Une tranche de vie suite

- Par l'auteur HDS Micron -
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Récit libertin : Une tranche de vie suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une tranche de vie suite
Comme ils en avaient fait le souhait, Isabelle et Henry descendirent à la capitale le vendredi 15 décembre, arrivant tard en fin d’après-midi. Ils s’installèrent à l’hôtel Le lendemain Henry avait une réunion à la direction, alors qu’Isabelle faisait des courses en ville et comme prévu ils étaient invités par le patron.
L’après-midi, alors que Henry me rejoignait sur mon chantier, Isabelle s’installait dans la chambre mise à disposition. Tout cela fit que je ne vis pas Isabelle.
En fin d’après-midi, nous sommes rentrés à la maison ou Isabelle nous attendait. Le temps de prendre une douche et nous nous installions pour l’apéritif. Je remarquais qu’Isabelle était vêtue d’une saharienne, c’était une robe communément portée par ses dames dans les pays chauds. Robe en tissu, tout simple, qui se fermait de haut en bas par une série de boutons. Là, je remarquais qu’isabelle nous offrait un décolleté agréable, disons agréablement plongeant d’autant plus agréable, que, assise fasse à moi, quand elle se penchait pour prendre ou déposer son verre, vue imprenable. De plus les boutons de la jupe n‘étaient boutonnés qu’au-dessus du genoux. Un agréable jeu de jambes permettait de voir haut ses cuisses.
Après l’apéritif, nous décidons de partir pour diner, alors qu’Isabelle se dirige vers la partie privée de la case (en fait là où sont les chambres et la salle de bains), pour se préparer, je bave sur ma chemise et j’annonce que je dois en changer. Je me rends dans la partie privée et ce que j’espérais été là. Isabelle, me voyant arriver vint vers moi : « Enfin, ... tu daignes t’occuper de moi, ... Je suis folle d’envie, ... »
Moi : « Au lieu de rouspéter, tu devrais être contre moi, ... pour que je t’embrasse, ... que je te caresse, ... nous avons peu de temps, ... viens ici, ... » Elle se colla contre moi et tendant ses lèvres je l’embrassais à pleine bouche. Ceci fait, je lui dis « Remontes ta jupe, ... que je caresse ton minou, ... pour avoir comment tu es, ... »
Isabelle relevant sa jupe : « Tu es vraiment un monstre, ... oui, ... je suis comme tu veux, ... nue sous ma robe, ... j’ai envie de toi, ... d’ailleurs tu fais tout pour cela, ...ça te rend dur de savoir que je t’attends, ... que je mouille, ... » Pendant toute sa tirade, elle avait largement écarté ses cuisses pour me permettre un accès facile à sa chatte, ce que je m’empressais de faire. Je posais ma main droite sur sa chatte aux grosses lèvres gonflées, humides et en même temps elle avait avancé son bassin et s’était plus ou, moins empalé sur mes doigts. La position n’était pas des plus confortable et Je la repoussais contre le mur, ce qui me permit de la masturber énergiquement et rapidement. : « Oui, ... prends moi, ... j’attends ça depuis qu’on est arrivé, ... je suis folle de désir, ... prends moi, ... fort, ... » Et plus elle parlait, plus elle s’ouvrait : « Je meurs d’envie, ... fais-moi jouir, ... je ferais tout ce que tu voudras, ... mais donnes moi du plaisir... »
Le dos appuyé au mur, les jambes largement ouvertes et la jupe remontée, il ne fallait pas que son mari nous vous ainsi, il y aurait un drame. Heureusement, Isabelle, qui était beaucoup plus chaude que je ne le pensais, partie tout d’un coup, en poussant un grognement et en se contractant entièrement, alors qu’elle inondait ma main de son plaisir. Elle récupéra rapidement et elle s’en retourna dans la chambre. Elle était soulagée, mais moi, j’avais une trique intéressante, mais, ... Je changeais rapidement de chemise et rejoignais Henry, qui attendait patiemment. Puis arriva Isabelle, toute pomponnée, souriante, ...
Je décidais de donner le signal du départ. En voiture, nous dirigeâmes vers la mini-brasserie ou j’avais réservé un box. Arrivé sur place, je saluais le patron et on s’installa dans le box. En fait, c’était une table pour 4 personnes, avec un paravent de chaque côté. On s’installa, Henry et Isabelle sur le grand côté de la table et moi sur le petit côté, mais à côté d’Isabelle. Commande et le premier plat arrive, et je sens la jambe gauche d’d’Isabelle qui se colle à ma jambe droite. J’espérais un peu la chose. Quelques instants plus tard, ma main droite discrètement, passe sous la table et se pose doucement sur la cuisse d’Isabelle. Déception, je suis bien sur sa cuisse, mais la robe couvre celle-ci. J’essaye de dégager le tissu, mais impossible. Je me retirais, un peu déçu. Le diner avança et je vis qu’Isabelle se tortillait un peu. Espoir. J’attendais un peu, que tout le monde s’occupe de son assiette, et ma main replongeait sous la table, et là, surprise, ma main se pose sur la cuisse d’Isabelle. Par réflexe, « popol » se secoue. Je remonte légèrement vers le haut, il est également dégagé. Je suis pratiquement à mi-cuisse et J’en profite pour caresser l’intérieur de celle-ci. Elle a une peau extrêmement douce, que je caresse doucement et calmement, et je remonte. Au fur et à mesure de la remontée, l’autre cuisse s’écarte légèrement, mais assez pour me laisser progresser. Je quitte l’emplacement, pour éviter tout malentendu. Le diner avance sans se presser et moi, j’ai la main qui replonge, de temps en temps, sous la table pour caresser de nouveau la cuisse et essayer d’aller plus avant, disons plus haut. Nous arrivons, presque au dessert, quand Henry s’excuse, car il doit s’isoler. Il quitte la table, sans rien dire Isabelle, s’enfonce, légèrement, dans sa chaise pendant que ma main droite plonge sous la table et atterrit sur sa cuisse et je remonte vers son abricot. Plus j’avance, plus ses jolies cuisses s’ouvrent et j’arrive à son joli fruit, que je peux toucher du bout d’un doigt. Il est chaud et humide, mais je ne peux aller plus loin, elle s’est redressée, Henry arrivant.
Le diner terminé, nous nous rendons, comme d’habitude le samedi soir, à la boite de nuit, où nous retrouvons les copains et copines, mariés, célibataires de la bande. On s’est installé à côté du groupe sur une table ronde, Isabelle entre Henry et moi. Au premier rock Henry invite sa femme. J’observe le couple avec plus d’attention que la première fois. Pas mal, même bien. Ils reviennent un peu essoufflés et se désaltèrent et Isabelle colle sa jambe contre la mienne, et je recommence ce que j’avais entrepris au restaurant. La cuisse est dégagée de la jupe et j’atterris sur la cuisse. La deuxième cuisse revient au contact, mais assez dégagé pour me laisser caresser la cuisse. J’arrive à monter très haut, mais je n’atteins pas son joli fruit, quand une série de tangos s’annonce, là, je ne veux pas laisser ma place et j’enlève Isabelle. Nous sommes sur la piste et c’est le moment de bien danser. Avec cette danse, en se débrouillant bien, j’arrive à glisser ma jambe droite entre les jambes de ma cavalière, donc ma cuisse entre les siennes. Au premier changement de passe, j’ai réussi. Maintenant laissons faire la danse et le fait de notre différence de taille. A chaque changement de passe, son entrejambe frottera plus ou moins contre ma cuisse. Premier tango, quelque frottements, discrets, le deuxième, il y a du progrès, les frottements se multiplient, quant au troisième, c’est gagné, d’autant, qu’à chaque passe, je maintiens ma cavalière une mesure complète, et quand on reprend, son rythme respiratoire a augmenté. Enfin, la série se termine, et, arrive une série de slow. A peine cette nouvelle série a commencé, Isabelle passe ses bras autour de mon cou et se colle à moi : « Tu es un monstre, ... tu sais ce que tu as réussi à me faire faire, ... je suis excitée comme pas possible, ... sers moi contre toi... » C’est ce je fis, et ainsi collé l’un à l’autre, elle ne peut ignorer l’état dans lequel elle m’a mis, et c’est pour cela que collé à moi, alors que l’on fait du surplace, elle a son bassin qui ondule gentiment contre ma bite. Enfin, elle me glisse dans l’oreille : « Tu es content de toi, ... tu as réussi, ... mais je sens que tu es dans le même état que moi, ... qu’est-ce que tu as imaginé, ... »
Moi : « Dis-moi que tu as envie de t’offrir à moi, ... que tu as envie que je te prenne, ... »
Isabelle, se frottant de plus en plus : « Tu veux un dessin, ... et toi, ... continues comme ça et je vais hurler, ... »
Moi : « Bien, ... la série terminée, tu voudras aller aux toilettes. Au fond des toilettes, il y une porte qui donne sur l’extérieur, ... on se retrouva 4/4., ... »
La série terminée, on retourne à notre table et Isabelle dit discrètement à Henry, qu’elle doit s’isoler, et elle part.
Pour ma part, vidant mon verre je dis à Henry, « Je vais aller faire le plein, ... on meurt de soif, ... Il faut prendre ses précautions, ... profites en pour inviter Geneviève, ...elle n’ attends que ça, ... » et je file vers le coin le plus éloigné du bar et je sors sur le parking et me dirige vers ma voiture, qui est garé au loin. En fait, la majorité des types s’ils pouvaient entrer dans la boite en voiture il le ferait. Personnellement je me gare le plus loin possible de l’entrée, une mauvaise manœuvre et on vous raye votre voiture, mais on ne laisse pas sa carte de visite. Donc toujours loin de l’entrée.
Là, je retrouve Isabelle, plus ou moins planquée derrière le 4*4 et qui me dit : « T’as vu, les filles, là-bas, ... qu’est ce qu’elles font, ... »
Moi : « Devines, ... elles attendent le client, ... »
Isabelle : « Oh non, ... (puis en souriant) Alors, je fais comme elles, ... j’attends le client, ... Embrasses moi, ... sers moi contre toi, ... je veux sentir ton envie de moi, ... »
Moi : « Avant, ... ouvres ta robe, ... »
Isabelle : « Tu es fou, ... »
Moi : « Mais non, ... tu en as envie, ... tu aimes que je te voie nue, ... tu as choisi la robe qu’il fallait, ... et j’aime sentir la douceur de ta peau dans mes mains, ... allez dépêches toi, ... »
Isabelle ouvrant sa robe : « Je suis folle, ... tu me chamboules tout, ... (ouvrant grand sa robe) tu as gagné, ... c’est à toi, ... »
Moi : « Mais tu as un soutien-gorge, ... tu sais que je te préfère sans, ... »
Isabelle : « Oui, ... je sais, ... mais tu as remarqué que j’ai de la poitrine, ... »
Moi : « Et c’est ça que j’aime, ... tu as ce qu’il faut ou il faut, ... »
Isabelle : « Mais venir danser sans, ce serait trop visible, ... mais regardes, j’ai fait de la couture, ... et j’ai dégagé ce que tu aimes lécher et sucer, ... essayes, tu verras ... » effectivement les aréoles prolongées des tétons qui pointaient durs étaient accessibles, et je les goutais, quelques instants
Isabelle : « Tu vois ça ne t’as pas trop gêné, ... et moi j’ai apprécié, ... caresses moi tu sais que j’aime sentir tes mains sur ma peau, ... »
Moi : « Oui, ... et après, tu vas me sucer, ... »
Isabelle : « Jusqu’au bout, ... »
Moi : « Non, ... juste pour que je sente ta jolie bouche me sucer, ... et que tu vérifies que c’est à ton gout, ... »
Sans hésiter, elle défit la ceinture du pantalon et sortit l’engin bien content d’être libéré. Elle le contempla quelques secondes avant de lécher le gland à petits coups de langue, pour ensuite le rendre en bouche et le sucer telle une bonne glace, alors que ses doigts me caresser la hampe. Le tout avec de petits grognements de plaisir. C’était très agréable, mais je risquais de ne pas tenir longtemps et après cette douceur, je voulais la sauter, ce n’était pas élégant, mais c’était ce dont j’avais envie, et il était temps, car avec toutes les petites caresses, ... Il fallait que je diminue la pression.
Donc je lui dis d’arrêter et elle me répondit : « T’es sur, ... j’ai bien envie de continuer, ... »
Je la prenais sous les bras et la ramenais à hauteur en lui disant : « Tournes toi, ... c’est toi que je veux, ... »
Isabelle se relevant et se retournant : « Tu veux me prendre, ... j’aime que tu me prennes comme ça, ... que tu me montes dessus, ... oui, ... j’aime ça, ... ainsi, je suis vraiment à toi, ... dis-moi que tu veux que je sois ta femme, ... non ta femelle, ... c’est ce que tu veux, ... c’est ce que j’aime, ... »
Je n’avais plus qu’à soulever sa jupe, et, j’avais devant moi, un joli cul, bien rond avec une peau douce. « T’as vraiment un joli cul, ... »
Isabelle : « Ne t’inquiètes pas, ... s’il te plait tant, tu l’auras, ... mais baises moi bien, ... maintenant, ... j’en meurs d’envie, ... » Pendant ce temps elle avait écarté ses jolies cuisses et entre celles-ci une main attendait pour me diriger vers et dans son minou, que j’investissais d’un coup de rein, d’ailleurs sans difficultés tellement elle était chaude et humide. Sans attendre, je la ramonais avec énergie, d’autant qu’il fallait quand même se dépêcher et qu’elle oublie son mari. Donc cramponné à ses hanches, je la baisais à grands coups de rein, ce qui semblait lui plaire. Pour compléter, je fis ce qu’elle avait aimé, je lui claquais la fesse droite, ce qui la fit se cambrer : « Oh, ... brute, ... j’aime que tu me brutalises, ... ça me fait te sentir, ... oui, ... continues, ... » et je continuais quand elle partit : « OOOHHH, ... OUIIII, continues, ... ne t’arrêtes pas, ... je suis à toi, ... je sens, ... OUIIIII, ... » et elle se tendit se cambra, alors que je me vidais dans son fourreau. Cramponné à la voiture, elle mit quelques secondes à se redresser, puis se retournant, elle vint se coller à moi. « J’ai aimé, ... toi, tu sais me faire jouir, ... et toi, ... » mais ce n’était pas le moment de discuter, il fallait retourner rapidement en boite et espérer que personne ne pose de questions. Ce que nous fîmes. Alors que j’arrivais à notre table avec un plateau de boissons, Isabelle arrivait. Comme il y avait une série de slow qui démarrait, j’invitais Isabelle et on se retrouva sur la piste. Elle se colla à moi et me dit : « J’ai aimé, ... tu sais me donner du plaisir, ... mais la prochaine fois, j’aimerais un autre endroit, ... Il faudra que tu me fasses un gros câlin, pour te faire pardonner, ... »
Minuit approchant, on décida de rentrer à la case, car le lendemain on devait se retrouver sur la plage, pour la baignade dominicale.

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