Double vie... ou plus 2 : Double ou… triple vie

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Double vie... ou plus 2 : Double ou… triple vie Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Double vie... ou plus 2 : Double ou… triple vie
Le lendemain de ma soirée chez Nelly, j'appelle Sylvie au téléphone. Je ne l'avais pas fais la veille au soir, comme c'était devenu une habitude entre nous. Je lui expliquais que j'étais chez ma belle sœur, dont elle connaissait l'existence dans la région et que le repas avait duré...
J'appelais ensuite Nelly vers midi.
• « Tu reviens ce soir  ?
• Je ne sais pas.
• Tu... ne veux plus...  ?
• Ce n'est pas ça. Je ne veux pas m'imposer.
• Idiot ! Je t'attends.
• Alors d'accord.
• Je... t'embrasse.
• Moi aussi !
• Où tu veux.
• C'est vrai que tu n'as pas fais le tour.
• Salaud !
• C'est ça !
• Tu n'es pas tout seul  ?
• Non.
• Ta collègue  ?
• Non, elle n'est pas là. Elle est en déplacement.
• C'est pour ça que tu en profites pour dévergonder ta belle-sœur  ?
• Sûrement un peu.
• Bon, je te laisse. A ce soir !
• Oui. Merci. Au revoir madame.
• Connard ! »
Avant de quitter le bureau, je rappelle Sylvie pour lui dire que je mange le soir chez mon beau-frère, qui habite aussi la région et que je ne l’appellerai donc pas non plus aujourd'hui.
• « Tu fais le tour de la famille  ?
• J'en profite quand tu n'es pas là. Je t'embrasse. A demain. »
Jusqu'à la fin de la semaine, je passe la soirée chez ma belle-sœur. De chez elle, j'appelle Sylvie à son hôtel. Nelly qui m’entendait m'interroge ensuite :
• « C'est du sérieux entre vous !
• Assez oui.
• Ça fait combien de temps que ça dure  ?
• Ça a commencé il y a six mois..
• Ah oui ! C'est marrant. Je suis la maîtresse cachée de la maîtresse de mon beau-frère !
• Ça t'excite je suis sûr !
• Je n'ai pas besoin de ça pour l'être avec toi. Mais c'est rigolo. Comment vas-tu faire... avec elle... et avec ma sœur ?
• Et avec toi.
• Oui, mais... avec moi... c'est un peu compliqué... vis à vis de ma sœur justement.
• Et de ta famille.
• Oui, c'est vrai ! Pourtant...
• Pourtant quoi  ?
• Je... Maintenant... J'aimerais... avec toi... Mais il y a cette... fille.
• Tu es jalouse ma parole !
• O... Oui ! C'est mal, je sais. Je t'ai longtemps laissé tomber et... maintenant qu'on s'est trouvés... Finalement, je fous toujours la merde dans ta vie.
• Ne crois pas ça. Je ne t'en veux pas ! Je suis très heureux de t'avoir enfin avec moi. »
Le vendredi soir, je reste sur Bordeaux. En fait je retrouve Sylvie, qui m'avait demandé de rester avec elle le week-end, comme on ne s'étaient pas vu de la semaine. C'est assez facile car depuis quelques temps je ne descend qu'un week-end sur deux, essentiellement pour voir mon fils, ce qui arrange ma moitié.
Malgré la semaine avec Nelly, j'ai beaucoup de plaisir à retrouver ma belle collègue et nous passons une bonne partie du week-end à faire l'amour.
La semaine suivante je suis en déplacement et on se retrouve le soir à l'hôtel, car elle travaille à proximité. (merci la collègue responsable du planning)
Les semaines passent et je m'installe peu à peu dans ce « ménage à trois» voire à quatre. Jonglant avec le planning et les disponibilités de Nelly.
***
Un anniversaire... particulier


Ma belle-mère veut fêter ses soixante ans avec toute la famille. Je vais descendre au pays avec Nelly et son fils qui profiteront ainsi de mon voyage.
Je les ramènerai le dimanche. Ma belle-sœur  a proposé que je dorme chez elle le vendredi soir et le dimanche soir, ce qui m'évitera de payer l'hôtel. Une « compensation » pour le transport.
J'aurais très bien pu descendre dès le vendredi, car j'étais chez un client sur Bordeaux toute la semaine, mais j'ai prétexté une arrivée tardive de l'avion censé me ramener de Paris à vingt trois heures. Ma belle-mère ne voulant pas que je prenne la route la nuit avec sa fille et son petit fils, la solution arrangeait tout le monde.
Bien sûr j'ai passé la nuit avec Nelly qui dès que son fils est allé au lit, m'a entraînée dans sa chambre. Même si Jérémy est maintenant habitué à me voir chez sa mère, nous restons discrets sur notre véritable relation.
Le samedi matin, nous sommes ainsi arrivés un peu avant midi. Nous sommes d'abord passés chez moi. Nelly y dormira dans la chambre d'amis et Jérémy était tout heureux de retrouver son cousin avec lequel il partagera la chambre. C'est d'ailleurs à cette occasion que je dormirai pour la dernière fois dans le lit avec ma femme. D'habitude je dormais dans la chambre d'amis, mais en présence de sa sœur, elle ne voulait pas paraître faire chambre à part, ce qui nous a bien fait rire avec Nelly, malgré la frustration d'être séparés de quelques mètres .
Le comique de l'histoire est que mes beaux-parents, qui font aussi chambre à part depuis longtemps, se sont eux aussi retrouvés obligés de partager leur lit, les autres chambres étant prises par les deux fils de la famille et leurs compagnes.
Dans cette famille « bouts de ficelle » j'étais le seul à connaître les secrets des uns et des autres. Il faut dire que j'y avais contribué pour pas mal.
En effet, je connaissais la maîtresse de mon beau-père. Ma belle-mère avec qui j'avais eu une relation « coupable » au temps où je n'étais pas encore officiellement son gendre, vivait maintenant une relation homosexuelle avec sa locataire de l'entresol, qui était invitée à la fête comme c'était devenu une habitude dans la famille. C'est moi qui les avait faites se rencontrer. Elle avait aussi comme amant, le facteur.
Maintenant donc, j'étais aussi l'amant de ma belle-sœur . Ni elle, ni sa mère n'étaient au courant de ma relation avec l'autre, même si ma belle-mère avait découvert qu’avant de fréquenter son aînée, je sortais avec sa seconde... Au cours de cette journée, il y avait donc des couples officiels et des couples secrets..
C'est au cours du repas que j'ai découvert de nouvelles situations amusantes. Autour de la table, nous étions répartis en fonction des couples officiels. Les enfants étaient à une table séparée. Le plan de table préparé par ma belle-mère a tout de même été chamboulé.
Le plus jeune de mes beaux-frères, en froid lui aussi avec sa femme, a prétexté vouloir être a côté de son frère. Il a intervertit sa place avec la compagne de celui-ci. Geneviève, ma belle-mère présidait en bout de table, aux côtés de son mari qui se trouvait à côté de la jeune femme de son plus jeune fils, dont il lorgnait les formes opulentes depuis longtemps.
De l'autre côté, ma belle-mère avait placé Ludivine, sa jeune locataire, sous prétexte qu'elle l'aiderait à faire le service. Je me retrouvais à ses côtés, entre la maîtresse de ma belle-mère et ma belle-sœur . Ma femme, comme son frère, prétextant elle aussi vouloir se retrouver en face de ses frères. Pour finir le tour, à ses côtés se trouvait une amie à elle, qui avait été son témoin lors de notre mariage.
Spectateur privilégié – j'avais aussi eu une relation avec la maîtresse de ma belle-mère - je m'amusais de cette situation ubuesque.
Bien sûr, la cuisse de Nelly n'a pas tardé à chercher la mienne, mais de l'autre côté, Ludivine passait sa main sur l'autre jambe. Je me suis rendu compte qu'elle le signalait à ma belle-mère, au courant bien sûr de notre relation. Mon beau père faisait du “rentre dedans” à sa belle-fille . Déjà que celle-ci n'était pas appréciée de sa belle-mère, la scène ne faisait rien pour qu'elle le devienne, même si Geneviève se fichait maintenant de ce que pouvait faire son mari.
Mais c'est un regard entre ma femme et son amie qui m'a tout d'un coup interloqué. Dès ce moment, j'ai observé un peu plus les deux femmes. Alors que le repas avançait, je me suis rendu compte de leur proximité. Comme par inadvertance, leurs doigts se touchaient parfois. Les regards entre elles devenaient plus fréquents. A un moment elles se sont proposées pour débarrasser la table et sont parties à la cuisine. Discrètement je les ai suivies et observées. C'est alors que je les ai vues échanger un baiser sur les lèvres.
Je comprenais mieux tout d'un coup l'attitude de ma femme. Il me revenait en mémoire quelques occasions antérieures où les deux amies partageaient des moments seules. Elles partaient souvent faire des courses toute une journée. Finalement, ma femme était homosexuelle depuis toujours et n'avait accepté de relations avec moi que pour avoir un enfant. Je gardais bien sûr cette information pour moi, ce qui me dédouanait quelque peu de ma vie au sein de cette famille, paraissant tout à fait normale et unie et qui est en réalité, complètement immorale.
Le père a des maîtresses depuis de nombreuses années, la mère, après avoir une des relations avec son futur gendre (moi), baise régulièrement avec le facteur et vit une relation homosexuelle avec sa locataire. La fille aînée (ma femme) est donc homosexuelle et la seconde fille est maintenant la maîtresse de son beau-frère.
Le plus jeune frère fréquente des soirées échangistes avec sa femme. Il la “livre” à des vieux messieurs et en retire quelques bénéfices… Bien sûr je suis un peu responsable de quelques « travers » dans cette famille, mais il faut dire que le terreau était fertile. Seul apparemment, le frère aîné a une vie normale avec sa femme et leurs quatre enfants.
Après le repas, sieste dans l'herbe pour tous, pendant que les enfants s'amusent sous l’œil attendri des grands parents et des mères. Chaque « couple » illégitime cherche à grappiller quelques secondes d'intimité. Je m'amuse de ces petits moments au milieu d'une fête de famille a priori « normale ». La nuit sera plus compliquée pour tous.
Je couchais donc dans le même lit que ma femme pour la première fois depuis longtemps et qui sera aussi la dernière. Ma femme était séparée de sa « chérie » dont j'ai appris depuis, qu'elle venait souvent à la maison. Ma belle sœur était de l'autre côté de la cloison de la chambre.
Chez ma belle-mère, la locataire est restée dans son appartement à l’entresol, le lit de sa maîtresse étant exceptionnellement occupé par le mari.
Le dimanche, prétextant éviter les bouchons du soir au retour sur Bordeaux, nous sommes repartis aussitôt après le repas avec Nelly et son fils. Le soir, j'ai bien sûr dormi chez ma belle-sœur, officiellement dans la chambre d'ami...

Je m'organise maintenant entre mes deux maîtresses et les visites au pays pour y voir mon fils. Si je suis en déplacement - le plus souvent avec Sylvie -, je passe le week-end soit avec Nelly, quand elle ne travaille pas, soit au pays. Si je ne vois pas Sylvie de la semaine, je passe le week-end avec elle.
Quelques semaines passent ainsi. Si Nelly connaît ma relation avec Sylvie et ne veux pas que j'y mette fin, le contraire n'est pas vrai. Cela ne me satisfait pas beaucoup, mais pour l’instant je m'en accommode.
***

Nouvelle vie


J'annonce à ma femme que l'on va se séparer. « Nous n'avons pas de véritable vie de couple et de plus, j'ai rencontré quelqu'un sur Bordeaux ». Finalement la séparation se passera assez bien. Il est vrai que cela l'arrange et la libère aussi.
Le divorce suivra quelques temps plus tard. Elle conservera la garde de notre fils, mais me permettra de le voir quand je descend au pays, même en dehors des vacances.
Avant cela, une rencontre va faire entrer Nelly dans ma vie de travail et surtout dans celle de Sylvie. J'avais prétexté un week-end au pays pour le passer avec ma belle-sœur. N'ayant pas son fils avec elle, elle est venue me retrouver à l'hôtel. Nous étions à Bordeaux en promenade sur les quais, lorsque nous rencontrons mon patron.
Je lui présente Nelly comme étant ma femme, venue découvrir la capitale aquitaine. Il nous propose alors que je la fasse venir à la soirée qui doit avoir lieu au bureau pour fêter les dix ans de l’entreprise. Nelly, un peu surprise, n'ose pas refuser, même si après le départ de mon patron, elle trouve que ce n'est pas raisonnable.
Finalement elle accepte. Je laisse passer le temps, mais à l'approche de la fête, j'annonce à Sylvie que ma femme  est invitée à la soirée et qu'elle sera présente. Je lui raconte que depuis longtemps elle avait envie de connaître là où je travaille....
Lors de la soirée, mes collègues sont heureux de connaître enfin ma femme. Sylvie l'est un peu moins, car elle ne peut pas passer la soirée avec moi. Elle fait d'ailleurs la gueule. Nelly m'avait demandé quelle était la collègue qui était ma maîtresse. Elle a été surprise quand elle a vu Sylvie. Celle-ci avait revêtu ses plus beaux atours et rayonnait.
• « Elle est très belle ! Me dit Nelly. A côté d'elle, je ne ressemble à rien !
• Rassure-toi. Tu as des charmes qu'elle n'a pas !
• Quoi par exemple  ? Elle est canon !
• Tu as des seins plus gros et de belles hanches.
• Tu as vu ses jambes  ? Magnifiques !
• Oui un peu !
• Salaud ! 
• Et puis tu es ma belle-sœur  et je t'aime depuis longtemps.»
Je m'arrange pour présenter Nelly à Sylvie. Elles vont même discuter un peu entre-elles, mais je ne sais de quoi elles ont parlé, chacune sûrement tentant de se mettre en avant.
Le lundi suivant je retrouve Sylvie pour une semaine de déplacement commun. Dès que nous sommes seuls elle m'entreprend.
• « Je ne comprends pas. Tu amènes ta femme  qui est jolie et charmante. Elle m'a dit que vous vous connaissiez depuis plus de quinze ans et elle m'a l'air éprise de toi. En plus, elle m'a l'air très... sensuelle !
• Tu es jalouse  ?
• Oui ! Et elle aussi, il me semble. Mon problème, c'est que je t'aime, alors je ne voudrais pas que...
• Je t'explique. Elle est venue visiter Bordeaux un week-end. Je n’ai pas pu l’empêcher, elle venait voir son frère et sa sœur. Bernard – notre patron - nous a rencontrés à Bordeaux.
• Mais alors  ?
• Alors rien, c’est Bernard qui a insisté pour qu’elle vienne, mais j'adore que tu sois jalouse. »
Elle qui était un peu coincée au début de notre relation, s'affirme de plus en plus comme une maîtresse accomplie. Elle sait que j'apprécie les dessous coquins et elle s'habille maintenant avec des bas, ce qui fait qu'avec ses robes et jupes courtes, elle en laisse voir plus qu'il ne faudrait, à la grande joie et excitation des mâles qui la déshabillent du regard. Elle s'en amuse et en joue, me réservant le soir de folles séances.

Deux mois ont passé depuis la fameuse soirée de fête. J'ai donc annoncé à ma femme notre prochaine séparation et je me suis installé chez Sylvie depuis quelques jours. Je profite de quelques week-ends et de semaines où elle est en déplacement pour aller voir Nelly.
Un jour, après avoir fait l'amour, celle-ci me déclare ;
• « Je voudrais un enfant de toi !
• Tu es folle !
• Non. Tu sais, j'ai changé. Je crois qu'en fait, je t'aime depuis toujours. Quand j'étais jeune, j'ai eu peur de notre histoire. Je crois que je faisais n'importe quoi pour ne pas m'attacher. Je baisais à droite à gauche pour t'oublier. J'adorais te brimer alors que tu ne pouvais me baiser. Bien sûr, j'aimais nos petites sorties dans les bois où je te faisais faire ce que je voulais depuis que j'avais découvert ta petite manie de boire mon urine.
J'ai fini par me persuader que je ne t'aimais pas et je me suis mise avec Steph. C'est alors que tu es sorti avec ma sœur. J'ai su tout de suite que c'était pour ne pas t'éloigner de moi et depuis j'en ai joué. Aujourd'hui, je ne veux plus jouer. Je sais que je t'aime et que je veux un enfant de toi. De toutes façons, il est trop tard. C'est peut-être déjà fait. On ne se protège pas et je ne prends plus la pilule depuis plus d’un mois.
• Tu...
• Je ne t'oblige à rien. Je suis assez grande pour l'élever toute seule.
• Tu me demandes de me conduire comme un salaud  ?
• Ce n'est pas ça, mais, ce serait... compliqué... tu comprends... avec ma famille... Mais je m'en fous ! Je veux un enfant de toi ! Je comprendrais si...
• Tais-toi ! Bien sûr que je le reconnaîtrais ! Moi aussi je veux un enfant de toi !
• Oh je le savais ! Mais... avec Sylvie, c'est sérieux non  ? Je ne veux pas t'empêcher non plus...
• Tu es extraordinaire toi !
• Non, mais, nous deux, c'est pas possible de... vivre ensemble… enfin, je crois pas. Tu te rends compte du scandale  ?
• Dans ta famille, oui. On aurait du mal avec eux. Quoi que chez toi, on a l'habitude de taire tout ce qui ne paraît pas normal.
• Comment ça  ?
• Ton père et ses maîtresses
• Oh !
• Ne dis pas que tu ne sais pas.
• D'accord mais...
• Tes parents font chambre à part depuis longtemps.
• Toi aussi.
• C'est dans les gênes.
• Connard !
• D'accord. Bon, il faut que je te dise quelque chose.
• Quoi encore  ?
• Avant de faire entrer un nouveau membre dans cette famille, tu dois tout savoir. Tu as toujours cru être le vilain petit canard de la famille, mais tu ne l'es ni plus ni moins que les autres.
• Les autres  ?
• Allez ! Sers-nous un coup à boire. Je vais te raconter. Il y en a pour un moment.
• Tu me fais peur !
• Ça devrait te plaire... enfin j'espère... Je commence par ce que tu sais. Ton père et madame G. Tu es au courant  ?
• Oui.
• Tu sais aussi qu'ils... s'amusaient à plusieurs  ?
• Noon ! Avec qui  ?
• Cherche un peu. Tu te rappelles avec qui ton père était copain  ?
• Oui. Tu veux dire que  ?
• Voilà !
• Tous avec elle  ?
• Non, il y avait aussi une autre femme. Tu te rappelles la secrétaire du club de sport  ?
• Oui ! Ça ne m'étonne pas d'elle ! Il n'empêche que ces vieux salauds en profitaient bien.
• Je croyais que tu aimais beaucoup ton père  ?
• Je l'aime oui, mais bon, vis à vis de ma mère... Elle le sait  ?
• Euh... oui.
• Et elle n'a rien dit  ?
• Ça je ne sais pas. Je crois tout de même, que c'est à partir de là qu'ils font chambre à part.
• La pauvre. Finalement je la plains.
• Il faut que tu saches tout de même qu'elle a un amant.
• Ma mère. C'est pas possible ! Je te crois pas.
• Le facteur.
• Quoi  ? Pierre  ? Tu es sûr ?
• Je les ai vus.
• C'est pas possible, mais où  ?
• Chez toi, quand il vient porter le courrier.
• J'y crois pas ! Et toi, comment tu les as vus  ?
• Quand j'habitais chez toi avec ta sœur.
• Ah oui, c'est vrai. Finalement, elle a raison. Elle est bien, ma mère, tout de même.
• C'est sûr !
• Il faut bien qu'elle supporte cette vie avec un peu de plaisir. Je la comprends. »
Je ne lui raconte pas ce jour là que j'ai aussi été l'amant de sa mère et un peu l'initiateur de sa vie de débauche, ni que sa mère entretient depuis longtemps une relation homosexuelle avec la locataire de l'entresol. Ça, que je lui dirai peut être un jour...
• « Et c'est tout  ?
• Tu en veux plus  ?
• Tu m'as dis que ma famille était... border line.
• Tu sais que ton frère et ta belle-sœur  participent à des soirées libertines tendances sado-maso  ?
• C'est pas vrai ! Comment tu sais ça toi  ?
• Ta belle-sœur  me l'a raconté un soir de spleen. Disons qu'elle apprécie assez peu, surtout que ton frère se sert d'elle pour s'ouvrir les portes de ce genre de soirée et se taper des nanas. Il la prostitue aussi pour son compte avec des vieux vicieux.
• Putain ! Je parle pas d’elle non, mais c'est le truc quoi !
• J'ai compris, même si tu ne l'aimes pas beaucoup.
• C'est pas ça mais, elle est toujours aguicheuse. Elle promène son cul et ses nichons.
• Ils sont pas mal non  ?
• Oh toi, évidemment. Tu la trouves bien toi  ? Elle est grosse.
• Si elle était dans ma chambre je n’irais pas dormir dans la salle de bains. Ton père non plus d'ailleurs.
• Putain vous êtes des obsédés vous les mecs !
• Bon, une dernière  ?
• Encore  ? J'y crois pas !
• Ta sœur, enfin, mon ex-femme, aime les femmes.
• Quoi  ?
• Tu n'as pas remarqué que Véro était toujours avec elle  ?
• Je... Oui mais... Elles sont copines depuis longtemps.
• Ben justement.
• Tu es bargeot toi ! C'est pas parce que tu vas te séparer d'elle qu'il faut dire ça !
• Crois-moi ! Tu n'as pas remarqué à l'anniversaire de ta mère comment elles se regardaient, se touchaient  ?
• Euh...
• Ce jour-là, il faut dire que la situation était assez cocasse, avec ces couples qui n’en sont pas et qui font semblant. A part ton frère aîné qui a l’air stable avec ses quatre enfants, les autres, y compris nous, c’était tout de même un peu spécial.
Du coup, il y a quelques gestes et regards qui m’ont frappé. Je me suis rappelé de certaines situations qui sur le moment ne m'avaient pas parues évidentes. Quand elles sont allées dans la cuisine sous prétexte d'aider à débarrasser la table, je les ai suivies discrètement et je les ai vues s'embrasser.
• Non !
• Puisque je te le dis ! Depuis, j'ai fais ma petite enquête. Véro passe très souvent le soir à la maison et y reste longtemps. En plus elles vont souvent se promener ensemble ou faire des courses et même en vacances.
• Qui t'a renseigné  ?
• Plusieurs personnes. Les voisins, des copains, ta mère entre-autre.
• Ma mère  ? Qu'est-ce qu'elle t'a dit  ?
• C'est elle qui m'a parlé des promenades et des courses, mais je te rassure, c'était hors contexte et elle n'a fait aucun rapprochement dans la conversation. Les filles étaient justement parties le samedi après-midi à Bayonne et comptaient y rester le week-end.
• Bon, si tu le dis. Finalement, votre séparation vous arrange bien, tous les deux !
• C’est ça !
• Ça fait bizarre de dire ça tout de même et en plus de s’en féliciter.
• Tu es une salope !
• C’est pour ça que tu m’aimes aussi, espèce de salaud toi-même.
• C’est vrai !”


Quinze jours plus tard, Nelly me montre tout sourire l'ordonnance de son gynécologue, précisant qu'elle attend un enfant.
• « Que ce soit clair. Je ne veux pas vivre avec toi. Je veux être ta maîtresse. Je ne veux pas d'un homme en permanence à la maison. Je veux rester ta salope de belle-sœur ou ex belle-sœur,  avec qui tu baises. Je veux baiser avec mon beau-frère, même si tu ne l'est plus. Toi, tu peux faire ta vie avec ta collègue. On ne sera jamais ensemble... enfin comme un couple. C'est ça que j'aime. Être ta maîtresse cachée... enfin tant que tu le veux.
• Et... pour le gosse  ?
• Je peux l'élever toute seule. Je le fait quasiment déjà avec Jérémy.
• Oui, mais... plus tard, il voudra sûrement savoir qui est son père et là...
• On verra.... On attendra... mes parents... enfin tu comprends  ?
• Oui mais, seras-tu capable d'accepter que je vive avec Sylvie au grand jour et d'être toujours « celle qu'on cache »
• C'est ce que je veux.
• Bon. De toutes façons, je t'aiderai pour... notre enfant.
• Je t'aime de plus en plus toi !
• Et tu me laisse dans les bras d'une autre.
• Ça m'excite salaud !

***

Je redeviens père… deux fois



La vie a pris un nouveau tournant et tout s'est accéléré quand Sylvie me déclare un jour :
• « Mon chéri, je suis enceinte !
• C'est pas vrai !
• Oui. J'ai arrêté la pilule depuis quelques temps et tu n'as pas été long à m'engrosser.
• Tu aurais pu me le dire !
• Tu es fâché  ?
• Non, mais je suis surpris.
• De toutes façons, quelle que soit ta décision, je compte bien le garder !
• J'espère bien que tu vas le garder ! Je suis très heureux, mais je ne m'attendais pas à faire un enfant à une aussi jolie fille !
• Je suis si heureuse avec toi, qu'il fallait que j'ai un enfant de toi ! »
Je n'avais pas prévu cela aussi rapidement, mais je suis heureux d'être bientôt père à nouveau. Pour l'instant, nous décidons de garder cela secret quelques temps.
Je me retrouve donc avec mes deux maîtresses enceintes en même temps. Elles se seraient données le mot que cela ne serait pas mieux. Maintenant il va falloir gérer.
Dès le week-end suivant, j'annonce à Nelly, la grossesse de Sylvie et son intention de garder le bébé.
• « Que comptes-tu faire  ?
• Devenir deux fois père. Pour la suite, j'ai une petite idée, mais elle est assez tordue.
• Dis-moi. J'aime tes idées tordues.
• Je vais aller au pays avec Sylvie, pour que tout le monde la voit avec son petit bidon.
• D'accord.
• Tu disais que tu acceptais que j'ai une autre maîtresse. Je sais que tu aimes ce genre de situation, mais maintenant elle aussi va avoir un enfant avec moi. Ça change un peu la donne. Mais je comprendrais si...
• Je suis d'accord !
• Salope !
• Vicieux ! Tu crois qu'elle acceptera  ?
• Je crois qu'il vaut mieux ne rien lui dire. Au moins pour le moment.
• D'après ce que tu m'as dis, elle n'est pas aussi vicieuse que nous et elle pense vivre un amour entier. Il va falloir que tu assures avec deux enfants en plus.
• Pas de problème.
• Et... pour ma sœur  ?
• Si je suis avec Sylvie, ce sera plus simple. C'est elle qui paraîtra officiellement et justifiera ma présence ici. Autrement, ta famille ne saurait pas qui je fréquente.
• Tu es vraiment tordu toi.
• Tu n'es pas mal non plus ! On fait bien la paire !
• Je... J'ai envie ! Ça m'excite tout ça !
• Salope !
• Oui ! Je suis une salope, mais ça tu le sais depuis longtemps et c'est ça que tu aimes chez moi. Avec toi j'ai envie d'être une salope et de te le montrer. Je ne crains pas ton jugement. C'est bien la première fois. Allez ! Viens bouffer la chatte de ta salope. Bientôt il en sortira ton deuxième enfant.
• Ou le troisième !
• Salaud !”
Nelly est effectivement bien excitée. Sa vulve est trempée et elle me régale de son jus. Elle est encore chaude et je la lèche comme un mort de soif. Elle veut que je la prenne, mais j'insiste longtemps à grignoter son bouton érectile, à laper sa cyprine. Deux doigts dans sa chatte pour frotter son point G, lui procurent une cascade de jouissances.
Lorsqu'elle n'en peut plus, je la retourne, lui relève les fesses et connaissant son goût pour la sodomie, je l'encule sans ménagement.
• « Salaud ! Oui ! Encule-moi ! Je suis une salope ! J'aime ça ! Défonce moi le cul ! Pète-moi la rondelle ! J'adore, salaud ! Ouii ! Vas-y ! C'est bon ! Donne-moi ton foutre! Remplis-moi ! »
Nelly est déchaînée. Malgré la fatigue due aux nombreuses jouissances précédentes, elle est encore active. Quand enfin je me lâche et que j’éjacule dans son cul, elle s'effondre sur le lit. Je ne suis pas mieux et je m'étale à ses côtés. Les cris de son fils dans sa chambre l'obligent à se lever, revêtir un peignoir et aller le calmer. Lorsqu'elle revient, sa mine est défaite le visage est ravagé par les cernes profonds de ses yeux. Malgré cela, elle sourit, me saute dans les bras, m'embrasse et me remercie du plaisir donné.
Nous nous endormons très vite. Lovés dans les bras de l'autre.
***

Retrouvailles


Mes deux « femmes » sont donc enceintes. Du côté de mon ex – officiellement – belle-famille, la nouvelle de la grossesse de Nelly a été fraîchement accueillie. En effet, celle-ci ne voulait pas donner le nom du père de son enfant - et pour cause -. Malgré l'insistance des divers membres de la famille, elle n'a rien lâché. J'ai été interrogé par mon ex-femme et mon ex-belle-mère, qui étant donné que j’habite la même région que sa fille et que je vais la voir de temps en temps, pensaient que je pouvais le connaître. Je confirme que je ne l'ai jamais rencontré, ou alors peut-être une fois...
Nous étions une nouvelle fois descendus ensemble et la mère de Nelly m'avais demandé de l'interroger au retour. Quand son fils s'est endormi à l'arrière, nous avons bien sûr discuté et beaucoup ris de la situation, même si elle présageait d'un futur pas très simple à gérer.
A cette occasion, ma belle-mère m'a proposé quand je descend au pays, de loger dans l'appartement du sous sol que sa « locataire » avait laissé vacant pour poursuivre sa carrière... en région bordelaise ! J'avais laissé la maison à ma femme et cela m'évitait de trouver un logement que j'occuperai peu.
Jusqu'à son accouchement, Nelly n'est plus revenue chez ses parents. On lui avait fait comprendre que sa grossesse affichée serait indésirable au pays. Je redescendais donc seul, pour voir mon fils.
Mon ex belle-mère, tenait à m'héberger, ce qui lui permettait en même temps, d'avoir son petit-fils à la maison. Son facteur-amant était mort et sa locataire-amante partie vers d'autres cieux, elle se retrouvait seule après avoir vécu presque dix ans de luxure, dont j'étais le seul à être au courant.
Un soir, alors que mon fils était parti au lit, je me suis retrouvé seul dans la cuisine avec ma belle-mère. Penchée sur l'évier, je voyais son gros cul face à moi. Elle avait revêtu son éternel peignoir, celui sous lequel j'avais découvert son corps la première fois, il y a plus de dix ans. Certes, ses formes s'étaient épaissies, surtout depuis le départ de sa maîtresse, mais elle m'excitait toujours. Je me suis levé et me suis collé derrière elle, lui faisant sentir mon érection.
J'empaume ses seins par dessous. Elle proteste mollement :
• « Voyons, il ne faut pas !
• Tu n'es plus ma belle-mère. Notre contrat ne vaut plus rien.
• Tout de même.Je suis vieille maintenant.
• Mais tu es toujours bandante et je suis sûr que tu es encore chaude.
• Mais... Votre fils...
• Il dort. Ne t’inquiète pas ».
Geneviève s'abandonne, ferme le robinet d'eau et se sèche les mains. Je profite de ce moment pour ouvrir son peignoir.Je plaque mes mains sur ses seins et je retrouve ses gros tétons dardés, preuve de son excitation. Bien sur, je les triture, sachant que cela provoque son excitation et même parfois sa jouissance.
Je la retourne, la débarrasse du peignoir, je m'écarte pour admirer son corps pulpeux. Elle a chaud et se plaque contre moi en cherchant mes lèvres. Vaincue par ses sens, elle se donne à moi complètement.
• « Venez ! »
Elle m'entraîne dans sa chambre dont le décor n'a pas changé. Alors qu'elle s'étale en arrière sur le lit, je me déshabille à la hâte. Ma bite est bien raide. Ma belle-mère tend ses bras. Je grimpe sur elle et nos lèvres se collent pour un baiser monstrueux. Geneviève est particulièrement chaude et humide. Sans me guider, ma queue trouve sa chatte et je la pénètre d'un coup jusqu'au fond. Elle est toujours aussi souple, ses jambes enserrent ma taille. Déjà sa mouille coule. Geneviève couine.
La position est malgré tout fatigante pour elle. Elle est obligée de décroiser ses jambes. Je me rappelle alors qu'elle adore la levrette, aussi je me redresse, je la retourne à quatre pattes sur la couche. Alors qu’elle se positionne, je vais très vite à l'armoire à glace. J'ouvre une porte et la positionne afin qu'elle nous renvoie notre image.
Revenu vers ma belle-mère , je la place en face du miroir.
• « Regarde, salope ! Tu te souviens quand on baisait ainsi  avant que je me marie ? Tu adorais ça vieille pute ! Je sens que tu vas encore tremper ton lit !
• Vous êtes un monstre ! »
Dans cette position, je sais que Geneviève va jouir très vite et que sa fontaine va gicler. Effectivement, elle ne tarde pas à geindre. La tête enfouie dans les draps pour ne pas alerter mon fils. Elle pisse sa jouissance et arrose les draps.
Je ne la lâche pas et lui procure une autre jouissance. Alors je me déchaîne dans sa connasse et je jouis à mon tour.
Geneviève s'effondre sur les draps, m'entraînant avec elle. Je me couche sur elle et nous reprenons notre souffle. Mon ex belle-mère a du mal à récupérer, mais je ne veux pas la laisser comme ça. Je la retourne sur le dos, la tire vers le bord du lit et je plonge mon visage entre ses jambes. Sa vulve est trempée de ses sécrétions. Je lèche le pourtour de sa chatte, me régalant de laper ses effluves. Ma langue retrouve son gros clitoris que je cajole un moment, malgré ses efforts pour me tirer la tête en arrière. Je veux recevoir son jet de cyprine dans la bouche, aussi j'insiste en ajoutant deux doigts dans son vagin ruisselant. Je parviens sans effort à lui faire accepter ma caresse et très vite je reçois mon cadeau avec une nouvelle giclée de mouille que je m'empresse d'avaler.
Enfin repus. Je me hisse à nouveau sur la couche, je nous recouvre du drap et nous sombrons dans un sommeil profond.
Au petit matin, avant que mon fils ne se réveille, je descend à l'entresol retrouver le lit qui m'est normalement dévolu.
C'est ainsi que dix ans après, je redeviens le seul amant de celle qui est maintenant mon ex belle-mère, enfin presque, puisque maintenant je couche aussi avec sa seconde fille avec laquelle nous allons enfin officiellement, qui va bientôt lui donner un nouveau petit enfant.

Une famille recomposée un peu spéciale



Chez les parents de Sylvie, l'accueil de la grossesse de leur fille est accueilli au contraire avec joie. Ils désirent connaître celui qui est le géniteur de leur futur petit-fils ou petite-fille.
Avant cela, je veux faire le point avec elle. Je ne veux pas qu'elle se retrouve embarquée avec moi dans une histoire compliquée. Certes elle veut un enfant, mais elle n'est pas toute seule dans ma vie. Je ne veux pas qu'elle l’apprenne par la suite.
C'est au cours d'une de nos missions que j'aborde le sujet. En effet, nous sommes à Béthune, dans une entreprise où j'ai déjà opéré tout seul et où la secrétaire de direction est assez avenante avec moi. Sylvie s'en rend compte. Le soir, à l'hôtel, elle me demande si j'ai eu une aventure avec elle.
• «... Oui.
• Il y a longtemps  ? Avant de me connaître  ?
• Il y a deux ans environ.
• Et... tu continues  ?
• Jalouse ! Ben non, je suis avec toi.
• Si je n'étais pas là  ?
• Ah ! Bonne question !
• Allez, soi franc ! On en a déjà parlé. Je sais que tu n'es pas un saint, et on ne s'est pas promis fidélité non plus.
• Je dois dire qu'avec toi, je me sens si bien que je n'ai pas envie de folâtrer comme avant.
• Si je te dis que j'ai eu une petite aventure il y a six mois  ?
• Tu es une coquine !
• Tu m'en veux  ?
• Non. Même si je suis jaloux, car tu es très belle. Je ne peux pas t'en vouloir.
• Alors dis moi. Si je n'étais pas là, tu... irais avec elle  ?
• Si son mari n'est pas là non plus, je pense que nous passerions une soirée, oui.
• D'accord. C'est mieux ainsi.
• Tu fais bien de parler de cela. Je voudrais que l'on parte sur des bases nettes si on doit continuer, surtout maintenant que tu es enceinte et qu'il est encore temps de changer d'avis.
• Tu me fais peur !
• Voilà. Je voudrais que tu me laisses t'expliquer jusqu’au bout et après, tu me diras ce que tu comptes faire.

Si j'ai eu des aventures lors de mes déplacements, pas beaucoup en fait, il faut que tu saches que j'ai maintenant une liaison suivie avec une autre femme. Il se trouve que l'on se connaît depuis quinze ans, que j'en suis amoureux depuis lors et que l'on s'est retrouvés il y a quelques temps, un peu en même temps que toi et moi nous commencions notre histoire.

Je sais que c'est un peu dur à avaler et j'ai trop tardé à t'en parler. Mais maintenant que tu attends un enfant, la situation est différente. En plus, elle aussi est enceinte de moi. Vous vous êtes un peu donné le mot toutes les deux sans le savoir, pour me faire devenir père.
Enfin, elle sait que tu existes. Il est normal que ce soit pareil pour toi, vis à vis d'elle. Elle ne veut pas vivre avec moi et dans tous les cas élèvera son enfant seule, même si je le reconnais.
• C'est un peu limite non  ?
• Disons que le contexte est un peu particulier. Maintenant, si tu veux qu'on arrête, je pourrais le comprendre. Dis le moi.
• Moi aussi je veux garder ton enfant. Je t'aime et jamais aucun homme ne s'est occupé de moi comme toi. Je ne sais pas si c'est raisonnable, mais... ça m'excite cette situation ! Je suis folle... ou salope... je ne sais pas. Ce que je sais, c'est que ta réputation t'as un peu précédé. Des collègues m'ont « gentiment » informée que tu es un «queutard ». Ils voulaient sûrement que je m'éloigne de toi. Moi, c'est toi que je veux et peu m'importe que tu coures ailleurs avec ta... maîtresse. De toute façon, je ne pourrais rien y faire. Promets-moi simplement de me revenir.
• Je te le jure ! J'ai même très envie de bâtir quelque chose avec toi. Je sais aussi que je ne pourrai jamais me détacher d'elle.
• C'est si fort que ça  ?
• Je t'explique. Maintenant que les choses sont claires, il faut qu'elles le soient complètement. Voilà. Cette femme, c'est... ma belle-sœur  ! Celle que j’avais présenté comme ma femme lors de la soirée au bureau.
• Non ! Tu vois, je m’en doutais quand le l’aie vue à la soirée. Je sentais que cela ne pouvait pas être ta femme. Je sentais qu’entre vous c’était fort, alors que tu m’avais dis qu’avec ta femme c’était fini. C’est vraiment fini d’ailleurs ?
• Oui. De ce côté là c’est sûr ! Je t’explique. Je suis d'abord sorti avec Nelly – c’est son prénom - avant de sortir avec sa sœur. Elle n'avait pas quinze ans à l'époque. Elle m'a raconté depuis, qu'elle avait eu peur à ce moment là. Elle s'était caché qu'elle m'aimait.
Inconsciemment d'abord, et sûrement pour ne pas m'éloigner trop d'elle, je suis alors sorti avec sa sœur qui est devenue ma femme. J'ai toujours continué à aller voir ma belle-sœur, surtout en travaillant ici. Un soir, on est tombés dans les bras l'un de l'autre. Elle avait accepté être amoureuse de moi et depuis, on se voit… et un peu plus.
Elle m'a annoncé sa grossesse juste avant que tu ne le fasses à ton tour. Elle ne veut pas qu’on vive ensemble car elle ne veut plus d’homme en permanence à la maison. Elle aime être la maîtresse cachée, surtout vis à vis de sa famille. Voilà l'histoire. Je sais que c'est un peu « limite » mais...
• Tu es incroyable ! … J'adore la situation !
• Tu n’es pas mal non plus ! Tu es sûre de vouloir continuer  ?
• Viens me baiser salaud ! Tu m'excites ! Viens me bouffer le clito puisque tu aimes ma petite bite ! Tu vas voir comme je suis trempée ! Tu vas voir si je suis aussi salope que ta belle-soeur !»
Sylvie est vraiment chaude et elle me régale de sa mouille. Son gros clito est bien raide et je « m'amuse » longtemps à le cajoler de la langue et des lèvres.
Je suis surpris de la réaction de mon amante. Elle si jeune et amoureuse, non seulement accepte ma relation avec une autre femme, mais en plus est excitée par la situation. Je me retrouve donc avec deux femmes qui connaissent l'existence de l'autre et qui s’accommodent de cet état. Cela va même plus loin, lorsque Sylvie me déclare un jour :
• « J'ai envie de rencontrer ta … belle-sœur maintenant que tout est clair !
• Je...
• Quoi  ? Ça te dérange  ?
• Non mais... c'est surprenant.
• Ben quoi. Tu me proposes une vie dissolue, de te partager avec une autre femme et tu ne voudrais pas que je la connaisse  ?
• C'est que... Oui... peut-être. Et puis, tu la connais déjà.
• Oui, mais maintenant c’est… différent.
• Il faut que je lui demande son accord. C'est un peu... inhabituel, elle ne tient pas à ce que ça se sache.
• Dans sa famille sûrement, mais dans... la nôtre, peut-être que oui ?
• La nôtre ?
• Oui. Toi, moi et le bébé...
• Tu veux… qu’on se marie ?
• Pourquoi pas ? Ta belle-sœur serait ton témoin et pourquoi pas la marraine de notre enfant !
• Tu es complètement folle !
• Oui. Parce que je t’aime !”
La rencontre a lieu quelques jours plus tard. Mes deux femmes s’entendent vite très bien. Les choses sont claires et Nelly propose elle aussi à Sylvie qu’elle soit la marraine de son - nôtre - enfant !

Epilogue

Voilà comment je me retrouve avec deux femmes, deux nouveaux enfants avec qui nous partageons la vie. Nelly reste vivre chez elle et je l’y retrouve fréquemment. Nous partons en vacances ensemble tous les cinq. Mes deux femmes sont très complices et toujours excitées lorsque je reviens de chez l’autre.
Cinq ans passent ainsi. Mon beau-père était grabataire depuis deux ans et était revenu chez sa femme qui s’en est occupée jusqu’à sa mort. Lorsque je descendais au pays, je dormais chez elle. Nous faisions toujours l’amour au vu et au su de son mari. Geneviève avait en effet mis en place une vengeance vis à vis de lui, en lui révélant alors qu’il ne pouvait plus s’exprimer, que j’étais son amant et que je n’avais pas été le seul.
Ma belle-mère, est décédée brusquement d’une crise cardiaque.Nous avions encore fait l’amour quelques semaines auparavant. Pour ses obsèques nous sommes descendus ensemble tous les six, Sylvie, Nelly et les trois enfants. Après la cérémonie, toute la famille s’est retrouvée à la maison familiale. Seule manquait la première femme du dernier fils, leur séparation avait été “agitée”. Sa deuxième femme était présente avec leurs deux enfants.
Alors que tous les petits jouaient dehors, ils étaient donc onze, tous cousins. Avec Nelly, nous avons provoqué une réunion de famille, afin de mettre les choses au point et c’est elle en tant que aînée de la fratrie, qui a lancé la chose.
Dire que cela s’est bien passé serait mentir. Tout du moins au départ. La révélation de ma relation avec elle a fait “péter les plombs” à mon ex femme. Elle a été calmée quand nous avons révélé aux autres sa vieille relation avec Véronique. Mes ex beaux-frères, choqués au départ, ont finalement bien pris la chose, se doutant depuis longtemps que Nelly et moi étions très proches.
Tous ont été surpris que Sylvie, qui est devenue ma femme, accepte cette situation. Le fait que mes deux filles ont quelques jours de différences, que leurs mères soient marraines de la fille de l’autre et que tout le monde vive cela sereinement, les a estomaqués. Mes ex beaux-frères m’ont regardé un peu différemment, peut-être un peu jaloux ?
Mon ex femme a rapidement quitté la réunion de famille avec sa copine.
Depuis, nous vivons heureux. Nelly chez elle, elle a acheté une maison à côté de la nôtre et avec Sylvie, nous attendons un deuxième enfant, tout en continuant de travailler ensemble dans l’entreprise que nous avons rachetée avec quelques collègues comme associés.
Nos clients, uniquement “grands comptes” sont particulièrement demandeurs et fiers de recevoir notre couple, dont la réputation n’est plus à faire dans le milieu.
Nous gagnons - très bien - notre vie et cela me permet de la vivre en double, entre mes femmes et mes trois enfants. En effet, mon fils a choisi de vivre avec moi et de ne voir sa mère que pour les vacances. Il adore ses sœurs et ses cousins. Il espère qu’un garçon va bientôt agrandir la famille.

Fin

Les avis des lecteurs

Tout une histoire!
Des fois difficile à suivre mais enfin de compte, tout une histoire!

Une famille (et une histoire) particulièrement compliquée!



Texte coquin : Double vie... ou plus 2 : Double ou… triple vie
Histoire sexe : Une rose rouge
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