Delphine, Antonia et moi : Pique-nique avec imprévue…

- Par l'auteur HDS Not_too_late -
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Récit libertin : Delphine, Antonia et moi : Pique-nique avec imprévue… Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2006 dans la catégorie Plus on est
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Delphine, Antonia et moi : Pique-nique avec imprévue…
<p>Ce vendredi là, nous ne travaillions pas l’après-midi, pour raison de maintenance informatique.

Dès que le temps vire au beau, en Mai, on abandonne les éternels restaurants, snacks et pizzerias, et on s’adonne au pique-nique, dans la forêt domaniale, à 5 km du bureau.

Tout est bien organisé, chacun amène quelque chose pour manger et boire, et on partage le tout. Il y a la nappe pour la table en bois scellée dans le sol, des plaids pour ne pas se salir sur les bancs. Ce jour là, vers 9h, il faisait un temps splendide.

Manque de pot, ou jour de chance, l’avenir le dira, vers 11h30, des nuages noirs ont rempli le ciel, et à midi il pleuvait à verse. Plus question de pique-nique, les chemins forestiers devaient être trempés, comme « notre » table et « nos » bancs.

Antonia dit alors : « Si on allait pique-niquer chez moi, c’est à quinze minutes d’ici ? ».

Delphine et moi refusâmes mollement, mais Antonia dit d’un ton sans réplique : »Allez, zou, on va chez moi ! Ne discutez pas !». Son appartement est un joli trois-pièces bien situé, dans lequel elle vit seule, depuis son divorce, il y a 5 ans. Delphine connaissait déjà, moi pas.

On a d’abord bu un apéro, puis mangé ce que nous avions amené. Elton John passait en boucle, c’était très sympa, on avait encore bien ri avec des histoires toujours coquines !

Ces dames étaient en tenue presque estivale : jupes légères, chemisiers vaporeux, au décolleté avantageux. Mes regards dérobés ne les laissaient pas indifférentes, et elles accentuaient les poses un peu suggestives, penchées sur la table, ou perchées sur la pointe des pieds pour attraper quelque chose dans un meuble de cuisine. Elles s’ingéniaient à me montrer plus que d’ordinaire, mais sans en avoir l’air. Tout ceci avait le don de m’exciter au plus haut point.

Quand tout fut rangé, Antonia dit : « Et si on prenait un digestif ? Je vous fais un Irish Coffee, vous allez voir, c’est ma spécialité ! ». Effectivement, les verres montraient bien le contraste du whisky, du café et de la crème fraîche : c’était beau à regarder, ce fut un délice à déguster.

Installés dans un canapé profond, moi coincé entre mes deux copines, nous sirotions ce breuvage divin avec une paille. Après l’excellent Bordeaux du repas, cet alcool supplémentaire nous amena rapidement au fou rire, avec des blagues plus salaces.

Posant mon verre sur la table basse devant moi, subitement, je passais mes mains sur leur poitrine, d’un geste certes rapide, mais qui me permit d’apprécier ces rondeurs dont je rêvais tant.

Surprises, elles n’osèrent pas bouger, de peur de renverser leur verre, qu’elles tenaient à deux mains. « Cochon, Salaud, Vicieux, tu en profites ! C’est pas du jeu ! », dirent-elles en même temps, tout en riant aux éclats.


D’autant qu’enfoncées au creux du canapé, elles ne pouvaient se relever prestement.
A vouloir essayer et n’y arrivant pas, secouées par leurs rires, elles gigotaient, mais sans réelle conviction, et donc sans résultat que de s’enfoncer encore plus.

Je leur dis « Attention aux vêtements, pas de gestes brusques ! L’Irish, çà tâche !».

Les ayant ainsi prévenues, je me remis à fourrager leur chemisier, mes mains allant de l’une à l’autre à la vitesse de l’éclair, les repoussant tour à tour au fond du canapé quand elles avaient presque réussi à se relever.

J’arrivais à déboutonner tant bien que mal le chemisier d’Antonia, dévoilant un soutien-gorge blanc transparent, qui ne laissait rien cacher de son contenu. Je contemplais cette poitrine opulente avec ravissement, et la caressait avec douceur, les yeux dans ceux de la belle, qui me lança un regard interrogateur. Ses tétons étaient dressés, entourés d’une large auréole brune. Sa peau était douce, un peu molle, et j’extirpais doucement un sein, puis l’autre de leur cocon de tissu. Ses seins lourds, ainsi exposés eurent l’effet d’une décharge électrique.

Antonia ne riait plus, elle haletait maintenant, et me tendit son verre afin que je le pose sur la table. « Maintenant que tu les vois et que tu les touches, qu’en penses-tu ? ». J’étais fasciné.

Les femmes devant leur miroir, font une fixation sur les seins, les fesses et le ventre.
Si elles n’en sont pas vraiment satisfaites, elles pensent que les hommes les voient d’un même œil, alors que c’est faux. Des seins un peu mous, un cul un peu bas et un petit ventre ne me déplaisent nullement, au contraire.

Prenant appui sur moi, Delphine s’extirpa un peu du canapé, mais alors que je pensais la voir fuir hors d’atteinte de mes mains baladeuses, elle posa simplement son verre et revint se coller à moi, captivée elle aussi par le spectacle offert.

« Ils sont beaux, ses seins, n’est-ce pas, espèce de voyou ? ». Subjugué, en pleine contemplation devant ces fruits tant désirés, j’étais sans voix, sur un nuage. Heureux….

D’un mouvement tournant, Delphine bascula de l’autre côté d’Antonia, qui se trouva ainsi entre nous deux. Mus par la même inspiration, nous prîmes chacun un sein dans la paume de notre main.

Agaçant les pointes, les titillant, nous léchions ces deux globes avec délectation, pendant qu’Antonia gémissait doucement, excitée et peut-être un peu grisée par l’alcool.

J’approchai mon visage du sien, elle entrouvrit la bouche, et m’embrassa doucement, sa langue se frottant lentement contre la mienne. Nous nous dégustions.

Antonia, de sa main droite, caressa la poitrine de Delphine, cherchant à sortir un sein.
De sa main droite, elle touchait mon sexe au travers du pantalon. Ses doigts tripotaient ma fermeture Eclair, et atteignirent mon slip qui ne cachait rien de mon état. Son ongle me titillait à hauteur du gland. Enfin, elle me libéra de mon carcan, et continua de me caresser avec lenteur, tout en me regarda droit dans les yeux, avec un petit sourire tendre. Je bandais comme jamais.

Delphine prit ma main libre et la guida vers le sexe de notre amie. Nos doigts, écartant le tissu, se rejoignirent dans la chatte velue d’Antonia, imprimant un lent mouvement de va et vient, qui lui arrachait des soupirs de béatitude. « Encore ! Doucement, doucement ! ».

Antonia continuait à me masser la queue et dit « Je veux la sucer, viens ! ». Je fus à poil en vingt secondes, et debout sur le canapé, présentai mon chibre juste à la hauteur de sa bouche. Elle commença une fellation divine, et je dus me concentrer pour éviter d’exploser dans l’instant. Delphine, quant à elle, continuait d’astiquer sa copine, trois ou quatre doigts dans sa chatte, mais avait accéléré le mouvement. On entendait des bruits humides, elle était trempée.

A ce rythme là, Antonia atteint rapidement l’orgasme, geignant, s’activant sur ma queue pour que j’en fasse de même. Me lâchant, elle dit : « Crache sur mes nichons, mon amour, viens, viens ! ». Les yeux mi-clos, elle se malaxait les seins avec frénésie.

Me reculant un peu, et pliant légèrement les genoux, je m’empoignai vigoureusement pour parachever le travail, au dessus de ses seins. Delphine avait enfourné ses doigts trempés dans sa bouche, puis dans la mienne, avant de rapprocher sa tête de la poitrine d’Antonia.
Ses yeux fixaient ma queue, et elle attendait, bouche ouverte et langue sortie !

Je ne fus pas long à jouir, la première giclée atteignant le menton d’Antonia, la deuxième les cheveux de Delphine, le reste s’écoulant sur les seins enserrés dans les mains d’Antonia.

Delphine lécha le sperme, utilisant sa langue pour emmagasiner mon jus.
Sa langue toujours sortie, chargée de foutre, elle approcha son visage de sa copine, qui attendait, la bouche entrouverte. Elles se picorèrent le museau, leurs langues dansaient la sarabande, et elles finirent par avaler salive et sperme. Chacune avec une main continuaient de masser ma queue.

De longues minutes s’écoulèrent dans le silence. Nous étions comme en apesanteur, savourant chacun à notre façon ce moment exceptionnel.

Les yeux mi-clos, je me souvenais d’avoir souvent surpris des regards troubles entre elles au bureau, des messes basses aussi. Je m’étonnais qu’aucune n’ait manifesté le désir d’être pénétrée. Il y avait un mystère à éclaircir…

Il était 16h, la pluie avait cessé, et je demandai : « Vous avez prévu quelque chose, ce week-end ? ». Delphine fit non de la tête. Antonia dit qu’elle pouvait reporter son dentiste.

« Pour moi, c’est bon aussi, donc on part dans une heure, et on rentre Dimanche soir !».

« Où va t-on ? »

« Surprise ! ».


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