plus se retenir, elle brame sa jubilation et sa délectation à se faire si bien masturber.
Maty en profite pour l'embrasser à pleine bouche. Victoria d'abord surprise, n'a pas le temps d'avoir honte, elle répond sans réfléchir, entortillant sa langue dans celle de sa compagne. Les deux amies sont maintenant enlacées, se caressant à travers leurs vêtements. Leurs sens émoustillés par ce qu'elles osent faire leur font oublier toute décence, aussi elles se dévêtent rapidement se retrouvant instantanément toutes deux nues, et elles se laissent emporter par leur jouissance respective se triturant les seins, les cuisses et leurs sexes qu'elles empoignent à pleines mains. Elles poussent des gloussements de joie et jouissent dans le moment même de leurs sens de plus en plus exacerbés.
Maty se lève rapidement et va chercher le double godemiché dans l'écrin. C'est un objet en latex d'une cinquantaine de centimètres avec un gland très réaliste à chaque bout. Elle s'introduit un côté dans la chatte et se met à califourchon sur Victoria qui ne s'est rendu compte de rien. Maty introduit rapidement l'autre extrémité du gode dans la vulve de son amie et s'étend sur celle-ci.
Victoria est surprise de l'introduction de ce qui lui semble être un pénis dans son sexe, mais Maty ne lui laisse pas le temps de réaliser. Elle pousse son ventre en avant, le gode bien calé au fond de son pertuis, appuyant avec le pubis sur celui qui se trouve en face d'elle, puis elle fait pénétrer l'autre extrémité au plus profond de la matrice de Victoria. Celle-ci réagit aussitôt en s'animant, aussi, et sous peu, les deux femmes poussant à qui mieux mieux l'une dans l'autre, se font l'amour comme un couple hétéro. Victoria est ahurie, la queue artificielle qu'elle a dans la vulve la pénètre comme la verge d'un homme, alors qu'elle a l'impression d'avoir elle même un sexe mâle avec lequel elle fouille sa partenaire. Les deux bacchantes sont déchaînées, laissant leurs sens si longtemps contenus se débrider et s'affranchir de toute convenance, elles se font l'amour avec délectation, jusqu'à ce que, épuisées, les deux cavales s'écroulent enchevêtrées et ivres de jouissance.
Après un temps de récupération, Victoria et Maty se refont « une beauté » dans la salle de bains. Victoria, un peu honteuse tout de même, avoue à son amie qu'elle a pris beaucoup de plaisir à cette séance. Maty lui dit qu'elle en avait envie depuis longtemps car elle aime les femmes autant que les hommes. Puis, curieuse de connaître Romain, elle invite son amie à un dîner chez elle avec son mari tout en suggérant à Victoria d'amener son amant. Celle-ci ne lui promet rien, mais l'assure qu'elle essaiera, ne sachant si elle reverra cet homme qui l'a si bien comblée.
À suivre…
Romain, un écrivain, sociologue de trente-quatre ans - homme à femmes - rencontre fortuitement dans un autobus, Victoria, cinquante et quelques.... Une forte femme, bien proportionnée, dotée d’une forte poitrine. Malgré son âge certain, elle a un joli visage, rond, bien fardé, des lèvres pleines et des yeux d'un bleu porcelaine. C'est une femme majestueuse et ses chairs ne sont pas flasques du fait de sa rondeur sans doute. Elle a une belle peau d'un blanc laiteux. Cette femme se laisse séduire par le jeune homme qui la trousse sans vergogne dans son appartement du 6e arrondissement de Paris. Le couple s’adonne à une nuit de réjouissances licencieuses et suggestives. Au réveil, Paul initie Victoria à la sodomie, dans la douleur et le plaisir.
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Il est presque midi lorsque les deux amants refont surface. Ils s'étaient profondément endormis, terrassés par leurs exploits amoureux. Victoria confuse de sa conduite regarde Romain en coin. Celui-ci se rend compte de sa gêne, l'enlace, puis, tout en la bécotant, lui susurre des paroles rassurantes.
- Vous êtes extraordinaire ma chère Victoria, jamais je n'aurais imaginé les qualités charnelles dont vous avez fait preuve, vous êtes certainement la femme avec qui j'ai eu le plus de plaisir à faire l'amour de toute mon existence. Je n'en reviens pas de vos dispositions. Quel temps perdu, vous vous rendez compte ! J'espère seulement que je ne vous ai pas trop fait souffrir, mais quel cul vous avez ! Rien que d'y penser je rebande déjà, si, si vérifiez.
Victoria, blottie dans les bras de son amant fait descendre sa main le long de son corps et prend la verge dans ses doigts. Celle-ci augmente peu à peu de volume dans sa main, alors, s'enhardissant, elle imprime au sexe un va-et-vient masturbatoire qui la fait encore grossir. Reconnaissante des gentilles paroles de Romain, elle se laisse glisser le long du corps masculin, puis prenant la verge entre ses lèvres, elle titille le gland avec sa langue, cherchant même à l’entrer dans le méat entrouvert. Enfin elle aspire la verge tout en donnant des coups de langue en même temps. Elle triture doucement les bourses pour ne pas lui faire mal, et, curieuse, elle agite un doigt autour de la rosace du cul de l'homme. Celui-ci se tortille de plaisir. Étonnée de le voir prendre du plaisir à cet attouchement effronté, la quinquagénaire dirige son index vers l'accès de l'anus, l'aventurant dans le conduit anal. Romain pousse de petits gémissements, mais ne proteste pas. La verge a pris encore plus d'ampleur dans la bouche de Victoria. Excitée par cette situation, elle suce avec encore plus d'ardeur la verge qu'elle a enfournée dans sa bouche, furetant avec son doigt le postérieur de son amant qui apparemment prend beaucoup de plaisir à la fellation et à l'intromission du doigt qui sonde son anus.
D'un seul coup, sa verge explose au fond de son gosier. Victoria tenant fermement la tige entre ses doigts, déglutit et avale toute la semence projetée au fond de sa gorge. Elle est heureuse de rendre à Romain tout le plaisir qu'il lui a procuré. Le sperme dégouline à présent de ses lèvres alors qu'elle lèche la liqueur poisseuse qui sort du méat qu'elle presse délicieusement avec ses lèvres. Elle y trouve elle aussi son bonheur, découvrant qu'il est agréable de pouvoir jouir du plaisir qu'elle donne à cet instant à son amant.
Deux heures plus tard, après s'être légèrement restauré avec Victoria, Romain se retire. Il lui promet de lui téléphoner et de la revoir bientôt, mais actuellement il a une semaine assez chargée, ne pouvant s’engager dans les jours qui viennent. D'ailleurs il a un rendez-vous avec un journaliste en fin d'après-midi et il faut qu'il passe à son appartement pour se changer et surtout récupérer. Il se sent fourbu, car jamais il n'a fait l'amour avec une cavale de cette sorte. Les jeunes femmes n'ont pas la moitié du tempérament dont a fait preuve cette femme mûre. Il est vrai qu'elle ne fait pas du tout son âge physiquement, car à part ses volumes, elle n'est pas flasque et a très peu de rides, et puis sexuellement elle a tout d'une jeune vierge et a des ardeurs très juvéniles. De surcroît, intellectuellement, elle est très intelligente et a beaucoup de sensibilité artistique. Romain songe qu'il la gardera comme maîtresse le plus longtemps qu'il le pourra, souhaitant même la partager avec des amis.
De son côté, Victoria se retrouve seule et pense à tout ce qui vient de lui arriver depuis à peine vingt-quatre heures. Elle réalise qu'elle est amoureuse de ce garçon, comment faire autrement après ce qu'il lui a fait découvrir. Mais, réalise-t-elle, c'est sans espoir, la différence d'âge est trop grande. Il est vrai que leur entente physique est incroyable, il a indéniablement pris beaucoup de plaisir, elle l'a bien vu encore dernièrement, lorsqu’elle l'a masturbé avec ses doigts, ses lèvres et sa langue, il a laissé éclater sa jouissance devant elle sans se retenir.
Quant à elle, elle n'en revient encore pas. Après tout ce qu'il lui a fait subir en si peu de temps, elle ne peut se cacher qu'elle a aimé ces ébats aussi inqualifiables que délectables, même, ou peut être à cause de la souffrance qu'elle a subie avec un certain alanguissement. Serait-elle masochiste ? Non ! Le bonheur d'être caressée, léchée et pénétrée dans son vagin a été certainement le plus fort. Malgré la douleur ressentie, elle est certaine que la sodomisation qu'elle redoutait tant va lui procurer une autre jouissance, plus diffuse sans doute, mais très perverse. Et puis ces petites tortures qu'elle a endurées, cette fessée, ces morsures sur les seins et dans le cou, la violence avec laquelle il s'est introduit dans son derrière, tout cela lui donne encore maintenant les frissons d'une intense volupté.
Elle serre les cuisses, ressentant une douce chaleur envahir son ventre de femme. Comme elle est étendue dans la baignoire où elle a fait couler un bain assez chaud avec des sels parfumés, sa main se dirige vers son intimité où elle se frotte l'entrejambe avec une savonnette. Avec un brin de perversité, elle la fait glisser sur le capuchon du clitoris, ce qui la fait frissonner, puis, écartant les grandes lèvres de l’autre main, elle la fait pénétrer à l'intérieur de la vulve, la poussant le plus loin possible. Elle a un bref orgasme, mais elle veut encore jouir, aussi, retirant la savonnette, elle introduit une bouteille ronde en plastique contenant du shampooing qu'elle fait aller et venir pour retrouver les sensations de la verge qui lui a donné tant de plaisir. Elle pistonne ainsi longuement la chatte jusqu'à l'épuisement complet de ses sens.
Vers la fin de l'après-midi, Victoria téléphone à sa meilleure amie Maty, qui en fait, s'appelle Martine. C'est une jolie femme de quarante-quatre ans, elle est petite mais bien faite, un peu ronde, les cheveux blond roux et la peau naturellement brune et mate avec des yeux bleu-vert magnifiques, ses seins bien ronds ne sont que rarement supportés par un soutien-gorge. Elle est représentante à son compte pour de grandes marques de parfum et elle voyage beaucoup. Mariée à un homme de quarante-huit ans qui se prénomme Hubert, elle a une vie très libre ce qui lui permet de raconter souvent à Victoria quelques aventures vécues lors de ses nombreux voyages. Celle-ci d'ailleurs, soupçonne son amie d'avoir participé avec son mari à des parties fines. Les deux amies décident de se retrouver le lendemain pour déjeuner dans un restaurant près des Champs Elysée.
Le jour suivant Victoria achève de se préparer pour déjeuner avec son amie. Elle a choisi de porter une robe bleue en crêpe assez décolletée, permettant ainsi à ses seins plantureux d'être mis en valeur. Sa silhouette n'est pas désagréable à regarder malgré ses rondeurs. Ses jambes gainées de nylon sont très appétissantes sous la jupe en corolle qui lui arrive juste un peu au-dessous du genou. Elle retrouve Maty au restaurant où, après avoir choisi leur menu, elles se font leurs confidences habituelles.
Cette fois, Victoria a beaucoup de choses à raconter à son amie. Après l'apéritif et quelques verres de vin, elle ne peut cacher son aventure de la veille et de l'avant-veille. D'abord pudique, elle parle de la rencontre de Romain et de leur aventure amoureuse sans trop de précision, puis devant l'insistance de Maty, elle se laisse aller à plus de confidences et, toute rougissante, elle confie tout ce qu'elle a découvert : les caresses linguales de son intimité, sa surprise d'avoir pu avaler le sperme de son partenaire et après quelques réticences, elle confesse surtout son plaisir de s'être fait sodomiser. Maty n'en revient pas d'apprendre que son amie, si pudique et qui n'a plus fait l'amour depuis si longtemps, ait eu sur le tard la révélation de sa sexualité. Elle en est très heureuse pour elle et elle la félicite.
Toute rougissante, Victoria lui confie également, que se retrouvant dans sa baignoire, elle n'a pu s'empêcher de se masturber, d'abord avec une savonnette, ensuite avec une bouteille de shampooing qu'elle s'est introduite dans le vagin. Confuse, elle demande à Maty dont elle connaît les exploits amoureux, si elle ne pourrait pas lui acheter un vibromasseur dans un sex-shop, car elle n'ose pas aller dans cet endroit. Maty, tout en riant, lui annonce que son mari Hubert lui en rapporte de tous les coins du monde lorsqu'il voyage et qu'elle en possède une bonne cinquantaine chez elle. Aussi elle propose à Victoria de lui en faire choisir un ou deux en passant à son domicile après le repas.
Les deux femmes s’en vont bras dessus, bras dessous, en remontant les Champs Elysée pour rejoindre le domicile de Maty qui se trouve en haut de l'avenue Marceau. Les deux amies une fois arrivées s'installent dans le salon et Maty rapporte à Victoria trois boites formant écrin, contenant un grand nombre d'olisbos. Il y en a en plastique dur ou souple, en bois, en ivoire et même un qui est recouvert de peau de serpent. Ils sont de formes et de grosseurs différentes, les uns avec des moteurs vibrants, les autres sans. Maty explique que certains plus petits sont destinés à la pénétration anale, il y en a aussi avec deux fausses verges accolées, une grosse et une beaucoup plus petite destinée à la double pénétration.
Victoria est un peu surprise de voir tous ces objets destinés à satisfaire « la femme ». Maty gouailleuse, lui propose d'en essayer un. Victoria se récuse avec effroi. Alors son amie, excitée par les confidences de Victoria et par leur conversation érotique, choisit un godemiché très réaliste couleur chair en caoutchouc souple. Puis, s'asseyant sur le canapé, elle retrousse sa robe sans façon devant Victoria ahurie qui découvre à cette occasion que son amie ne porte pas de culotte et que de surcroît, elle est entièrement épilée. Maty, se saisit du gode, actionne la molette mettant en marche le moteur électrique, puis écartant les cuisses, elle se l'applique sur le pubis, le descend vers le clitoris en entrouvrant les grandes lèvres avec son autre main. Enfin, elle introduit l'engin au plus profond de la matrice, et l'agite en le faisant aller et venir, d'abord lentement, puis de plus en plus vite. Bientôt, elle pousse des gémissements de plaisir qui se terminent en une longue clameur voluptueuse.
Victoria a assisté à toute cette scène avec une certaine curiosité, mêlée d’une vive excitation, elle sent les pointes de ses seins durcir et une douce tiédeur envahir son entrejambe. À ce moment, Maty vient s'asseoir à côté d'elle en tenant le godemiché et susurre à l'oreille de son amie.
- Chérie tu veux l'essayer, cela fait beaucoup de bien tu sais !
Tout en lui disant cela, elle remonte la robe son amie et glisse la main tenant le gode entre les cuisses qui tressaillent et s'entrouvrent. Victoria abasourdie se laisse faire n'osant protester. Maty, profitant de sa faiblesse, écarte la large culotte en satin, puis elle frotte doucement le vibromasseur sur le sexe qui déjà s'imbibe des sécrétions vaginales de la quinquagénaire. Victoria électrisée, proteste qu'elle ne veut pas, tout en écartant un peu plus les cuisses à l'entreprise de cette amie diabolique. Maty, après avoir promené lentement l'engin sur le clitoris enflammé, le fait pénétrer alors très doucement dans la vulve qui mouille abondamment.
Victoria se laisse faire maintenant avec joie tout en suppliant son amie de continuer tant sa jouissance est intense. Celle-ci manipule la verge artificielle avec vigueur dans le vagin, puis se souvenant des confidences qu'elle a reçues au restaurant, elle introduit un doigt dans l'anus qui vient d’être défloré, il y a peu. Victoria a un brusque sursaut de défense, mais, vaincue par le plaisir que lui donne son amie, elle laisse le doigt la fouiller au plus profond de son postérieur, pendant que les vibrations de la verge artificielle excitent toutes les parois de son vagin. Soudain, ne pouvant plus se retenir, elle brame sa jubilation et sa délectation à se faire si bien masturber.
Maty en profite pour l'embrasser à pleine bouche. Victoria d'abord surprise, n'a pas le temps d'avoir honte, elle répond sans réfléchir, entortillant sa langue dans celle de sa compagne. Les deux amies sont maintenant enlacées, se caressant à travers leurs vêtements. Leurs sens émoustillés par ce qu'elles osent faire leur font oublier toute décence, aussi elles se dévêtent rapidement se retrouvant instantanément toutes deux nues, et elles se laissent emporter par leur jouissance respective se triturant les seins, les cuisses et leurs sexes qu'elles empoignent à pleines mains. Elles poussent des gloussements de joie et jouissent dans le moment même de leurs sens de plus en plus exacerbés.
Maty se lève rapidement et va chercher le double godemiché dans l'écrin. C'est un objet en latex d'une cinquantaine de centimètres avec un gland très réaliste à chaque bout. Elle s'introduit un côté dans la chatte et se met à califourchon sur Victoria qui ne s'est rendu compte de rien. Maty introduit rapidement l'autre extrémité du gode dans la vulve de son amie et s'étend sur celle-ci.
Victoria est surprise de l'introduction de ce qui lui semble être un pénis dans son sexe, mais Maty ne lui laisse pas le temps de réaliser. Elle pousse son ventre en avant, le gode bien calé au fond de son pertuis, appuyant avec le pubis sur celui qui se trouve en face d'elle, puis elle fait pénétrer l'autre extrémité au plus profond de la matrice de Victoria. Celle-ci réagit aussitôt en s'animant, aussi, et sous peu, les deux femmes poussant à qui mieux mieux l'une dans l'autre, se font l'amour comme un couple hétéro. Victoria est ahurie, la queue artificielle qu'elle a dans la vulve la pénètre comme la verge d'un homme, alors qu'elle a l'impression d'avoir elle même un sexe mâle avec lequel elle fouille sa partenaire. Les deux bacchantes sont déchaînées, laissant leurs sens si longtemps contenus se débrider et s'affranchir de toute convenance, elles se font l'amour avec délectation, jusqu'à ce que, épuisées, les deux cavales s'écroulent enchevêtrées et ivres de jouissance.
Après un temps de récupération, Victoria et Maty se refont « une beauté » dans la salle de bains. Victoria, un peu honteuse tout de même, avoue à son amie qu'elle a pris beaucoup de plaisir à cette séance. Maty lui dit qu'elle en avait envie depuis longtemps car elle aime les femmes autant que les hommes. Puis, curieuse de connaître Romain, elle invite son amie à un dîner chez elle avec son mari tout en suggérant à Victoria d'amener son amant. Celle-ci ne lui promet rien, mais l'assure qu'elle essaiera, ne sachant si elle reverra cet homme qui l'a si bien comblée.
À suivre…
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