Dorothée 3 - histoire érotique

Dorothée 3
Quelques jours se passent, je ne peux pas dire que l’envie de sexe ne se fasse pas sentir, surtout la nuit quand je me réveille, ou après que mon mari m’ai fait l’amour, toujours de façon aussi banale surtout après ce que j’ai goûté et surtout après les promesses de mon amant.
Huit jours se passent et je suis déjà à cran. Quand je suis seule à la maison je ne supporte plus une culotte.
Les enfants partis au lycée et le mari au travail, je passe beaucoup de temps le sexe à l’air et la main et les doigts dans la fente à me branler le clito et fourrager mon vagin. Combien de fois me suis-je jetée sur le lit ou le canapé, le cul à l’air, pour me doigter jusqu’à la jouissance, qui me laisse toujours insatisfaite !
J’ai besoin de me sentir remplie, secouée, et l’idée de mon amant d’être prise par plusieurs hommes, de devenir un objet de sexe, fait son chemin dans ma tête tout comme le ver dévore la pomme de l’intérieur.
Je lui téléphone plusieurs fois mais pas de réponse. De même quand je me rends en ville, la chatte en feu, pleine de désir, il n’est pas chez lui.
Après plusieurs jours je suis sur le grill, je suis même à cran avec les enfants comme avec le mari, je suis irritable.
Fin de semaine et toujours pas de réponse, ni par téléphone ni par mail.
Mes deux plus grands m’annoncent qu’ils ont un voyage de classe d’une semaine, mon troisième, lui, est en pension, et pour clore le tout le mari part lundi pour une semaine de stage.
Je vais rester seule quatre jours sans nouvelles de lui, et je vais devoir me branler comme une conne ! C'est trop bête.
Si ça continue je vais me fourrer n’importe quoi dans la chatte pourvu que je me remplisse le vagin.

Le lundi matin, après le départ de tout le monde, je téléphone, et là, oh surprise :- « Oui ma belle, tu es en manque. Quinze jours sans bite ça doit commencer à te démanger. Ça fait combien de jours que tu n’as pas lavée ta chatte ? ».
- Je l’ai lavée tous les jours mais seulement avec de l’eau comme tu m’as montré ! Je peux venir j’ai trop envie ?
- Pas ce matin, tu m’attends cet après midi, je veux que tu sois à poil, et moi je t’apporte de quoi t’habiller !
- Oui mais les voisins ?
- Comme on va repartir tout de suite, les voisins n’auront pas le temps de croire à quelque chose ok ?
- OuiJe réponds timidement mais aussi très excitée déjà.

J’ai passé la matinée nue, incapable de m’atteler à une tâche précise.
Bien trop excitée à l’idée de ce qui allait se passer plus tard.
Mon sexe nu coulait le long de mes cuisses et plusieurs fois j’ai du m’essuyer.
Mon clitoris restait tendu et sorti de son capuchon, je n’avais qu’une envie, le branler jusqu’à l’orgasme.

Durant tout le repas, les idées ont tourné dans ma tête, et puis quand la sonnette a retenti j’ai sursauté comme si je recevais une décharge électrique, et sans me soucier de ma nudité je vais ouvrir la porte.
Ça pouvait être la voisine ou bien le facteur je n’ai pas réfléchi.
Mais non en ouvrant la porte c’était lui, un paquet sous le bras.
A peine est-il rentré et que j’ai refermé la porte que je lui saute au cou, je reste accrochée à lui comme un coquillage à son rocher.
Ma bouche est collée à la sienne, mais il finit par me détacher de lui et il me dit :- On n’a pas le temps, on nous attend !
- On nous attends, qui ça on ?
- T’inquiètes pas c’est du plaisir, du sexe que tu veux ? Et bien tu vas en avoir !
- Tiens prends le sac et passes les fringues qu’il y a dedans.
Je veux aller à la chambre pour passer les vêtements qu’il m’a apportés, mais il me dit :- Tu te fringues ici je veux te voir enfiler la tenue que je t’ai apportée.
Du sac je sors une jupe je dirai plutôt une jupette, écossaise, droite devant et plissée derrière, un petit top noir très court laissant mon ventre nu, des bas et un porte jarretelles rouge comme la jupe et des escarpins de la même couleur.
Au moment de fixer les bas derrière mes cuisses il vient m’aider, non sans passer ses doigts dans ma raie, il m’électrise je n’ai qu’une envie c’est de me faire sauter de suite.
Je vais me regarder dans la glace du couloir.
Et je lui dis- J’ai l’air d’une pute comme ça !
- Mais non , tu as l’air d’une petite fille pas sage qui cherche de la bite !
- "Allez mets ton manteau que les voisins ne te voient pas comme ça, et on y va on a assez perdu de temps comme ça, il faut que l’on profite bien de tes petits trous d’amour.
Avant que je ne mette mon manteau, il me demande de soulever ma jupette et il prend des photos de ma chatte.
- Je t’ai dit que je ne voulais pas de photos !
- T’inquiètes pas c’est juste pour mon album perso, et puis je te les enverrai.

Je mets mon manteau et nous rejoignons sa voiture, et au lieu de prendre la direction de son appartement, nous partons dans la campagne.
- On va où là ?
- Tu me fais confiance ?
- Pas sûr !
- Je ne veux que ton plaisir, quinze jours sans bite ça doit te manquer non ?
- Oui j’ai envie !
Et je me colle contre lui.
- Ouvres ton manteau et remontes ta jupe que ta chatte soit bien à l’air.
A peine ai-je fait ce qu’il m’a demandé, qu’il passe sa main entre mes cuisses pour atteindre mon sexe.
- Mais t’es déjà trempée ma jolie, je te promets que tu vas t’éclater, et ce soir tu couches chez moi, t’imagines une journée et une nuit de sexe, il n’y a pas beaucoup de femmes qui ont connu ça !

Puis enfin il tourne dans une propriété, nous passons une longue allée d’arbres pour enfin nous arrêter devant le perron d’une grande maison de campagne.
Pierre arrête la voiture et vient m’ouvrir la portière, je descends et il prend mon manteau, en haut du perron la porte s’ouvre et apparaît un homme sensiblement du même âge que Pierre.
- Charles je te présente Dorothée, notre petite salope de cet après midi !
- Bonjour belle Dorothéerépond Charles en me prenant par la main et me faisant entrer dans la villa.
Nous traversons le hall pour entrer dans salon où attendent deux autres hommes, ils sont devant la télé, je m’aperçois qu’ils regardent un film porno histoire de se mettre en condition.
Charles fait les présentations, Francis et Marc.
Pierre me présente à ses amis et me dit : « Soulèves ta jupette et fait voir ton joli bijou à mes amis !!»Mais avant que je ne le fasse, car j’ais un moment d’hésitation, Pierre soulève ma jupette pour montrer mon sexe à ses amis.
Qui aussitôt s’exclament : « Putain pas de culotte et moule rasée, joli cadeau que tu nous fais là !!»
Charles prend les choses en mains en disant : "Allez les mecs vous vous êtes assez branlé devant la télé, là on a du réel !"Francis et Marc s’occupent de suite de me remonter mon top noir au dessus de mes seins, et chacun prend un téton dans la bouche, tandis que Charles dit à Pierre : " Vas t’occuper de la petite elle est prête ! »Pierre quitte la pièce, Charles me fait poser un pied sur la table basse, et se met à genoux entre mes jambes pour lécher mon abricot, et tout en faisant cela, il caresse mon petit trou en faisant tourner son index tout autour.
Trois hommes rien que pour moi, je pense à leurs bites qui vont me remplir, je sens une bouffée de chaleur qui m’envahit, je me vois prise par ces trois hommes, et je pars dans un orgasme fulgurant, au moment où Charles m’enfonce son doigt dans le cul tandis que sa langue fouille ma chatte, pour laper tout le jus qui sort de mon ventre.
- "Putain elle jouit déjà, Pierre nous avait dit qu’elle était chaude, mais je ne pensais pas à ce point."
Marc se couche sur le canapé tandis que Charles et Francis finissent de me déshabiller, et je viens me mettre au dessus de Marc. Je prends son sexe pour le mettre à l’entrée de mon vagin et d’un seul coup de rein il propulse son gland au fond de mon trou juteux.
Quelques coups de reins et je me mets a gémir comme une salope, mais pas le temps de gémir longtemps, Francis me met sa bite bien gonflée dans la bouche, et je la suce comme une affamée, comme si ma vie en dépendait, mon Dieu Pierre avait raison, deux bites quel régal !

Que dire de trois quand je sens Charles poser sa bite sur mon petit trou et il la frotte dessus tandis que les deux autres me défoncent, qui la bouche, qui la chatte.
La bite de Charles force mon petit trou qui s’écarte sous la pression du gland et le tison d’amour se projette au fond de mon cul à la rencontre de la bite qui occupe mon vagin. Je comprends alors le terme d’être prise en sandwich !
Deux bites qui coordonnent leurs mouvements pour le plaisir de mon ventre, et que dire de la troisième qui fouille ma bouche à fond.
Je ne suis plus qu’un seul trou à bites dans lequel les mâles peuvent prendre leur plaisir, vider leurs couilles, m’inonder de semence grasse !
Les hommes, excités par ma docilité et la facilité avec laquelle ils peuvent se mouvoir dans mes orifices de femelle en chaleur, finissent par se vider avec des râles de bêtes en rut.
Je sens les giclées de sperme me napper l’utérus, et le boyau culier, tandis que je suis obligée d’avaler les projections de semence parfumées au fond de ma gorge.
Ce dernier orgasme m’a anéantie, je me demande même si je ne me suis pas évanouie. Je me retrouve assise entre deux hommes au bord du canapé ils en profitent pour continuer de jouer avec ma fente, l’un me fourre deux doigts qu’il agite dans mon vagin, tandis que l’autre pince et branle mon clito.
Les yeux clos je suis tout à mon plaisir mais je sens la queue du troisième homme qui se frotte sur mes lèvres.
J’ouvre les yeux en même temps que la bouche et la bite de Charles s’engouffre dans ma bouche, je me mets à le sucer comme une folle surtout que les doigts dans mon sexe font monter un nouvel orgasme.
Mais les hommes s’arrêtent, Marc se couche sur le canapé et me demande de venir dos à lui pour m’empaler le cul sur sa bite.
A peine l’ai-je dans mon petit trou que Marc me couche dos sur lui en me prenant les seins, Francis et Charles prennent des photos avec leurs portables de ma chatte toute ouverte et cette grosse bite dans mon cul, puis Francis vient rejoindre Marc dans mon ventre.
Mon Dieu que c’est bon de sentir deux bites qui se frottent dans mon corps, chacune dans sa gaine et pourtant l’une contre l’autre.
Pierre avait raison je devenais dingue de baise en tout genre, j’en éprouve le besoin, je ne pourrai jamais plus m’en passer.
Et Charles est venu compléter le tableau en me faisant à nouveau sucer sa belle tige.
Il ne leur a pas fallu beaucoup de temps pour jouir avec moi, en me traitant de salope, de pute, de sac à foutre.

Puis leurs queues se sont ramollies et les trois hommes se sont rhabillés. Marc et Francis sont partis en me disant : "A bientôt, t’as été superbe petite salope !" Charles les a raccompagnés et puis il est venu me rejoindre et en me prenant par la main il m’a entraînée vers l’étage en me disant : « Viens on va aller voir où ils en sont !»Arrivés à l’étage une porte s’est ouverte et Pierre est sorti, et avant que la porte ne se referme j’ai pu apercevoir une forme couchée sous le drap.
Charles a demandé : « Et Amandine ? »Pierre a répondu : « Laissons-la dormir elle a son compte pour aujourd’hui !
et toi ma chérie bien rassasiée de bites ? »- Oui ils m’ont bien comblée, tu avais raison !!!
Allez on rentreNous sommes redescendus. Moi, me promettant de demander des explications au sujet d’Amandine.