Périple en camping-car 7 :Visite surprenante du Mont St Michel
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Périple en camping-car 7 :Visite surprenante du Mont St Michel
Une courte étape m’a amenée au Vivier-sur-mer, joli port de pêche sur la baie. Pour rejoindre ensuite le Mont Saint Michel, on doit quitter le bord de mer pour rejoindre Pontorson.
Je me gare bien avant le Mont. Depuis le parking, on doit emprunter le nouveau pont passerelle ou la navette.J’ai vérifié que l’on pouvait aller jusqu’au Mont en vélo et qu’ensuite la visite de la cité était autorisée avec un chien en laisse sauf pour l’abbaye.
J’attelle Rocky et j’accroche mon Makhila au vélo auquel je ne mets pas la batterie pour éviter de me la faire voler ou de la porter sur mon dos pendant toute la visite. Nous voilà partis jusqu’aux remparts qui ferment l’entrée. Je double ainsi les piétons partis pour une heure de marche. Beaucoup sont admiratifs de mon attelage avec mon chien qui court allègrement. Admiratifs et sûrement jaloux ! Il y a trois kilomètres et demi, une broutille pour nous.
Je me gare et j’attache mon vélo. « La mer arrive à 17h00 » indique le panneau à l’entrée du Mont. Ça me laisse du temps pour ma visite, même si les grandes marées sont passées et que le parc à vélo n’est pas inondable.
Je prends mon Makhila et la laisse bien inutile pour tenir Rocky, mais accrochée à ma taille et tiré par mon chien, elle me permet de grimper sans effort, jusqu’au sommet. J’ai déjà visité le Mont. J’y ai même dormi une nuit en hiver. La saison est avancée et ce n’est pas la foule de l’été pour arpenter les rues étroites.
Je fais le tour par le rempart, avant d’arriver à l’entrée de l’abbaye. La haut, la vue est magnifique et je veux profiter aussi de visiter le cloître.
Au pied des grands escaliers, un gardien m’interdit l’accès avec Rocky. J’attache celui-ci à un anneau, lui commande de se coucher et de ne pas bouger. Le gardien veut m’empêcher de le laisser là. Je lui fais une démonstration. Je détache la laisse. A la voix, je fais partir Rocky, tourner à gauche à droite, je le fais coucher alors qu’il est à cinquante mètres, puis s’asseoir et enfin revenir en marchant. Il s’assoit devant le gardien, le regarde et lui tend la patte.
Un petit garçon s’approche et le caresse, ce qui ravit mon chien qui lui fait la fête. Le grand-père qui l’accompagne dit à sa femme qu’il préfère rester là. Les escaliers sont rudes et il est fatigué. Il souffre de surpoids et marche difficilement.
- « Ça vous dérangerait de garder mon chien ? Lui demande-je
- Je.. Je ne sais.. Il va m’obéir ?
- Pas à vous, mais à moi. Si je lui commande de rester à vos pieds, il ne bougera pas. A la limite, faites semblant de tenir sa laisse, même s’il n’en a pas besoin. « Rocky, reste avec le monsieur ! Tu le gardes. Couché ! Pas bouger »
Je sors la petite gamelle que j’emporte toujours, j’y verse de l’eau de ma gourde et je caresse Rocky. Je monte vers l’abbaye en compagnie du petit garçon et de sa grand-mère. Je vais faire la visite avec eux. Le gamin court dans tous les sens pendant que nous admirons l’édifice, simple, mais majestueux. Sur la terrasse devant l’abbaye, nous profitons du magnifique paysage sur la baie, le Couesnon et les prés salés, où paissent des moutons qui auront ainsi une viande au goût sublime. Il y a un peu de vent et la dame se presse contre moi. Elle a à peu près mon âge, plutôt ronde et a de magnifiques yeux bleus.
Je passe mon bras autour de sa taille et lui propose de faire un selfie, après l’avoir prise en photo avec son petit-fils. Je lui promets de lui envoyer les photos – pas le selfie, si ça vous gêne -. Elle ne fait rien pour s’écarter. Alors que son petit-fils s’est éloigné, elle tourne sa tête vers moi. Son regard chavire. Sans hésiter, je me penche vers elle et je l’embrasse. sur les lèvres. Notre baiser ne dure pas longtemps, mais je la sens frémir et il faudrait peu de chose pour aller plus loin.
A partir de là, elle me tient la main chaque fois que le petit est loin et ne regarde pas vers nous. Dans le cloître, derrière une colonne, on s’embrasse à nouveau. On répète cela à deux autres angles, quand personne ne peut nous voir et nos baisers se font plus fougueux.
Quand nous redescendons, une dernière fois elle prend ma main et ne la lâche qu’au moment d’apercevoir son mari. Dans ses yeux, de la reconnaissance et un désir inassouvi. Elle aura un bon souvenir de sa visite.
Arrivés auprès de l’homme, le petit garçon qui nous a précédé, caresse Rocky qui est tout heureux de me revoir. Il n’a pas bougé
- « Tu veux marcher avec lui en laisse ? » demande-je au petit.
- Oh oui ! Je peux mamie ?
- Fais attention !
- Oui, oui ! »
Nous redescendons ainsi jusqu’au bas de la cité. Rocky devant avec le petit, le grand-père derrière eux et nous fermons la marche avec la femme qui dans le dos de son mari, ne me lâche pas la main. Elle tourne souvent mon regard vers moi et murmure « merci ».
Dans le bas de la rue principale du Mont, le grand-père m’invite à boire un verre. Attablés devant une bière, sa femme s’est assise à côté de moi et colle sa cuisse contre la mienne. Elle se risque même à poser sa main sur la mienne quand son mari se tourne pour surveiller le garçon. Le moment est excitant. Je bande et la main de ma voisine qui s’est maintenant risquée très haut sur ma jambe peut s’en rendre compte. Ses yeux sont humides.
Il faut quand même nous quitter. Nous nous saluons cérémonieusement. Je reprends mon vélo, j’attelle Rocky et quand je démarre, ils me saluent de la main.
Sur le parking, je décide de manger avant de reprendre mon périple. J’ai presque fini lorsque qu’une voix m’appelle à l’extérieur. C’est la femme, elle est seule.
- « J’ai vu votre chien et votre vélo. J’ai voulu vous remercier de… de la visite. Vous avez un très beau camping-car !
- Merci ! Vous voulez voir l’intérieur ?
- Je ne veux pas vous déranger !
- Pas du tout ! Vous êtes seule ?
- Mon mari est allé payer une glace à Romain, mon petit-fils.
- Entrez donc ! »
Je la fais passer devant moi. Sous prétexte de l’aider à monter, je pose ma main sur ses fesses. Elle se retourne le sourire aux lèvres « coquin ! »
Dedans, je l’enlace et lui prends les lèvres. Elle se colle à moi, s’offrant de manière impudique. « Je suis folle ! C’est votre faute ! »
Je reprends sa bouche et mes mains partent à la découverte de son corps. La femme est plutôt ronde et sa chair moelleuse. Elle s’abandonne.
Nous n’avons pas beaucoup de temps, aussi je remonte sa jupe, je baisse sa culotte, j’ouvre mon pantalon et sans plus attendre, contre le plan de travail, je l’embroche en reprenant mon baiser.
Le coït est rapide et intense. Son vagin clapote tellement elle mouille. Je la besogne. La position n’est pas facile. Entravée par sa culotte, la femme ne peut écarter des jambes. Sans hésiter, elle me repousse, descend son sous-vêtement et le retire. Appuyée contre l’évier, elle soulève une jambe et se cambre. Je la reprend et je la baise comme un fou. Nous parvenons au plaisir en quelques minutes. Elle jouit et j’éjacule en elle, presque simultanément.
On se sépare et la femme veut récupérer sa culotte quand à travers la vitre je vois son mari approcher.
- « Vite ! Votre mari ! » Elle rajuste sa jupe et je remonte le pantalon juste à temps. Elle sort et en se retournant déclare : « Merci pour la visite monsieur ! » Elle se tourne vers son mari « C’est drôlement bien aménagé. Ce serait bien d’en avoir un ! Au revoir monsieur ! »
Le couple s’éloigne. Il me reste un beau souvenir de cette visite et… une culotte restée par terre. La grand-mère s’en va, le cul nu et la chatte pleine de ma semence. Cela risque de couler sur ses cuisses ! Elle aussi aura un bon souvenir du Mont. Je ne connais ni son nom, ni son âge, mais reste le souvenir de ses yeux bleus me fixant intensément pendant notre séance de baise.
Elle a même oublié de me donner son e-mail pour que je lui envoie les photos.
Finalement, je passe la nuit sur le parking et je ne repars que le lendemain, quand les touristes commencent à arriver.
Je me gare bien avant le Mont. Depuis le parking, on doit emprunter le nouveau pont passerelle ou la navette.J’ai vérifié que l’on pouvait aller jusqu’au Mont en vélo et qu’ensuite la visite de la cité était autorisée avec un chien en laisse sauf pour l’abbaye.
J’attelle Rocky et j’accroche mon Makhila au vélo auquel je ne mets pas la batterie pour éviter de me la faire voler ou de la porter sur mon dos pendant toute la visite. Nous voilà partis jusqu’aux remparts qui ferment l’entrée. Je double ainsi les piétons partis pour une heure de marche. Beaucoup sont admiratifs de mon attelage avec mon chien qui court allègrement. Admiratifs et sûrement jaloux ! Il y a trois kilomètres et demi, une broutille pour nous.
Je me gare et j’attache mon vélo. « La mer arrive à 17h00 » indique le panneau à l’entrée du Mont. Ça me laisse du temps pour ma visite, même si les grandes marées sont passées et que le parc à vélo n’est pas inondable.
Je prends mon Makhila et la laisse bien inutile pour tenir Rocky, mais accrochée à ma taille et tiré par mon chien, elle me permet de grimper sans effort, jusqu’au sommet. J’ai déjà visité le Mont. J’y ai même dormi une nuit en hiver. La saison est avancée et ce n’est pas la foule de l’été pour arpenter les rues étroites.
Je fais le tour par le rempart, avant d’arriver à l’entrée de l’abbaye. La haut, la vue est magnifique et je veux profiter aussi de visiter le cloître.
Au pied des grands escaliers, un gardien m’interdit l’accès avec Rocky. J’attache celui-ci à un anneau, lui commande de se coucher et de ne pas bouger. Le gardien veut m’empêcher de le laisser là. Je lui fais une démonstration. Je détache la laisse. A la voix, je fais partir Rocky, tourner à gauche à droite, je le fais coucher alors qu’il est à cinquante mètres, puis s’asseoir et enfin revenir en marchant. Il s’assoit devant le gardien, le regarde et lui tend la patte.
Un petit garçon s’approche et le caresse, ce qui ravit mon chien qui lui fait la fête. Le grand-père qui l’accompagne dit à sa femme qu’il préfère rester là. Les escaliers sont rudes et il est fatigué. Il souffre de surpoids et marche difficilement.
- « Ça vous dérangerait de garder mon chien ? Lui demande-je
- Je.. Je ne sais.. Il va m’obéir ?
- Pas à vous, mais à moi. Si je lui commande de rester à vos pieds, il ne bougera pas. A la limite, faites semblant de tenir sa laisse, même s’il n’en a pas besoin. « Rocky, reste avec le monsieur ! Tu le gardes. Couché ! Pas bouger »
Je sors la petite gamelle que j’emporte toujours, j’y verse de l’eau de ma gourde et je caresse Rocky. Je monte vers l’abbaye en compagnie du petit garçon et de sa grand-mère. Je vais faire la visite avec eux. Le gamin court dans tous les sens pendant que nous admirons l’édifice, simple, mais majestueux. Sur la terrasse devant l’abbaye, nous profitons du magnifique paysage sur la baie, le Couesnon et les prés salés, où paissent des moutons qui auront ainsi une viande au goût sublime. Il y a un peu de vent et la dame se presse contre moi. Elle a à peu près mon âge, plutôt ronde et a de magnifiques yeux bleus.
Je passe mon bras autour de sa taille et lui propose de faire un selfie, après l’avoir prise en photo avec son petit-fils. Je lui promets de lui envoyer les photos – pas le selfie, si ça vous gêne -. Elle ne fait rien pour s’écarter. Alors que son petit-fils s’est éloigné, elle tourne sa tête vers moi. Son regard chavire. Sans hésiter, je me penche vers elle et je l’embrasse. sur les lèvres. Notre baiser ne dure pas longtemps, mais je la sens frémir et il faudrait peu de chose pour aller plus loin.
A partir de là, elle me tient la main chaque fois que le petit est loin et ne regarde pas vers nous. Dans le cloître, derrière une colonne, on s’embrasse à nouveau. On répète cela à deux autres angles, quand personne ne peut nous voir et nos baisers se font plus fougueux.
Quand nous redescendons, une dernière fois elle prend ma main et ne la lâche qu’au moment d’apercevoir son mari. Dans ses yeux, de la reconnaissance et un désir inassouvi. Elle aura un bon souvenir de sa visite.
Arrivés auprès de l’homme, le petit garçon qui nous a précédé, caresse Rocky qui est tout heureux de me revoir. Il n’a pas bougé
- « Tu veux marcher avec lui en laisse ? » demande-je au petit.
- Oh oui ! Je peux mamie ?
- Fais attention !
- Oui, oui ! »
Nous redescendons ainsi jusqu’au bas de la cité. Rocky devant avec le petit, le grand-père derrière eux et nous fermons la marche avec la femme qui dans le dos de son mari, ne me lâche pas la main. Elle tourne souvent mon regard vers moi et murmure « merci ».
Dans le bas de la rue principale du Mont, le grand-père m’invite à boire un verre. Attablés devant une bière, sa femme s’est assise à côté de moi et colle sa cuisse contre la mienne. Elle se risque même à poser sa main sur la mienne quand son mari se tourne pour surveiller le garçon. Le moment est excitant. Je bande et la main de ma voisine qui s’est maintenant risquée très haut sur ma jambe peut s’en rendre compte. Ses yeux sont humides.
Il faut quand même nous quitter. Nous nous saluons cérémonieusement. Je reprends mon vélo, j’attelle Rocky et quand je démarre, ils me saluent de la main.
Sur le parking, je décide de manger avant de reprendre mon périple. J’ai presque fini lorsque qu’une voix m’appelle à l’extérieur. C’est la femme, elle est seule.
- « J’ai vu votre chien et votre vélo. J’ai voulu vous remercier de… de la visite. Vous avez un très beau camping-car !
- Merci ! Vous voulez voir l’intérieur ?
- Je ne veux pas vous déranger !
- Pas du tout ! Vous êtes seule ?
- Mon mari est allé payer une glace à Romain, mon petit-fils.
- Entrez donc ! »
Je la fais passer devant moi. Sous prétexte de l’aider à monter, je pose ma main sur ses fesses. Elle se retourne le sourire aux lèvres « coquin ! »
Dedans, je l’enlace et lui prends les lèvres. Elle se colle à moi, s’offrant de manière impudique. « Je suis folle ! C’est votre faute ! »
Je reprends sa bouche et mes mains partent à la découverte de son corps. La femme est plutôt ronde et sa chair moelleuse. Elle s’abandonne.
Nous n’avons pas beaucoup de temps, aussi je remonte sa jupe, je baisse sa culotte, j’ouvre mon pantalon et sans plus attendre, contre le plan de travail, je l’embroche en reprenant mon baiser.
Le coït est rapide et intense. Son vagin clapote tellement elle mouille. Je la besogne. La position n’est pas facile. Entravée par sa culotte, la femme ne peut écarter des jambes. Sans hésiter, elle me repousse, descend son sous-vêtement et le retire. Appuyée contre l’évier, elle soulève une jambe et se cambre. Je la reprend et je la baise comme un fou. Nous parvenons au plaisir en quelques minutes. Elle jouit et j’éjacule en elle, presque simultanément.
On se sépare et la femme veut récupérer sa culotte quand à travers la vitre je vois son mari approcher.
- « Vite ! Votre mari ! » Elle rajuste sa jupe et je remonte le pantalon juste à temps. Elle sort et en se retournant déclare : « Merci pour la visite monsieur ! » Elle se tourne vers son mari « C’est drôlement bien aménagé. Ce serait bien d’en avoir un ! Au revoir monsieur ! »
Le couple s’éloigne. Il me reste un beau souvenir de cette visite et… une culotte restée par terre. La grand-mère s’en va, le cul nu et la chatte pleine de ma semence. Cela risque de couler sur ses cuisses ! Elle aussi aura un bon souvenir du Mont. Je ne connais ni son nom, ni son âge, mais reste le souvenir de ses yeux bleus me fixant intensément pendant notre séance de baise.
Elle a même oublié de me donner son e-mail pour que je lui envoie les photos.
Finalement, je passe la nuit sur le parking et je ne repars que le lendemain, quand les touristes commencent à arriver.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dommage un peu courte.
Bonjour,
j'adore vos histoires, je suis moi-même camping-cariste et bi...
j'adore vos histoires, je suis moi-même camping-cariste et bi...