Week-end Sodomie

- Par l'auteur HDS Mikasa3008 -
Récit érotique écrit par Mikasa3008 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Week-end Sodomie Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Week-end Sodomie
Les derniers temps avec mon Maître il y avait des hauts et des bas. Souvent des disputes, je ne suis pas trop une soumise obéissante en ce moment... on s'est éloignés un peu pour prendre du recule, on habite plus ensemble. Puis nous avons décidé de passer un petit week-end sympa histoire de se rapprocher.


J'arrive chez lui, il me parle de peinture qu'il aimerait faire dans la chambre, on va dans la pièce pour en discuter. A un moment il me dit de me déshabiller, il y a un blanc. Je le regarde, dans mon esprit tout s'embrouille, entre lui dire "non pas à peine j'arrive" ou le faire parce que toute façon je lui appartient encore et j'ai qu'une envie c'est qu'il fasse ce qu'il veut de moi.
Mon envie de lui montrer que mes trous lui appartiennent toujours a pris le dessus. Je commence à me déshabiller, sous son regard. Je vois dans ses yeux qu'il apprécie que j'obéis... je me retrouve totalement nue devant lui.
Il commence à mettre les tétons de ma grosse poitrine dans sa bouche. Sa main au niveau de ma nuque remonte dans mes cheveux et sa bouche contre mon oreille il me chuchote : " tu vas te mettre à quatre pattes, je vais faire des marques sur le sol, ensuite je vais t'enculer à sec, parce que ton cul et tes trous sont les miens. J'espère que tu es bien serré. En aucun cas tu devras enlever tes mains de ces marques, tu as compris ? " d'un signe de la tête je lui réponds oui. Il me fait comprendre qu'il n'a pas compris. Je lui dit "oui encule moi à sec, mon cul t'appartient, défoules toi dedans."
Je me mets à quatre pattes, les mains sur les marques qu'il a fait. J'ai de la mouille qui dégouline sur le sol tellement j'ai envie de le sentir se faire du bien en moi. Ça m'avait tellement manqué.
Il se place derrière moi, sa queue contre mon orifice, et me demande si j'ai quelque chose à dire. Sans tarder je lui dit "Maître je suis à toi et je serai toujours à toi, mes trous t'appartiennent. Fais moi ressentir la colère que tu as eu les derniers temps. J'ai envie que tu m'encules, que tu déchaînes dans mon cul". A peine j'avais fini ma phrase et sans prévenir il m'a enfoncé sa bite, d'une traite et à enchaîné ses vas et vients. J'ai hurlé de douleur. J'ai fait du mieux que je pouvais pour ne pas bouger mes mains. Je l'ai entendu me dire de plaisir "oh oui qu'est ce que tu es serrée". Entendre ça, à transformer ma douleur en un tel plaisir, il est là dans mon cul et ça lui fait du bien. Je suis à lui, je lui montre que je lui appartient, qu'il peut faire ce qu'il veut de moi. C'est une merveilleuse sensation.
Il a ses mains sur mes hanches, chacun de ses coups me font mal et me rappelle que cette douleur je la veux pour lui. Mes énormes seins pendent et bougent au même rythme que lui.
Il s'arrête et me demande de m'allonger à plat ventre sur le lit, il vient par dessus et me pénétre de nouveau. Je suis coincée entre son bassin et le matelas, ses bras de part et d'autres de ma tête, je suis à sa merci. Je sens que ses coups de queue deviennent de plus en plus rapides et courts, ça y est il va pas tarder à se vider les couilles en moi, ça me procure tellement de plaisir, malgré la douleur de ses coups. Je le sens les contractions de son pénis, les jets de son sperme, c'est bon il m'a giclé dedans. Il s'arrête, passe sa main dans mes cheveux et me dit "ton cul va prendre cher ce week-end, je compte bien l'utiliser" et il se couche sur moi, sa verge encore en moi. Je suis totalement épuisée, mais qu'est ce que c'était bon.


L'après midi nous avons eu des échanges qui m'ont fait de la peine et le soir j'y pensais encore.
Nous avons choisi de dormir à l'hôtel. Je suis allée prendre une douche. Une fois terminé, j'ai échangé quelques mots avec mon Maître, par rapport à l'après midi. En règle générale, je n'ai pas le droit de porter de vêtements pour dormir, mes trous doivent être disponible pour mon Maître si il a envie de se vider les couilles en pleine nuit et ma poitrine doit être accessible. Ce soir, j'ai voulu mettre un tee-shirt pour dormir, il me l'a arraché des mains et l'a jeté plus loin dans la pièce.
Je suis allée m'allonger, triste. Il se dirige lentement vers moi, en fixant mon corps nue. J'ai compris que j'allais y passer. Je me suis dit il va me faire tendrement l'amour, pour améliorer mon moral.
Il est venu sur moi. J'ai mis mes mains sur mes seins, il a fait signe des les enlever, pour laisser apparaître mes tétons.
Il m'a regardé, il a passé ses yeux partout sur le haut de mon corps. Il est tellement beau, la forme de ses yeux, son regard, sa bouche, je ne me lasse pas de le voir sur moi. Je pensais vraiment qu'il venait me réconforter. Puis il a pris mes jambes les a passer sur ses épaules tout en me regardant dans les yeux. J'ai compris, il ne va pas me faire l'amour, il va de nouveau se défouler dans mon cul, je lui en ai voulu, qu'il ne prenne pas en compte ce que je ressens. J'avais besoin de câlin et réconfort. Je l'ai laissé faire, je suis à lui, dans 2 jours je retourne chez moi. Je veux encore lui faire du bien en ayant mal pour lui.
Sans un mot, juste son regard dans le mien il s'est enfoncé dans mon cul, doucement, j'avais mal encore de la pénétration de l'après midi, la descente lente m'a fait très mal, je pense que je suis ouverte. Il commence ses vas et vients. J'ai mal, tellement mal, des larmes coulent sur le côté de mon visage. Dans son regard je vois à quel point il aime ce qu'il regarde, il aime me voir avoir mal pour lui, la souffrance sur mon visage, les mimiques de douleurs et mes larmes qui coulent. Et moi j'aime quand il me regarde comme ça, j'aime la bouche qu'il a dans ces moments là. Quand je ferme les yeux un peu trop longtemps, il me dit "non ouvre les yeux, je veux voir la douleur dans tes yeux, ce que tu supportes pour moi, tu es tellement belle"
J'aime le sentir puissant et qu'il ai le contrôle de moi et de mon corps.
Il fait des allés retours dans mon cul, rapides, lents pour voir ce qui me faisait le plus reagir et il ne me lâche pas du regard.
Il me fait mal. Il commence à faire des coups rapides, je sens qu'il va bientôt se vider dans mon cul, c'est tellement bon de savoir qu'il va gicler en moi, que je vais être pleine de lui. J'aime le bien que ça me procure quand je sens les jets de son sperme, les contractions de sa queue, ça me donne du plaisir.
Je suis satisfaite de satisfaire mon Maître.
Il continue de me regarder, sors de mon cul et se place devant pour me pénétrer la chatte. Je fais facilement des infections et je préfère pas qu'il fasse ça et je lui dis "non". Il me demande "Pourquoi ? Tu n'es pas à moi ? J'ai pas le droit de faire ce que je veux de ton corps ? J'ai envie de te l'enfoncer devant maintenant"
Je pourrais tout lui accepter quand il me parle et me regarde comme ça.
J'ai répondu "si vas y, je suis à toi, tu peux faire ce que tu veux"


Il m'a pénétré le vagin, après m'avoir enculé, même si j'aime pas je l'ai laissé faire, il a tout droit sur mon corps, il a fait quelques allés retours et est sorti. Je me sens bien de lui appartenir.

Le lendemain après midi, nous avons parlé d'un film qui parle de "t'es cap, pas cap"
Le soir venu je devais le déposer a sa voiture qu'il avait laissé dans un champ. Il pleuvait. Je sors de ma voiture et me dirige vers la sienne où il se tient debout. Je m'avance pour l'embrasser et je lui dis "t'es cap de m'enculer encore une fois contre le capot de la voiture?" Il n'a pas fallu lui répéter, il a ouvert son pantalon et moi le mien, il m'a levé le tee-shirt et ma plaqué contre le capot, mes seins aplatis contre la carrosserie et dans la seconde il était en moi. La douleur des vas et vients de sa queue dans mon cul était toujours présente. Il me tenait aux épaules et faisait des grands coups lents et bien profonds. Ce mouvement me faisait encore plus mal, après quelques minutes il a commencé à faire des coups rapides, je le sens son sperme va sortir. C'est tellement exquis. J'adore. Nous nous sommes revêtus rapidement.


Ce week-end j'ai plus servi de défouloire et de vide couille qu'autre chose, mais mon Maître à les couilles vides et il s'est fait du bien dans mes trous, il a aimé la douleur que j'ai supporté pour lui et c'est tout ce qui compte pour moi.

Je t'aime mon Maître.

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