Dessert 2 - histoire érotique

Salut à toi chère lectrise et cher lecteur,
Un petit rappel qui restera très important :

Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins (moi y compris) ont respecté le port de ce CONDOM qui respectait toutes les normes le protection pour nous protéger du SIDA et des MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause, mais bien sûr nous avons aussi tenu à ce que les personnes qui participent à nos combats de chair que nous avons programmé, de nous fournir un test en bon et due forme.

Bon, voici la suite de notre l'histoire:


Résumé :
Ayant reçu une invitation à dîner où il nous faut porter un masque. Que nous réserve cette soirée comme surprise ?

Chapitre 2


Sa langue me fouille comme si elle veut traverser ma gorge.

— Ton baiser est brûlant ! Lui dis-je. Nos deux voisins ont les yeux posés sur tes courbes... Ils ont arreté de manger et j'ai l'impression que la seule vue de ton corps, même de dos, suffit à leur appétit !

Elle quitte mes lèvres enfin après un autre baiser hot, hot, hot et se rassoit en prenant son temps.
Je sens comme si elle a pros les commandes de l'espace temporel. Comme si elle modèle le temps à sa guise... Elle donne à ce moment des valeurs, des coordonnées, qui font qu'elle maitrise l'évolution de ses fantasmes. Ces hommes veulent payer pour la découvrir. Ils ont fait le premier pas et instaurer de ce fait les régles ďun jeu de sexe et ďargent.
Mais les règles de ce jeu c'est elle qui veut les maitriser et les rendre "jouable" sans conteste. Cette sensation de maitrise, de domination, lui fait du bien, réhausse son estime tout comme son pouvoir. Elle contine allégrement son repas en parlant de tout et de rien, sans manquer de jeter de temps en temps un coup ďœil vers la table voisine où nos deux inconnus boivent en ce moment leurs cafés en parlant à voix basses.
Les masques qu'ils portent cachent en partie leur visage, mais on peut aisémment voir qu'ils ne sont du même âge. Le plus agé ne doit être plus vieux que soixante ans. L'autre est bien plus jeune, une vingtaine peut être une trentaine d'années au maximum.
Père et fils ?
Quand la corbeille de fruits arrive sur notre table, Caline me tendi ses lèvres en se soulevant légèrement de son siège. Elle me sussure :

— Il est grand temps de réactiver le désir de nos voisins... Tu ne crois oas ?
— Ohhh ma coquine... C'est déjà dans la poche ! Lui dis-je. Ils ont arrété de parler et leur yeux sont ne quittent plus tes fesses ! 

Elle pousse un haletement de paisir car elle sait que derrière son dos, les deux mâles en bavaient pour son cul.

— Que vas-tu faire maintant ? Lui demande ai-je. Jusqu'à où veux-tu aller ?
— Mon chéri, je vais leur en donner pour leur argent et satisfaire par la même occasion mes propres fantasmes. J'ai envie de faire bander ces hommes jusqu'à ľexplosion de leurs sexes. Et tu vas m'y aider ! Tu vas voir comment ta petite femme peut devenir une chienne en chaleur quand on lui en donne ľopportunité. Tu en sais quelque chose ! Ces deux inconnus masqués avec les regards qu'ils jettent sur moi sont une source de plaisirs qu'il me faut découvrir ?

Sur ces mots, elle saisit dans la corbeille une banane qu'elle se met à éplucher lentement. Elle se tourne légerement, juste assez pour pouvoir les regarder et voir les éclairs de désir et ďenvie qui brillent dans leurs yeux. Elle passe une langue délicate sur la pointe du fruit et le repose sur la table sans le mordre. Elle continue à regarder les deux hommes avec insistance.
Le silence des mots est plus sage que tous les discours.

"Merde ! C'est quoi cette histoire ?" Me suis-je dis quand une nouvelle enveloppe arrive jusqu'à notre table sur un petit plateau que apporte le garçon de salle.
Je suppose que c'est encore de nouvelles "instructions" ou une demande ? Je me dis que tout cette mise en scène était déjà scénarisée depuis le départ. Peut être que ces deux hommes, avec la complicité de ma femme, avaient déjà prévu le coup.
Mais c'est pas logique... Si Caline était dans le coup elle n'aurait pas fait autant de mystère... Je la vois mal cacher ľinvitation en espérant que je la "redécouvre". Puis je doute qu'elle soit une comédienne douée, pour au départ être rétissante à accepter cette invitation et pour qu'enfin elle donne sans accord.
Et si j'avais retrouvé l'invitation des jours plus tard ?
Et puis il y a ces fameuses enveloppes... Après la première enveloppe, j'ai surveillé les gestes et moi ement de ces deux gars. Je n'ai pas vu que ľun ďeux ai remis une enveloppe à quiconque.
Et si il y a une personne que je n'ai pas vu, qui nous envoie ces messages ?
Et comment qu'il aurait su que nous allons jouer le jeu ?
Et si... Et si...
Et si... ľun de ces hommes avait fait appel à une entreprise qui organise un scénario où ils mettent, leur client, en relation avec des personnes qu'il ne connait pas pour vivre une aventure sexuelle et réaliser un fantasme ?
Genre une boîte qui s'appelle "Visex" dont le slogan serait : "Nous vous faisons vivre vos fantasmes, même les plus fous !"
Perdu que j'étais dans mes pensées, c'est Caline qui se saisit de ľenveloppe et commence à parcourir des yeux le papier cartonné qui s'y trouve avec un sourire qui me donne une petite idée du contenu et le sens de la missive. Je la vois par instants retourner la tête pour regarder les deux gars. Elle parle avec eux la langue des regards, un langage silenceux mais très érotique.

Un nuage de sensualité flotte autour de son corps.
Elle se tourna et se penche vers moi, et dans un murmure et dit :

— Ces deux là sont de vrais cochons ! Ils sont prèts à payer très cher pour pouvoir jouir de mon corps et m'arroser de leur semence. Ils veulent me voir faire des choses obscènes... Ils TE demandent de m'enculer, là, au milieu de la salle. Ils disent que mon cul les obsède depuis notre entrée !

En me disant cela, elle se penche un peu plus, pose ses paumes sur ses rondeurs arrières et les pétrit sans vergogne face aux deux hommes qui en salivent de bonheur.

— Ils veulent que j'agisse comme une chienne... Et... Ils vont être servis ! Je vais défaire quelques boutons du bas de ma robe pour mieux leur écarter les jambes... Et toi... Je veux que tu te masturbes sous la table. Cela va m'exciter encore plus... Car... Je t'aime et ça m'enflamme plus sachant que tu me désir plus que ces mecs !

Le couple du fond vient de partir et nous restons tous les quatre avec le maître d'hôtel qui a bien vu le manège et qu'il doit se régaler suivant les tournures que cette soirée est entrain de prendre.

Il fait inhabituellement assez chaud en cette nuit de fin de mois de mai et de fines perles de sueur brillaient autour des yeux de Caline. Son loup lui collait à la peau.
Elle tourne sa chaise et se pose bien en face des deux hommes. Tout le monde sent que la tension est monté d'un cran dans la pièce.
Caline ramène d'un geste ample ses cheveux d'ébène sur son cou et se baisse pour atteindre le dernier bouton au bas de sa robe noire. Elle commence à dénuder ses genoux puis le début de son entre-cuisse. Je peux répondre à une question qui me taraudait : elle a mis des collants noirs. Caline adore mettre des collants.
Quand elle arrive au sommet de ses cuisses, elle s'arrête et se redresse en pointant bien ses seins vers l'avant comme si elle les offrait à une bouche gourmande. Les deux hommes peuvent mieux constater qu'elle a une poitrine opulente et aggressive.
Caline, qui était déjà assez chaude en arrivant ici, est dans un état d'excitation intense là ! Cela se voit surtout aux deux tétons déjà bien dressées et à son souffle qui prend un rythme plus court avec un petit et excitant miaulement rauque qui remonte du fond de sa gorge.
Elle s'adresse sensuellement au maître ďhôtel pour lui demander de débarasser la table voisine et de lui apporter un coussin. Puis, se tournant vers nos voisins qui ont posé leurs main entre le haut de leurs cuisses et dit ouvertement :
— Maintenant c'est à votre tour de faire sauter les boutons qui restent ! Vous en connaissez le prix ? Ça m'excite les billets que vous allez poser sur mon corps pour le dénuder complètement. Comme vous ľavez bien deviné, c'est le coté "petite pute" qui sommeille en chaque femme et que vous avez réveillé chez moi !
"Quelle lenteuse cette nana !" Me suis-je dis.

Elle continu son discours :

— Et cette nuit la musique de vos papiers à monnaie, va me rendre très cochonne... C'est ce que vous voulez... Non ? J'ai là la preuve noir sur blanc de ce désir que vous m'avez exprimé... Avec une grande franchise que je salue au passage me l'avez écrit avec beaucoup de franchise... Vous voulez que je sois... Très, très cochonne même ? Vous allez pendant longtemps vous rappeller de ce moment et je suis sûre que jamais vous n'oublirez cette magnifique que je vais vous faire vivre. D'abord.. Je vais vous faire durcir la queue comme jamais !

Elle prend deux bananes dans la corbeille, qui était toujours sur notre table, franchit lentement les trois mètres qui séparent, nos tables.
Les mots de Caline ont allumé le feu, nos esprits, nos désirs charnels, nos envies de... surchauffent et seuls, les coups de poignet de nos mains caressant nos sexes, qui commencent à crier famine, arrivent, assez péniblement à calmer le jeu.
En se déplaçant, Caline fait bouger ses deux seins, qui pointent en avant de par des tétons qui ont pris des dimensions affolantes, que j'ai rarement vu (ah si... lors de nos vacances en espagne !). Elle va poser les deux fruits face aux hommes qui, tout comme moi, ne la quittent plus des yeux, jusqu'à qu'elle va s'asseoir au bout de la table.
Elle se couche sur la nappe et appuie sa tête sur le coussin, que le cher maître ďhôtel a rapidement apporté, tout en regardant fixement les mains des deux inconnus qui vont et viennent sur deux membres déjà torrdus bien tendus. Les yeux de Caline brillent inmanquablement à chaque fois qu'elle voit des queues, prêts à servir. Celle du plus agé est sombre et grosse, très grosse même. L'autre est d'un rose profond, et presque aussi grosse que celle de son voisin de table et d'une longueur qui, en connaisseur, nécessite les deux mains pour la couvrir en partie.


A bientôt pour la dernière partie de cette histoire...