Delphine, Antonia & moi : Week-End à trois (1)…

- Par l'auteur HDS Not_too_late -
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Récit libertin : Delphine, Antonia & moi : Week-End à trois (1)… Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2006 dans la catégorie Plus on est
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Delphine, Antonia & moi : Week-End à trois (1)…
<p>**** avis au Comité de Lecture *******
je ne sais si je vous ai déjà transmis cette histoire.
Dans le doute, je l'envoie à nouveau.
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Après ce pique-nique spécial, je décide d’embarquer mes copines en week-end.

Pendant qu’Antonia prépare quelques affaires, je réserve une chambre pour 3 personnes dans un hôtel manoir que je connais bien, quelque part dans le Morvan, à 200 km d’ici.

Je demande à prendre une douche, mais les 2 amies répliquent en chœur : « Pas question : on garde les odeurs de notre petit moment d’égarement !».

Antonia boucle son appartement, et l’on doit encore passer chez moi, puis chez Delphine, pour prendre quelques affaires.

Antonia me demande si elle peut conduire mon petit bolide. Je lui tends les clés, Delphine s’installe à l’arrière, moi à l’avant.

Le temps de 2 arrêts, car cela ne prend guère de temps pour balancer quelques fringues et affaires de toilette dans un sac de voyage.

Delphine descend en courant de chez elle, et balance son sac dans le coffre que je tiens ouvert.

Elle s’installe à l’arrière, et, pris d’une inspiration soudaine, je monte à côté d’elle !

« C’est marrant, mais je ne suis jamais monté comme passager arrière dans ma propre voiture. Je suis curieux de savoir si on est bien ! ». Dans le rétro, Antonia hoche la tête, amusée.

Elle a eu le temps de choisir les musiques qui lui plaisent et enclenche un CD de Queen.

Je lui donne les grandes indications sur l’itinéraire, et elle démarre. Dès que nous sommes sortis des routes encombrées, elle prend de l’assurance. Elle conduit vite et bien, comme beaucoup de femmes.

On discute de choses et d’autres, mais pas un mot sur ce que nous avons fait une heure auparavant. Delphine se rapproche de moi, et pose une main sur ma jambe. Je vois Antonia jeter quelques regards furtifs dans le rétro. Elle me demande vers quelle heure nous serons à destination.

« Dans deux heures environ ».
« Dans ce cas, vous pouvez faire un petit somme, je veille sur vous. Je te demanderais des précisions en approche finale ».

Divorcée d’un pilote d’Air France, grand amateur de rallyes, elle utilise volontiers certaines formules aéronautiques, et a gardé de cette époque le plaisir de conduire des voitures rapides.





Delphine se love contre moi, et sa main remonte un peu plus haut.

Elle semble s’assoupir, ou fait semblant. Au bout d’un moment, elle bouge, enlève ses chaussures, et se couche sur le dos, prenant toute la largeur de la banquette. Elle pose sa tête sur mon entrejambe, soupire, puis semble s’endormir.

Antonia, tout à sa conduite, regarde quelque fois dans le rétro, et chantonne avec Freddy Mercury «The show must go on». Je n’ose bouger, je me sens bien et caresse doucement les longs cheveux de Delph. Cette tête blonde qui pèse sur mon sexe me trouble, et je sens ma queue grossir.

Au bout d’un moment, elle déplace un peu sa tête, et pose franchement sa main droite sur ma braguette. Je bouge imperceptiblement pour libérer cette pression, mais sa main persiste et s’accroche.

A force de bouger, sa jupe s’est relevée, dévoilant ses jambes, son chemisier s’est entrebâillé et j’aperçois un petit sein qui émerge d’un cocon bleu. Doucement, ma main se déplace vers cette poitrine fugitivement entraperçue lors de nos ébats récents. Avec dextérité, j’arrive à défaire un bouton, puis deux, afin d’y voir mieux. Dans son rétro, Antonia ne peut rien voir, mais accrochant mon regard fixe planté dans le sien, elle se doute de quelque chose.

Delph a pris une posture alanguie, bien à plat sur le dos, les jambes légèrement écartées. Seule la tête est de côté, tournée vers moi, sa bouche entrouverte à quelque millimètres de ma queue endolorie. De deux doigts je caresse doucement son sein. Au bout d’un moment, elle gémit tout bas, et sa main se crispe sur moi. J‘arrive à dénuder un peu plus ses seins, ce qui m’assure une vue imprenable.

Délaissant ses seins, ma main se dirige vers sa jupe relevée : doucement, je soulève le peu de tissu qui cachait encore son bas-ventre, et pose un doigt sur sa culotte bleue, assez transparente pour deviner une toison claire, traversée d’un sillon bien marqué.

Le tissu est mouillé. Elle gémit encore tout bas, et le ronflement du moteur empêche certainement Antonia d’entendre sa plainte. Mon doigt parcourt de haut en bas cette fente si bien dessinée, imprimant une petite poussée, comme pour s’enfoncer dans ce calice.

Delph, endormie ou pas, se crispe sur la bosse de mon pantalon, et bouge imperceptiblement sa main autour de mon sexe, enfermé dans ce slip et ce pantalon qui me gênent. Mon sexe recourbé dans son étau de tissu n’arrive pas à bander normalement, et je n’ose bouger, de peur de rompre le charme.

Mes doigts s’insinuent maintenant sous le tissu, je suis au contact de ses poils humides, et très lentement je franchis la crête de peau qui me fait pénétrer un vallon chaud et ruisselant de lave en fusion. Je n’en peux plus, il me faut me dégager ! De ma main libre, j’essaie de m’infiltrer sous le pantalon, puis dans le slip pour redresser ma queue qui soufre le martyre.
Dans le même temps, mon doigt s’insinue dans le sexe de Delph, aidé en cela par un léger mouvement de son bassin. Inconsciente ou active, elle participe à ma quête du Graal.

Je sens un relâchement dans la pression du tissu, ma fermeture Eclair est descendue doucement par des doigts agiles. Delph me regarde, les yeux grands ouverts, un léger sourire aux commissures des lèvres. Elle écarte les pans de ma chemise, tire sur l’élastique du slip, et redresse ma verge congestionnée. Ecartant un peu sa tête de moi, elle me laisse bouger suffisamment pour que je baisse d’un coup pantalon et slip. Mon sexe bandé est à l’air libre, raide et droit comme la Justice.

Sa bouche m’engloutit à moitié, mais elle reste ainsi, sans bouger la tête. Elle respire par le nez, et son souffle caresse ma queue. Sa langue entame un lent travail de lubrification.

La nuit commence à tomber, et nous nous trouvons bientôt dans une zone très éclairée. Antonia descend les rapports tel un pilote de rallye, j’entends le clignotant, puis la voiture s’immobilise. Sans se retourner, par rétro interposé, elle lance :

« Je fais le plein. C’est du 98, hein ? Défense de bouger, vous pouvez continuer à jouer, mais surtout aucune conclusion hâtive sans moi, c’est compris ? ».

Delph se redresse un peu, sort ma verge du fourreau de sa bouche, reprend son souffle, tout en continuant de me masturber. Son autre main croche ma nuque pour rapprocher ma tête de la sienne. Sa bouche attend un baiser, que je lui donne avec ferveur, douceur, amour aussi. Comme Antonia tout à l’heure, dans le canapé.

J’ai mis trois doigts dans son vagin trempé. Je les bouge d’un mouvement circulaire afin de bien toucher les parois humides. Son bassin vient à ma rencontre, à grands coups de rein de plus en plus rapides. Sa main se fait plus ferme sur ma queue, m’amenant au bord de l’explosion. Mais elle sait réduire la pression pour empêcher l’éruption.

Je dis : « Doucement, mon chou, Antonia a dit de l’attendre. ».

« Je sais bien, mais moi, je n’en peux plus ! Je veux et je vais jouir maintenant, sur tes doigts ! Ne sois pas inquiet, je sais que tu vas me faire encore jouir tout à l’heure. Tu l’as souvent fait, sans rien en savoir ! ».

Antonia reprend le volant, démarre en trombe, pour s’arrêter peu de temps après, dans un chemin de terre. Elle sort, bascule son siège, passe à l’arrière, verrouille les portes, et s’assoit en repliant les jambes de Delph pour se faire de la place.

Ses doigts rejoignent les miens et s’agitent eux aussi dans la chatte de Delph, qui continue ses coups de boutoir avec son bassin. Au bout d’une minute à peine, Delph se met à hurler de plaisir, son corps se tord de plaisir, emprisonnant nos doigts qui sont maintenant poisseux de son écume. Puis elle retombe, haletante, sa main tenant toujours fermement ma queue qui me fait mal !

Antonia se penche sur ma verge, la prend en bouche. Ses lèvres et sa langue me brutalisent jusqu’à l’extase. J’explose en elle, mais elle ne se retire pas. Elle m’aspire le gland jusqu’à la dernière goutte, puis dans un baiser d’enfer fait partager sa récolte à sa copine.

« C’est bien de m’avoir attendue, mes amours. Avec ce connard de garagiste qui me faisait du baratin, j’ai failli arriver trop tard ! ». L’odeur de foutre embaume la voiture.

Elle me dit encore : « Chéri, peux-tu reprendre le volant, la fin du parcours doit être plus compliquée, non ? ». Décidément, le week-end va être chaud !


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