Depuis deux ans

- Par l'auteur HDS Micron -
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Récit libertin : Depuis deux ans Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Depuis deux ans
Cela faisait deux ans que j’étais en charge des travaux de réhabilitation sur la partie francophone de la route inter-états en Afrique de l’Ouest, quand le chef de centre me convoqua pour m’annoncer la venue du nouveau responsable travaux du nouveau chantier obtenu par l’entreprise, à environ 200 km au nord de la capitale, et qui devait démarrer incessamment. Ayant exécuté la réhabilitation du parking de l’aéroport à mes débuts, je connaissais pratiquement tous les responsables de l’aéroport et de ce fait le parton m’envoyait récupérer tous les arrivants et leur faciliter le passage police, douane. Donc, comme convenu le mercredi 9 aout 1972, j’étais à l’aéroport à 15,00h pour récupérer le couple arrivant. Lui, Henry, 1,75m, brun, la trentaine, elle Isabelle, elle infirmière, 1,65 m brune, peut-être 28 ans, jolie femme. Tout se passa sans problème et les amenais à l’hôtel, en leur disant que pour le soir ils dineraient avec le patron.
Pour le reste du programme, le jeudi il aurait à venir avec moi pour voir ce qui se passait sur mon chantier et le familiariser avec l’organisation locale.
Le samedi, nous avons diné chez moi et ensuite je les emmenais en boite ou on retrouvait les copains pour passer la soirée ensemble danser. Ce qui me permit d’inviter Isabelle et de faire trois ou quatre danses avec elle. Bonne cavalière. Le lendemain, comme tous les dimanches matin toute la bande se retrouvait à la plage et ils se joignirent à nous. Là, j’en profitais pour observer plus attentivement Isabelle, d’autant plus facilement qu’elle avait un joli, petit bikini, qui permettait de voir qu’elle avait ce qu’il fallait là où il fallait. Mais bon, plaisir des yeux.
Le lendemain, je les accompagnais pour rejoindre leur base et passais 2 jours à les aider à s’installer et à prendre leurs marques. Tout se passa bien.
Il était prévu que pour les quatre premiers mois, je montrais une fois par mois pour l’aider au démarrage du chantier. Et ainsi alla la vie. Le mercredi 11 d’octobre, je montais sur le chantier, pour arriver, comme d’habitude en fin d’après-midi. Ce fut au diner ou Isabelle me dit : « J’aimerais que vous arrêtiez de me dire Madame, je préférerais que vous employez mon prénom »
Moi : « Bien si vous y tenez, je le ferais avec plaisir »
Le diner et la soirée, se passa gentiment et l’on fit le planning de notre journée du lendemain.
Ainsi le lendemain, embauche à 7,00 heures et départ pour la visite complète du chantier qui se passa sans problème et se termina pour l’heure du déjeuner. L’après-midi je devais le consacrer à la paperasse, car, si au point de vue travaux, c’était bien, la paperasse laissait un peu à désirer. Alors qu’il repartait sur site, je me mettais au bureau à brasser la paperasse. Cela faisait un quart d’heure que je travaillais, quand Isabelle frappa et entra en me demandant : « Veux-tu un café ? » Évidemment la réponse fut Oui, mais je remarquais que lors du déjeuner, son corsage était enfoncé dans sa jupe, là, il était sorti de son emplacement et il m’apparut que son décolleté était plus généreux que lors du déjeuner.
Un petit quart d’heure, elle revint portant le plateau qu’elle déposa sur le bureau. Mais, son décolleté était devenu encore plus généreux, même très généreux et elle m’en fit profiter en se penchant pour poser le plateau sir le bureau. D’autant que les pans de son chemisier avaient été noués sous ses seins avec un gros, ce mettait en valeur ses seins. Moi : « Merci pour le café, et, ... pour la belle vue que tu m’offres, ... »
Isabelle : « Ça te plait, ... »
Moi, en blaguant : « Tu demandes à un aveugle s’il veut voir, ... beaucoup, et tu le sais, ... »
Debout devant moi, elle défit le gros nœud, ce qui libera ses seins, ses beaux seins, bien ronds, un peu lourds, mais généreux, avec de belles aréoles et des tétons qui ne demandaient qu’une chose, être sucés, léchés, tétés : « Et comme ça, ... »
Moi : « On peut y toucher pour vérifier, ... »
Isabelle : « Bien sûr, ... tu peux vérifier, ... c’est naturel, ... » et là j’aurais dû arrêter ce jeu, mais, les yeux se régalaient de ce qu’ils voyaient, mes doigts appréciaient la ferme douceur de ce qu’ils touchaient, quant à « popol » il commençait à se réveiller.
Moi : « Je pense que je vais y gouter, ... »
Aussitôt, elle prit ses seins et me les offrit : « Oui, ... goutes les, ... ils sont à toi, ... » Elle m’offrait ses seins, passant de l’un à l’autre, les suçant, mordillant les tétons, le tout accompagné de gentils soupirs de ma partenaire. Ma main droite partit vers le bas et s’introduisit entre ses cuisses, décidée à remonter vers sa grotte d’amour, mais la jupe droite fit que je ne pouvais guère monter plus haut que le milieu de ses cuisses et je lui dis : « Remontes ta jupe, ... » sans hésiter elle lâcha ses seins et en deux mouvements de hanches elle remonta sa jupe au-dessus de ses hanches. Elle me donnait, ainsi, accès à sa chatte. Ma main remonta doucement appréciant la douceur de la peau de sa cuisse, pour enfin arriver à son entrejambe, et enfin, avoir accès à sa chatte, qui, je l’espérais serait nue de toute petite culotte. Ce fu le cas. Je posais ma main sur sa chatte et elle avança légèrement son bassin afin que sa chatte se pose confortablement dans le creux de ma main. Là, je sentis, ses grosses lèvres bien gonflées et humides. D’un doigt curieux je parcourus la raie de sa chatte doucement, alors qu’elle ouvrait encore un peu le compas de ses jambes. Après quelques allers et retours sur la raie de sa chatte. Elle réagit : « Prends-moi, ... rentres, ... » et appuyant son désir, par une avancée significative de son bassin, de deux doigts je la pénétrais, ce qui fut accepté avec : « Oh, ... enfin, ... j‘aimes çà ...tu veux que je te désire, ... oui, ... je veux être à toi, ... prends moi, ... prends moi bien, ... tu auras tout, ... » Là, fort de son désir, et de mon envie je la masturbais avec énergie, ce qu’elle appréciait d’autant qu’elle était chaude à souhait elle s’offrait entièrement à ce plaisir, mais surtout il fallait la satisfaire rapidement, ... nos futurs relations en dépendaient. Elle était cramponnée à mes épaules, j’avais le nez dans ses seins et devant moi, des cuisses largement ouvertes, le bassin offert : « Oui, ... continues, ... j’aimes ce que tu fais, ... surtout ne t’arrêtes pas, ... c’est bon, ... plus fort, ... OOOOHHH, ... OUIIII, ... OUIIII, ... » Tout d’un coup, elle fut secouée d’un spasme brutal, qui l’a fit se planter encore plus avant sur mes doigts puis aussitôt refermer ses cuisses, alors que j’avais la main inondée de son plaisir. Appuyée sur moi elle reprit son souffle. Alors que je me levais, elle se colla à moi : « C’était bon, ... je savais que ce serait bon, ... » J’étais debout, elle s’était collée à moi ses seins s’écrasant sur ma poitrine et son bassin se frottant à ma bite bien dure et bien dressée : « Oui, ... serres moi fort, ... depuis le temps que j’attends, ... je sens que tu as envie de moi, ... dis-moi que tu as envie de moi, ... » et elle se laissa glisser lentement vers le bas, mais je la rattrapais et elle : « Je veux te gouter, ... »
Moi : « Pas pour l’instant, ... plus tard, ... oui, ... c’est ta chatte que je veux, ... tournes toi, ... »
C’est ce qu’elle fit et elle se pencha en avant, elle présentait ainsi son joli cul, bien rond, que j’entrepris de caresser doucement laissant trainer un doigt dans la raie de ses fesses Elle semblait apprécier, sa laissant faire et me décidant : « Tu sais t’’as un beau cul, ... » et je posais ma main sur sa chatte. Aussitôt le compas de ses cuisses s’élargit, me laissant tout loisir de lui caresser sa chatte, chaude et humide. Me guidant, vers son joli fruit, d’un bon coup de rein je l’investissais, ce qui se traduit par : « Enfin, ... oui, ... t’aimes me faire attendre, ... prends moi, ... prends moi fort, ... j’attends ça, ... oui, ... j’y ai souvent pensé, ... » elle appréciait et plus elle le disait, cramponné à ses hanches je la ramonais ave force, je la baisais dure, car elle m’avait excité et j’avais besoin de la faire jouir, espérant que si elle appréciait, la chose, autant qu’elle le disait ce serait une agréable maitresse, peut-être gourmande et exigeante. Je jouais nos futures relations et j’y mettais de grands coups de rein, et pour essayer de la rendre plus réceptive, je lui claquais la fesse droite, ce qui entraina deux réactions, un de ses muscles vaginaux, très agréable, et : « Brute, ... oui, ... j’aime ça, ... je suis à toi, ... continues comme ça, ... je te serais soumise, ... fais-moi bien l’amour, ... non, ... baises moi fort, ... très fort, ... »
Je lui claquais l’autre fesse et la réaction fut identique, ... je continuais à la baiser avec énergie, quand elle se cambra : « Oui, ... continues, ... ne t’arrêtes pas, ... je vais, ... OOOHHHH, ... OUIIII, ... OOOH, .... OUIII, ... » et pour ma part, n’y tenant plus, cramponné à ses hanches et bien enfoncé dans sa chatte, je me vidais dans cette belle femelle. Alors elle se referma sur elle-même se laissant aller sur la table. Le temps de reprendre ses esprits et son souffle, elle se releva et vint se coller contre moi : J’étais sûr que ce serait on, ... embrasses moi, ... » après un long et amoureux baiser elle se réajusta. Alors qu’elle rabaissait se jupe : « Zut, ça déborde, ... je vais tacher ma jupe, ... » et sans hésiter, écartant les jambes elle glissa des doigts dans son minou pour les ressortir plein de sperme. Enfin regardant ses doigts, puis moi : « Je vais pouvoir te gouter, ... » et elle suça ses doigts, avec plein de sourire dans les yeux. S’étant de nouveau réajustée, elle quitta le bureau avec : « A tout à l’heure pour le diner, ... »
Vers 19,00 h on se retrouva pour diner. Au cours de ce diner Henry m’annonça qu’ils désiraient se rendre à la capitale, quelles étaient les procédures.
Je lui expliquais que la demande faite, il aurait une note de service, justifiant son voyage à la capitale, pour une réunion de travail. Cela ferait qu’une nuit serait prise en compte par la société. Mais s’ils désiraient rester plus longtemps, les nuits suivante seraient à sa charge. En revanche, ce que je pouvais faire c’était de leur proposer de venir dans ma case, car j’avais une chambre climatisée qu’ils pourraient ainsi utiliser à leur convenance. Puis la conversation roula sur d’autres sujets. Le repas terminé, Henry nous rappela, que comme à l’habitude, il allait faire le tour des gardiens et vérifier qu’ils étaient bien à leur poste.
J’annonçais que j’avais encore un peu de paperasse, que j’allais au bureau pour finir ce travail.
Cinq minutes étaient passées, qu’Isabelle frappait et entrait : « Je peux rentrer, ... »
Moi : « Oui, ... mais quand tu viens me voir comme ça... je veux que tu sois nue sous tes habits, ... »
Isabelle : « C’est bien ce que je pensais, ... regardes, ... » finissant d’ouvrir son chemisier
Moi : « C’est presque parfait, ... et le reste, ... » et remontant sa jupe jusqu’au-dessus des hanches : « Mon amant est satisfait, ... »
Moi : « Approches toi, ... viens, ... » et elle vint se coller à moi en disant : « Nous avons un demi-heure à nous, ... embrasses moi, ... caresses moi, ... »
Pendant que ma bouche s’occupais de ses seins qu’elle m’offrait généreusement, ma main droite descendit se poser sur sa chatte, opération sans difficultés car sentant ma main s’approchait ses cuisses s’écartèrent généreusement. Et j’entrepris de caresser sa chatte, Sentant ses grosses lèvres s’humidifier je lui dis : « Assieds-toi sur la table, ... »
Isabelle : « On est bien comme ça, ... »
Moi : « Non, ... assieds-toi sur la table, ... ouvres largement tes belles cuisses, ... je vais m’occuper de la chatte, ... je vais bouffer ton minou, ... »
Docilement, elle s’assit sur la table. Il ne restait plus qu’à la pousser un peu, et elle fut sur le dos, le compas de ses cuisses largement ouvert. Ainsi installée, j’avais une belle sur son joli fruit et sur sa fourrure, là, je voulus voir jusqu’où je pouvais aller en lui disant : « Tu as une belle fourrier, ... »
Isabelle : « Elle te plait, ... »
Moi : « Oui, ... beaucoup, ... mais il va falloir la tailler mieux que ça, ... mais on fera ça après, ... quand tu seras prête... »
Isabelle : « Tu es fou, ... »
Moi : « Oui, ... de ton corps, ... j’adore tes seins, ... et tu le sais, qu’ils m’attirent, ... et tu aimes que je m’en occupe, ... et maintenant je vais gouter à ta chatte, ...c’est pour ça que tu es revenue, ... pour que je m’occupe de ta chatte, ... car j’aime ton odeur de femme, ... de femelle chaude, ...ouverte, ... gourmande, ... » et après avoir caresser du bout des doigts ses grosses lèvres et glissant légèrement entre ses lèvres, je m’approchais et lui titillais la chatte à petits coups de langue. Il y eut des « OH, ... » de contentement. Cela prouvait qu’elle était consentante, et appréciait. De plus elle sentait bon la femelle chaude, ses grosses lèvres légèrement humides, je pouvais aller plus loin. Je me mis à gouter. Léchant sa chatte qui semblais s’ouvrir et surtout qui s’humidifiait à loisir.
Tout d’un coup, elle écarta encore ses jolies cuisses : « Arrêtes de tourner autour, .... rentres, ... tu me rends folle, ... prends moi, ... tu sais que je suis venue pour ça, ... » C’était le moment, et deux doigts s’enfoncèrent dans sa grotte d’amour, chaude humide, ouverte. Sentant cette douce pénétration, Isabelle se cabra s’ouvrant ainsi encore plus ses jolies avec en prime : « Oh, ... oui, ... prends moi, ... j’en ai tellement envie, ... oui, ... tu aimes me faire attendre, ... » C’était le moment de la masturber avec énergie et combler ses désirs, car c’était ce qu’elle demandait ce dont elle avait envie, autant profiter de ce qui m’était offert. Et plus je la masturbais, plus elle soupirait d’aise et plus elle coulait et plus sa chatte en demandait. Elle était devenue un sexe, ... ouvert, chaud, à utiliser sans retenue et c’était ce à quoi je m’employais. Pui se fut : « OOHH, ... ouiii, ... continues, ... ne t’arrêtes pas, ... OOOHHH, ... OUIII, ... OOHH, ... OUIIii, ... » en même temps elle eut un fort spasme, suivit de plus petits qui la fit se mettre en boule, de façon à récupérer son souffle. Enfin se redressant, elle se laissa glisser de la table et vint se coller à moi : « Tu es un monstre, ... je t’adore, ... tu sais me donner du plaisir, ... tu sais me faire jouir, ... maintenant à moi de m’occuper de toi, ... » et elle se laissa glisser vers le bas, défaisant au passage, short et caleçon et libérer ainsi « popol », qui se dressait fièrement devant elle : « Laisse-moi te regarder, ...J’aime te voir comme ça, ... J’aime que tu sois dur, ... » et du bout des doigts elle se mit, doucement, à parcourir ma bite, puis à coups de langue, elle me lécha entièrement, avant de titiller le gland du bout de sa langue pointue. Puis elle se mit à le sucer du bout des lèvres, comme une glace, ce qui était particulièrement excitant, le tout en ronronnant comme une chatte. Après s’être bien occupé du bout des lèvres de mon gland, qui commençait à éclater, elle prit le tout en bouche et se mit à me pomper. Avalant presque entièrement l’engin. Je sentis que je n’allais pas pouvoir me retenir longtemps et je l’en informais. Ce qui ne fit que l’exciter et la pousser à pomper plus rapidement et n’y tenant et pouvant me dégager, d’autant qu’elle avait resserré sa prise, je me vidais dans sa bouche. Ce qui fut accepté par un grognement de satisfaction. Enfin, elle leva la tête et me regarda les yeux joyeux et la bouche légèrement ouverte, montrant ainsi qu’elle était pleine de mon plaisir et sans hésiter tout disparu alors qu’elle se relevait et venant se coller contre moi avec : « C’était bon, ... j’ai aimé, ... et toi, ... il faut que j’y aille, ... il va bientôt rentrer, ... » S’étant réajustée, elle quitta la pièce, mais juste avant : « Tu m’as dit que j’avais un beau cul, ... » Moi : « Oui, c’est vrai, ... je suis désolé, ... ce n’était pas très galant, ... »
Isabelle : « Dis-moi, s’il te plait, ... je veux savoir, ... on dit que les hommes aiment nous prendre par-là, ... tu en as envie, ... »
Moi : « Je ne pense pas que ce soit le moment d’’en discuter, quand tu en auras envie, on pourra en parler, ... et maintenant files, ... »et elle disparut.
Le lendemain matin, petit-déj avec Henry à 6,30 avant l’embauche où je lui disais que je finirais le peu de paperasse en suspend et que je filerais. Qu’il veuille bien m’excuser auprès d’Isabelle si je ne la salue pas. Tout se passa comme prévu et j’étais en train de finir de charger la voiture, quand Isabelle apparut au bureau. M... j’aurai préféré ne pas la voir avant de partir . Après ce que nous avions fait, cela avait été très agréable, certes, mais sauter la femme d’un collaborateur, chose à l’encontre de mes principes, mais je préférais me faire discret, peut-être pas trop courageux,
Isabelle : « Bonjour Jean, ... tu es prêt pour partir, ... »
Moi : « Oui, je finissais de charger avant de partir, ... »
Isabelle : « Tu n’as rein oublié, ... »
Moi : « A priori non ... »
Isabelle : « A priori oui, ... viens voir, ... » Elle était en sortie de bains, bien ajusté à la taille, mais avec un décolleté vertigineux : « Tu aurais pu me faire signe et au moins m’embrasser avant de partir, ... qu’en penses-tu, ... »
Moi, très gêné : « Je pensais que tu dormais encore, ... »
Isabelle : « Arrêtes de dire des bêtises, ... viens prends moi dans tes bras, ... embrasses moi, ... caresses moi, ... » et elle ouvrit son peignoir en disant : « Tu vois, moi je t’attendais, ... je m’offre à toi, ... c’est à toi, ... donnes moi du plaisir, ... c’est tout ce que je te demande, ... viens, ... nous avons le remps, ... » Il n’y avait plus qu’à s’exécuter, et glissant mes mains à l’intérieur de son peignoir, je l’attirais, non, elle vint se coller à moi. Un long baiser tendre et sensuel et je descendais le long de son cou. Là, elle était très sensible, et ce qui m’amenait à ses seins qu’elle prit en main et me les offrit, alors que son bassin se frottait au mien. Le peignoir tombé, elle était nue, ne pensant qu’à son plaisir, non qu’à notre plaisir. Pendant que ma bouche s’occupait de ses seins, ma main droite glissa entre nous vers son entrejambe, et arriva sans problème sur sa chatte, les cuisses étaient déjà largement écartées et la chatte gonflée, chaude et humide. D’un coup, me repoussant elle se retourna et s’appuyant sur la table : « Viens, ... prends moi, ... tu es dur, ... je te veux, ... tu sais que j’aime cette position, ... j’attends ça, ... viens, ... » alors que je m’approchais, elle me saisit et dirigea ma bite dans sa chatte et d’un bon coup de rein je l’investissais. Ce coup de rein, la fit se cambre : « Oui, ... c’est ça, ... j’aime te sentir me prendre, ... » Cramponné à ses hanches je la ramonais avec énergie, accrochée sur le rebord de la table, elle se laissa aller dessus : « Oh, ... Oui, ... baises moi fort, ... » et je lui claquais la fesse droite, ce la fit se cambrer avec un OH OUI, je remettais ça sur l’autre fesse : « C’est bon, ... tu sais que je suis à toi, ... je savais que ce serait comme ça, ... oui, ... continues, ... ne t’arrêtes pas, ... je sens, ... OOOHHH, ... OUIII, ... OOOHHH, ...OUII, ... » Alors qu’elle se cambrait et subissait un orgasme brutal, cramponné à ses hanches et bien enfoncé dans son minou, je me vidais et la remplissais de mon plaisir. Le temps de retrouver notre souffle et nos esprits et elle se relevait et venait se coller contre moi : « Quand je pense que tu aurais pu partir sans me prendre, ... sans que tu sois sur moi, ... sans que tu me donnes du plaisir, ... et sans que tu prennes du plaisir, ... ton plaisir de me faire jouir, ... je crois que je t’en aurais voulu, ... la prochaine fois que l’on se voit, ... je serais ta femme, ... non, ... ta femelle dévouée, ... obéissante, ... toujours prête pour toi, ...maintenant pars ou je vais être ridicule, ... je crois que je vais pleurer, ... elle ramassa son peignoir et quitta la pièce.

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