Derrière le comptoir
Récit érotique écrit par Guido 66 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Derrière le comptoir
_ Mon mari a fait l'armée en 69, nous étions mariés depuis 1966, nous avions une petite fille, il entrée est à l'armée au mois de novembre 68, j'ai dû trouvé un travail, je me fis embaucher dans un bar, la proximité était très bien, et le couple de patrons étaient sympa, les après-midis souvent il n'y avait personne, la patronne en profitait pour aller aux courses, un après-midi le patron vint derrière le comptoir et sans que je m'y attende souleva ma jupette et se cola contre mes fesses, je sentais sa bite dure contre mes fesses
_ laisse toi faire j'ai très envie !
_ non !
Je baisse ma jupe tout en m'écartant mais vers le fond du bar je ne pouvais pas sortir de derrière, il me coupait la sortie !
_ allé, laisse toi faire, tu vas aimer, et il sort sa bite !
_ non remballé ça, je ne veux pas !
_ bon et bien prend tes affaires et barre toi !
Il se réajuste, je passe devant lui et vais chercher mes affaires pour partir !
_ elle ne te plait pas ma bite ?
_ ça n'a rien à voir mais je suis ici pour travailler !
_ il n'y a personne, on peut prendre un peu de bon temps tous les deux !
_ non, si votre femme apprend ça je n'aurais plus de travaille, j'ai besoin de travailler !
_ justement laisse toi faire et tu gagneras un peu plus !
_ non je ne suis pas ici pour baiser avec vous, mais pour servir les clients !
_ bon, comme tu veux mais demain tu peux rester chez toi !
_ vous me mettez à la porte parce que je ne veux pas me laisser faire, et que va dire votre femme !
_ je trouverais bien une raison !
_ alors donnez moi ce que vous me devez !
Et là, la porte s'ouvre et sa femme m'appelle pour l'aider pour les courses, il me regarde et me fait signe de la tête d'y allé, je ne sais pas trop quoi faire mais j'ai besoin de ce travail, alors je rentre les courses avec sa femme, quand je reviens derrière le bar, il me dit à voix basse
_ heureusement que tu ne t'es pas laisser faire !
_ oui, j'aurais perdu mon travail, elle aurait eu un bon motif !
_ oui, mais j'ai toujours très envie de toi !
_ je vous ai dit non !
_ tu es comme ma femme tu n'aimes pas ça !
_ ça n'a rien à voir mais je suis mariée et heureuse en ménage et je n'ai pas envie de me retrouver enceinte !
_ oui mais seule !
_ si tu aimes baiser alors profite moi je suis près !
_ stop on change de sujet, votre femme vat redescendre !
Le reste de la journée se passe bien, mais au moment de partir, il passe derrière moi et me caresse les fesses sous ma jupette et sa femme est dans les tables en face, je passe mon bras derrière, mais il l'arrête avec son autre main et continu à me peloter les fesses, je ne sais plus quoi faire si je fais un esclandre je perds ma place, sa main est sous ma culotte, je me tourne et arrive à me dégager, il me souri
_ tu as de bonnes fesses !
Je ne réponds pas mais comme je n'ai rien dit il jubile, je vais chercher mes affaires et dit bonsoir !
_ bonsoir a demain avec un grand sourire !
Le lendemain j'engouasse avant de partir et me demande comment m'en sortir sans perdre mon travail, dans la matinée, je me retrouve seule avec lui, il y a quatre hommes qui jouent aux cartes au fond de la salle
_ alors tu es revenu a de bons sentiments
_ je suis venu pour travailler !
_ oui bien sûr, ça n'empêche pas que j'aimerais bien que tu te laisses faire !
_ non, mais vous ne pensez qu'à ça !
_ depuis que j'ai senti tes fesses oui !
_ ne recommencé pas sinon je le dit à votre femme !
_ et tu perdras ton travaille, si tu veux le garder laisse toi faire, plusieurs clients entrent et me sauvent !
Dans l'après- midi, je viens de finir d'essuyer les tables et je range des verres quand il arrive à l'entrée se sert un petit verre de bière et me demande
_ tu as soif ?
_ oui, je veux bien !
_ ha, tu as changé d'avis tu veux bien maintenant, avec le sourire !
_ boire un coup oui !
_ et tirer un coup ?
_ ne recommencé pas SVP
_ j'ai envie de toi et comme tu me résiste je ne pense qu'à ça !
Je ne sais plus quoi faire, et comment m'en sortir sans perdre mon travail, et si je le laisse faire il sera toujours sur moi je ne m'en sortirais pas !
un peu plus tard il y a du monde aux tables et au bar, il passe derrière moi et je sens sa main sur mes fesses, je n'ose pas bouger et il en profite, sa main glisse sous ma culotte, je serre les fesses, il me pelote les fesses, je regarde mais tout le monde discute et ne s'aperçoivent de rien, il ouvre une porte sous le bar et s'accroupi ce qui lui facilite encore plus l'accès par devant, je serre les cuisses, je sers un client et relâche mes jambes, en forçant sur ma vulve, il me fait mal, il en profite ses doigts entrouvrent mes lèvres et je sens deux doigts me pénétrer et commencer à remuer en moi, je ne sais plus quoi faire j'essaye de serrer les jambes, mais ça à l'effet contraire je sens que je mouille, je ne sais plus que faire, alors je relâche et continu a parler avec le client que je sers, mais j'ai peur qu'il s'aperçoive de qqs chose parce que ce cochon là me fait maintenant du bien et je sens plusieurs doigts bouger en moi ! je commence à avoir chaud, je suis sauvé par un client qui commande deux demis, je lui donne un coup de genoux, et il me lâche, ma culotte est roulée sous mes fesses mais tant pis, je quitte le bar avec mes deux verres, il se relève et va au fond derrière le percolateur et me regarde heureux de sa victoire, en suçant ses doigts, il sait qu'il m'a fait du bien ses doigts sont trempés de ma mouilles, je n'ose plus le regarder, de le voir faire ça me trouble et je sens le désir monter dans mon ventre, je vais servir les bières et essuyer des tables pour me reprendre un peu, parce qu'il m'a fait du bien et ça me perturbe et me fait peur, je reviens derrière le bar, il sert une bière a un client et me dit avec un grand sourire
_ tu encaisse le monsieur ?
je lui en veux parce que je sens que je mouille encore, il a réussi à me réveiller, depuis plus cinq semaines que mon mari est parti, j'essaye de ne pas penser au sexe, et là tout revient, la journée se termine, la patronne remonte et on se retrouve seul pour fermer et il y a le couloir à traverser et il vient avec moi pour fermer derrière moi, il me plaque contre le mur et cherche à m'embrasser, je tourne la tête, mais sa main et déjà sous ma jupe et descend ma culotte, je suis sans force et sans volonté, de l'autre main il sort sa bite et la met contre mon ventre je suis plus petite que lui, il se baisse et présente sa bite contre lèvres et force, alors je descends mes mains écarte mes lèvres et présente sa bite qu'il enfourne dans mon vagin trempé de mouille
_ tu vois que tu en avais envie !
_ SVP, ne fait pas dedans je ne veux pas tomber enceinte, dépêchez vous votre femme peut arriver !
_ ha maintenant tu es pressé, alors tu me suceras si tu ne veux pas que je fasse dedans ?
Oui, heureusement avec l'excitation il jouit vite je le repousse, me baisse et absorbe sa bite je reçois ça jute chaude en bouche que j'avale aussitôt, il insiste pour que je le suce jusque temps que sa bite ramollie, je remonte ma culotte.
_ Tu suce bien, tu m'as fait du bien
Je ne réponds pas, ouvre la porte et pars, arrivé à la maison je me déshabille et me nettoye la bouche, je suis en colère maintenant, parce qu'il a réussi à avoir ce qu'il voulait et en plus je suis obligé de me rende compte qu'il m'a fait du bien malgré que je ne voulais pas y penser.
Plusieurs jours après, dans l'après-midi, nous étions seul, je senti sa main sous ma jupe, là je le laisse faire et lui facilite l'accès à ma vulve, presque aussitôt je mouille
_ tu aimes ça !
_ oui bien sûr, mais si je pers mon travail à cause de ça, je vous en voudrais a mort !
_ ne t'inquiète pas, met toi contre le comptoir je vais te prendre par derrière,
_ Vous ne fait pas dedans, je préfère vous sucer !
_ non, et en plus j'aime que tu me suce, ma femme ne veux pas
Il ouvrit la porte dessous et me dit
_ monte tes pieds sur le rebord, ce que je fis, pour être à la bonne hauteur et j'écartais les jambes et me laissais allé vers le bar, je senti sa bite pénétrer ma vulve, cette fois je profite, il me fit jouir et se retira, je me retournais et m'accroupie pour prendre sa bite en bouche, après quelques aller-retours je reçu son sperme que j'avalais aussitôt
_ continu à la lécher !
Je la garde dans ma bouche et passe ma langue autour, je lève les yeux, les siens sont fermés il apprécie, moi aussi parce qu'il m'a fait du bien et je suce toujours mon chéri après, et j'aime ça !
Il me donne un torchon pour m'essuyer après l'avoir fait
_ hum c'était bon pour moi !
_ oui, moi aussi !
_ tu aimes ça ?
_ oui !
_ et sucer aussi !
_ vous l'avez bien senti !
_ oui, j'ai bien aimé ! J'aimerais bien te baiser complétement !
_ c'est bien comme ça, je ne veux pas tomber enceinte !
_ Dommage, plus tard peut être ?
_ il faudra que tu me suce complétement, j'aime ça mais ma femme ne veut pas !
_ je veux bien mais vous ne faite pas dedans surtout !
Il me baisa plusieurs semaines comme ça, je dois avouer que j'aimais ça malgré la peur que j'avais qu'il décharge en moi, il me faisait jouir souvent.
Un moment après un premier client est arrivé, j'étais heureuse, fautive mais me laissait faire à chaque sollicitation, et c'était presque tous les jours, une fois que je l'ai eu sucé à fond il me demanda si je voulais bien alterner
_ j'aime beaucoup te baiser surtout par derrière, mais comme je ne peux pas finir, et que j'aime aussi quand tu me suces, si tu veux me sucer plus souvent moi j'aimerais beaucoup
_ Vous voulez que je vous suce seulement ?
_ Oui, tu fais ça très bien, j'aime beaucoup juter dans ta bouche et tu avales, j'adore ça !
_ D'accord si vous aimer !
Sa demande me frustrait un peu, parce que j'aimais sentir sa bite me pénétrer par derrière, mais elle me satisfaisait de la peur de me retrouver enceinte par accident, le soir après l'avoir satisfait en le suçant, au lit je me faisais plaisir moi aussi.
Malgré mes résistances du début, j'avais beaucoup aimé qu'il me baise par derrière dans le bar, ça me troublait.
j'ai travaillé 1 ans et demi dans ce bar, mais au bout de deux mois je racontais tout à mon mari, que le patron m'avait baisé et que je le suçais, j'ai été un peu surprise parce que bien qu'il nous arrivât de parler de faire l'amour avec d'autres partenaires pour changer un peu et mettre du piment, on n'avait jamais franchi le pas à causes des risques de me retrouver enceinte, nous avions fait participer plusieurs amis d'avant notre mariage mais aucun n'avait jouis en moi je les suçais seulement, mais on aimaient beaucoup faire des soirées comme ça ensemble, mon chéri lui finissait souvent dans mon petit depuis que l'on était marié, c'était notre moyen de contraception et j'aimais ça, là je le mettait devant le fait accompli, il me demanda si j'avais aimé ?
Je lui avouai que oui, je prenais du plaisir,
Il me dit
_ oui, sucer tu aimes ça mais fait attention de ne pas perdre ton travail, j'espère que tu ne lui a pas permis de finir dans ton petit ?
_ Non mon chéri, il n'y a que toi, je n'osais pas lui dire que ses doigts avait souvent franchi mon petit et que j'avais laissé faire !
Alors profite si tu aimes comme ça
Ce que je fis volontiers.
Je m'étais demandé pourquoi j'avais apprécié de baiser comme ça derrière le bar, la réponse je l'ai eu, un soir à la fin du service militaire de mon chéri, on était dans une boite pour danser on aimait beaucoup ça, ce soir-là, on était très chaud tous les deux, je sentais qu'il bandait, je lui dit prend moi en dansant, il me regarda et vis que j'étais sérieuse, on était dans le noir les seules lumières était celles de l'orchestre, je remontais ma mini-jupe, lui sorti sa bite et écarta ma culotte et me pénétra, comme j'avais des hauts talons, j'étais a la bonne hauteur, je regardais autour de nous mais les couples s'embrassaient et dansaient enlacés,
je lui dit
_ va doucement c'est le premier slow, il faut que ça dure jusque-là fin,
nos bouches s'unirent, un peu avant la fin du troisième je le senti jouir, j'avais jouis deux fois, depuis qu'il était rentré, il jouissait en moi, je voulais un enfant, mais je venais de comprendre pourquoi j'aimais baiser au bar, le fait qu'il y ai des gens autour ou le risque d'être surpris m'excitais, j'aimais me faire baiser debout au début avec mon chéri, mais il me prenait toujours par devant et là j'avais gouté par derrière et j'aimais beaucoup ça, au lit on avait essayé toutes les positions que l'on connaissaient, c'est une chose dont on parla et que l'on refit très souvent et pas seulement dans les bals, mais aussi dans la nature en choisissant des endroits où l'on pouvait nous voir ou nous surprendre, le long de la route sur le capot de la voiture, dans une ruelle et ça pendant plus de vingt ans, plus tard en 1971 quand j'ai pris la pilule, c'est comme ça j'ai eu aussi d'autres amants inconnus pour une seule fois que l'on invitait pour le plaisir, mon chéri aimait me faire baiser par d'autres, ça l'excitait et moi aussi !
_ laisse toi faire j'ai très envie !
_ non !
Je baisse ma jupe tout en m'écartant mais vers le fond du bar je ne pouvais pas sortir de derrière, il me coupait la sortie !
_ allé, laisse toi faire, tu vas aimer, et il sort sa bite !
_ non remballé ça, je ne veux pas !
_ bon et bien prend tes affaires et barre toi !
Il se réajuste, je passe devant lui et vais chercher mes affaires pour partir !
_ elle ne te plait pas ma bite ?
_ ça n'a rien à voir mais je suis ici pour travailler !
_ il n'y a personne, on peut prendre un peu de bon temps tous les deux !
_ non, si votre femme apprend ça je n'aurais plus de travaille, j'ai besoin de travailler !
_ justement laisse toi faire et tu gagneras un peu plus !
_ non je ne suis pas ici pour baiser avec vous, mais pour servir les clients !
_ bon, comme tu veux mais demain tu peux rester chez toi !
_ vous me mettez à la porte parce que je ne veux pas me laisser faire, et que va dire votre femme !
_ je trouverais bien une raison !
_ alors donnez moi ce que vous me devez !
Et là, la porte s'ouvre et sa femme m'appelle pour l'aider pour les courses, il me regarde et me fait signe de la tête d'y allé, je ne sais pas trop quoi faire mais j'ai besoin de ce travail, alors je rentre les courses avec sa femme, quand je reviens derrière le bar, il me dit à voix basse
_ heureusement que tu ne t'es pas laisser faire !
_ oui, j'aurais perdu mon travail, elle aurait eu un bon motif !
_ oui, mais j'ai toujours très envie de toi !
_ je vous ai dit non !
_ tu es comme ma femme tu n'aimes pas ça !
_ ça n'a rien à voir mais je suis mariée et heureuse en ménage et je n'ai pas envie de me retrouver enceinte !
_ oui mais seule !
_ si tu aimes baiser alors profite moi je suis près !
_ stop on change de sujet, votre femme vat redescendre !
Le reste de la journée se passe bien, mais au moment de partir, il passe derrière moi et me caresse les fesses sous ma jupette et sa femme est dans les tables en face, je passe mon bras derrière, mais il l'arrête avec son autre main et continu à me peloter les fesses, je ne sais plus quoi faire si je fais un esclandre je perds ma place, sa main est sous ma culotte, je me tourne et arrive à me dégager, il me souri
_ tu as de bonnes fesses !
Je ne réponds pas mais comme je n'ai rien dit il jubile, je vais chercher mes affaires et dit bonsoir !
_ bonsoir a demain avec un grand sourire !
Le lendemain j'engouasse avant de partir et me demande comment m'en sortir sans perdre mon travail, dans la matinée, je me retrouve seule avec lui, il y a quatre hommes qui jouent aux cartes au fond de la salle
_ alors tu es revenu a de bons sentiments
_ je suis venu pour travailler !
_ oui bien sûr, ça n'empêche pas que j'aimerais bien que tu te laisses faire !
_ non, mais vous ne pensez qu'à ça !
_ depuis que j'ai senti tes fesses oui !
_ ne recommencé pas sinon je le dit à votre femme !
_ et tu perdras ton travaille, si tu veux le garder laisse toi faire, plusieurs clients entrent et me sauvent !
Dans l'après- midi, je viens de finir d'essuyer les tables et je range des verres quand il arrive à l'entrée se sert un petit verre de bière et me demande
_ tu as soif ?
_ oui, je veux bien !
_ ha, tu as changé d'avis tu veux bien maintenant, avec le sourire !
_ boire un coup oui !
_ et tirer un coup ?
_ ne recommencé pas SVP
_ j'ai envie de toi et comme tu me résiste je ne pense qu'à ça !
Je ne sais plus quoi faire, et comment m'en sortir sans perdre mon travail, et si je le laisse faire il sera toujours sur moi je ne m'en sortirais pas !
un peu plus tard il y a du monde aux tables et au bar, il passe derrière moi et je sens sa main sur mes fesses, je n'ose pas bouger et il en profite, sa main glisse sous ma culotte, je serre les fesses, il me pelote les fesses, je regarde mais tout le monde discute et ne s'aperçoivent de rien, il ouvre une porte sous le bar et s'accroupi ce qui lui facilite encore plus l'accès par devant, je serre les cuisses, je sers un client et relâche mes jambes, en forçant sur ma vulve, il me fait mal, il en profite ses doigts entrouvrent mes lèvres et je sens deux doigts me pénétrer et commencer à remuer en moi, je ne sais plus quoi faire j'essaye de serrer les jambes, mais ça à l'effet contraire je sens que je mouille, je ne sais plus que faire, alors je relâche et continu a parler avec le client que je sers, mais j'ai peur qu'il s'aperçoive de qqs chose parce que ce cochon là me fait maintenant du bien et je sens plusieurs doigts bouger en moi ! je commence à avoir chaud, je suis sauvé par un client qui commande deux demis, je lui donne un coup de genoux, et il me lâche, ma culotte est roulée sous mes fesses mais tant pis, je quitte le bar avec mes deux verres, il se relève et va au fond derrière le percolateur et me regarde heureux de sa victoire, en suçant ses doigts, il sait qu'il m'a fait du bien ses doigts sont trempés de ma mouilles, je n'ose plus le regarder, de le voir faire ça me trouble et je sens le désir monter dans mon ventre, je vais servir les bières et essuyer des tables pour me reprendre un peu, parce qu'il m'a fait du bien et ça me perturbe et me fait peur, je reviens derrière le bar, il sert une bière a un client et me dit avec un grand sourire
_ tu encaisse le monsieur ?
je lui en veux parce que je sens que je mouille encore, il a réussi à me réveiller, depuis plus cinq semaines que mon mari est parti, j'essaye de ne pas penser au sexe, et là tout revient, la journée se termine, la patronne remonte et on se retrouve seul pour fermer et il y a le couloir à traverser et il vient avec moi pour fermer derrière moi, il me plaque contre le mur et cherche à m'embrasser, je tourne la tête, mais sa main et déjà sous ma jupe et descend ma culotte, je suis sans force et sans volonté, de l'autre main il sort sa bite et la met contre mon ventre je suis plus petite que lui, il se baisse et présente sa bite contre lèvres et force, alors je descends mes mains écarte mes lèvres et présente sa bite qu'il enfourne dans mon vagin trempé de mouille
_ tu vois que tu en avais envie !
_ SVP, ne fait pas dedans je ne veux pas tomber enceinte, dépêchez vous votre femme peut arriver !
_ ha maintenant tu es pressé, alors tu me suceras si tu ne veux pas que je fasse dedans ?
Oui, heureusement avec l'excitation il jouit vite je le repousse, me baisse et absorbe sa bite je reçois ça jute chaude en bouche que j'avale aussitôt, il insiste pour que je le suce jusque temps que sa bite ramollie, je remonte ma culotte.
_ Tu suce bien, tu m'as fait du bien
Je ne réponds pas, ouvre la porte et pars, arrivé à la maison je me déshabille et me nettoye la bouche, je suis en colère maintenant, parce qu'il a réussi à avoir ce qu'il voulait et en plus je suis obligé de me rende compte qu'il m'a fait du bien malgré que je ne voulais pas y penser.
Plusieurs jours après, dans l'après-midi, nous étions seul, je senti sa main sous ma jupe, là je le laisse faire et lui facilite l'accès à ma vulve, presque aussitôt je mouille
_ tu aimes ça !
_ oui bien sûr, mais si je pers mon travail à cause de ça, je vous en voudrais a mort !
_ ne t'inquiète pas, met toi contre le comptoir je vais te prendre par derrière,
_ Vous ne fait pas dedans, je préfère vous sucer !
_ non, et en plus j'aime que tu me suce, ma femme ne veux pas
Il ouvrit la porte dessous et me dit
_ monte tes pieds sur le rebord, ce que je fis, pour être à la bonne hauteur et j'écartais les jambes et me laissais allé vers le bar, je senti sa bite pénétrer ma vulve, cette fois je profite, il me fit jouir et se retira, je me retournais et m'accroupie pour prendre sa bite en bouche, après quelques aller-retours je reçu son sperme que j'avalais aussitôt
_ continu à la lécher !
Je la garde dans ma bouche et passe ma langue autour, je lève les yeux, les siens sont fermés il apprécie, moi aussi parce qu'il m'a fait du bien et je suce toujours mon chéri après, et j'aime ça !
Il me donne un torchon pour m'essuyer après l'avoir fait
_ hum c'était bon pour moi !
_ oui, moi aussi !
_ tu aimes ça ?
_ oui !
_ et sucer aussi !
_ vous l'avez bien senti !
_ oui, j'ai bien aimé ! J'aimerais bien te baiser complétement !
_ c'est bien comme ça, je ne veux pas tomber enceinte !
_ Dommage, plus tard peut être ?
_ il faudra que tu me suce complétement, j'aime ça mais ma femme ne veut pas !
_ je veux bien mais vous ne faite pas dedans surtout !
Il me baisa plusieurs semaines comme ça, je dois avouer que j'aimais ça malgré la peur que j'avais qu'il décharge en moi, il me faisait jouir souvent.
Un moment après un premier client est arrivé, j'étais heureuse, fautive mais me laissait faire à chaque sollicitation, et c'était presque tous les jours, une fois que je l'ai eu sucé à fond il me demanda si je voulais bien alterner
_ j'aime beaucoup te baiser surtout par derrière, mais comme je ne peux pas finir, et que j'aime aussi quand tu me suces, si tu veux me sucer plus souvent moi j'aimerais beaucoup
_ Vous voulez que je vous suce seulement ?
_ Oui, tu fais ça très bien, j'aime beaucoup juter dans ta bouche et tu avales, j'adore ça !
_ D'accord si vous aimer !
Sa demande me frustrait un peu, parce que j'aimais sentir sa bite me pénétrer par derrière, mais elle me satisfaisait de la peur de me retrouver enceinte par accident, le soir après l'avoir satisfait en le suçant, au lit je me faisais plaisir moi aussi.
Malgré mes résistances du début, j'avais beaucoup aimé qu'il me baise par derrière dans le bar, ça me troublait.
j'ai travaillé 1 ans et demi dans ce bar, mais au bout de deux mois je racontais tout à mon mari, que le patron m'avait baisé et que je le suçais, j'ai été un peu surprise parce que bien qu'il nous arrivât de parler de faire l'amour avec d'autres partenaires pour changer un peu et mettre du piment, on n'avait jamais franchi le pas à causes des risques de me retrouver enceinte, nous avions fait participer plusieurs amis d'avant notre mariage mais aucun n'avait jouis en moi je les suçais seulement, mais on aimaient beaucoup faire des soirées comme ça ensemble, mon chéri lui finissait souvent dans mon petit depuis que l'on était marié, c'était notre moyen de contraception et j'aimais ça, là je le mettait devant le fait accompli, il me demanda si j'avais aimé ?
Je lui avouai que oui, je prenais du plaisir,
Il me dit
_ oui, sucer tu aimes ça mais fait attention de ne pas perdre ton travail, j'espère que tu ne lui a pas permis de finir dans ton petit ?
_ Non mon chéri, il n'y a que toi, je n'osais pas lui dire que ses doigts avait souvent franchi mon petit et que j'avais laissé faire !
Alors profite si tu aimes comme ça
Ce que je fis volontiers.
Je m'étais demandé pourquoi j'avais apprécié de baiser comme ça derrière le bar, la réponse je l'ai eu, un soir à la fin du service militaire de mon chéri, on était dans une boite pour danser on aimait beaucoup ça, ce soir-là, on était très chaud tous les deux, je sentais qu'il bandait, je lui dit prend moi en dansant, il me regarda et vis que j'étais sérieuse, on était dans le noir les seules lumières était celles de l'orchestre, je remontais ma mini-jupe, lui sorti sa bite et écarta ma culotte et me pénétra, comme j'avais des hauts talons, j'étais a la bonne hauteur, je regardais autour de nous mais les couples s'embrassaient et dansaient enlacés,
je lui dit
_ va doucement c'est le premier slow, il faut que ça dure jusque-là fin,
nos bouches s'unirent, un peu avant la fin du troisième je le senti jouir, j'avais jouis deux fois, depuis qu'il était rentré, il jouissait en moi, je voulais un enfant, mais je venais de comprendre pourquoi j'aimais baiser au bar, le fait qu'il y ai des gens autour ou le risque d'être surpris m'excitais, j'aimais me faire baiser debout au début avec mon chéri, mais il me prenait toujours par devant et là j'avais gouté par derrière et j'aimais beaucoup ça, au lit on avait essayé toutes les positions que l'on connaissaient, c'est une chose dont on parla et que l'on refit très souvent et pas seulement dans les bals, mais aussi dans la nature en choisissant des endroits où l'on pouvait nous voir ou nous surprendre, le long de la route sur le capot de la voiture, dans une ruelle et ça pendant plus de vingt ans, plus tard en 1971 quand j'ai pris la pilule, c'est comme ça j'ai eu aussi d'autres amants inconnus pour une seule fois que l'on invitait pour le plaisir, mon chéri aimait me faire baiser par d'autres, ça l'excitait et moi aussi !
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres belle histoire un peux comme nous merci
Quoique politiquement peu correcte, votre histoire est excellente
Merci pour cette histoire excellente
Oui, effectivement aujourd'hui, bien que ça n'ai pas beaucoup évolué pour les femmes dans des cas comme ça, mais a cette époque il était complétement illusoire, de penser porter plainte.
Cela s'appelle un viol, passible des assises.