INITIE EN FORET
Récit érotique écrit par Shybi92 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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INITIE EN FORET
Je ne peux résister au plaisir de vous narrer une histoire véridique qui vient juste de m’arriver. Tout d’abord, je me présente. Je m’appelle Philippe, j’ai 36 ans et, doté d’un physique avantageux, ai eu de nombreuses conquêtes féminines malgré le fait que je sois marié.
Néanmoins, cela faisait quelques temps qu’un fantasme me travaillait l’esprit : celui d’avoir une relation avec un homme, actif de préférence. Grand adepte de VTT (4 à 5000 km par an), j’ai repéré il y a quelques semaines un endroit situé en forêt de Saint-germain (entre Maisons-Laffitte et Achères), où traînent de nombreux hommes seuls en quête de relations furtives. Pendant un mois, je m’y suis rendu tous les week-ends. De voir les appels explicites de certains hommes lorsque je les croisais me mettait dans un état d’excitation terrible sans que je n’ose toutefois franchir le pas… jusqu’à dimanche dernier. Ce jour-là, comme tous les dimanches, je sillonnais la forêt en VTT lorsqu’une crevaison m’obligea à m’arrêter au milieu d’un petit sentier. En pestant, je commençai à démonter la roue lorsqu’une voix derrière moi me demanda si j’avais besoin d’aide. Je me retournai et aperçu un homme d’une cinquantaine d’année bien tassée, que j’avais vu à deux ou trois reprises roder dans ce secteur. Je lui répondis que cela devrait aller mais il insista en me disant qu’il fallait toujours s’entraider en s’approchant de moi. A genoux, je commençai à retirer la chambre à air percée lorsque l’homme me demanda si « j’allais le faire à la main ou à la bouche ».
Interloqué, je levai les yeux vers l’inconnu qui était désormais à un mètre de moi pour m’apercevoir qu’il se massait vigoureusement l’entrejambe ne laissant aucune ambiguïté quand aux raisons pour lesquels il était en ses lieux. Mon sang ne fit qu’un tour. Fasciné, mon regard s’attarda sur la bosse qui se dessinait sous le pantalon de jogging que portait l’homme qui me regardait d’un air lubrique. Il me reposa la question en l’écourtant « alors, avec la main ou avec la bouche ? ». La gorge sèche, je m’entendis répondre « avec les deux ». Sentant probablement que je n’étais pas un habitué de ce type de rencontre, l’homme me répondit : « Suis-moi, on va trouver un endroit plus tranquille ». Devant mon hésitation, il ajouta : « ne crains rien, tu vas voir, ça va être bon ». Il plongea alors la main à l’intérieur de son pantalon et se branla la queue d’une main énergique. « Au diable les scrupules, me dis-je alors, cela ne coûte rien d’aller au bout de mon fantasme. L’envie est trop forte » Alors que je me relevais, l’homme me montra du doigt un petit sentier situé à quelques mètres et me dit : «Allons vers ici et passe devant que je matte ton beau petit cul ».
« Me voila donc dans la peau d’une pute qui va michetonner dans les bois » pensais-je alors. Loin de froisser ma fierté, cette pensée accentua l’érection qui venait de me gagner. Poussant mon vélo, j’obéis et empruntai le petit sentier. L’homme était légèrement plus grand que moi, mais surtout plus massif. Ses lunettes aux verres épais lui donnaient un air sérieux qui contrastait avec l’activité à laquelle il se livrait d’une main décidée. Alors que je le précédai, mon inconnu se mit à me malaxer les fesses par-dessus mon cuissard. Je me retournai pour m’apercevoir qu’il avait extrait sa bite de son pantalon pour la branler plus librement. Cette vision et le contact de cette main sur mon cul accentuèrent mon érection. Tout en continuant à marcher, de ma main libre, j’entrepris d’imiter l’homme en extirpant ma queue raide pour la branler sans complexe. Alors que nous arrivions dans une petite clairière bien abritée, l’homme me demanda de stopper. Je posai alors mon vélo et me retournai vers lui. Mon regard descendit immédiatement vers sa queue qui me fascinait. Celle-ci, bien que de dimension modeste, était bien raide et le gland cramoisi bien gonflé. Alors que nous nous faisions face, l’homme saisit la nuque pour attirer mon visage vers lui dans l’intention d’échanger un baiser. Après coup, ce reste de pudeur de ma part me parait étrange mais je refusai fermement en lui disant que je n’embrassai que les femmes. Brusquement, il me saisit la main et me dit sur un ton sec : « Branle-moi alors ! ». Je lâchai ma bite pour saisir la sienne.
Pour la première fois de mon existence, je touchai une autre queue que la mienne. La douceur et la tiédeur de celle-ci me ravirent. Alors qu’il me rendait la politesse, nous nous branlâmes ainsi plusieurs minutes. Rapidement, je parvins à un état proche de l’orgasme et prévenais l’homme de cesser : « Arrête ou je vais jouir ». Il s’exécuta immédiatement. Alors que je continuai à le masturber, il pressa sur mon épaule en me disant : « Passons maintenant aux choses sérieuses. Suce-moi ». Je me retrouvai à genoux devant cette bite fièrement dressée devant moi. Comme je m’étais toujours promis de ne rien faire avec un homme sans préservatif, je lui demandai de mettre une capote. Il me dit : « T’inquiète pas, je suis sain ». Comme j’insistai, il me répondit brutalement : « Arrête de faire ta chochotte et suce-moi avant que je ne débande ». Il saisit alors ma nuque d’une main puissante pour précipiter ma bouche vers sa queue qu’il tenait de l’autre main. « Tu vas me sucer salope ? ». Ne pouvant plus reculer, je laissai sa bite investir ma bouche tandis qu’un râle de plaisir me renseigna sur la satisfaction de mon quinquagénaire. La légère odeur de cette pine me transporta dans un état second. L’homme me tenait toujours la nuque pour plonger son sexe jusqu’à son pubis couvert de poils gris dans ma bouche qui se fit ronde autour de l’intrus. Adorant être sucé par les femmes, je connais l’inconfort que peut procurer le contact des dents sur une bite et m’appliquai donc à ne me servir que des lèvres et de la langue.
J’étais sans un autre monde. Je vous assure qu’il s’agit d’un plaisir que je ne soupçonnais pas avant cette expérience. Chaque coup de rein de l’homme déclenchait un gémissement de ma part. Je me sentais comme une chienne toute dévouée au plaisir de ce mâle mur qui me traitait comme une pute. Après plusieurs minutes de traitement, l’individu me prit les deux mains et les posa sur ses fesses qu’il me demanda de caresser. A la différence de celles des femmes, celles-ci me parurent plus fermes et… poilues. Je les malaxai fermement au grand contentement de l’homme, dont les râles de plaisir s’accentuèrent. Après un long moment, il se retira brutalement de ma bouche « c’est trop bon mais je n’en ai pas fini avec toi ». Il me présenta ses couilles et me demanda de les sucer, ce que je fis sans rechigner. Celles-ci étaient douces et également très poilues. Je les gobai littéralement tout en les titillant avec ma langue. Je lâchai ses fesses pour me branler frénétiquement jusqu’à parvenir au bord de l’orgasme pour cesser et recommencer de nouveau. L’homme recommença à se branler et, relevant ses couilles, me dit d’une voix haletante : « Tu es une bonne suceuse, lèche-moi derrière les couilles maintenant ». Ma langue agaçait maintenant le périnée de l’homme qui par petits coups de bassin présenta petit à petit sa raie contre ma bouche. Non sans mal, je m’arrachai à la pression et lui dit que j’étais prêt à tout sauf à l’embrasser sur la bouche et à lui lécher l’anus (je vous rappelle que cette histoire est authentique et que tout ne se passe pas forcément comme on l’avait prévu !). Il me dit alors : « dommage, tu ne sais pas ce que tu perds, laisse-moi m’occuper de ton petit cul ! ».
L’homme me fit relever et m’ôta entièrement le cuissard avant de me retourner dos à lui. Il me demanda ensuite de me mettre à quatre pattes, ce que je fis de bon gré. Dans l’attente de la suite, mon anus se mit à palpiter d’impatience. L’homme s’agenouilla derrière moi et se mit à me caresser la raie. Je sentais le contact de sa queue qu’il masturbait toujours contre ma cuisse. Il m’ordonna alors d’écarter les fesses, ce que je fis des deux mains. Je sentis un souffle chaud devant mon anus puis une langue humide faire des cercles de plus en plus rapprochés autour de celui-ci. Très vite, celle-ci força mon œillet. Qui ne s’est fait lécher l’anus ne peut pas vraiment savoir ce qu’est ce bonheur suprême. Perdant toute retenue, je me mis à l’encourager du verbe : « Suce-moi le cul, mon salaud, rentre bien ta langue, prépare bien mon trou avant d’y mettre ta queue ». Ses doigts remplacèrent alors sa langue, un puis deux puis trois. Passé une légère douleur au début, mon cul s’ouvrait très vite pour accueillir ces hôtes qui préparaient l’arrivée de celui que j’attendais avec tant d’impatience. L’homme s’arrêta puis je l’entendis déchirer un sachet. Me retournant, je constatai avec plaisir qu’il enfilait un préservatif. Après coup, cela me rassure puisque cette protection confirme que mon inconnu semble être sain. Toujours à quatre pattes, je tendis mon cul à mon initiateur qui alla droit au but. Je sentis la pression de sa queue contre ma rondelle qui absorba assez facilement le gland inquisiteur. Me tenant fermement par les hanches, l’homme s’enfonça alors entre mes reins lentement et régulièrement jusqu’à ce que je sente son pubis heurter mes fesses. Quel pied mes amis ! La taille modeste de sa queue me permit de supporter cette intrusion sans douleur. Une fois à l’intérieur, l’homme commença à faire aller et venir sa bite dans mon cul qui bougeait au même rythme que mon enculeur. A plusieurs reprises, celui-ci se retira pour replonger jusqu’à la garde entre mes fesses. Sous l’effet du plaisir, je gémissais comme une femme.
Au bout de quelques minutes, il me retourna face à lui en me demandant de lever les jambes. Il se positionna sur moi et me saisit l’arrière des cuisses de toutes ses forces. Je me retrouvai donc la rondelle face à sa bite. De tout son poids, il se laissa tomber sur moi. Je vis sa queue disparaître dans mon rectum et ne pus réprimer un cri de douleur. Mon enculeur se retira entièrement et réinvestit mon anus en ahanant comme un bûcheron. Son visage grimaçant de plaisir faisait face au mien mais il ne regardait que sa pine qui perforait mon cul. Bizarrement, alors que le plaisir que je ressentais était absolu, je bandais mou désormais. Brutalement, l’homme se retira de mon cul, retira sa capote et s’assit à califourchon sur mon torse. Il se branla frénétiquement quelques secondes avant, dans un cri d’extase, d’expulser en trois ou quatre jets crémeux sa semence sur mon visage. L’odeur enivrante de son sperme m’enivrât. J’en avais dans les yeux et sur les lèvres. Il tapota ensuite sa queue repue sur mon visage avant de me demander de la nettoyer. J’ouvrais la bouche pour avaler la bite déjà à moitié molle de mon initiateur. De longues minutes, je tétais cette bite avec l’espoir malheureusement vain de la faire durcir de nouveau (et oui, encore une fois, cette histoire est véridique !).
Enfin, sans un mot, l’homme, peut-être aussi désappointé que moi, se releva pour se rhabiller. De mon côté, je n’avais toujours pas joui. Je lui dis « et moi ? » D’un air agacé, il me répondit « quoi et toi ? Tu n’as qu’à te branler ». Bien décidé de ne pas sortir frustré de cette aventure, je m’exécutai en empoignant ma queue qui rendurcit aussitôt. En quelques secondes, alors que mon enculeur quittait les lieux sur un « salut » on ne peut plus bref après ce que nous avions vécu, avec l’aide d’un doigt que je plongeais au fond de mon cul si bien honoré, je libérais en de longs jets interminables toute la tension accumulée dans mes reins. L’honnêteté m’impose de vous dire que la honte me submergea presque aussitôt, mais, quelques heures plus tard, le désir renaissant, je savais déjà que ce n’était que la première aventure d’une longue série. C’est décidé, dès dimanche prochain, j’y retourne !
Néanmoins, cela faisait quelques temps qu’un fantasme me travaillait l’esprit : celui d’avoir une relation avec un homme, actif de préférence. Grand adepte de VTT (4 à 5000 km par an), j’ai repéré il y a quelques semaines un endroit situé en forêt de Saint-germain (entre Maisons-Laffitte et Achères), où traînent de nombreux hommes seuls en quête de relations furtives. Pendant un mois, je m’y suis rendu tous les week-ends. De voir les appels explicites de certains hommes lorsque je les croisais me mettait dans un état d’excitation terrible sans que je n’ose toutefois franchir le pas… jusqu’à dimanche dernier. Ce jour-là, comme tous les dimanches, je sillonnais la forêt en VTT lorsqu’une crevaison m’obligea à m’arrêter au milieu d’un petit sentier. En pestant, je commençai à démonter la roue lorsqu’une voix derrière moi me demanda si j’avais besoin d’aide. Je me retournai et aperçu un homme d’une cinquantaine d’année bien tassée, que j’avais vu à deux ou trois reprises roder dans ce secteur. Je lui répondis que cela devrait aller mais il insista en me disant qu’il fallait toujours s’entraider en s’approchant de moi. A genoux, je commençai à retirer la chambre à air percée lorsque l’homme me demanda si « j’allais le faire à la main ou à la bouche ».
Interloqué, je levai les yeux vers l’inconnu qui était désormais à un mètre de moi pour m’apercevoir qu’il se massait vigoureusement l’entrejambe ne laissant aucune ambiguïté quand aux raisons pour lesquels il était en ses lieux. Mon sang ne fit qu’un tour. Fasciné, mon regard s’attarda sur la bosse qui se dessinait sous le pantalon de jogging que portait l’homme qui me regardait d’un air lubrique. Il me reposa la question en l’écourtant « alors, avec la main ou avec la bouche ? ». La gorge sèche, je m’entendis répondre « avec les deux ». Sentant probablement que je n’étais pas un habitué de ce type de rencontre, l’homme me répondit : « Suis-moi, on va trouver un endroit plus tranquille ». Devant mon hésitation, il ajouta : « ne crains rien, tu vas voir, ça va être bon ». Il plongea alors la main à l’intérieur de son pantalon et se branla la queue d’une main énergique. « Au diable les scrupules, me dis-je alors, cela ne coûte rien d’aller au bout de mon fantasme. L’envie est trop forte » Alors que je me relevais, l’homme me montra du doigt un petit sentier situé à quelques mètres et me dit : «Allons vers ici et passe devant que je matte ton beau petit cul ».
« Me voila donc dans la peau d’une pute qui va michetonner dans les bois » pensais-je alors. Loin de froisser ma fierté, cette pensée accentua l’érection qui venait de me gagner. Poussant mon vélo, j’obéis et empruntai le petit sentier. L’homme était légèrement plus grand que moi, mais surtout plus massif. Ses lunettes aux verres épais lui donnaient un air sérieux qui contrastait avec l’activité à laquelle il se livrait d’une main décidée. Alors que je le précédai, mon inconnu se mit à me malaxer les fesses par-dessus mon cuissard. Je me retournai pour m’apercevoir qu’il avait extrait sa bite de son pantalon pour la branler plus librement. Cette vision et le contact de cette main sur mon cul accentuèrent mon érection. Tout en continuant à marcher, de ma main libre, j’entrepris d’imiter l’homme en extirpant ma queue raide pour la branler sans complexe. Alors que nous arrivions dans une petite clairière bien abritée, l’homme me demanda de stopper. Je posai alors mon vélo et me retournai vers lui. Mon regard descendit immédiatement vers sa queue qui me fascinait. Celle-ci, bien que de dimension modeste, était bien raide et le gland cramoisi bien gonflé. Alors que nous nous faisions face, l’homme saisit la nuque pour attirer mon visage vers lui dans l’intention d’échanger un baiser. Après coup, ce reste de pudeur de ma part me parait étrange mais je refusai fermement en lui disant que je n’embrassai que les femmes. Brusquement, il me saisit la main et me dit sur un ton sec : « Branle-moi alors ! ». Je lâchai ma bite pour saisir la sienne.
Pour la première fois de mon existence, je touchai une autre queue que la mienne. La douceur et la tiédeur de celle-ci me ravirent. Alors qu’il me rendait la politesse, nous nous branlâmes ainsi plusieurs minutes. Rapidement, je parvins à un état proche de l’orgasme et prévenais l’homme de cesser : « Arrête ou je vais jouir ». Il s’exécuta immédiatement. Alors que je continuai à le masturber, il pressa sur mon épaule en me disant : « Passons maintenant aux choses sérieuses. Suce-moi ». Je me retrouvai à genoux devant cette bite fièrement dressée devant moi. Comme je m’étais toujours promis de ne rien faire avec un homme sans préservatif, je lui demandai de mettre une capote. Il me dit : « T’inquiète pas, je suis sain ». Comme j’insistai, il me répondit brutalement : « Arrête de faire ta chochotte et suce-moi avant que je ne débande ». Il saisit alors ma nuque d’une main puissante pour précipiter ma bouche vers sa queue qu’il tenait de l’autre main. « Tu vas me sucer salope ? ». Ne pouvant plus reculer, je laissai sa bite investir ma bouche tandis qu’un râle de plaisir me renseigna sur la satisfaction de mon quinquagénaire. La légère odeur de cette pine me transporta dans un état second. L’homme me tenait toujours la nuque pour plonger son sexe jusqu’à son pubis couvert de poils gris dans ma bouche qui se fit ronde autour de l’intrus. Adorant être sucé par les femmes, je connais l’inconfort que peut procurer le contact des dents sur une bite et m’appliquai donc à ne me servir que des lèvres et de la langue.
J’étais sans un autre monde. Je vous assure qu’il s’agit d’un plaisir que je ne soupçonnais pas avant cette expérience. Chaque coup de rein de l’homme déclenchait un gémissement de ma part. Je me sentais comme une chienne toute dévouée au plaisir de ce mâle mur qui me traitait comme une pute. Après plusieurs minutes de traitement, l’individu me prit les deux mains et les posa sur ses fesses qu’il me demanda de caresser. A la différence de celles des femmes, celles-ci me parurent plus fermes et… poilues. Je les malaxai fermement au grand contentement de l’homme, dont les râles de plaisir s’accentuèrent. Après un long moment, il se retira brutalement de ma bouche « c’est trop bon mais je n’en ai pas fini avec toi ». Il me présenta ses couilles et me demanda de les sucer, ce que je fis sans rechigner. Celles-ci étaient douces et également très poilues. Je les gobai littéralement tout en les titillant avec ma langue. Je lâchai ses fesses pour me branler frénétiquement jusqu’à parvenir au bord de l’orgasme pour cesser et recommencer de nouveau. L’homme recommença à se branler et, relevant ses couilles, me dit d’une voix haletante : « Tu es une bonne suceuse, lèche-moi derrière les couilles maintenant ». Ma langue agaçait maintenant le périnée de l’homme qui par petits coups de bassin présenta petit à petit sa raie contre ma bouche. Non sans mal, je m’arrachai à la pression et lui dit que j’étais prêt à tout sauf à l’embrasser sur la bouche et à lui lécher l’anus (je vous rappelle que cette histoire est authentique et que tout ne se passe pas forcément comme on l’avait prévu !). Il me dit alors : « dommage, tu ne sais pas ce que tu perds, laisse-moi m’occuper de ton petit cul ! ».
L’homme me fit relever et m’ôta entièrement le cuissard avant de me retourner dos à lui. Il me demanda ensuite de me mettre à quatre pattes, ce que je fis de bon gré. Dans l’attente de la suite, mon anus se mit à palpiter d’impatience. L’homme s’agenouilla derrière moi et se mit à me caresser la raie. Je sentais le contact de sa queue qu’il masturbait toujours contre ma cuisse. Il m’ordonna alors d’écarter les fesses, ce que je fis des deux mains. Je sentis un souffle chaud devant mon anus puis une langue humide faire des cercles de plus en plus rapprochés autour de celui-ci. Très vite, celle-ci força mon œillet. Qui ne s’est fait lécher l’anus ne peut pas vraiment savoir ce qu’est ce bonheur suprême. Perdant toute retenue, je me mis à l’encourager du verbe : « Suce-moi le cul, mon salaud, rentre bien ta langue, prépare bien mon trou avant d’y mettre ta queue ». Ses doigts remplacèrent alors sa langue, un puis deux puis trois. Passé une légère douleur au début, mon cul s’ouvrait très vite pour accueillir ces hôtes qui préparaient l’arrivée de celui que j’attendais avec tant d’impatience. L’homme s’arrêta puis je l’entendis déchirer un sachet. Me retournant, je constatai avec plaisir qu’il enfilait un préservatif. Après coup, cela me rassure puisque cette protection confirme que mon inconnu semble être sain. Toujours à quatre pattes, je tendis mon cul à mon initiateur qui alla droit au but. Je sentis la pression de sa queue contre ma rondelle qui absorba assez facilement le gland inquisiteur. Me tenant fermement par les hanches, l’homme s’enfonça alors entre mes reins lentement et régulièrement jusqu’à ce que je sente son pubis heurter mes fesses. Quel pied mes amis ! La taille modeste de sa queue me permit de supporter cette intrusion sans douleur. Une fois à l’intérieur, l’homme commença à faire aller et venir sa bite dans mon cul qui bougeait au même rythme que mon enculeur. A plusieurs reprises, celui-ci se retira pour replonger jusqu’à la garde entre mes fesses. Sous l’effet du plaisir, je gémissais comme une femme.
Au bout de quelques minutes, il me retourna face à lui en me demandant de lever les jambes. Il se positionna sur moi et me saisit l’arrière des cuisses de toutes ses forces. Je me retrouvai donc la rondelle face à sa bite. De tout son poids, il se laissa tomber sur moi. Je vis sa queue disparaître dans mon rectum et ne pus réprimer un cri de douleur. Mon enculeur se retira entièrement et réinvestit mon anus en ahanant comme un bûcheron. Son visage grimaçant de plaisir faisait face au mien mais il ne regardait que sa pine qui perforait mon cul. Bizarrement, alors que le plaisir que je ressentais était absolu, je bandais mou désormais. Brutalement, l’homme se retira de mon cul, retira sa capote et s’assit à califourchon sur mon torse. Il se branla frénétiquement quelques secondes avant, dans un cri d’extase, d’expulser en trois ou quatre jets crémeux sa semence sur mon visage. L’odeur enivrante de son sperme m’enivrât. J’en avais dans les yeux et sur les lèvres. Il tapota ensuite sa queue repue sur mon visage avant de me demander de la nettoyer. J’ouvrais la bouche pour avaler la bite déjà à moitié molle de mon initiateur. De longues minutes, je tétais cette bite avec l’espoir malheureusement vain de la faire durcir de nouveau (et oui, encore une fois, cette histoire est véridique !).
Enfin, sans un mot, l’homme, peut-être aussi désappointé que moi, se releva pour se rhabiller. De mon côté, je n’avais toujours pas joui. Je lui dis « et moi ? » D’un air agacé, il me répondit « quoi et toi ? Tu n’as qu’à te branler ». Bien décidé de ne pas sortir frustré de cette aventure, je m’exécutai en empoignant ma queue qui rendurcit aussitôt. En quelques secondes, alors que mon enculeur quittait les lieux sur un « salut » on ne peut plus bref après ce que nous avions vécu, avec l’aide d’un doigt que je plongeais au fond de mon cul si bien honoré, je libérais en de longs jets interminables toute la tension accumulée dans mes reins. L’honnêteté m’impose de vous dire que la honte me submergea presque aussitôt, mais, quelques heures plus tard, le désir renaissant, je savais déjà que ce n’était que la première aventure d’une longue série. C’est décidé, dès dimanche prochain, j’y retourne !
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