Dominé et assisté... - histoire érotique

Je classerait cette histoire vraie, vraiment vécu, aussi dans le zone rouge du fait d'activités sexuelles hard, sale, crade. Je me trouvais avec une jeune femme à l'époque, alors, se disant être intensément amoureuse de moi, qui aussi aimait fortement le sexe, et peu de le dire. Elle me disait que rien de moi ne la répugnait de mon corps, que de découvrir, voir, regarder, écouter, entendre. Que rien de moi ne la dégoute, et la dégouterait que de me tripoter, qu'elle aimait et voulait poursuivre de m'examiner, d'étudier de moi, de mes regards sur elle, mes gesticulations, mouvements, j'en passes... Cette "fille" aimait m'avoir à elle, chez elle surtout car la, elle était la patronne, la chef qui décidait, qui donc pouvait donner ses ordres, et me les faire exécuter. Elle ne s'en privait pas, et le pire, c'est que j'aimais ça, qu'elle me traite fonction de ses envies pour elle, qu'elle réalise sur moi ses fantasmes, ses envies de sexe à sa façon. Elle ne craignait rien qui soit sexuellement répugnant, écœurant, dégueulasse et même très vulgaire que les choses sexuelles puissent être de nature. Elle prenait tout de moi et tout de moi l'attirait, l'excitait à fond, même ma façon de la regarder l'excitait à bloc lorsqu'elle était à me porter les mains entre les cuisses, aux fesses, lorsqu'elle me déshabillait entièrement pour étudier mon corps, mes réflexes, mes réactions devant elle. Elle allait très loin sur moi, me conduisait souvent dans son wc, tout nu car elle me voulait ainsi devant elle pendant qu'elle me regardait à faire mon pipi. Aussi, de me voir tout nu à uriner, me tenait d'ailleurs elle même le zizi pendant que s'écoulaient mes urines, tout comme elle l'aurait fait sur un petit garçon, oui, elle aimait m'infantiliser et voulait me materner, prendre la position sur moi d'une maman de substitution, ça aussi l'excitait fortement, moi également en plus. Donc, tout nu, exhibé à fare pour et devant elle, saisi entre ses mains qui s'épanchait sur moi me demandait de faire en plus mon caca et de bien pousser, cela pour avoir sentiment réel que j'était bien fait, pour du sexe, ses envies de sexe sur moi, mais aussi pour être bien dominé, infantilisé, materner, tout comme son vrai petit garçon, son bébé. Je la voyais prendre les choses de plus en plus, comme vrai. J'aimais tellement ça justement, que je me laissais faire, la laisser faire sur moi comme elle voulait que je sois pour elle, que je fasse et lui donne de moi, d'être, oui, son petit garçon, son domestique sexuel, son objet rien que pour elle, que pour du sexe et rien d'autre. Je la laissais donc décider de moi qu'elle voulait sexuellement exploiter, étudier, examiner, même de faire la doctoresse si elle le voulait. Un jour elle m'a fait vouloir jusqu'à me livrer à des copines à elle, des copines de longues dates. Elle ne a eu l'intention à l'époque, que pour elle, je l'aurait laissé en décider de moi. Elle me gardait entièrement nu tout un weekend entier, me conduisait tout le weekend entre wc et sale de bain, dans sa chambre ou même sa cuisine ou elle me faisait manger tout nu sur ses cuisses. Je devais aller aux wc, tout nu, que sous sa demande, vérifiait même si j'avais des envies de pipi, de caca, me posait la question et vérifiait que je ne lui mente pas. Donc, me passait la main sur le bas du ventre, puis me faisait me retourner pour voir si mon anus tendait à vouloir se délatter, s'ouvrir. Si elle ne voyait rien de particulier indiquant vraiment que j'avais envie vraiment de faire caca, alors elle suçait un doigt, étalait de sa bave sur mon anus et me l'introduisait tout au fond de moi jusqu'à bien sentir en effet si mon rectum était bien encombrer d'excréments. Si cas en était, l'envie de pipi et de caca, elle se levait, me claquait sur les fesses, me menait aux wc. Je me faisait donc assister à faire mes besoins comme un gamin de bas âge. Me faisant placer au dessus de la cuve du toilette, me fit m'y accroupir, bien écarter les cuisses pour voir me jets, me tenir le zizi pendant les écoulements de pisses, et s'assirait que de me voir bien faire mon caca, que mon anus était bien conforme à bien fonctionner, que ça me sorte bien du rectum. Si je peinais à faire, pas de souci, elle me mettait le doigt et m'enlevait elle même tout le caca. Elle me maintenait souvent, tout nu, toujours, mais souillé je devais rester sous ses yeux. Nu, souillé, après qu'elle m'ait assisté aux wc, aimait me regarder ainsi, humilié, rabaissé, régressé, soit infantilisé et materné par elle. Elle aimait m'ausculter, faire des expériences sexuelles sur moi, voir mes regards sur elle, le fait qu'elle me regarde pendant qu'elle me doigtait par exemple, me regardait faire pipi et caca, bander, remuer mes fesses, bref.... Malgré tout, même si abaissant d'acts sexuels, si humilié qui s'excitait de moi, cela, qu'elle me traite ainsi, dispose de moi pour ces vicelardises sexuelles, ses envies de m'exploiter à ses fins, et à sa faim, m'exitait au plus haut point. Elle parvenait à en jouir incroyablement, à m'en faire jouir, me faire éjaculer comme elle avait envie de me voir éjaculer. Un fantasme qu'elle voulait tenter de vivre en vrai, sur un garçon, qui déjà l'excitait depuis longtemps de vouloir vivre, de faire subie à un garçon, moi qui répondait pour elle au genre de garçon justement qu'elle rêvait de croiser sur sa route, à qui elle fantasmait de tous temps, de traiter, de déshabiller, d'assister, d'examiner de la tête aux pieds, de se tapper aux wc, de s'en exciter de lui qui l'ecitait à bloc.