Le festival de musique. 1988 - histoire érotique

_ Quand le spectacle a commencé, il faisait déjà nuit; nous étions entourés par la marée humaine assise dans des chaises et il était presque impossible de bouger. C'était la fin de l'été et le temps était très agréable, bien qu'un peu chaud. Pour cette saison, j'avais mis une robe légère, assez courte, qui couvrait à peine mes fesses quand je marchais. Je portais des sandales à talons bas et une petite culotte très légère.
Mes seins étaient libres, puisqu’elle je ne portais pas de soutien-gorge, et avec ma petite robe deux pans croisés liés derrière mon cou, j'avais toujours le sein gauche à moitié dehors dehors ! Mais j’aimais être était comme ça légère et sexy et mon chéri aimait aussi!

Il était assit près de moi, noyer dans la foule,


_ pendant la cinquième chanson, j’ai commencé à sentir une main me caresser un sein. Se ne pouvait pas être mon mari qui était de l'autre côté, alors j'ai essayé de tourner la tête pour voir qui était l'impertinent qui me pelotait, alors qu' »une voix » profonde me murmura à l'oreille:

_ Reste cool, ton mari est très attentif à la musique et il est un peu négligeant envers toi.

C'était vrai; Du coin de l'œil, je le voyais exultant de joie et chantant en chœur, totalement inconscient qu'une main inconnue me pelotait.

La « voie » me dit,
_ libère toi et vient je t’attends près des toilettes,

je me retourne et vis un dos qui s’éloignait, un court instant j’ai hésité et puis j’ai glissé a l’oreille de mon chéri «  je reviens, je vais aux toilettes, et faire un tour voir les stands « 
_ oui, tu as de l’argent ?
_ oui j’ai mon sac !
Et je me dirige vers les toilettes ! Mais ne sachant pas qui chercher !

Je regarde autour de moi et soudain je senti une main sur mes fesses et la « voie » me dit
_ j’étais sur que tu allais venir ! Suis moi,
est il pris ma main et m’entraîna vers un bosquet d’arbres, derrière les toilettes et les stands nous étions maintenant dans le noir a une vingtaine de mètres des stands, la « voie » n'était pas plus grand que moi mais bien battis, arrivé aux arbres il me plaqua contre un tronc, et entrepris de délier les pans de ma robe libérant mes seins, qu’il pris aussitôt, se pencha et commença a me téter passant de l’un a l’autre !
Je ne savais que faire alors j’ai laisser faire, je sentis une de ses main sur mes fesses les palpas, et sentis un doigts s’insinuer entre jusque sur ma rose, il enfonça son doigts et commença a le bouger, sans lubrifiant je ressentis une petite brûlure, mais déjà l'autre main passait devant sous ma culotte écartait mes lèves, et des doigts pénétrais mon vagin et commençait a danser, aussitôt je sentis ma vulve se mouillée !

_ Hé, tu aime ça ?

_ oui, mais vas doucement !

_ on a pas beaucoup de temps ton mari vas s’impatienter !

_ non je lui ai dit qu’après les toilettes j’irais faire les stands !

_ ok, alors retire ta robe !

Je fait glisser ma robe et ma culotte et mis le tout sur le côté avec mon sac!

Lui avait lâché sa ceinture, son pantalon était sur ses pieds, comme mes yeux était habitué a l’obscurité, je voyais maintenant une bite énorme bandée dressé vers le ciel !

_ vas y sert toi !

Je me mis accroupis et regardai la bite, grande 20 cm minimum, mais d’un diamètre surprenant, je tirais sur le prépuce et vit un superbe gland brillant de mouille malgré le peu de lumière !
Je pensait «  j’ai bien fais de venir une telle bête je n’aurais pas voulu loupé ça ! »

j’absorbe le gland et commençais a masturber la tige qui faisait plus de 20 cm, il se laissa faire et puis voulu me l’enfoncer dans la bouche !

_ non ! laisse moi faire, je l’enfoncerais moi même, laisse toi faire !

Le bout de ses doigts effleurais mes seins ; il choppa mes tétons et les fit rouler

_ "Quelle belle queue !

_merci, 22 cm 5,5 cm d’épaisseur !
_ ça fait un bon moment que mon garage n’as pas reçu un véhicule comme celui-ci, je ne regrette pas d’être venue !
_ attends pour l’instant tu n’a fais que la voir, bientôt tu vas la sentir !
_ oui plutôt deux fois qu’une, je la veux !

Je sentais dans ma main qui branlait doucement les battements de son cœur, ça me fit des chose que je ressentit dans la vulve !

_ laisse moi te préparer maintenant, il me fit me coucher dans l’herbe et se mit en 69, les préliminaires durait sa langue allait de ma vulve a mon petit qu’il forçait avec sa langue, un régal, et je n’était pas pressé d’accélérer le mouvement, je me régalais du son gland gonflé qui me donnait de la mouille sans arrêt, c’est lui qui me dit
_ met toi a genoux !

Je mis a genoux et écartais mes cuisses, il se glissa derrière moi, et je senti son gland pénétrer mes lèvres, il fit glisser plusieurs fois celui-ci de bas en haut jusque mon clito qu’il agaça avant de pousser pour me pénétrer, sensation de remplissage dont je n’était pas habituer avec mon chéri, mais qu’elle délice de se sentir remplie comme ça, je la sentais glisser doucement vers le fond de mon vagin je ne pu m’empêcher de râler de plaisir !

Une fois bien planter, il commença un lent vas et vient et guidait sa bite dans tous les sens, des sensations sublimes qui me faisait râler à chaque fois !

Au bout d’un petit moment je lui demandais

_ ressort là à chaque fois et pénètre moi a nouveau sans arrêt !

Il s’exécutât, je sentais ma vulve bouillir de plaisir et m’arrachais des petits cris d’ un plaisir que je sentais venir du fond de mon ventre !

_ c’est bon ça te plais ?

_ ho oui, surtout n’arrête pas je t’en supplie continu, j’ai jamais ressentit ça !

Sa bite sortait rentrait, allait cogner le fond de mon vagin se qui m’électrisait tout le ventre, ça faisait un bon moment que je n’avais eu autant de jouissance !

Au bout de 10/15 minutes de ce régime, je sentis que sa cadence s’accélérait mais il n’avait rien changer et j’avais eu plusieurs orgasme j’essayais de na pas crier trop fort, mais maintenant sa bite dure cognait fort au fond de moi et je sentis encore une vague monter et lui se planta encore plusieurs fois et je senti une chaleur envahir mon ventre, j’ai cru que j’allais m’évanouir tellement c’était bon, lui avait passé ses bras autour de moi pour forcer la pénétration, on est resté comme ça un bon moment et je senti sa bite ramollir, et sortir de mon vagin, je me retournait et la pris dans ma bouche et la lécha de bas en haut et l’absorba a nouveau, nettoya le gland que je suçais avidement en remerciement au plaisir qu’il m’avait procurer !

_ tu as aimer !

_ non, j’ai adorer, tu m’a fait ressentir des plaisirs que l’on a que lorsque l’on est bien baisé ! Alors merci de m’avoir choisi

_ je t’ai vue arriver avec ton nichon dehors, j’ai eu envie de toi, c’est aussi simple que ça ! Tu aurais pu faire un scandale quand je t’ai peloté ou ne pas venir !

Comment tu t’appelles ?

_ non je ne veux pas savoir comment tu t’appelles, pour moi tu restera « la voie » mon bon baiseur inconnu, restons comme ça, on eu un grand frisson, c’est bien !

_ d’accord, moi j’ai aussi beaucoup aimer !

Une fois rajusté, je repris le chemin qui m’avais emmener là, mais seule, la « voie » était reparti !

Arrivé près de mon chéri, il me demanda

_ tu as vu de belles choses ?

Oui, même une très belle, mais je l’ ai laissé, je te raconterais !