Défoule toi en moi
Récit érotique écrit par Mikasa3008 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Défoule toi en moi
Ce qui devait être un week-end parfait, a commencé par une dispute. Je pensais pas être de sitôt punis et j'en ai profité pour ouvrir un peu trop ma bouche.
C'était sans compter sur les manigances de mon Maître. Il a trouvé un moyen pour qu'on se retrouve tout les deux.
Plutôt dans la journée ma voiture est tombée en panne devant la maison. L'après-midi, Lui est venu me récupérer chez ma mère, il lui demanda gentiment de garder les enfants pendant qu'on regarde ce que la voiture a comme problème. C'est la que j'ai compris qu'il allait me faire regretter d'avoir répondu et surtout qu'il m'a dit à plusieurs reprises qu'il passe une mauvaise journée.
Nous sommes arrivés à la maison, je voulais l'attendre en bas, car nous avions pas beaucoup de temps. Il insistait pour que je l'accompagne en haut. Je savais très bien ce qui allait m'arriver, je jouais la carte des enfants à chercher mais rien à faire. Il n'a pas cédé. Il m'a dit de ne pas aggraver mon cas. J'ai obéis et je suis montée.
Je l'avais beaucoup énervé, en lui tenant tête à plusieurs reprises. Je savais que j'allais prendre cher.
Il m'a déshabillé et m'a demandé de l'attendre au salon à 4 pattes contre le canapé, genoux à terre et bras, poitrine sur l'assise du canapé. Il m'a rejoint et m'a dit "tu sais ce que tu as à faire".
J'ai fait comme si je ne savais pas de quoi il parle. Il insista. J'ai fini par prendre sa bite, je l'ai mise à mon trou et j'ai dit "encule moi".
Il m'a répondu "et le reste de ce que tu as à dire ? " J'ai continué en disant qu'il m'avait aussi fâché. Il m'a pincé le téton et m'a dit "tu vas dire ce que tu as à dire ?" J'ai repris sa bite, l'ai mise devant mon cul et j'ai dit "défoule toi dans mon cul pour me passer l'envie de recommencer, je suis désolée de t'avoir énervé, je suis à toi"A ces mots, il se plaça bien et me dit "prête ? - oui prête".
Il me pénétra les fesses à sec, qu'est ce que j'ai eu mal, mais j'ai aussi senti à quel point je suis à lui, comme je lui appartiens, je faisais qu'un avec lui. Il continuait à s'avancer en moi, pénétrant sa bite dans mon cul serré, encore sec il faisait des allés retours rapides, par certains moments c'était comme si il bloquait à l'intérieur avec la peau de son penis contre celle de mon anus serré et sec, c'était d'une douleur qui me faisait me crisper de partout. Je m'avançais pour éviter la douleur mais bloqué contre le canapé ça ne changeait pas grand chose, au fond je sais que je l'ai mérité, que je l'ai beaucoup énervé, puis il avait dit plusieurs fois qu'il passe une journée de merde, si m'enfoncer sa bite et me faire mal comme ça, le soulage et lui fait du bien, je veux bien me sacrifier, pour qu'il évacu la colère qu'il a en lui.
Après 4 ou 5 fois ou je me suis crispée, il s'est arrêté et m'a dit de me rhabiller.
Mon moi intérieur : "Choc !! Pourquoi ?? Qu'est ce qui se passe ? Mais continue je suis à toi, fais ce que tu veux de moi. Soulage toi, défoule tes nerfs de ta journée de merde, de moi qui t'ai énervé, fais moi crier" je me suis rhabillée tout en ayant un malaise. Je voulais qu'il continue. Je voulais qu'il se soulage en moi, être pleine de lui, être a lui. J'ai ouvert à nouveau mon pantalon et lui ai dit de continuer. Il a refusé, il m'a dit "tu l'auras ce soir, par devant correctement, mais tu as mérité que je te fasse mal." Je lui ai redemandé de continuer mais non il a pas voulu, après tout c'est lui le Maître et qui décide de mon sort. Je me suis rhabillée complètement, déçue, triste...
Je me suis sentie encore plus punie.
J'étais impatiente d'être le soir, pour pouvoir lui montrer que je lui appartiens.
Le soir venu, une fois que les enfants dormaient, nous sommes montés dans la chambre.
Je me suis déshabillée et mis au lit. Une fois nu également, mon Maître est venu s'allonger sur moi et s'est glissé entre mes cuisses. Il m'a demandé de descendre sur le matelas, anticipant qu'avec ses coups de reins j'allais monter.
Nos sexes se touchaient. Il m'a regardé dans les yeux, il a mis sa main sous ma nuque, tout en m'embrassant il m'a pénétré. Il est en moi, nous faisons qu'un et qu'est ce que c'est bon.
Il a parcouru avec ses lèvres en me faisant des petits bisous, mon visage, mon cou, pour finir à mes oreilles, et me chuchote "tu m'as vraiment énervé aujourd'hui, je n'ai pas apprécié ta façon de me parler, en plus que c'était la misère au boulot toi tu en rajoutes une couche, tu ne mérites pas l'orgasme, je vais quand même t'enculer, mais je ne suis pas comme ça, tu as droit à du lubrifiant.
(Mon maître aime que de moi même je refuse le lubrifiant et que je fasse en sorte que sa bite soit bien sèche)- non je ne veux pas, de lubrifiant, j'ai envie que tu me prennes à sec.
- ah bon ? Pourquoi ?
- parce que je suis à toi, je t'appartiens et je veux te sentir le plus possible, et avec mon comportement de cet après midi je ne mérite pas de lubrifiant. Je veux que tu m'encules brutalement et à sec.
- Mais en te pénétrant devant ma bite est déjà mouillée, ce n'est plus sec. Que comptes tu faire ?
- je la passe entre mes seins pour l'essuyer.
- hummm... d'accord mais avant tu me suces un peu.
- tu as droit de choisir la position dans laquelle tu vas te faire enculer- moi au-dessus je m'encule moi même- pourquoi ?
- pour pouvoir gérer la pénétration.
- non je veux pas, tu te pénétreras d'un coup, je te tiendrais et m'enfoncerai en toi en même temps pour que ce soit d'un coup.
-d'accord"L'avoir en moi, l'entendre me parler, m'excitait. Je sentais mon orgasme arriver, et lui aussi, (j'aime qu'il me connaisse comme ça.) il m'a dit "non non toi tu termines pas tu as pas le droit" il s'arrête et s'allonge sur le lit. "Maintenant suce moi" J'ai pris sa bite et je l'ai mise dans ma bouche, elle avait un goût salé, j'ai fait des allés retours, un peu plus profond à chaque fois. Avec ma langue j'ai leché son gland, j'ai introduis dans ma bouche juste le bout de sa queue et j'aspirais encore et encore comme si je voulais faire monter son sperme. Il m'a demandé d'arrêter. Je me suis relevée un peu et j'ai mis sa bite entre mes gros seins, je me suis frottée comme ça, avec mes mains je les ai resseré l'un contre l'autre, sa bite emprise au milieu, frotter encore et encore.
Il m'a dit "allez viens là" je me suis mise sur lui, sa bite entre mes fesses, je l'ai regardé en lui disant "je suis à toi" j'ai commencé une descente lente. Il m'a aggripé et tiré vers lui tout en montant son bassin. J'ai eu très mal, mon Maître l'a remarquer, il s'est empressé de mettre sa main sur ma bouche où j'ai étouffé un cri dedans.
Ce n'est pas tant d'être sec qui m'a fait mal, car ça ne l'etait pas tout à fait, mais plus mon muscle anal qui était très contracté. J'ai ressenti la douleur, mais aussi sa puissance.
Une fois ouverte, il m'a demandé de me mettre à plat ventre sur le lit, il m'a pénétré les fesses encore serrées mais moins douloureux, il a dégagé les cheveux de ma nuque, m'a fait des bisous dans le cou, ses bras de part de d'autre de ma tête, j'étais au paradis, j'aurai voulu arrêter le temps, rester comme ça des heures, je me sentais bien.
Sa voix m'a fait sortir de mes pensées " j'ai envie de te finir devant.
(Je fais facilement des infections et je lui ai toujours dit que ça je ne souhaite pas faire)- tu mets juste le bout quand ça vient ?
- non je t'enfonce au fond pour pas que ça sorte.
- et les infections ?
- j'ai pas le droit de passer de derrière a devant ?
- siIl m'a retourné, à mis mes jambes sur ses épaules m'a re pénétré le cul et m'a redemandé.
- j'ai le droit de passer de derrière à devant ?
- oui - pourquoi ?
- parce que je suis à toi et tu peux faire ce que tu veux de moi.
- même si tu risques une infection ?
- oui"Il est sorti de mes fesses pour me pénétrer la chatte et m'a dit "je peux faire ça ?
- oui."( C'est dommage que je fais facilement des infections, parce que le passage de devant à derrière est pas si désagréable. )Il est revenu dans mon cul en disant.
"- Ca passe bien là, je t'ai bien ouverte, autre chose que cette après midi.
- oui j'ai eu très mal cette après midi. J'ai encore mal maintenant, je pense que je suis déchirée.
-Tant mieux tu as mérité. Je regrette d'avoir arrêté, la prochaine fois je continue jusqu'à ce que tu pleures."Il a passé ses doigts sur ma joue et a suivi de ses yeux ses doigts comme si il imaginait des larmes couler en poursuivant "- heureusement qu'il y avait le canapé sinon tu te serais échappé. La prochaine fois que je t'encule comme ça ce sera au milieu d'une pièce sans que tu sois coincé, je mettrais une marque au sol et tu auras interdiction de bouger tes mains"J'avais toujours les jambes sur ses épaules il a continué ses vas et viens dans mon cul et j'ai senti au rythme de ses coups qui devenaient plus forts et plus rapides que son sperme allait pas tarder a sortir, il sorti sa queue de mon cul et il s'enfonca au fond de ma chatte pour gicler tout dedans. J'ai pas eu d'orgasme mais qu'est ce que c'est bon de me sentir pleine de lui, je me sentais bien, je suis à lui et rien qu'à lui, mon plaisir à moi il est là. J'aime mon Maître, j'aime lui appartenir, j'aime qu'il se fasse du bien en moi.
C'était sans compter sur les manigances de mon Maître. Il a trouvé un moyen pour qu'on se retrouve tout les deux.
Plutôt dans la journée ma voiture est tombée en panne devant la maison. L'après-midi, Lui est venu me récupérer chez ma mère, il lui demanda gentiment de garder les enfants pendant qu'on regarde ce que la voiture a comme problème. C'est la que j'ai compris qu'il allait me faire regretter d'avoir répondu et surtout qu'il m'a dit à plusieurs reprises qu'il passe une mauvaise journée.
Nous sommes arrivés à la maison, je voulais l'attendre en bas, car nous avions pas beaucoup de temps. Il insistait pour que je l'accompagne en haut. Je savais très bien ce qui allait m'arriver, je jouais la carte des enfants à chercher mais rien à faire. Il n'a pas cédé. Il m'a dit de ne pas aggraver mon cas. J'ai obéis et je suis montée.
Je l'avais beaucoup énervé, en lui tenant tête à plusieurs reprises. Je savais que j'allais prendre cher.
Il m'a déshabillé et m'a demandé de l'attendre au salon à 4 pattes contre le canapé, genoux à terre et bras, poitrine sur l'assise du canapé. Il m'a rejoint et m'a dit "tu sais ce que tu as à faire".
J'ai fait comme si je ne savais pas de quoi il parle. Il insista. J'ai fini par prendre sa bite, je l'ai mise à mon trou et j'ai dit "encule moi".
Il m'a répondu "et le reste de ce que tu as à dire ? " J'ai continué en disant qu'il m'avait aussi fâché. Il m'a pincé le téton et m'a dit "tu vas dire ce que tu as à dire ?" J'ai repris sa bite, l'ai mise devant mon cul et j'ai dit "défoule toi dans mon cul pour me passer l'envie de recommencer, je suis désolée de t'avoir énervé, je suis à toi"A ces mots, il se plaça bien et me dit "prête ? - oui prête".
Il me pénétra les fesses à sec, qu'est ce que j'ai eu mal, mais j'ai aussi senti à quel point je suis à lui, comme je lui appartiens, je faisais qu'un avec lui. Il continuait à s'avancer en moi, pénétrant sa bite dans mon cul serré, encore sec il faisait des allés retours rapides, par certains moments c'était comme si il bloquait à l'intérieur avec la peau de son penis contre celle de mon anus serré et sec, c'était d'une douleur qui me faisait me crisper de partout. Je m'avançais pour éviter la douleur mais bloqué contre le canapé ça ne changeait pas grand chose, au fond je sais que je l'ai mérité, que je l'ai beaucoup énervé, puis il avait dit plusieurs fois qu'il passe une journée de merde, si m'enfoncer sa bite et me faire mal comme ça, le soulage et lui fait du bien, je veux bien me sacrifier, pour qu'il évacu la colère qu'il a en lui.
Après 4 ou 5 fois ou je me suis crispée, il s'est arrêté et m'a dit de me rhabiller.
Mon moi intérieur : "Choc !! Pourquoi ?? Qu'est ce qui se passe ? Mais continue je suis à toi, fais ce que tu veux de moi. Soulage toi, défoule tes nerfs de ta journée de merde, de moi qui t'ai énervé, fais moi crier" je me suis rhabillée tout en ayant un malaise. Je voulais qu'il continue. Je voulais qu'il se soulage en moi, être pleine de lui, être a lui. J'ai ouvert à nouveau mon pantalon et lui ai dit de continuer. Il a refusé, il m'a dit "tu l'auras ce soir, par devant correctement, mais tu as mérité que je te fasse mal." Je lui ai redemandé de continuer mais non il a pas voulu, après tout c'est lui le Maître et qui décide de mon sort. Je me suis rhabillée complètement, déçue, triste...
Je me suis sentie encore plus punie.
J'étais impatiente d'être le soir, pour pouvoir lui montrer que je lui appartiens.
Le soir venu, une fois que les enfants dormaient, nous sommes montés dans la chambre.
Je me suis déshabillée et mis au lit. Une fois nu également, mon Maître est venu s'allonger sur moi et s'est glissé entre mes cuisses. Il m'a demandé de descendre sur le matelas, anticipant qu'avec ses coups de reins j'allais monter.
Nos sexes se touchaient. Il m'a regardé dans les yeux, il a mis sa main sous ma nuque, tout en m'embrassant il m'a pénétré. Il est en moi, nous faisons qu'un et qu'est ce que c'est bon.
Il a parcouru avec ses lèvres en me faisant des petits bisous, mon visage, mon cou, pour finir à mes oreilles, et me chuchote "tu m'as vraiment énervé aujourd'hui, je n'ai pas apprécié ta façon de me parler, en plus que c'était la misère au boulot toi tu en rajoutes une couche, tu ne mérites pas l'orgasme, je vais quand même t'enculer, mais je ne suis pas comme ça, tu as droit à du lubrifiant.
(Mon maître aime que de moi même je refuse le lubrifiant et que je fasse en sorte que sa bite soit bien sèche)- non je ne veux pas, de lubrifiant, j'ai envie que tu me prennes à sec.
- ah bon ? Pourquoi ?
- parce que je suis à toi, je t'appartiens et je veux te sentir le plus possible, et avec mon comportement de cet après midi je ne mérite pas de lubrifiant. Je veux que tu m'encules brutalement et à sec.
- Mais en te pénétrant devant ma bite est déjà mouillée, ce n'est plus sec. Que comptes tu faire ?
- je la passe entre mes seins pour l'essuyer.
- hummm... d'accord mais avant tu me suces un peu.
- tu as droit de choisir la position dans laquelle tu vas te faire enculer- moi au-dessus je m'encule moi même- pourquoi ?
- pour pouvoir gérer la pénétration.
- non je veux pas, tu te pénétreras d'un coup, je te tiendrais et m'enfoncerai en toi en même temps pour que ce soit d'un coup.
-d'accord"L'avoir en moi, l'entendre me parler, m'excitait. Je sentais mon orgasme arriver, et lui aussi, (j'aime qu'il me connaisse comme ça.) il m'a dit "non non toi tu termines pas tu as pas le droit" il s'arrête et s'allonge sur le lit. "Maintenant suce moi" J'ai pris sa bite et je l'ai mise dans ma bouche, elle avait un goût salé, j'ai fait des allés retours, un peu plus profond à chaque fois. Avec ma langue j'ai leché son gland, j'ai introduis dans ma bouche juste le bout de sa queue et j'aspirais encore et encore comme si je voulais faire monter son sperme. Il m'a demandé d'arrêter. Je me suis relevée un peu et j'ai mis sa bite entre mes gros seins, je me suis frottée comme ça, avec mes mains je les ai resseré l'un contre l'autre, sa bite emprise au milieu, frotter encore et encore.
Il m'a dit "allez viens là" je me suis mise sur lui, sa bite entre mes fesses, je l'ai regardé en lui disant "je suis à toi" j'ai commencé une descente lente. Il m'a aggripé et tiré vers lui tout en montant son bassin. J'ai eu très mal, mon Maître l'a remarquer, il s'est empressé de mettre sa main sur ma bouche où j'ai étouffé un cri dedans.
Ce n'est pas tant d'être sec qui m'a fait mal, car ça ne l'etait pas tout à fait, mais plus mon muscle anal qui était très contracté. J'ai ressenti la douleur, mais aussi sa puissance.
Une fois ouverte, il m'a demandé de me mettre à plat ventre sur le lit, il m'a pénétré les fesses encore serrées mais moins douloureux, il a dégagé les cheveux de ma nuque, m'a fait des bisous dans le cou, ses bras de part de d'autre de ma tête, j'étais au paradis, j'aurai voulu arrêter le temps, rester comme ça des heures, je me sentais bien.
Sa voix m'a fait sortir de mes pensées " j'ai envie de te finir devant.
(Je fais facilement des infections et je lui ai toujours dit que ça je ne souhaite pas faire)- tu mets juste le bout quand ça vient ?
- non je t'enfonce au fond pour pas que ça sorte.
- et les infections ?
- j'ai pas le droit de passer de derrière a devant ?
- siIl m'a retourné, à mis mes jambes sur ses épaules m'a re pénétré le cul et m'a redemandé.
- j'ai le droit de passer de derrière à devant ?
- oui - pourquoi ?
- parce que je suis à toi et tu peux faire ce que tu veux de moi.
- même si tu risques une infection ?
- oui"Il est sorti de mes fesses pour me pénétrer la chatte et m'a dit "je peux faire ça ?
- oui."( C'est dommage que je fais facilement des infections, parce que le passage de devant à derrière est pas si désagréable. )Il est revenu dans mon cul en disant.
"- Ca passe bien là, je t'ai bien ouverte, autre chose que cette après midi.
- oui j'ai eu très mal cette après midi. J'ai encore mal maintenant, je pense que je suis déchirée.
-Tant mieux tu as mérité. Je regrette d'avoir arrêté, la prochaine fois je continue jusqu'à ce que tu pleures."Il a passé ses doigts sur ma joue et a suivi de ses yeux ses doigts comme si il imaginait des larmes couler en poursuivant "- heureusement qu'il y avait le canapé sinon tu te serais échappé. La prochaine fois que je t'encule comme ça ce sera au milieu d'une pièce sans que tu sois coincé, je mettrais une marque au sol et tu auras interdiction de bouger tes mains"J'avais toujours les jambes sur ses épaules il a continué ses vas et viens dans mon cul et j'ai senti au rythme de ses coups qui devenaient plus forts et plus rapides que son sperme allait pas tarder a sortir, il sorti sa queue de mon cul et il s'enfonca au fond de ma chatte pour gicler tout dedans. J'ai pas eu d'orgasme mais qu'est ce que c'est bon de me sentir pleine de lui, je me sentais bien, je suis à lui et rien qu'à lui, mon plaisir à moi il est là. J'aime mon Maître, j'aime lui appartenir, j'aime qu'il se fasse du bien en moi.
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Les avis des lecteurs
T'aimes être un vide couilles, il a même pas à se faire chier à te donner l'orgasme. Une salope comme toi j'en veux aussi une. Je veux connaître tes limites. T'es d'où ?