Découvertes 01 - L'initiation
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2013 dans la catégorie Pour la première fois
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Découvertes 01 - L'initiation
DÉCOUVERTES I
L’INITIATION
En cette fin de mois de janvier, Paris est enfoui sous la neige ce qui est très rare de nos jours. Malgré tout, un rayon de soleil essaie de percer le plafond qui est bas, mais la ville est triste, comme tous les dimanches d’hiver.
Paul, qui vient de fêter ses cinquante-deux ans, est un critique d'art indépendant qui s'ennuie dans son vaste appartement du seizième arrondissement de Paris. Il n'a pas trop le moral car sa libido est au plus bas. Il pense avoir des problèmes de prostate dus à son âge, car il a de plus en plus de mal à assurer ses devoirs conjugaux. Jusqu'ici d'ailleurs, la baise n’a jamais été « un devoir », car il est plutôt porté sur la chose, mais depuis quelque temps, il ne bande plus et il gamberge...
Marie-Ange son épouse, va bientôt avoir quarante-huit ans, Paul devine que sa sensualité réclame des preuves physiques et concrètes. Elle assure bien son mari de son amour indéfectible, mais il pressent qu'elle voudra un jour prendre un amant. Ses masturbations solitaires qu'il peut observer lorsqu'elle croit qu'il est endormi ne lui suffiront bientôt plus. Sur le principe, il ne serait pas contre, mais s'il y a adultère, il préférerait y participer, même et surtout comme voyeur.
Comment faire, et surtout comment en parler à Marie-Ange sans trop la choquer ? Il a fallu qu'une émission de télévision, aborde ce thème sensible et comporte un débat sur les hommes vieillissants et qui n'assurent plus, pour lui donner le prétexte d’évoquer ce sujet scabreux avec sa femme. Alors que le débat télévisé vient de se terminer, Paul se décide à engager la conversation.
- C'est drôle, c'est exactement notre cas, je ne peux plus et toi tu as tout de même des envies.
- Mon chéri, tu sais bien que je t'aime et que cela n'a pas d'importance.
- Tout de même, si tu dois prendre un jour un amant, je préférerais te le choisir et même ne pas te quitter quand tu feras l'amour avec lui.
- Tu es complètement fou, tu crois que j'accepterais, tu veux te débarrasser de moi en me jetant dans les bras d'un autre. Paul je t'aime et je ne veux pas te tromper ni te perdre !
- Crois-moi mon amour, un jour cela arrivera et je préfère que nous en parlions avant afin d’éviter de risquer une séparation. Rien ne presse, réfléchis et nous en reparlerons plus tard.
Les deux époux, toujours amoureux, s'enlacent et s'embrassent, Paul lui caresse ses épaules alors que Marie-Ange ouvrant la fermeture de son pantalon, flatte habilement le sexe de son homme mais sans provoquer une seule réaction de la verge trop flasque. Paul est embarrassé de ne pouvoir répondre au désir de son épouse, mais il n’y peut rien, car il n'arrive toujours pas à bander. Le couple se lance alors dans une grande discussion à mi-voix, essayant de se rassurer sur leur amour mutuel qui dure depuis presque trente et un ans.
Plusieurs mois se passent et ils reparlent de leur problème de temps à autre. Paul rêve d’une relation à trois et il commence à faire partager ses vues à son épouse. Bien qu'elle s'en défende, elle aussi fantasme quelque peu, et, dans le feu de leurs nombreuses conversations érotiques, elle accepte un jour l’idée de faire l'amour avec un autre homme que son époux, mais en posant des conditions. Elle ne veut pas voir l'homme, il faut que Paul le choisisse tout seul. Elle veut bien faire l'amour avec un inconnu, mais une seule fois. Elle ne veut plus jamais le revoir et ne veut même pas connaître son nom. Surtout, elle souhaite que cela ne devienne pas une habitude.
Paul lui assure que tout se passera bien, il lui bandera les yeux, et même, il fera semblant de lui attacher les mains, comme cela il pourra même faire croire à l'étalon choisi par lui qu'elle n'est pas consentante.
Paul est maintenant très excité à l'idée de voir Marie-Ange se faire baiser devant lui par un inconnu. Comme il a beaucoup de relations dans différents milieux, il spécule qu'il ne lui sera pas difficile de choisir un homme qui la contentera, et, qui sait, de voir sa femme se faire prendre et jouir, cela pourra peut-être le stimuler et lui redonner de la vigueur. Quelques jours, après l'acceptation de Marie-Ange, il rencontre un jeune Canadien Français, d’environ trente-cinq ans, qui vit à Bogota en Colombie. Il est de passage à Paris pour affaires et ne reviendra pas en France avant plusieurs années repartant sous une huitaine de jours. Ce faisant, pense Paul, il ne risque donc pas de le rencontrer chez des amis communs, avant très longtemps, sinon jamais.
Étant seuls tous les deux dans un bar, il lui expose son cas et celui de son épouse. Il vante le sex-appeal de sa femme, qui, bien qu'étant en pleine maturité a beaucoup de charme. Elle possède, dit-il à son voisin, un corps très séduisant, de jolies jambes et des yeux magnifiques. Et puis, elle n'a jamais fait l'amour avec d'autres hommes à la connaissance de Paul, et pour celui qui la prendra, ce sera comme pour une première fois. Ce Canadien Français du bout du monde se sent émoustillé par le fait de pouvoir faire l'amour à une honnête bourgeoise tout juste consentante. De plus, c’est avec l'assentiment de son époux qu’il pourra baiser sa femme, aussi il accepte avec empressement. Il a une seule condition pour conclure. Cette conversation ayant lieu un mercredi, il faut que ce soit le vendredi soir au plus tard, car il prend l'avion pour la Colombie le samedi à douze heures. Cela arrange Paul, car de cette façon, aucune occasion de le rencontrer par la suite n'est envisageable. Il songe qu’il lui faut maintenant préparer soigneusement son épouse aussi bien physiquement que psychologiquement.
De retour chez lui il annonce à Marie-Ange que le rendez-vous est prit avec l'homme pour le vendredi soir, c'est-à-dire après-demain. Marie-Ange a soudainement une bouffée de chaleur, elle devient toute rouge et sent ses jambes se dérober sous elle. Elle pensait que ce serait plus tard, elle ne se sent pas prête dit-elle à son mari. Paul lui explique que ce garçon part le lendemain très loin, et qu'ils n'ont aucune chance de le revoir, c'est une chance unique. Après beaucoup de réticences, elle accepte de tenter cette expérience, à peine convaincue par les nombreux arguments et raisonnements subtils de son mari.
Enfin le vendredi inéluctable arrive. Marie-Ange est de plus en plus angoissée. Vers la fin de l'après-midi, elle demande même à Paul d'annuler le rendez-vous. Il faut à celui-ci faire preuve d’une dialectique incontournable pour la décider à ne pas renoncer à cette rencontre unique. Le mélange d'un tranquillisant et de plusieurs verres de porto est même nécessaire pour atténuer le stress de son épouse.
Paul songe qu’il est à présent grand temps de préparer Marie-Ange. Celle-ci qui a une toison pubienne assez fournie se rase de temps en temps autour de ses aisselles et même dans les replis de l’aine et sur son pubis. Paul le lui fait assez souvent avec plus de précision et c'est souvent là l'occasion de débats érotiques. Cette fois-ci, il veut que le tour de sa vulve soit comme celui d'une petite fille, complètement imberbe. Marie-Ange, résignée à l'acte qu'elle appréhende, prépare malgré tout deux grandes serviettes-éponges qu'elle étend sur une grande table basse dans la bibliothèque. Elle se déshabille ensuite complètement, puis elle s'allonge sur les linges qu'elle a préparés en plaçant sa tête sur un coussin, enfin elle ouvre ses jambes, disposant ses cuisses bien à plat sur la table devant son mari qui attend tranquillement que sa femme soit enfin prête.
Dans un premier temps, Paul, s'aidant d'une grande paire de ciseaux, taille habilement, l'épaisse fourrure brune de Marie-Ange. Elle tressaute quelque peu lorsque le froid de la lame effleure la chair tendre de son entrecuisse, et frissonne aussi de la peur qui se mélange à son excitation car elle sent sa mouille envahir son vagin. Paul repose les ciseaux, puis il prépare de la mousse à raser dans un bol d'eau chaude. Il lui savonne l'entrecuisse tout autour de la vulve et badigeonne son mont de vénus. Ensuite, avec un rasoir à main, tout en tendant bien la peau, il lui rase délicatement les poils superflus qui ont échappé à ses ciseaux. Le tour des grandes lèvres est assez délicat, et Paul rase très doucement pour ne pas écorcher la peau très tendre de cette partie délicate du corps de son épouse.
Il lui essuie ensuite les poils et le savon, avec une éponge chaude, Marie-Ange halète un peu, car son clitoris s'est dressé et a durci sous les attouchements de l'éponge. Paul, prend ensuite un flacon d'huile à l'amande douce, enduisant délicatement avec sa main toute la peau irritée par le feu du rasoir. Puis, il en recouvre les grandes lèvres et masse de ses doigts le clitoris et la rosace de l'anus. Marie-Ange gémit de plaisir, elle a même un bref orgasme, alors que son ventre ondule sous les caresses de son époux. Une fébrilité intense a envahi les sens de la quadragénaire depuis le début de l'opération de rasage. Enfin ses membres se détendent et elle se laisse aller, laissant le plaisir se fondre en elle, se masturbant un peu à son tour car elle aime se le faire elle-même assez souvent.
Enfin, dans un état second, Marie-Ange se prépare à cette soirée qu'elle redoute et qu'elle espère en même temps. Après une douche chaude puis froide, elle se parfume, se coiffe, s'habille d'une nuisette en voile noir et enfile par-dessus un déshabillé transparent, noir lui aussi. Dessous, elle a seulement enfilé des bas noirs, attaché à des porte-jarretelles en dentelles de même couleur, eux-mêmes fixés à une légère ceinture noire ; pas de soutien-gorge et pas de culotte, Paul a dû insister pour qu'elle n'en mette pas. Elle a ses pommettes congestionnées et ses yeux brillent, alors qu’un même sentiment d'excitation et d'angoisse se mêle dans son for intérieur.
Les murs de la chambre conjugale sont tendus d'un tissu couleur bouton d'or. Les meubles sont en teck, avec des garnitures en cuivre, au sol des tapis moelleux en laine recouvrent presque entièrement un parquet de chêne.. Marie-Ange est conduite vers le lit par Paul qui l'aide à s'installer à moitié étendue, deux oreillers maintenant son buste à angle droit. Ce lit est assez grand, faisant plus de deux mètres de large. La tête et le pied du lit sont garnis de barreaux de cuivre et d'étain. Le plafond est recouvert d'un immense miroir doré comme dans les claques du siècle dernier. Quelques gros oreillers recouverts de satin groseille la soutiennent sous les aisselles et derrière la tête. Elle est renversée, ou plutôt presque assise sur un drap de satin bleu nuit, sa peau blanche se détachant sur cette couleur sombre. Paul s'approche d'elle et lui passe un foulard de soie sur les yeux qu'il attache délicatement derrière sa tête. Elle frémit à la pensée qu’elle sera aveugle et quelle ne pourra voir ce qu’il va lui arriver. Paul lui attache doucement chaque poignet avec des foulards de soie fixés aux barreaux de la tête du lit, juste pour l'immobiliser, mais sans trop la gêner.
Il lui écarte légèrement les jambes et les cuisses, tout en laissant retomber les pans du déshabillé qui cachent en partie son sexe qu'il a rasé avec précaution. En l’aidant à s’habiller, il a enduit son corps d'une crème hydratante et parfumée qu’il a étalé également autour de sa vulve. Bien qu’habituellement, lorsqu’elle est excitée elle expulse toujours une substance abondante, il a également badigeonné l’intérieur de ses muqueuses vaginales avec un gel émollient pour prévenir tout échauffement. Lui entrant un doigt dans la vulve qu’il ouvre délicatement, il constate que le vagin est encore sec, mais sous les attouchements précis de Paul il s'humecte rapidement sous le doigt fureteur enduit de gel. Elle gémit et proteste faiblement, excitée par le doigt qui fouille son intimité, mais sentant son cœur battre follement tant elle est morte de frousse.
Elle a l'impression d'être une proie offerte, et son inquiétude revient au galop, les battements de son cœur s'accélèrent, sentant qu'elle va renoncer, affolée par l’acte irrémédiable auquel elle va se soumettre. Lorsque soudain, la sonnerie de la porte retentit d'un coup très bref. Paul, après avoir déposé un baiser au coin de sa bouche lui annonce brièvement.
- Je reviens.
Elle sent sa bouche se dessécher n’ayant plus de salive à avaler, puis, elle entend la porte s'ouvrir au loin, quelques mots sont prononcés à voix basse sans qu'elle puisse distinguer les propos qui sont échangés, la porte se referme, ensuite plus aucun bruit, l'angoisse monte en elle, que se passe-t-il ?
En fait, Paul a demandé à l’homme de le suivre silencieusement dans le couloir menant aux chambres, puis, il s'est approché en enlevant ses chaussures, et, il a fait déchausser l'homme qui l'accompagne. Ils sont tous deux sur le pas de la porte de la chambre, et ils contemplent silencieusement le spectacle que leur offre la femme, étendue et attachée, dans une position lascive et impudiquement perverse. L'homme de Bogota a bien trente-cinq ou trente-six ans, il a des cheveux châtain clair et des yeux marron, il est très bronzé et plutôt bien bâti. Il sourit en regardant Paul et acquiesce en contemplant la pose de Marie-Ange, qui, inquiète par le silence qui se prolonge, se demande ce qui se passe.
- Paul, appelle-t-elle à mi-voix, - Où es-tu ? Réponds-moi, je t'en supplie, j'ai peur.
Paul fait signe à l'homme de se déshabiller, tout en mettant un doigt sur sa bouche, lui-même, faisant glisser son peignoir où il est nu dessous. Sa verge est flasque, par contre l'homme qui s'est dénudé lui aussi fait montre d'une belle érection, sa verge est courte mais très trapue, il la caresse doucement de sa main droite. Paul à ce moment entame la conversation d'une voix forte et bien posée.
- Alors ! Cher ami, que pensez-vous de mon épouse dont je vous ai tant parlé et dont j'ai le grand plaisir de vous faire découvrir ses charmes. Elle est nue et ouverte comme vous pouvez le constater. J'ai rasé ce matin ses poils disgracieux pour que son corps soit entièrement à votre disposition et pour que vous puisiez en jouir pour votre plus grande satisfaction !
L'homme répond d’une voix forte avec un fort accent canadien.
- C'est un très beau corps mon Cher. Je constate que les seins sont un peu lourds, mais ses bourgeons sont certainement très sensibles, d’ailleurs ils sont érigés et très gros à ce que je vois. De surcroît, elle a des jambes et des cuisses superbes, mais je ne vois pas très bien son sexe, peut-être pourriez-vous le mettre en évidence ?
Marie-Ange est morte d’épouvante en entendant les propos qui viennent de s'échanger sans la ménager. Devant cette exigence lancée crûment, elle replie ses jambes sous elle, c'est tout ce qu'elle peut faire, car elle est attachée par les poignets à la tête du lit. Elle supplie Paul.
- Chéri je t'en prie, arrête, je ne veux plus, dis lui de s'en aller.
Des larmes coulent sous le bandeau de soie, mais Paul ne s’en préoccupe pas, il écarte les pans du déshabillé, tout en demandant à l'homme.
- Cher ami, voulez-vous m'aider à lui écarter les jambes et les cuisses, que vous puissiez admirer sa jolie chatte, je vous précise qu'elle adore d'ailleurs se la masturber. Et puis, sa vulve est très tendre et bonne à sucer, ainsi que son clitoris, vous verrez, elle adorera ça !
Marie-Ange se débat bien inutilement, car devant la poigne des deux hommes qui la brutalisent quelque peu elle ne peut qu'être perdante. Aussi, lasse de se démener sans résultat, elle s'abandonne, laissant des mains énergiques ouvrir largement son entrecuisse alors que ses jambes sont maintenues bien à plat et fermement par les deux hommes. Elle devine leurs regards qui doivent la fouiller au plus profond d'elle même. Un trouble étrange l'envahit. Serait-elle heureuse de s'exhiber ainsi devant un inconnu ? Après tout elle ne le voit pas, c'est comme s'il n'existait pas ou alors ce serait seulement dans un rêve.
Elle reconnaît près de son visage l'odeur de Paul. Celui-ci l'embrasse légèrement sur la bouche, elle se laisse soudain aller, rassurée par la présence de son homme quand soudain, elle perçoit une caresse autour de son vagin, puis une langue la lèche très doucement, tournant autour du capuchon de son clitoris. Elle ne sait plus où elle en est tandis qu’une douce langueur l'envahit. Elle aspire la langue de Paul dans sa bouche alors qu’à ce moment elle sent l'autre langue pénétrer son intimité, un doigt caresse son clitoris, elle tressaute violemment à ce contact qui l'électrise, surtout qu'elle est très sensible lorsque son bouton intime est sollicité de la sorte.
Paul à cet instant enroule sa langue autour de la sienne, elle identifie ses mains qui lui écartent sa nuisette et qui en sortent ses seins lourds. Elle sent que les bouts se sont durcis, car il les fait rouler sous ses doigts. L'autre langue est sortie de son vagin et mordille doucement son clitoris, un doigt s'est infiltré dans son pertuis et s'est recourbé à la recherche de son point G, qu'il masse doucement.
Elle sens ses sécrétions qui coulent entre ses fesses et s'infiltrent dans sa raie culière, elle geint et a un bref orgasme. Un autre doigt se glisse dans sa raie, massant doucement la rosace de son anus, elle aime ces sensations bizarres, car toutes les parties les plus érogènes de son corps sont caressées, léchées, titillées, la faisant flotter dans un bain de volupté. Elle devine à peine le doigt qui s'infiltre dans son sphincter, elle s'en rend compte seulement, quand bien au fond de son anus, il se rencontre avec deux ou trois doigts, elle ne sait plus, qui fouillent violemment son vagin, elle crie alors son exaltation.
- Oh !! Oui ! Encore ! Encore ! Oui c'est bon ! Plus loin ! Oh c'est bon Oh !.. Oh !.. Oh !
Elle pense qu’elle n'a jamais joui de cette sorte ou alors il y a bien longtemps. Elle projette son corps, s'arc-boutant vers les doigts qui la fouillent profondément. À ce moment, elle sent le sexe de l'homme qui la pénètre violemment. Alors qu’il la chevauche et la pourfend de toute sa jeunesse, elle se colle contre le ventre de l’homme, espérant qu’il labourera sa chair intime encore longtemps de sa bite bien dure ; il y a tellement longtemps qu'elle n'a pas connu cela avec Paul. Elle lui est reconnaissante de lui offrir cette volupté, mais pour l’instant elle n'est que râle, elle rit, elle pleure, et, surtout, elle éprouve sans relâche des orgasmes suffocants. Elle souhaiterait que plus rien ne s'arrête, c'est trop bon. Enfin, lançant des mots sans suite et criant sa joie, elle sombre dans une sorte de semi-inconscience, alors que son partenaire qui la chevauche depuis au moins une demi-heure éjacule et s'écroule épuisé sur elle.
Marie-Ange se sens moulu, mais en même temps elle éprouve une sensation de plénitude absolue, elle sent son corps parcouru de petits picotements, ayant encore envie de caresses. Elle ne voit toujours rien avec son bandeau sur les yeux, car elle est toujours attachée par les poignets, ses jambes et ses cuisses sont à présent complètement distendues et elle devine son vagin palpitant et tout humide de mouille et de foutre mélangés, amplement élargi devant cet étranger qui vient de lui faire l'amour.
Soudainement, des mains se posent de chaque côté de ses lèvres intimes. Elle ne sait à qui elles appartiennent, à Paul ? Ou à l'inconnu qui l'a si bien barattée. Elle s'en moque, elle n'a qu'une envie que cela recommence et qu'on la palpe sur tout son corps. Son souhait ne tarde pas à être exaucé. Deux autres mains ont pris possession de ses seins et les malaxent vigoureusement. Des doigts se sont infiltrés à nouveau dans son vagin, son clitoris est trituré, des lèvres et des langues parcourent son corps, elle éprouve à nouveau une extase intense.
Ses poignets sont détachés l'un après l'autre. Elle se sent prise à bras le corps par un homme, lequel ? Elle s'en moque, elle se retrouve posée sur le torse d'un homme, ses cuisses sont écartées et un membre est poussé vivement dans son vagin. Ce ne peut être que le membre de son amant imposé, car elle le sent bien vigoureux et raide dans sa chatte brûlante. Elle entoure le torse de l'homme de ses deux bras, et elle cherche sa bouche, en aveugle qu'elle est, leurs langues se mêlent intimement, elle se soulève en cadence et se fait jouir toute seule, se laissant retomber en cadence sur le mandrin de son partenaire.
Elle se rend à peine compte que la rosace de son anus est sollicitée, un doigt l'enduit d’un corps gras, cela ne peut être que celui de Paul son mari. Il lui enfonce le doigt dans son cul bien serré, elle râle de plaisir alors que le doigt vient toucher à travers la paroi intestinale la bite courte et trapue de son partenaire. Un deuxième doigt s'introduit dans l’étroit orifice, les deux doigts réunis, entrent et sortent régulièrement de son rectum. Elle se surprend à aimer cette sensation d'être prise par ses deux cavités, mais soudain les doigts se retirent de son anus et elle éprouve comme un manque.
Presque aussitôt, elle sent comme un gros doigt qui pousse dans son sphincter, ce n'est pas un substitut en plastique comme Paul lui en introduit parfois, mais bien de la chair. Elle n'arrive pas à le croire, ce ne peut être que le membre de son mari qui essaie de la pénétrer. Elle a un peu peur de cette intromission rectale, mais aussi elle l'espère. D'abord parce qu'elle serait tellement heureuse que Paul puisse enfin tenir son érection bien rigide, et puis, dans l'état où elle est, bien que cela lui fasse très peur, elle souhaite tout de même connaître, la sensation d'être prise par-devant et par-derrière en même temps. Elle l'a souvent lue dans des romans érotiques, elle en a souvent parlé avec Paul et cela l'a toujours effrayé, mais aujourd’hui elle devine que tout est possible, aussi elle a une envie furieuse de découvrir ce qu’elle va ressentir. Jusqu’ici, son mari l’avait seulement sodomisé deux ou trois fois, lorsqu’il le pouvait encore, et, souvent avec ses doigts qu’il avait introduit simultanément dans sa chatte et son derrière, lui donnant des appétences qui n’avaient jamais pu se réaliser jusqu’ici.
Paul garde son membre bien raide et la pénètre lentement, elle apprécie d’être aussi bien rempli dans ses deux ventres, elle a l'impression de ne plus pouvoir respirer, ses entrailles sont prises et bien prises, les deux verges glissent en elle se frottant l'une contre l'autre. Elle délire, elle a l'impression qu'un des phallus va sortir par sa bouche tellement les organes s'insinuent au plus profond de son corps. Elle continue pourtant à chevaucher hardiment son partenaire pendant que son mari se fraye un passage dans sa croupe. Elle adore cet instant magique, elle voudrait que cela dure indéfiniment, que d'autres membres l'envahissent dans sa bouche, entre ses seins, elle voudrait traire des bites avec ses mains. Oh ! Quelles pensées a-t-elle ! Elle est complètement folle ! Mais que c'est bon Mon Dieu ! Oh ! Quel moment merveilleux elle vit, elle clame sa joie charnelle.
- Oui ! Oui ! Encore ! Encore ! Baisez-moi ! N'arrêtez pas je vous en supplie ! Encore Oh ! Oui ! Oh ! Oui !. Encule-moi ! Continue mon chéri, comme ça ! Oui ! Oh que c'est bon ! C'est bon ! Ouiiiii Ouiiiiiiiiiiiiii !!!!.
Le matin, une lumière filtre à travers les doubles rideaux, Marie-Ange s'éveille langoureusement, son corps endolori, meurtri, mais assouvi et l'esprit complètement détendu elle se trouve bien. Elle se retourne dans son lit et regarde Paul, qui surveille son réveil du coin de l'œil, un peu inquiet de sa réaction. Marie-Ange se pelotonne contre son mari et l'embrasse tendrement.
- Merci mon Chéri ! Oh Merci !, Merci ! C'était tellement bon, j'ai honte d'avoir tant joui, mais j'ai aimé tu sais, surtout quand vous étiez tous les deux dans moi, j'en avais tellement peur auparavant, et c'est si bon, c'est une sensation merveilleuse d'être remplie toute, je ne sais plus ce que je dis, j'ai honte mon Chéri, que vas-tu penser de moi ?
Paul lui baise tendrement ses yeux, son nez, sa bouche.
- Je ne vois pas pourquoi tu aurais honte, tu as joui merveilleusement et j'ai pu de nouveau bander et t'enculer par-dessus le marché, et tâte, je bande de nouveau, aussi je ne vais pas tarder à te montrer de quoi je suis capable.
Quelques jours ont passé, Paul et Marie-Ange sont de plus en plus amoureux, mais la forme de Paul s'est amenuisé et il a de nouveau des difficultés à maintenir son sexe en érection, tout du moins assez longtemps pour pouvoir honorer son épouse.
L’INITIATION
En cette fin de mois de janvier, Paris est enfoui sous la neige ce qui est très rare de nos jours. Malgré tout, un rayon de soleil essaie de percer le plafond qui est bas, mais la ville est triste, comme tous les dimanches d’hiver.
Paul, qui vient de fêter ses cinquante-deux ans, est un critique d'art indépendant qui s'ennuie dans son vaste appartement du seizième arrondissement de Paris. Il n'a pas trop le moral car sa libido est au plus bas. Il pense avoir des problèmes de prostate dus à son âge, car il a de plus en plus de mal à assurer ses devoirs conjugaux. Jusqu'ici d'ailleurs, la baise n’a jamais été « un devoir », car il est plutôt porté sur la chose, mais depuis quelque temps, il ne bande plus et il gamberge...
Marie-Ange son épouse, va bientôt avoir quarante-huit ans, Paul devine que sa sensualité réclame des preuves physiques et concrètes. Elle assure bien son mari de son amour indéfectible, mais il pressent qu'elle voudra un jour prendre un amant. Ses masturbations solitaires qu'il peut observer lorsqu'elle croit qu'il est endormi ne lui suffiront bientôt plus. Sur le principe, il ne serait pas contre, mais s'il y a adultère, il préférerait y participer, même et surtout comme voyeur.
Comment faire, et surtout comment en parler à Marie-Ange sans trop la choquer ? Il a fallu qu'une émission de télévision, aborde ce thème sensible et comporte un débat sur les hommes vieillissants et qui n'assurent plus, pour lui donner le prétexte d’évoquer ce sujet scabreux avec sa femme. Alors que le débat télévisé vient de se terminer, Paul se décide à engager la conversation.
- C'est drôle, c'est exactement notre cas, je ne peux plus et toi tu as tout de même des envies.
- Mon chéri, tu sais bien que je t'aime et que cela n'a pas d'importance.
- Tout de même, si tu dois prendre un jour un amant, je préférerais te le choisir et même ne pas te quitter quand tu feras l'amour avec lui.
- Tu es complètement fou, tu crois que j'accepterais, tu veux te débarrasser de moi en me jetant dans les bras d'un autre. Paul je t'aime et je ne veux pas te tromper ni te perdre !
- Crois-moi mon amour, un jour cela arrivera et je préfère que nous en parlions avant afin d’éviter de risquer une séparation. Rien ne presse, réfléchis et nous en reparlerons plus tard.
Les deux époux, toujours amoureux, s'enlacent et s'embrassent, Paul lui caresse ses épaules alors que Marie-Ange ouvrant la fermeture de son pantalon, flatte habilement le sexe de son homme mais sans provoquer une seule réaction de la verge trop flasque. Paul est embarrassé de ne pouvoir répondre au désir de son épouse, mais il n’y peut rien, car il n'arrive toujours pas à bander. Le couple se lance alors dans une grande discussion à mi-voix, essayant de se rassurer sur leur amour mutuel qui dure depuis presque trente et un ans.
Plusieurs mois se passent et ils reparlent de leur problème de temps à autre. Paul rêve d’une relation à trois et il commence à faire partager ses vues à son épouse. Bien qu'elle s'en défende, elle aussi fantasme quelque peu, et, dans le feu de leurs nombreuses conversations érotiques, elle accepte un jour l’idée de faire l'amour avec un autre homme que son époux, mais en posant des conditions. Elle ne veut pas voir l'homme, il faut que Paul le choisisse tout seul. Elle veut bien faire l'amour avec un inconnu, mais une seule fois. Elle ne veut plus jamais le revoir et ne veut même pas connaître son nom. Surtout, elle souhaite que cela ne devienne pas une habitude.
Paul lui assure que tout se passera bien, il lui bandera les yeux, et même, il fera semblant de lui attacher les mains, comme cela il pourra même faire croire à l'étalon choisi par lui qu'elle n'est pas consentante.
Paul est maintenant très excité à l'idée de voir Marie-Ange se faire baiser devant lui par un inconnu. Comme il a beaucoup de relations dans différents milieux, il spécule qu'il ne lui sera pas difficile de choisir un homme qui la contentera, et, qui sait, de voir sa femme se faire prendre et jouir, cela pourra peut-être le stimuler et lui redonner de la vigueur. Quelques jours, après l'acceptation de Marie-Ange, il rencontre un jeune Canadien Français, d’environ trente-cinq ans, qui vit à Bogota en Colombie. Il est de passage à Paris pour affaires et ne reviendra pas en France avant plusieurs années repartant sous une huitaine de jours. Ce faisant, pense Paul, il ne risque donc pas de le rencontrer chez des amis communs, avant très longtemps, sinon jamais.
Étant seuls tous les deux dans un bar, il lui expose son cas et celui de son épouse. Il vante le sex-appeal de sa femme, qui, bien qu'étant en pleine maturité a beaucoup de charme. Elle possède, dit-il à son voisin, un corps très séduisant, de jolies jambes et des yeux magnifiques. Et puis, elle n'a jamais fait l'amour avec d'autres hommes à la connaissance de Paul, et pour celui qui la prendra, ce sera comme pour une première fois. Ce Canadien Français du bout du monde se sent émoustillé par le fait de pouvoir faire l'amour à une honnête bourgeoise tout juste consentante. De plus, c’est avec l'assentiment de son époux qu’il pourra baiser sa femme, aussi il accepte avec empressement. Il a une seule condition pour conclure. Cette conversation ayant lieu un mercredi, il faut que ce soit le vendredi soir au plus tard, car il prend l'avion pour la Colombie le samedi à douze heures. Cela arrange Paul, car de cette façon, aucune occasion de le rencontrer par la suite n'est envisageable. Il songe qu’il lui faut maintenant préparer soigneusement son épouse aussi bien physiquement que psychologiquement.
De retour chez lui il annonce à Marie-Ange que le rendez-vous est prit avec l'homme pour le vendredi soir, c'est-à-dire après-demain. Marie-Ange a soudainement une bouffée de chaleur, elle devient toute rouge et sent ses jambes se dérober sous elle. Elle pensait que ce serait plus tard, elle ne se sent pas prête dit-elle à son mari. Paul lui explique que ce garçon part le lendemain très loin, et qu'ils n'ont aucune chance de le revoir, c'est une chance unique. Après beaucoup de réticences, elle accepte de tenter cette expérience, à peine convaincue par les nombreux arguments et raisonnements subtils de son mari.
Enfin le vendredi inéluctable arrive. Marie-Ange est de plus en plus angoissée. Vers la fin de l'après-midi, elle demande même à Paul d'annuler le rendez-vous. Il faut à celui-ci faire preuve d’une dialectique incontournable pour la décider à ne pas renoncer à cette rencontre unique. Le mélange d'un tranquillisant et de plusieurs verres de porto est même nécessaire pour atténuer le stress de son épouse.
Paul songe qu’il est à présent grand temps de préparer Marie-Ange. Celle-ci qui a une toison pubienne assez fournie se rase de temps en temps autour de ses aisselles et même dans les replis de l’aine et sur son pubis. Paul le lui fait assez souvent avec plus de précision et c'est souvent là l'occasion de débats érotiques. Cette fois-ci, il veut que le tour de sa vulve soit comme celui d'une petite fille, complètement imberbe. Marie-Ange, résignée à l'acte qu'elle appréhende, prépare malgré tout deux grandes serviettes-éponges qu'elle étend sur une grande table basse dans la bibliothèque. Elle se déshabille ensuite complètement, puis elle s'allonge sur les linges qu'elle a préparés en plaçant sa tête sur un coussin, enfin elle ouvre ses jambes, disposant ses cuisses bien à plat sur la table devant son mari qui attend tranquillement que sa femme soit enfin prête.
Dans un premier temps, Paul, s'aidant d'une grande paire de ciseaux, taille habilement, l'épaisse fourrure brune de Marie-Ange. Elle tressaute quelque peu lorsque le froid de la lame effleure la chair tendre de son entrecuisse, et frissonne aussi de la peur qui se mélange à son excitation car elle sent sa mouille envahir son vagin. Paul repose les ciseaux, puis il prépare de la mousse à raser dans un bol d'eau chaude. Il lui savonne l'entrecuisse tout autour de la vulve et badigeonne son mont de vénus. Ensuite, avec un rasoir à main, tout en tendant bien la peau, il lui rase délicatement les poils superflus qui ont échappé à ses ciseaux. Le tour des grandes lèvres est assez délicat, et Paul rase très doucement pour ne pas écorcher la peau très tendre de cette partie délicate du corps de son épouse.
Il lui essuie ensuite les poils et le savon, avec une éponge chaude, Marie-Ange halète un peu, car son clitoris s'est dressé et a durci sous les attouchements de l'éponge. Paul, prend ensuite un flacon d'huile à l'amande douce, enduisant délicatement avec sa main toute la peau irritée par le feu du rasoir. Puis, il en recouvre les grandes lèvres et masse de ses doigts le clitoris et la rosace de l'anus. Marie-Ange gémit de plaisir, elle a même un bref orgasme, alors que son ventre ondule sous les caresses de son époux. Une fébrilité intense a envahi les sens de la quadragénaire depuis le début de l'opération de rasage. Enfin ses membres se détendent et elle se laisse aller, laissant le plaisir se fondre en elle, se masturbant un peu à son tour car elle aime se le faire elle-même assez souvent.
Enfin, dans un état second, Marie-Ange se prépare à cette soirée qu'elle redoute et qu'elle espère en même temps. Après une douche chaude puis froide, elle se parfume, se coiffe, s'habille d'une nuisette en voile noir et enfile par-dessus un déshabillé transparent, noir lui aussi. Dessous, elle a seulement enfilé des bas noirs, attaché à des porte-jarretelles en dentelles de même couleur, eux-mêmes fixés à une légère ceinture noire ; pas de soutien-gorge et pas de culotte, Paul a dû insister pour qu'elle n'en mette pas. Elle a ses pommettes congestionnées et ses yeux brillent, alors qu’un même sentiment d'excitation et d'angoisse se mêle dans son for intérieur.
Les murs de la chambre conjugale sont tendus d'un tissu couleur bouton d'or. Les meubles sont en teck, avec des garnitures en cuivre, au sol des tapis moelleux en laine recouvrent presque entièrement un parquet de chêne.. Marie-Ange est conduite vers le lit par Paul qui l'aide à s'installer à moitié étendue, deux oreillers maintenant son buste à angle droit. Ce lit est assez grand, faisant plus de deux mètres de large. La tête et le pied du lit sont garnis de barreaux de cuivre et d'étain. Le plafond est recouvert d'un immense miroir doré comme dans les claques du siècle dernier. Quelques gros oreillers recouverts de satin groseille la soutiennent sous les aisselles et derrière la tête. Elle est renversée, ou plutôt presque assise sur un drap de satin bleu nuit, sa peau blanche se détachant sur cette couleur sombre. Paul s'approche d'elle et lui passe un foulard de soie sur les yeux qu'il attache délicatement derrière sa tête. Elle frémit à la pensée qu’elle sera aveugle et quelle ne pourra voir ce qu’il va lui arriver. Paul lui attache doucement chaque poignet avec des foulards de soie fixés aux barreaux de la tête du lit, juste pour l'immobiliser, mais sans trop la gêner.
Il lui écarte légèrement les jambes et les cuisses, tout en laissant retomber les pans du déshabillé qui cachent en partie son sexe qu'il a rasé avec précaution. En l’aidant à s’habiller, il a enduit son corps d'une crème hydratante et parfumée qu’il a étalé également autour de sa vulve. Bien qu’habituellement, lorsqu’elle est excitée elle expulse toujours une substance abondante, il a également badigeonné l’intérieur de ses muqueuses vaginales avec un gel émollient pour prévenir tout échauffement. Lui entrant un doigt dans la vulve qu’il ouvre délicatement, il constate que le vagin est encore sec, mais sous les attouchements précis de Paul il s'humecte rapidement sous le doigt fureteur enduit de gel. Elle gémit et proteste faiblement, excitée par le doigt qui fouille son intimité, mais sentant son cœur battre follement tant elle est morte de frousse.
Elle a l'impression d'être une proie offerte, et son inquiétude revient au galop, les battements de son cœur s'accélèrent, sentant qu'elle va renoncer, affolée par l’acte irrémédiable auquel elle va se soumettre. Lorsque soudain, la sonnerie de la porte retentit d'un coup très bref. Paul, après avoir déposé un baiser au coin de sa bouche lui annonce brièvement.
- Je reviens.
Elle sent sa bouche se dessécher n’ayant plus de salive à avaler, puis, elle entend la porte s'ouvrir au loin, quelques mots sont prononcés à voix basse sans qu'elle puisse distinguer les propos qui sont échangés, la porte se referme, ensuite plus aucun bruit, l'angoisse monte en elle, que se passe-t-il ?
En fait, Paul a demandé à l’homme de le suivre silencieusement dans le couloir menant aux chambres, puis, il s'est approché en enlevant ses chaussures, et, il a fait déchausser l'homme qui l'accompagne. Ils sont tous deux sur le pas de la porte de la chambre, et ils contemplent silencieusement le spectacle que leur offre la femme, étendue et attachée, dans une position lascive et impudiquement perverse. L'homme de Bogota a bien trente-cinq ou trente-six ans, il a des cheveux châtain clair et des yeux marron, il est très bronzé et plutôt bien bâti. Il sourit en regardant Paul et acquiesce en contemplant la pose de Marie-Ange, qui, inquiète par le silence qui se prolonge, se demande ce qui se passe.
- Paul, appelle-t-elle à mi-voix, - Où es-tu ? Réponds-moi, je t'en supplie, j'ai peur.
Paul fait signe à l'homme de se déshabiller, tout en mettant un doigt sur sa bouche, lui-même, faisant glisser son peignoir où il est nu dessous. Sa verge est flasque, par contre l'homme qui s'est dénudé lui aussi fait montre d'une belle érection, sa verge est courte mais très trapue, il la caresse doucement de sa main droite. Paul à ce moment entame la conversation d'une voix forte et bien posée.
- Alors ! Cher ami, que pensez-vous de mon épouse dont je vous ai tant parlé et dont j'ai le grand plaisir de vous faire découvrir ses charmes. Elle est nue et ouverte comme vous pouvez le constater. J'ai rasé ce matin ses poils disgracieux pour que son corps soit entièrement à votre disposition et pour que vous puisiez en jouir pour votre plus grande satisfaction !
L'homme répond d’une voix forte avec un fort accent canadien.
- C'est un très beau corps mon Cher. Je constate que les seins sont un peu lourds, mais ses bourgeons sont certainement très sensibles, d’ailleurs ils sont érigés et très gros à ce que je vois. De surcroît, elle a des jambes et des cuisses superbes, mais je ne vois pas très bien son sexe, peut-être pourriez-vous le mettre en évidence ?
Marie-Ange est morte d’épouvante en entendant les propos qui viennent de s'échanger sans la ménager. Devant cette exigence lancée crûment, elle replie ses jambes sous elle, c'est tout ce qu'elle peut faire, car elle est attachée par les poignets à la tête du lit. Elle supplie Paul.
- Chéri je t'en prie, arrête, je ne veux plus, dis lui de s'en aller.
Des larmes coulent sous le bandeau de soie, mais Paul ne s’en préoccupe pas, il écarte les pans du déshabillé, tout en demandant à l'homme.
- Cher ami, voulez-vous m'aider à lui écarter les jambes et les cuisses, que vous puissiez admirer sa jolie chatte, je vous précise qu'elle adore d'ailleurs se la masturber. Et puis, sa vulve est très tendre et bonne à sucer, ainsi que son clitoris, vous verrez, elle adorera ça !
Marie-Ange se débat bien inutilement, car devant la poigne des deux hommes qui la brutalisent quelque peu elle ne peut qu'être perdante. Aussi, lasse de se démener sans résultat, elle s'abandonne, laissant des mains énergiques ouvrir largement son entrecuisse alors que ses jambes sont maintenues bien à plat et fermement par les deux hommes. Elle devine leurs regards qui doivent la fouiller au plus profond d'elle même. Un trouble étrange l'envahit. Serait-elle heureuse de s'exhiber ainsi devant un inconnu ? Après tout elle ne le voit pas, c'est comme s'il n'existait pas ou alors ce serait seulement dans un rêve.
Elle reconnaît près de son visage l'odeur de Paul. Celui-ci l'embrasse légèrement sur la bouche, elle se laisse soudain aller, rassurée par la présence de son homme quand soudain, elle perçoit une caresse autour de son vagin, puis une langue la lèche très doucement, tournant autour du capuchon de son clitoris. Elle ne sait plus où elle en est tandis qu’une douce langueur l'envahit. Elle aspire la langue de Paul dans sa bouche alors qu’à ce moment elle sent l'autre langue pénétrer son intimité, un doigt caresse son clitoris, elle tressaute violemment à ce contact qui l'électrise, surtout qu'elle est très sensible lorsque son bouton intime est sollicité de la sorte.
Paul à cet instant enroule sa langue autour de la sienne, elle identifie ses mains qui lui écartent sa nuisette et qui en sortent ses seins lourds. Elle sent que les bouts se sont durcis, car il les fait rouler sous ses doigts. L'autre langue est sortie de son vagin et mordille doucement son clitoris, un doigt s'est infiltré dans son pertuis et s'est recourbé à la recherche de son point G, qu'il masse doucement.
Elle sens ses sécrétions qui coulent entre ses fesses et s'infiltrent dans sa raie culière, elle geint et a un bref orgasme. Un autre doigt se glisse dans sa raie, massant doucement la rosace de son anus, elle aime ces sensations bizarres, car toutes les parties les plus érogènes de son corps sont caressées, léchées, titillées, la faisant flotter dans un bain de volupté. Elle devine à peine le doigt qui s'infiltre dans son sphincter, elle s'en rend compte seulement, quand bien au fond de son anus, il se rencontre avec deux ou trois doigts, elle ne sait plus, qui fouillent violemment son vagin, elle crie alors son exaltation.
- Oh !! Oui ! Encore ! Encore ! Oui c'est bon ! Plus loin ! Oh c'est bon Oh !.. Oh !.. Oh !
Elle pense qu’elle n'a jamais joui de cette sorte ou alors il y a bien longtemps. Elle projette son corps, s'arc-boutant vers les doigts qui la fouillent profondément. À ce moment, elle sent le sexe de l'homme qui la pénètre violemment. Alors qu’il la chevauche et la pourfend de toute sa jeunesse, elle se colle contre le ventre de l’homme, espérant qu’il labourera sa chair intime encore longtemps de sa bite bien dure ; il y a tellement longtemps qu'elle n'a pas connu cela avec Paul. Elle lui est reconnaissante de lui offrir cette volupté, mais pour l’instant elle n'est que râle, elle rit, elle pleure, et, surtout, elle éprouve sans relâche des orgasmes suffocants. Elle souhaiterait que plus rien ne s'arrête, c'est trop bon. Enfin, lançant des mots sans suite et criant sa joie, elle sombre dans une sorte de semi-inconscience, alors que son partenaire qui la chevauche depuis au moins une demi-heure éjacule et s'écroule épuisé sur elle.
Marie-Ange se sens moulu, mais en même temps elle éprouve une sensation de plénitude absolue, elle sent son corps parcouru de petits picotements, ayant encore envie de caresses. Elle ne voit toujours rien avec son bandeau sur les yeux, car elle est toujours attachée par les poignets, ses jambes et ses cuisses sont à présent complètement distendues et elle devine son vagin palpitant et tout humide de mouille et de foutre mélangés, amplement élargi devant cet étranger qui vient de lui faire l'amour.
Soudainement, des mains se posent de chaque côté de ses lèvres intimes. Elle ne sait à qui elles appartiennent, à Paul ? Ou à l'inconnu qui l'a si bien barattée. Elle s'en moque, elle n'a qu'une envie que cela recommence et qu'on la palpe sur tout son corps. Son souhait ne tarde pas à être exaucé. Deux autres mains ont pris possession de ses seins et les malaxent vigoureusement. Des doigts se sont infiltrés à nouveau dans son vagin, son clitoris est trituré, des lèvres et des langues parcourent son corps, elle éprouve à nouveau une extase intense.
Ses poignets sont détachés l'un après l'autre. Elle se sent prise à bras le corps par un homme, lequel ? Elle s'en moque, elle se retrouve posée sur le torse d'un homme, ses cuisses sont écartées et un membre est poussé vivement dans son vagin. Ce ne peut être que le membre de son amant imposé, car elle le sent bien vigoureux et raide dans sa chatte brûlante. Elle entoure le torse de l'homme de ses deux bras, et elle cherche sa bouche, en aveugle qu'elle est, leurs langues se mêlent intimement, elle se soulève en cadence et se fait jouir toute seule, se laissant retomber en cadence sur le mandrin de son partenaire.
Elle se rend à peine compte que la rosace de son anus est sollicitée, un doigt l'enduit d’un corps gras, cela ne peut être que celui de Paul son mari. Il lui enfonce le doigt dans son cul bien serré, elle râle de plaisir alors que le doigt vient toucher à travers la paroi intestinale la bite courte et trapue de son partenaire. Un deuxième doigt s'introduit dans l’étroit orifice, les deux doigts réunis, entrent et sortent régulièrement de son rectum. Elle se surprend à aimer cette sensation d'être prise par ses deux cavités, mais soudain les doigts se retirent de son anus et elle éprouve comme un manque.
Presque aussitôt, elle sent comme un gros doigt qui pousse dans son sphincter, ce n'est pas un substitut en plastique comme Paul lui en introduit parfois, mais bien de la chair. Elle n'arrive pas à le croire, ce ne peut être que le membre de son mari qui essaie de la pénétrer. Elle a un peu peur de cette intromission rectale, mais aussi elle l'espère. D'abord parce qu'elle serait tellement heureuse que Paul puisse enfin tenir son érection bien rigide, et puis, dans l'état où elle est, bien que cela lui fasse très peur, elle souhaite tout de même connaître, la sensation d'être prise par-devant et par-derrière en même temps. Elle l'a souvent lue dans des romans érotiques, elle en a souvent parlé avec Paul et cela l'a toujours effrayé, mais aujourd’hui elle devine que tout est possible, aussi elle a une envie furieuse de découvrir ce qu’elle va ressentir. Jusqu’ici, son mari l’avait seulement sodomisé deux ou trois fois, lorsqu’il le pouvait encore, et, souvent avec ses doigts qu’il avait introduit simultanément dans sa chatte et son derrière, lui donnant des appétences qui n’avaient jamais pu se réaliser jusqu’ici.
Paul garde son membre bien raide et la pénètre lentement, elle apprécie d’être aussi bien rempli dans ses deux ventres, elle a l'impression de ne plus pouvoir respirer, ses entrailles sont prises et bien prises, les deux verges glissent en elle se frottant l'une contre l'autre. Elle délire, elle a l'impression qu'un des phallus va sortir par sa bouche tellement les organes s'insinuent au plus profond de son corps. Elle continue pourtant à chevaucher hardiment son partenaire pendant que son mari se fraye un passage dans sa croupe. Elle adore cet instant magique, elle voudrait que cela dure indéfiniment, que d'autres membres l'envahissent dans sa bouche, entre ses seins, elle voudrait traire des bites avec ses mains. Oh ! Quelles pensées a-t-elle ! Elle est complètement folle ! Mais que c'est bon Mon Dieu ! Oh ! Quel moment merveilleux elle vit, elle clame sa joie charnelle.
- Oui ! Oui ! Encore ! Encore ! Baisez-moi ! N'arrêtez pas je vous en supplie ! Encore Oh ! Oui ! Oh ! Oui !. Encule-moi ! Continue mon chéri, comme ça ! Oui ! Oh que c'est bon ! C'est bon ! Ouiiiii Ouiiiiiiiiiiiiii !!!!.
Le matin, une lumière filtre à travers les doubles rideaux, Marie-Ange s'éveille langoureusement, son corps endolori, meurtri, mais assouvi et l'esprit complètement détendu elle se trouve bien. Elle se retourne dans son lit et regarde Paul, qui surveille son réveil du coin de l'œil, un peu inquiet de sa réaction. Marie-Ange se pelotonne contre son mari et l'embrasse tendrement.
- Merci mon Chéri ! Oh Merci !, Merci ! C'était tellement bon, j'ai honte d'avoir tant joui, mais j'ai aimé tu sais, surtout quand vous étiez tous les deux dans moi, j'en avais tellement peur auparavant, et c'est si bon, c'est une sensation merveilleuse d'être remplie toute, je ne sais plus ce que je dis, j'ai honte mon Chéri, que vas-tu penser de moi ?
Paul lui baise tendrement ses yeux, son nez, sa bouche.
- Je ne vois pas pourquoi tu aurais honte, tu as joui merveilleusement et j'ai pu de nouveau bander et t'enculer par-dessus le marché, et tâte, je bande de nouveau, aussi je ne vais pas tarder à te montrer de quoi je suis capable.
Quelques jours ont passé, Paul et Marie-Ange sont de plus en plus amoureux, mais la forme de Paul s'est amenuisé et il a de nouveau des difficultés à maintenir son sexe en érection, tout du moins assez longtemps pour pouvoir honorer son épouse.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonsoir vieulou ou plus exactement : vieux loup, je te remercie pour ce récit fort bien écrit,ce qui ne gâche rien à cette histoire érotique et excitante surtout pour le lecteur candauliste que je suis depuis plus de cinq décennies ! Ton ami, Didier
Cette belle histoire rondement menée semble si réelle qu'elle me donne quelques idées quant à la façon de mener ma femme à cette expérience à trois. Je pourrais alors vous raconter moi aussi cette aventure...
superbe histoire,comme paul plus d'erection,