Dépucelage champêtre, découverte du sexe entre hommes

- Par l'auteur HDS Shybi92 -
Récit érotique écrit par Shybi92 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Dépucelage champêtre, découverte du sexe entre hommes Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Dépucelage champêtre, découverte du sexe entre hommes
Marié depuis 10 ans, j’ai 36 ans et ai toujours eu une vie sexuelle hétéro. Pourtant, depuis plusieurs mois, je fantasme sur une relation avec un homme. Aussi ai-je pris l’habitude de me rendre à VTT dans la zone de l’étang du Cora en forêt de Saint-Germain près de Paris, très fréquentée par des hommes en quête de plaisirs furtifs. A plusieurs reprises, j’ai failli sauter le pas mais, à chaque fois, je me dégonflais, sauf une fois où, tombant sur un homme qui se branlait au milieu d’un petit sentier et qui m’a proposé de le sucer, j’ai accepté de le « finir » à la main (car il n’avait pas de préservatif). Ces quelques secondes de branlette m’avait énormément excité mais la rapidité de la conclusion m’avait laissé sur ma faim… jusqu’à ce mémorable dimanche 16 mars dernier. Malgré le temps humide et froid, j’opte pour un parcours dans la zone habituelle. Malheureusement, il n’y a pratiquement personne. Tant pis, j’en serai quitte pour une bonne matinée de vélo ! Je pédale depuis 2 heures lorsqu’une crevaison m’oblige à mettre pied à terre. Je me trouve alors sur une petite route qui remonte depuis l’étang du Cora vers un parking situé à l’orée de la forêt. N’ayant jamais été très doué pour les réparations, je prends mon courage à deux mains pour changer la chambre à air. Je m’active depuis 5 minutes lorsqu’une voix derrière moi m’interrompt : « besoin d’un coup de main ? ». Je me retourne et voit un homme bedonnant d’une bonne cinquantaine d’année en jogging s’approcher de moi. « C’est pas de refus, je n’ai jamais été doué pour ça ». « On ne peut pas être doué pour tout » me répond-il en souriant. Il s’accroupit alors à mes côtés et prend les affaires en main. Avec une dextérité déconcertante, il retire la chambre à air, localise le trou, vérifie le pneu et installe la nouvelle chambre à air. Il se relève alors et me dit : « il ne te reste plus qu’à gonfler », ce à quoi je m’attèle, ravi de la rapidité de l’intervention. Quand j’en ai terminé, je me retourne vers l’homme et lui dit : « C’est très sympa de votre part, je ne sais pas comment vous remercier ». Il me répond alors (je l’entends encore) : « ça ne te dirait pas qu’on passe un bon moment tous les deux ? » Pendant qu’il prononce ces mots, je m’aperçois qu’il se masse explicitement l’entrecuisse, ce qui ne laisse aucun doute quant à la nature de sa proposition. Mon cœur s’accélère brutalement et je ne sais que répondre. Avec un regard lubrique, il insiste : « regarde comment tu m’excites ! J’t’ai rendu service, à ton tour maintenant. Allez viens, tu vas voir, ça va être bon ». Son ton légèrement directif me trouble et mon regard ne peut se détacher de la forme de son sexe que je distingue très bien dans son pantalon de jogging. Brusquement, je commence à bander. Je me dis : « nous y voila ! Tu fantasmes depuis des mois, franchis le pas ! » De plus, le fait qu’il s’agisse d’un homme mur est un plus pour moi. D’une voix qui me semble étrangère, je lui dis : « OK mais c’est la première fois. Si ça ne me plait pas, j’arrête » (après coup, cette remarque me paraît complètement nulle). L’air ravi, il me répond : « pas de problème, je ne te ferai rien que tu ne veux pas mais je suis sûr que tu vas aimer ! Prend par là, on va s’trouver un coin plus tranquille » me dit-il en me montrant un petit sentier qui s’enfonce dans la forêt. Je me relève, prend mon vélo et les jambes tremblantes, partagé entre la crainte de l’inconnu et l’excitation provoquée par cette transgression, je suis ses conseils. Au bout d’une centaine de mètres, il me dit : « Prends à gauche, il y a une petite clairière. Là, on s’ra peinards ! ». Je prends le petit chemin. L’inconnu, resté derrière moi, se met alors à me caresser les fesses par-dessus mon cuissard. Je me retourne et m’aperçoit que son autre main, entièrement entrée dans son pantalon, s’agite de plus belle. Cette vision me trouble. En quelques secondes à peine, je bande comme un âne, bien à l’étroit dans mon cuissard qui n’est pas prévu pour ça. Très vite, nous arrivons à une petite clairière. L’homme me dit : « arrête-toi, on n’y est ». Lorsque je me retourne, il me dit : « tu sais, j’ai plus l’habitude des femmes mais j’aime bien baiser avec un beau jeune homme de temps en temps ! » Sans que j’ai à répondre, il me prend la main pour la poser sur la bosse qui déforme son pantalon et me dit : « j’aime bien diriger, ça te dérange pas ? » « Au contraire », lui répondis-je. « T’inquiète pas, on va faire ça en douceur. Commence par me caresser la bite ! », réplique-t’il. Timidement, je commence à masser sa protubérance tandis qu’il continue à me malaxer les fesses tout en continuant à parler. « Tu sens comme je bande pour toi ? Ca fait une heure que j’tourne dans le coin, j’étais à deux doigts de me branler. T’aimes que j’te caresse ton p’tit cul, hein, t’aimes ça ! » Attelé à ma tâche, je ne réponds rien et continue à caresser cette queue qu’il me tarde de découvrir. Justement, l’homme m’appuie fermement sur l’épaule pour me faire agenouiller, la tête face à sa bosse. « Sors ma quéquette ! » me commande t’il. Lentement, je baisse son pantalon, sous lequel il ne porte pas de slip. Son pubis parsemé de poils gris m’apparaît. Je poursuis mon geste jusqu’à ce que sa tige me saute au visage. Quelle merveille ! Sa queue, plutôt fine et de taille moyenne, se tient très droite. Son gland rose pâle est bien décalotté et laisse s’échapper un filet de liquide séminal. Une légère odeur de mâle en rut achève de faire tomber mes dernières inhibitions. Je descends son pantalon jusqu’aux genoux et empoigne cette queue que je branle sans retenue. L’homme est ravi. « J’ai une belle quéquette, hein (c’est la première fois que je réentends cette expression depuis l’école primaire) ? Elle te plait ? Goutte-la, prend-la dans ta bouche ». Comme aimantée par cette queue palpitante dressée devant moi, ma bouche s’approche. Je commence par l’embrasser à la base, puis ma bouche remonte lentement le long de cette colonne de chair jusqu’à ce qu’elle atteigne le gland que je suçote avec gourmandise. La peau est douce et tendre. Son goût m’enchante et m’arrache un soupir de plaisir. L’homme me saisit la nuque et enfonce toute sa longueur en moi, puis à coups de reins, impose son rythme en se branlant littéralement dans ma bouche. A deux reprises, il me dit : « je sens tes dents, fais gaffe ». Au bout d’un cours moment, les gémissements que j’arrache à mon sucé m’indiquent que je maitrise enfin la technique. L’homme s’enfonce de plus en plus loin dans ma bouche soumise jusqu’à ce que mon nez bute contre son pubis. Ce traitement brutal me provoque quelques haut-le-cœur mais je me laisse faire. Au bout de quelques minutes de ce traitement, les râles se rapprochent, me signifiant que l’homme est au bord de la jouissance mais non ! Se retirant soudainement de ma bouche, il me dit : « c’est trop bon, on va faire durer le plaisir ! ». Tout en se branlant, l’homme présente ses couilles à ma bouche « Lèche-moi les burnes, j’adore ça ! » Je m’exécute et commence à lécher ses couilles bien pleines avec application. « J’ai 10 jours de jus à vidanger, tu vas voir ça va dégorger, vas-y lèche les bien, fais les reluire ! » Ses commentaires accentuent mon excitation qui est maintenant à son apogée. Par peur de jouir, ma main qui s’active sur ma bite depuis un moment cesse son mouvement délicieux. « Lèche-moi aussi derrière les couilles, fourre-moi ta langue partout, c’est trop bon ! » A un moment, l’homme s’avance jusqu’à ce que ma langue atteigne sa raie. Je me retire brusquement, pas décidé à lui prodiguer cette caresse. Malgré une insistance de sa part : « lèche-moi le cul, allez, c’est c’que j’préfère ! » Voyant que je refuse catégoriquement, il abandonne sa proposition (et oui, il s’agit d’une histoire vraie et je ne veux omettre aucun détail !). Il me dit alors : « bon, il est temps de passer aux choses sérieuses, fous-toi à poil ! ». Ce que je fais, non sans mal, portant un cuissard court sur un cuissard long. Le froid me saisit, faisant quelque peu retomber mon érection. Délaissant délibérant ma queue, il me demande de me retourner alors qu’il se branle vigoureusement. « Quel cul, ça muscle le vélo ! » dit-il en se collant à moi. Il se met à faire coulisser sa pine dans ma raie. Mon érection revient aussitôt. Très rapidement, l’homme me souffle : « je veux t’enculer ! » Depuis le début, j’espérais entendre cette phrase. Dans un râle, je lui réponds : « oui, prends-moi ! » Ravi de ma réponse, il me fait répéter : « Prends-moi, encule-moi, fourre-moi ta bite dans le cul ! » Avec le recul, je suis un peu honteux quand je repense à ces propos mais ce sont les miens. L’homme s’écarte puis pose un doigt sur ma rondelle. Il réussit à l’entrer sans trop de difficulté pour effectuer des vas et viens réguliers. Il le retire puis je l’entends cracher et joindre un second doigt au premier. Très patient et à grand renfort de salive, il prépare mon cul offert à recevoir sa queue que je sens palpiter contre ma hanche. « T’es encore plus étroit que ma femme » me dit-il. Cette phrase achève de me transformer en vraie femelle soumise. Je lui tends mon cul de plus belle. Avant que je lui demande, je l’entends déchirer un emballage et, me retournant, le vois enfiler un préservatif. Il me fait mettre à quatre pattes et promène doucement son gland contre ma rondelle. « Détends-toi, je vais y aller doucement !» Sous la pression de sa queue, je sens alors mon sphincter s’élargir pour laisser entrer la bête. Bien que la taille sa bite soit de taille normale, je ressens une vive douleur. Malgré mon excitation, ma bonne volonté, ma préparation anale et la vigueur de mon assaillant, il ne parvient à pénétrer qu’une partie de son sexe. La douleur est trop forte. Au moment où je pense en rester là, l’homme se retire puis se couche sur le dos, le mât à l’horizontal et me dit : « tu vas le faire comme tu le sens, viens t’asseoir sur moi ! ». Cette fois-ci, cela se passe beaucoup mieux. Lui tournant le dos et prenant appui sur ses cuisses, je positionne mon anus sur sa pine et lentement mais régulièrement laisse l’intrus pénétrer mes entrailles jusqu’à ce que mes fesses touchent le ventre rebondi de mon enculeur. « Bouge, branle-moi la queue avec ton cul ! » me dit-il d’une voix hachée. Je me soulève pour me laisser retomber sur sa bite adorée. De ses mains, il écarte mes deux globes afin de bien voir sa queue me pénétrer. Quel bonheur ! En revivant ces moments, je bande comme un âne. Après quelques minutes, l’homme me demande d’arrêter. Il me retourne sur le dos et me demande de relever mes jambes en les tenant derrière les genoux puis il s’agenouille face à moi. Il empoigne sa bite et la positionne à l’entrée de mon orifice. D’un coup de rein brutal, il m’empale de toute sa longueur. Je pousse un cri de douleur vite effacé par une sensation d’extase. Le regard fixé sur sa queue, il ressort entièrement pour replonger dans mon trou ouvert. Je m’offre à ses assauts sans retenue. La vision de ce visage d’homme chauve s’activant en moi me fait prendre conscience du glauque de la situation qui, loin de calmer ma fougue, décuple mon plaisir. Je suis fourré jusqu’à la garde par un homme mûr que je ne connaissais pas il y a 30 minutes ! Mais au diable les états d’âme ! Carpe diem !
Le rythme est de plus en plus rapide. Chaque pénétration est ponctuée d’un ahanement de ma part comme de la sienne. Soudainement, il se retire en murmurant dans un souffle : « J’vais juter, j’vais juter… ! » Il arrache brutalement le préservatif, se positionne à genoux au dessus de mon visage et se branle frénétiquement. En quelques secondes à peine, dans un cri, l’homme m’arrose de longs jets de foutre crémeux. J’en ai partout, dans les yeux, sur les joues, dans les cheveux. Une fois la source tarie, il tapote sa bite encore durcie sur mes lèvres y laissant les dernières gouttes de stupre. Lorsqu’il se relève, sa queue a entièrement dégonflé. Mais, pour ma part, je suis toujours aussi excité. Je réalise alors qu’il ne m’a pas touché la bite, sauf par-dessus mon cuissard au début. Tandis qu’il se rhabille, je me relève et, sans pudeur, me place devant lui pour me branler. Il ne me faut que quelques secondes pour jouir dans un spasme libérateur. C’est une de mes plus fortes jouissances. Très vite, un sentiment de honte m’envahit mais le côté cool de mon baiseur me rassure. Alors que je me nettoie avec le kleenex qu’il me donne, il me questionne, veut connaître mon prénom, mon âge, si je suis célibataire. De son côté, il me dit s’appeler Serge, avoir 50 ans (je pense qu’il a 7 ou 8 ans de plus) et être marié depuis 32 ans Tandis que nous quittons la clairière, l’homme me donne son numéro de portable en me disant : « si tu veux remettre ça, appelle-moi, j’habite pas loin et je suis retraité donc très disponible ». Il me demande aussi, si je veux poursuivre ma relation avec lui, de lui fournir un certificat de séronégativité car « sans capote, tu verras, ça sera encore meilleur pour nous deux ».Depuis ce jour, je l’ai appelé une fois, la semaine suivante. Nous nous sommes fixés rendez-vous un midi dans le parking situé à côté du lieu de notre première rencontre. Serge m’a invité à monter dans sa voiture et, comme je n’avais pas encore reçu le résultat de mon test, m’a dit qu’il voulait juste que je le suce. J’ai retrouvé avec délice la bite qui m’a tant fait jouir pour la sucer à fond jusqu’à ce que Serge se déverse dans ma bouche. Mais cette deuxième rencontre a été trop rapide à mon goût. Heureusement, j’ai reçu hier le résultat négatif de mon test. Je vais de nouveau l’appeler pour un rendez-vous qui s’annonce des plus prometteurs !!!

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