Deux coquines: Marion et Camille 05
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2020 dans la catégorie Plus on est
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Deux coquines: Marion et Camille 05
Nos quatre jeunes surpris par 2 pêcheurs en pleine fellations, les initient aux cunnilingus et les invitent le lendemain pour une mise à nu complète de leur sexe.
Il est 13 heures, je m’apprête pour notre prochaine polissonnerie, je suis excitée comme un troupeau de puces sur un chiwawa.
Je suis devant mon placard, que vais-je mettre? Une idée: juste ma petite robe à fleur, elle est très légère, un peu plus longue que ma mini-jupe d’hier. J’ai eu encore très peur que papa remarque que je n’avais pas de culotte, en rentrant il était assis sur une chaise longue très basse quand je suis passée près de lui et si à cet instant il y avait eu un petit coup de vent: la catastrophe!
Aujourd’hui, encore rien d’autre que ma robe, pas de soutien-gorge encore moins de culotte. J’adore vraiment être comme ça.
Il fait beau, un soleil qui me réchauffe de partout, déjà que c’est bouillant dans mon coquillage! Il y a cinq cents mètres à faire pour atteindre la place du village, je décide d’y aller en marchant. C’est un moment très intense d’imaginer ce qui va m’arriver.
En chemin, en mon for intérieur, je fantasme sur les garçons et même sur les deux hommes que nous avons rencontrés.
Je les trouve sympas, gentils, prévenants, pas vulgaires du tout quand on pense au moment où ils nous ont aperçus.
Et physiquement, ils sont attirants aussi.
Stéphane est attablé à la terrasse du bar à côté de l’église avec Benjamin et David, il ne manque que Camille. Je fais la bise a tout le monde et Stéphane me commande une pression et me félicite pour ma tenue et me demande:
- Es-tu complètement nue dessous ou as-tu une petite culotte?
Je crois que les touristes aux tables à côté ont entendu la question, heureusement personne de connaissance. Ça ne fait rien, au contraire, je suis heureuse de répondre avec entrain que je n’ai rien sous ma robe. Je vois plusieurs hommes autour qui me contemplent de la tête aux pieds, j’ai l’impression qu’ils me dévêtissent et cela me procure un regain de plaisir. J’aime bien provoquer les garçons. Camille arrive à ce moment, elle porte un chemisier avec un décolleté hallucinant et on voit bien qu’elle n’a pas non plus de soutien-gorge. En bas elle a un short très moulant. Je ne sais pas comment elle a fait pour entrer dedans et il laisse apercevoir des formes suggestives sur les deux faces de son anatomie. Elle a vraiment bien choisi ses effets.
Je ne vois aucune marque de sous vêtement, je verrai bien dans un petit moment si effectivement elle a pas culotte mais je parierai bien de traverser toute nue cette place en plein jour. Elle aussi embrasse tout le monde et se pose sur une chaise a côté de Stéphane qui crie au serveur d’apporter une bière supplémentaire. Nos deux bocks arrivent en même temps, et comme l’impatience nous assèche la gorge, Camille et moi, on porte les verres à nos lèvres tout de suite, mais la mousse n’a pas eu le temps de se dissiper et au dessus de nos lèvres se dépose une écume blanchâtre.
- Oh, dit Stéphane, regardez comme les filles sont belles comme ça! Ça me fait penser aux moustaches que vous leur avez faites, les garçons, quand je vous ai rencontrés.
Je ne sais pas si les hommes autour ont saisis l’allusion, mais je rigole de voir leur têtes.
- Bon, je crois qu’il est temps de partir, dit Stéphane. On a du boulot, de la taille, de l’élagage, de la mise à nu de vos choupinettes et vos arbalètes.
La encore, je m’esclaffe quand je vous la tronche des voisins qui ont compris l’évocation encore plus explicite que tout a l’heure. Je pense que plusieurs d’entre eux voudraient bien nous suivre pour connaître la suite des événements.
Pendant le trajet, Benjamin et David nous apprennent une bien triste nouvelle: c’est leur dernier jour de vacances, demain de bonne heure, ils repartent à Paris. Eux aussi sont malheureux, depuis deux jours ils voudraient bien prolonger leur séjour, mais ils ne peuvent pas, leurs parents sont arrivés aujourd’hui et repartent demain.
Après une dizaine de kilomètres , nous arrivons chez Stéphane.
- Venez, c’est par ici.
Il nous fait entre et traverser la maison, pour sortir sur une terrasse devant la piscine. Une très belle piscine de 10m sur 15 de long. Tout autour de la propriété, il y a un mur de trois mètres de haut.
- Nous allons être à notre aise, nous dit Stéphane, c’est tranquille et discret.
Soudain, dans la piscine, nous apercevons Alain qui revient vers nous en nageant. Il pose ses bras sur le rebord pour sortir et, Camille et moi nous nous regardons: il est tout nu. Il voit notre surprise et nous sourit.
- Est-ce qu’elle vous plaît comme ça? Nous demande-t-il, je l’ai apprêtée ce matin spécialement pour vous.
Effectivement son popaul est rasé de près. Camille et moi, on le trouve élégant, mais même au repos, il est bien plus massif que ceux des garçons, comment sera-t-il quand il sera en forme? Et nous espérons bien réussir a le voir dans cet état.
- Allez-y mettons- nous comme Alain, il n’y a pas de risque ici de voir débarquer des anges gardiens! Dit Stephane.
Je contemple Camille et, bien sûr, quand elle quitte son short, elle n’a pas de culotte, je pense intérieurement que je ne ferai pas le tour de la place toute nue, dommage ça m’aurai bien plu. Moi, en un tour de main, je suis toute nue et il ne faut pas plus d’une minute pour que tous, on soit en tenue d’Adam et d’Eve.
-Bon, je vais chercher le matériel, dit Stéphane. On va s’installer sur les matelas pneumatiques pour que ce soit plus confortable.
Il rapporte un grand plateau avec ciseaux, rasoirs, serviettes, gel à raser, crèmes adoucissantes et des rafraîchissement pour tout le monde.
- Honneur aux filles, dit Stéphane. Camille, tu veux bien? C’est toi qui as le plus beau porte-monnaie a moustache! Viens, allonge-toi et écarte un peu les cuisses. Les garçons, encouragez-les un peu, Donnez-leur un beau baiser.
David et Benjamin viennent et nous embrassent très sensuellement toutes les deux, chacune notre tour.
- Je vais être obliger de palper ta marguerite, tu veux bien?
- Bien sur, dit Camille, je t’autorise à toucher ma foufoune.
Allongée sur le matelas, les jambes disjointes, Camille un peu stressée suit les gestes de Stéphane.
Avec ses ciseaux, il coupe les poils le plus ras possible avec une infinie prudence, puis il mouille la serviette au tuyau d’arrosage tout près.
- Attention, c’est un peu froid, lui dit-t-il.
Il humecte délicatement son entrecuisse partout sur le reste de sa toison. Il secoue sa bombe à raser et en étude sur sur doigts, il passe doucement ceux-ci pour appliquer le gel partout sur sa touffe.
Je vois Camille qui apprécie le doigté de Stéphane, et peut être même plus car elle ferme les yeux sous les caresses qu’elle reçoit sur son sexe. Tout le monde est autour d’elle et contemple ce délicieux spectacle.
- Maintenant, on ne bouge plus, dit-il.
Il prend son ancien rasoir dans lequel il avait introduit des lames neuves et avec précaution, commence à raser son mont de Vénus. Un petit crissement nous indique que la forêt diminue.
Il arrive au bord des grosses lèvres et les tend avec ses doigts pour que le rasoir glisse mieux sur celles-ci, puis il les écarte un peu pour enlever le reste des poils. Il prend le jet pour bien arroser tout ça et faire disparaître le reste de crème et de poils coupés et voir les petits ajustements à opérer. Il continue de raser le peu de duvet qui reste. Bien, voilà l’opération terminée, elle s’est bien déroulée pour le devant, mais Stéphane propose à Camille d’éliminer aussi ceux autour du petit trou si elle le souhaite. Elle approuve cette initiative, qu’elle n’avait pas envisagée.
- Les garçons, dit Stéphane, venez m’aider. Prenez chacun un pied de Camille et soulevez- la pour que ses fesses soient bien en l’air et écartez-les. Voilà, comme ça!
Et Stéphane humidifie la rondelle avec la serviette, il met du gel sur ses doigts qui vont se promener autour de l’œillet de Camille, puis le rase.
- Voila, elle est toute nette, vous pouvez la relâcher, les garçons, dit-il, vous la trouvez comment, sa petite conque?
- Oh, elle est super belle, dit Benjamin, je l’adore.
- Moi aussi, dit David, je la trouve ravissante comme ça.
Et mon tour arrive, je me mets en position. Stéphane laisse les garçons me préparer en mouillant et en étalant le gel autour de ma fente, c’est très érotisant ses doigts qui se promène sur ma moule. Pas besoin de couper auparavant avec les ciseaux vu le peu de poils tendres que j’ai. Mais, voulant éviter une éventuelle catastrophe, c’est lui qui me rase comme il l’a fait à Camille. Étant blonde, ma toison est bien plus éparse et l’opération est réalisé vite fait bien fait pour mon berlingot et ma rosette.
Je me relève et me positionne avec Camille devant les garçons pour qu’ils apprécient les détails de nos anatomies. Mes grosses lèvres sont plus épaisses et bombées que celles de Camille, ce qui fait qu’elles ferment parfaitement ma fente et que nous distinguons rien entre. Elle ressemble vraiment aux deux lobes d’un abricot. Toute la gent masculine prend le temps de nous contempler et tous on y prend beaucoup de plaisir.
- Vous aimez qu’on vous regarde, les filles? Demande Alain.
- Oui j’aime beaucoup, dit Camille.
- Moi j’adore aussi, dis-je.
- Vous êtes un peu exhib alors dit Stéphane. Ça me donne une idée, est-ce que vous aimeriez qu’un inconnu vous voit comme ça? Je pourrais téléphoner à Pierre, un ami et vous vous montrer, ça vous tente?
Toutes les deux on se consulte et on tombe d’accord pour le faire, ça nous excite beaucoup même.
Stéphane nous dit qu’il va essayer de contacter Pierre. C’est un homme de quarante-cinq ans qui habite paris. Il court chercher sa tablette et l’appelle. Par bonheur, il est chez lui et nous répond. On se met en mode vision et Stéphane nous filme toutes nues devant lui, je crois que Pierre est estomaqué de la surprise.
- Ça alors, dit-il, où as-tu trouvé ces petites polissonnes? J’ai jamais vu une chose pareille.
- Hier, à la pêche, lui réponds Stéphane, elles étaient déjà toutes nues comme les deux garçons que tu vois derrière et qui les avaient bien facialisées.
- Pas possible, jamais eu une veine pareille, moi, en quarante ans de pêche.
- David, dit Stephane, envoie lui les photos que tu as prises ce jour-là, si ces demoiselles nous autorisent bien sûr.
Nous sommes ravies qu’un homme puisse nous contempler nues et spermée. David saisit le numéro de portable de Pierre et, par MMS, lui expédie toutes les photos qu’il a prises de nous.
Quand il les voit, il nous félicite grandement pour cette performance.
- Tu te rends compte, lui dit Stephane, elles ont juste dix-huit ans, elles sont vierges et elles viennent juste de commencer les pipes il y a deux jours, et elle sont déjà des sublimes pipeuses.
- Vous savez, je ne reste pas insensible à ses visions de rêves, ça vous dirait de voir l’effet que ça me procure? Nous dit-il.
Bien sûr que cela nous intéresse! Et il défait son pantalon qui tombe q ses pieds. Il a du mal à descendre son slip d’une main, l’autre tenant la tablette, il s’accroche dans quelque chose et soudain c’est un superbe braquemart poilu qui se redresse. Il nous le montre sous toutes ses faces, on applaudit à cette prouesse. Il est tant de passer aux garçons et Pierre nous quitte avec regrets, mais nous dit de le rappeler si des choses intéressantes se produisent......
- Bon, Benjamin, c’est toi et de loin le plus touffu, allonge-toi sur le matelas, dit Stéphane.
il prend à nouveau les ciseaux pour réduire au maximum le volume à raser, toujours avec d’infinies précautions pour ne pas mutiler le jeune homme.
- Regarder, les filles, avec cette chaleur ses boules sont toutes molles et distendues, dit Stéphane, Marion, prends quelques glaçons dans le bac qui servent à rafraîchir nos cocktails et frotte-les sur ses roustons pour les faire rentrer au chaud et tendre la peau. Attention, reste en mouvement qu’ils ne lui collent pas sur la peau de ses roubignolles et qu’il se les gèle.
Puis Stéphane mouille et applique du gel autour de la queue et ses roupettes, il fait glisser son rasoir pour supprimer toute pilosité. Comme pour les filles, il a droit a bien déboiser son petit trou de balle.Camille et moi, nous maintenons chacune de ses jambes en l’air et avec l’autre main, on écarte ses fesses, on a une vue magnifique sur la chose. Voilà Benjamin est propre et net, maintenant au tour de David.
- En faisant très attention les fille, dit Stéphane, vous voulez essayer de la raser?
Nous sommes partantes, et nous nous relayons toutes les deux.
- Maintient sa bite de l’autre côté, me dit Stephane. Regarde il bande des que tu la touches.
Ses couilles sont refroidies à l’aide des glaçons pour bien tendre la peau. Camille et moi, nous prenons de l’assurance. Comme c’est mignon que David ait confiance en nous!
A la fin, il passe, comme tout le monde, à la mise à nu de sa rondelle.
- Regardez le résultat, dit Stéphane, c’est beau le vit!
- C’est vrai que, à l’unanimité, on trouve que les garçons sont bien plus séduisant comme ça.
- Les gars, vous n’avez pas envie de goûter leur tirelire, de tester leur petite motte glabre? Dit Alain.
Et à genoux devant nous, les garçons commencent à nous passer la langue sur nos lèvres.
- Ecartez-leur ces belles lèvres pour enfiler la langue au milieu, sur la petite boutonnière et titiller bien sous le capuchon, dit Alain.
Et, grâce à l’expertise des deux hommes mûrs, les garçons nous font monter en température, c’est horrible comme c’est bon!
- Mettez- vous tous les deux sur Marion, dit Stéphane, un devant un derrière.
- Ton tour viendra après, dit Alain à Camille.
- Va y, Benjamin, suce bien sa moule, dit Stéphane. Et toi, David, écarte ses fesses et goûte-moi sa petite pastille.
Cette nouvelle sensation inconnue m’apporte un degré de plus dans la montée vers le Nirvâna.
Je n’avais jamais imaginé qu’un garçon puisse lécher mon petit trou du cul!
- À Benjamin de goûter à l’arrière, dit Stéphane.
Et les deux garçons échangent leur place et la sensation n’est pas moins bonne. Pour plus de confort, nous sommes couchés tous les trois sur le côté sur le matelas et je crois que je vais avoir un nouvel aperçu du bonheur. Je sens que je ne peux plus résister et, dans un frémissement, je ferme les yeux, explose et inonde par la même occasion la langue de David de ma jouissance.
- Bravo, les garçons! Je crois que Marion est satisfaite de votre prestation, dit Alain. Mais Camille s’impatiente, faites-lui découvrir le délice d’une langue sur son as de pique.
Et Camille se couche dans la même position que moi, sur le côté, les deux garçons: un devant, un derrière qui lui lèchent avec délice ses deux magasins à plaisir. Quelques minutes plus tard, le même résultat se produit, bien évidemment ils ont inversé leur position en cours de traitement pour bénéficier des différentes impressions que procure la lèche de ses parties intimes. Camille est plus bruyante que moi, car elle encourage les garçons a poursuivre leur labeur et ses petits cris de plaisir me donne la chair de poule. La félicité procure un bien fou à Camille qui entre dans une sorte de béatitude, cette fois c’est Benjamin qui goûte là cyprine d’une fille.
- voulez- vous essayer une nouvelle expérience, les filles? Dit Stéphane, si vous goûtiez vos cramouilles, elle sont encore bien humide. Venez, mettez vous en 69 et dégustez vos abricots tout luisants.
Finalement ça nous donne bien envie d’essayer, nous avons l’âge des nouvelles expérimentations, et, sans façon, ils nous disposent pour nous lécher en même temps et l’expérience nous enchante.
Savourer la fontaine du plaisir d’une fille m’a convaincue et je la referai volontiers.
- Bien joue les mecs, dit Stéphane, vous avez mérité une petite récompense, Marion, Camille, pour leur dernier jour désirez-vous leur procurer une pipe inoubliable dont ils se souviendront toute leur vie?
- Oh oui! répondons-nous en cœur avec enthousiasme......
À suivre.
Il est 13 heures, je m’apprête pour notre prochaine polissonnerie, je suis excitée comme un troupeau de puces sur un chiwawa.
Je suis devant mon placard, que vais-je mettre? Une idée: juste ma petite robe à fleur, elle est très légère, un peu plus longue que ma mini-jupe d’hier. J’ai eu encore très peur que papa remarque que je n’avais pas de culotte, en rentrant il était assis sur une chaise longue très basse quand je suis passée près de lui et si à cet instant il y avait eu un petit coup de vent: la catastrophe!
Aujourd’hui, encore rien d’autre que ma robe, pas de soutien-gorge encore moins de culotte. J’adore vraiment être comme ça.
Il fait beau, un soleil qui me réchauffe de partout, déjà que c’est bouillant dans mon coquillage! Il y a cinq cents mètres à faire pour atteindre la place du village, je décide d’y aller en marchant. C’est un moment très intense d’imaginer ce qui va m’arriver.
En chemin, en mon for intérieur, je fantasme sur les garçons et même sur les deux hommes que nous avons rencontrés.
Je les trouve sympas, gentils, prévenants, pas vulgaires du tout quand on pense au moment où ils nous ont aperçus.
Et physiquement, ils sont attirants aussi.
Stéphane est attablé à la terrasse du bar à côté de l’église avec Benjamin et David, il ne manque que Camille. Je fais la bise a tout le monde et Stéphane me commande une pression et me félicite pour ma tenue et me demande:
- Es-tu complètement nue dessous ou as-tu une petite culotte?
Je crois que les touristes aux tables à côté ont entendu la question, heureusement personne de connaissance. Ça ne fait rien, au contraire, je suis heureuse de répondre avec entrain que je n’ai rien sous ma robe. Je vois plusieurs hommes autour qui me contemplent de la tête aux pieds, j’ai l’impression qu’ils me dévêtissent et cela me procure un regain de plaisir. J’aime bien provoquer les garçons. Camille arrive à ce moment, elle porte un chemisier avec un décolleté hallucinant et on voit bien qu’elle n’a pas non plus de soutien-gorge. En bas elle a un short très moulant. Je ne sais pas comment elle a fait pour entrer dedans et il laisse apercevoir des formes suggestives sur les deux faces de son anatomie. Elle a vraiment bien choisi ses effets.
Je ne vois aucune marque de sous vêtement, je verrai bien dans un petit moment si effectivement elle a pas culotte mais je parierai bien de traverser toute nue cette place en plein jour. Elle aussi embrasse tout le monde et se pose sur une chaise a côté de Stéphane qui crie au serveur d’apporter une bière supplémentaire. Nos deux bocks arrivent en même temps, et comme l’impatience nous assèche la gorge, Camille et moi, on porte les verres à nos lèvres tout de suite, mais la mousse n’a pas eu le temps de se dissiper et au dessus de nos lèvres se dépose une écume blanchâtre.
- Oh, dit Stéphane, regardez comme les filles sont belles comme ça! Ça me fait penser aux moustaches que vous leur avez faites, les garçons, quand je vous ai rencontrés.
Je ne sais pas si les hommes autour ont saisis l’allusion, mais je rigole de voir leur têtes.
- Bon, je crois qu’il est temps de partir, dit Stéphane. On a du boulot, de la taille, de l’élagage, de la mise à nu de vos choupinettes et vos arbalètes.
La encore, je m’esclaffe quand je vous la tronche des voisins qui ont compris l’évocation encore plus explicite que tout a l’heure. Je pense que plusieurs d’entre eux voudraient bien nous suivre pour connaître la suite des événements.
Pendant le trajet, Benjamin et David nous apprennent une bien triste nouvelle: c’est leur dernier jour de vacances, demain de bonne heure, ils repartent à Paris. Eux aussi sont malheureux, depuis deux jours ils voudraient bien prolonger leur séjour, mais ils ne peuvent pas, leurs parents sont arrivés aujourd’hui et repartent demain.
Après une dizaine de kilomètres , nous arrivons chez Stéphane.
- Venez, c’est par ici.
Il nous fait entre et traverser la maison, pour sortir sur une terrasse devant la piscine. Une très belle piscine de 10m sur 15 de long. Tout autour de la propriété, il y a un mur de trois mètres de haut.
- Nous allons être à notre aise, nous dit Stéphane, c’est tranquille et discret.
Soudain, dans la piscine, nous apercevons Alain qui revient vers nous en nageant. Il pose ses bras sur le rebord pour sortir et, Camille et moi nous nous regardons: il est tout nu. Il voit notre surprise et nous sourit.
- Est-ce qu’elle vous plaît comme ça? Nous demande-t-il, je l’ai apprêtée ce matin spécialement pour vous.
Effectivement son popaul est rasé de près. Camille et moi, on le trouve élégant, mais même au repos, il est bien plus massif que ceux des garçons, comment sera-t-il quand il sera en forme? Et nous espérons bien réussir a le voir dans cet état.
- Allez-y mettons- nous comme Alain, il n’y a pas de risque ici de voir débarquer des anges gardiens! Dit Stephane.
Je contemple Camille et, bien sûr, quand elle quitte son short, elle n’a pas de culotte, je pense intérieurement que je ne ferai pas le tour de la place toute nue, dommage ça m’aurai bien plu. Moi, en un tour de main, je suis toute nue et il ne faut pas plus d’une minute pour que tous, on soit en tenue d’Adam et d’Eve.
-Bon, je vais chercher le matériel, dit Stéphane. On va s’installer sur les matelas pneumatiques pour que ce soit plus confortable.
Il rapporte un grand plateau avec ciseaux, rasoirs, serviettes, gel à raser, crèmes adoucissantes et des rafraîchissement pour tout le monde.
- Honneur aux filles, dit Stéphane. Camille, tu veux bien? C’est toi qui as le plus beau porte-monnaie a moustache! Viens, allonge-toi et écarte un peu les cuisses. Les garçons, encouragez-les un peu, Donnez-leur un beau baiser.
David et Benjamin viennent et nous embrassent très sensuellement toutes les deux, chacune notre tour.
- Je vais être obliger de palper ta marguerite, tu veux bien?
- Bien sur, dit Camille, je t’autorise à toucher ma foufoune.
Allongée sur le matelas, les jambes disjointes, Camille un peu stressée suit les gestes de Stéphane.
Avec ses ciseaux, il coupe les poils le plus ras possible avec une infinie prudence, puis il mouille la serviette au tuyau d’arrosage tout près.
- Attention, c’est un peu froid, lui dit-t-il.
Il humecte délicatement son entrecuisse partout sur le reste de sa toison. Il secoue sa bombe à raser et en étude sur sur doigts, il passe doucement ceux-ci pour appliquer le gel partout sur sa touffe.
Je vois Camille qui apprécie le doigté de Stéphane, et peut être même plus car elle ferme les yeux sous les caresses qu’elle reçoit sur son sexe. Tout le monde est autour d’elle et contemple ce délicieux spectacle.
- Maintenant, on ne bouge plus, dit-il.
Il prend son ancien rasoir dans lequel il avait introduit des lames neuves et avec précaution, commence à raser son mont de Vénus. Un petit crissement nous indique que la forêt diminue.
Il arrive au bord des grosses lèvres et les tend avec ses doigts pour que le rasoir glisse mieux sur celles-ci, puis il les écarte un peu pour enlever le reste des poils. Il prend le jet pour bien arroser tout ça et faire disparaître le reste de crème et de poils coupés et voir les petits ajustements à opérer. Il continue de raser le peu de duvet qui reste. Bien, voilà l’opération terminée, elle s’est bien déroulée pour le devant, mais Stéphane propose à Camille d’éliminer aussi ceux autour du petit trou si elle le souhaite. Elle approuve cette initiative, qu’elle n’avait pas envisagée.
- Les garçons, dit Stéphane, venez m’aider. Prenez chacun un pied de Camille et soulevez- la pour que ses fesses soient bien en l’air et écartez-les. Voilà, comme ça!
Et Stéphane humidifie la rondelle avec la serviette, il met du gel sur ses doigts qui vont se promener autour de l’œillet de Camille, puis le rase.
- Voila, elle est toute nette, vous pouvez la relâcher, les garçons, dit-il, vous la trouvez comment, sa petite conque?
- Oh, elle est super belle, dit Benjamin, je l’adore.
- Moi aussi, dit David, je la trouve ravissante comme ça.
Et mon tour arrive, je me mets en position. Stéphane laisse les garçons me préparer en mouillant et en étalant le gel autour de ma fente, c’est très érotisant ses doigts qui se promène sur ma moule. Pas besoin de couper auparavant avec les ciseaux vu le peu de poils tendres que j’ai. Mais, voulant éviter une éventuelle catastrophe, c’est lui qui me rase comme il l’a fait à Camille. Étant blonde, ma toison est bien plus éparse et l’opération est réalisé vite fait bien fait pour mon berlingot et ma rosette.
Je me relève et me positionne avec Camille devant les garçons pour qu’ils apprécient les détails de nos anatomies. Mes grosses lèvres sont plus épaisses et bombées que celles de Camille, ce qui fait qu’elles ferment parfaitement ma fente et que nous distinguons rien entre. Elle ressemble vraiment aux deux lobes d’un abricot. Toute la gent masculine prend le temps de nous contempler et tous on y prend beaucoup de plaisir.
- Vous aimez qu’on vous regarde, les filles? Demande Alain.
- Oui j’aime beaucoup, dit Camille.
- Moi j’adore aussi, dis-je.
- Vous êtes un peu exhib alors dit Stéphane. Ça me donne une idée, est-ce que vous aimeriez qu’un inconnu vous voit comme ça? Je pourrais téléphoner à Pierre, un ami et vous vous montrer, ça vous tente?
Toutes les deux on se consulte et on tombe d’accord pour le faire, ça nous excite beaucoup même.
Stéphane nous dit qu’il va essayer de contacter Pierre. C’est un homme de quarante-cinq ans qui habite paris. Il court chercher sa tablette et l’appelle. Par bonheur, il est chez lui et nous répond. On se met en mode vision et Stéphane nous filme toutes nues devant lui, je crois que Pierre est estomaqué de la surprise.
- Ça alors, dit-il, où as-tu trouvé ces petites polissonnes? J’ai jamais vu une chose pareille.
- Hier, à la pêche, lui réponds Stéphane, elles étaient déjà toutes nues comme les deux garçons que tu vois derrière et qui les avaient bien facialisées.
- Pas possible, jamais eu une veine pareille, moi, en quarante ans de pêche.
- David, dit Stephane, envoie lui les photos que tu as prises ce jour-là, si ces demoiselles nous autorisent bien sûr.
Nous sommes ravies qu’un homme puisse nous contempler nues et spermée. David saisit le numéro de portable de Pierre et, par MMS, lui expédie toutes les photos qu’il a prises de nous.
Quand il les voit, il nous félicite grandement pour cette performance.
- Tu te rends compte, lui dit Stephane, elles ont juste dix-huit ans, elles sont vierges et elles viennent juste de commencer les pipes il y a deux jours, et elle sont déjà des sublimes pipeuses.
- Vous savez, je ne reste pas insensible à ses visions de rêves, ça vous dirait de voir l’effet que ça me procure? Nous dit-il.
Bien sûr que cela nous intéresse! Et il défait son pantalon qui tombe q ses pieds. Il a du mal à descendre son slip d’une main, l’autre tenant la tablette, il s’accroche dans quelque chose et soudain c’est un superbe braquemart poilu qui se redresse. Il nous le montre sous toutes ses faces, on applaudit à cette prouesse. Il est tant de passer aux garçons et Pierre nous quitte avec regrets, mais nous dit de le rappeler si des choses intéressantes se produisent......
- Bon, Benjamin, c’est toi et de loin le plus touffu, allonge-toi sur le matelas, dit Stéphane.
il prend à nouveau les ciseaux pour réduire au maximum le volume à raser, toujours avec d’infinies précautions pour ne pas mutiler le jeune homme.
- Regarder, les filles, avec cette chaleur ses boules sont toutes molles et distendues, dit Stéphane, Marion, prends quelques glaçons dans le bac qui servent à rafraîchir nos cocktails et frotte-les sur ses roustons pour les faire rentrer au chaud et tendre la peau. Attention, reste en mouvement qu’ils ne lui collent pas sur la peau de ses roubignolles et qu’il se les gèle.
Puis Stéphane mouille et applique du gel autour de la queue et ses roupettes, il fait glisser son rasoir pour supprimer toute pilosité. Comme pour les filles, il a droit a bien déboiser son petit trou de balle.Camille et moi, nous maintenons chacune de ses jambes en l’air et avec l’autre main, on écarte ses fesses, on a une vue magnifique sur la chose. Voilà Benjamin est propre et net, maintenant au tour de David.
- En faisant très attention les fille, dit Stéphane, vous voulez essayer de la raser?
Nous sommes partantes, et nous nous relayons toutes les deux.
- Maintient sa bite de l’autre côté, me dit Stephane. Regarde il bande des que tu la touches.
Ses couilles sont refroidies à l’aide des glaçons pour bien tendre la peau. Camille et moi, nous prenons de l’assurance. Comme c’est mignon que David ait confiance en nous!
A la fin, il passe, comme tout le monde, à la mise à nu de sa rondelle.
- Regardez le résultat, dit Stéphane, c’est beau le vit!
- C’est vrai que, à l’unanimité, on trouve que les garçons sont bien plus séduisant comme ça.
- Les gars, vous n’avez pas envie de goûter leur tirelire, de tester leur petite motte glabre? Dit Alain.
Et à genoux devant nous, les garçons commencent à nous passer la langue sur nos lèvres.
- Ecartez-leur ces belles lèvres pour enfiler la langue au milieu, sur la petite boutonnière et titiller bien sous le capuchon, dit Alain.
Et, grâce à l’expertise des deux hommes mûrs, les garçons nous font monter en température, c’est horrible comme c’est bon!
- Mettez- vous tous les deux sur Marion, dit Stéphane, un devant un derrière.
- Ton tour viendra après, dit Alain à Camille.
- Va y, Benjamin, suce bien sa moule, dit Stéphane. Et toi, David, écarte ses fesses et goûte-moi sa petite pastille.
Cette nouvelle sensation inconnue m’apporte un degré de plus dans la montée vers le Nirvâna.
Je n’avais jamais imaginé qu’un garçon puisse lécher mon petit trou du cul!
- À Benjamin de goûter à l’arrière, dit Stéphane.
Et les deux garçons échangent leur place et la sensation n’est pas moins bonne. Pour plus de confort, nous sommes couchés tous les trois sur le côté sur le matelas et je crois que je vais avoir un nouvel aperçu du bonheur. Je sens que je ne peux plus résister et, dans un frémissement, je ferme les yeux, explose et inonde par la même occasion la langue de David de ma jouissance.
- Bravo, les garçons! Je crois que Marion est satisfaite de votre prestation, dit Alain. Mais Camille s’impatiente, faites-lui découvrir le délice d’une langue sur son as de pique.
Et Camille se couche dans la même position que moi, sur le côté, les deux garçons: un devant, un derrière qui lui lèchent avec délice ses deux magasins à plaisir. Quelques minutes plus tard, le même résultat se produit, bien évidemment ils ont inversé leur position en cours de traitement pour bénéficier des différentes impressions que procure la lèche de ses parties intimes. Camille est plus bruyante que moi, car elle encourage les garçons a poursuivre leur labeur et ses petits cris de plaisir me donne la chair de poule. La félicité procure un bien fou à Camille qui entre dans une sorte de béatitude, cette fois c’est Benjamin qui goûte là cyprine d’une fille.
- voulez- vous essayer une nouvelle expérience, les filles? Dit Stéphane, si vous goûtiez vos cramouilles, elle sont encore bien humide. Venez, mettez vous en 69 et dégustez vos abricots tout luisants.
Finalement ça nous donne bien envie d’essayer, nous avons l’âge des nouvelles expérimentations, et, sans façon, ils nous disposent pour nous lécher en même temps et l’expérience nous enchante.
Savourer la fontaine du plaisir d’une fille m’a convaincue et je la referai volontiers.
- Bien joue les mecs, dit Stéphane, vous avez mérité une petite récompense, Marion, Camille, pour leur dernier jour désirez-vous leur procurer une pipe inoubliable dont ils se souviendront toute leur vie?
- Oh oui! répondons-nous en cœur avec enthousiasme......
À suivre.
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