Périple en camping-car 11 : Les deux frères
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Périple en camping-car 11 : Les deux frères
Quand la route s’éloigne de la côte, je cherche toujours un chemin qui s’en approche. Après les Grandes Dalles, au nord de Houlgate, je m’engage sur un chemin côtier qui borde la Manche. Au fur et à mesure que je m’enfonce, il devient moins carrossable. Je cherche un endroit pour faire demi-tour. Ne trouvant rien, je tente de manœuvrer. J’ai quasiment rebroussé chemin, lorsque mes roues arrières patinent. Je tente vainement de me dégager, mais rien n’y fait. Il ne manque pas grand-chose, mais impossible de me retrouver sur le chemin.
La nuit tombe et je décide de rester comme cela jusqu’au matin. Je n’ai pas l’avant du camping-car face au vent, mais celui-ci n’est pas fort et j’espère qu’il ne le sera pas jusqu’au lendemain.
Malgré cela, la vue est superbe. Je suis seul au monde. Je lâche Rocky et lui indique qu’il peut aller courir. Je n’ai aucun souci. Il reviendra quand il le voudra. Je lui prépare une bonne gamelle d’eau. Pour les croquettes, j’attendrai un peu après son retour, quand il aura récupéré de sa course. Ce n’est pas bon qu ‘il mange aussitôt après l’effort, surtout qu’il avale tout en quelques secondes.
La nuit est calme. Au matin il fait beau. J’attelle Rocky au vélo, je ferme le camping-car et nous reprenons le chemin en sens inverse. Il m’avait semblé apercevoir une ferme à un ou deux kilomètres, le paysan devrait pourvoir me sortir de ce mauvais pas.
La ferme n’a pas l’air très grande ni en très bon état, mais dans la cour il y a un petit tracteur qui devrait faire l’affaire. Je fais le tour et je ne trouve personne. Je frappe à la porte, personne non plus ne répond. J’entends du bruit dans une grange. Je me dirige vers là.
- « Il y a quelqu’un ?
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Bonjour Monsieur.
- Bonjour. » - Plutôt bougon le personnage- « C’est pourquoi ?
- Excusez-moi de vous déranger. Je me suis embourbé un peu plus loin sur le chemin. Vous serait-il possible de me tracter. Il ne faut pas grand-chose…
- Ah ces parisiens ! Ils savent rouler que sur la route !
- Je ne suis pas parisien et j’ai un peu l’habitude des chemins et de la boue, mais il n’y avait aucun endroit pour faire demi-tour. J’ai presque réussi, mais...
- Bon, bon. On va voir ça. Vous avez cinq minutes ? Je dois finir la traite.
- Aucun problème, j’ai tout mon temps » L’homme se remet au travail et je le regarde faire. Je prends quelques photos avec mon téléphone. « Ça ne vous dérange pas si je prends des photos ? On ne voit plus beaucoup de monde traire à la main.
- Ouais, ouais, faites. Chez nous on a toujours fait comme ça et ce n’est pas pour quat’ vaches qu’on va s’acheter une machine à traire. C’est bien vrai ! Non ? Sa réflexion me rappelle de la publicité de la mère Denis dans les années 80 et me fait rire.
Dix minutes plus tard, l’homme a fini son ouvrage.
- « Bon. J’vais porter l’seau dedans, et on y va. »
L’homme démarre son tracteur. Une antiquité, mais dont le moteur part au premier coup.
Je pars devant avec Rocky, suivi sur son tracteur, par le paysan bourru, mais bien serviable. Pas besoin de forcer le train, au contraire, le Pony n’est pas un avion. Arrivé au camion, l’homme fait demi-tour et descend du tracteur.
- « Ah mince ! J’ai point pris d’chaîne !
- Ne vous inquiétez pas ! J’ai une sangle ! Ça devrait le faire. » Pendant que j’attache un bout au crochet que j’ai vissé devant le pare-choc, l’homme observe mon « camion »
- C’est un bel engin que vous avez là !
- Oui. Il est pas mal. Bon là, je l’ai un peu sali en manœuvrant, c’est quand même assez lourd et je n’avait plus d’adhérence sur les roues motrices.
- Ça doit coûter bonbon vot’ truc.
- Cent trente mille euros à peu près.
- Ah quand même !
- C’est pour ça que je n’ai pas voulu forcer, de peur de l’abîmer. Bon, ça y est. Vous voulez bien reculer que j’attache à votre tracteur ?
- OK.
- Je pense qu’il sera vite sorti. Quelques mètres et ça ira.
- C’est sûr !
- Je vous ferai signe quand je roulerai.
- Vous êtes habitué à être en remorque ?
- J’ai travaillé dans le bâtiment autrefois, ça arrivait souvent sur les chantiers avec les camions ! »
Il ne dit rien et monte sur son engin. Je m’installe au volant. A mon signe il démarre. Un peu fort à mon goût, mais la manœuvre est efficace et je me retrouve vite droit sur le chemin. J’avance sans son aide et je lui fais signe, mais l’homme continue, comme si de rien n’était. Je suis obligé de calquer ma vitesse sur la sienne pour ne pas donner d’à-coups à ma sangle, au risque de la casser.
On continue comme ça, à petit rythme, jusqu’à la ferme. L’homme entre même directement dans la cour. Enfin il s’arrête.
Je descends et je défais la sangle. L’homme a arrêté son tracteur et le laisse comme ça au milieu de la cour. Pas très soigneux le type, à l’image de sa ferme.
Je range la sangle dans la soute en me disant que je la nettoierais plus tard. Avant de partir malgré tout, je tiens à remercier mon sauveur.
- « Merci beaucoup monsieur ! Combien je vous dois par le dérangement ?
- Oh ! Petit dérangement. Il ne se passe pas grand-chose par ici, ça m’a distrait un peu.
- Tout de même !
- J’ veux rien voyons !
- Je vous donne cinquante euros. Ça ira ?
- Ah non hé ! J’veux pas d’argent !
- Je vais vous donner quelque chose quand même ! » J’ouvre un coffre sur le côté et je prends une boîte de foie gras que je gardais pour Noël. J’en trouverai bien une autre en route. « Tenez, C’est du foie gras de chez moi. Je suis du Pays Basque.
- Ah ben dis-donc ! J’dis pas non. Vous prendrez ben un café ? »
Je sais que dans ces cas-là, refuser serait un affront. Même si le café « maison » est souvent une infâme lavasse, je suis bien obligé d’accepter. Je fais sortir Rocky et je vais pour suivre le paysan.
- « L’est ben beau vot’ chien !
- C’est un Husky. Un chien du grand Nord. C’est mon compagnon de voyage. » Nous entrons et Rocky part faire un tour dans la ferme. « Ne vous inquiétez pas, il ne s’attaquera pas aux animaux. Il est bien dressé. »
La cuisine est à l’image de la ferme : rustique, assez propre malgré tout, comme on dit « dans son jus », celui des années soixante. Il y a longtemps qu’elle n’a pas vu de peinture, et je ne parle pas de l’électricité. Au milieu de la salle, une grande table en bois. Sur un mur, un vaisselier à l’ancienne et un poêle- cuisinière à bois dans la grande cheminée. Le sol est en dalles de pierre. C’est une carte postale représentant ce que l’on pouvait voir il y a cinquante ans. Elle me rappelle la cuisine d’un vieil oncle chez qui nous allions avec mon père autrefois.
Comme je le craignais, la cafetière est posée sur le poêle et ce sera du « café bouillu » comme on disait. Servi dans un verre « Duralex » calotté par les ans et les cafés innombrables bus dedans. Deux sucres feront passer un peu le goût.
Nous nous asseyons à la table qu’aucune nappe ne couvre bien sûr. Comme il se doit, il faut bien parler et le paysan ne se gêne pas.
- « Alors, comment avez- vous fait vot’ compte pour arriver là ?
- Je fais le tour de la France en longeant les côtes au plus près. J’ai crû que je passerai. Je pense que si j’avais continué tout droit, je serais passé, j’ai vu sur la carte qu’il y avait une route ou un chemin, mais j’ai voulu faire demi-tour.
- Vous êtes tout seul alors ?
- Oui. Avec mon chien, on fait une bonne équipe. Je le fais courir et il garde la nuit.
- Vous êtes parti depuis longtemps ?
- Ça fait plus de deux mois et je compte au moins une bonne année pour faire tout le tour.
- Ah quand même !
- Je ne suis pas pressé.
- C’est bien ça !
- L’avantage de la retraite !
- Ben c’est sûr.
- Et vous, vous vous en sortez avec votre ferme ?
- On s’débrouille. On n’a pas beaucoup d’besoins.
- Bon. Merci encore, je vais vous laisser et reprendre la route. » Je me lève et le gars vient vers moi.
- « Z’êtes pas pressé ? »
Il est presque contre moi. Je sens son odeur faite de terre et de sueur. Je ne l’ai pas décrit. Un bonhomme pas très grand, rondouillard, mal rasé, habillé d’une salopette sur un « marcel », le tout pas très net et avec des bottes aux pieds. Ses bras et son poitrail sont bien velus.
A-t-il senti mon trouble ? Il attrape mon bras et vient poser ma main sur sa bosse.
- « Si tu veux me remercier, j’connais un moyen. »
Je ne retire pas ma main. Il dégrafe les bretelles de sa salopette qui tombe sur ses mollets. N’ayant rien dessous, il se retrouve en marcel qu’il retire aussitôt et c’est nu qu’il présente sa bite. Pas très longue – douze ou treize centimètres -, mais très grosse et bien bandée ! Il est poilu de partout et sa queue se dresse au milieu d’une forêt de poils. Il appuie sur mes épaules, m’indiquant ainsi comme il désire que je le remercie.
Je m’agenouille. Il sent fort et ça m’excite. Prenant sa queue en main pour le décalotter, je découvre un dépôt de sperme séché que je m’empresse d’enlever avec les doigts. Sa bite pue le sperme et la pisse. Je crache dessus pour faire passer le goût et j’écarte largement ma bouche, ne parvenant à avaler que le gros gland. Il pousse derrière ma tête en même temps qu’il avance son ventre. J’arrive à absorber une bonne moitié de son engin, mais il en veut plus. Il force, et mon nez touche ses poils alors que sa pine me remplit ma bouche.
Je commence alors à le pomper. Le goût infâme passe et il peut tranquillement me « baiser la gueule ».
J’ai mal à la mâchoire, tant je dois l’écarter, mais je ne fais rien pour me reculer. Heureusement pour moi, en moins d’une minute, il crache son sperme. Une belle quantité que je ne peux qu’avaler. Son jus est agréable. Gluant et parfumé, cela compense la première impression et masque totalement l’odeur initiale.
Il se vide bien en grognant, me tenant toujours la tête contre lui.
- « Eh bien le Claude ! On s’ennuie pas ici ! »
La voix qui me parvient toute proche me fait reculer. Je vois alors la copie conforme de l’homme. Même corpulence, même tête. L’homme est vêtu d’une salopette identique, qu’il porte sans marcel. Ses poils débordent de partout. Il ne se pose pas de question et immédiatement, il détache sa salopette et se retrouve nu.
Je comprends le message et je me tourne vers lui, toujours à genoux. Sa queue est aussi souillée que celle de l’autre et je retire la crème gluante et écoeurante, avant de le prendre en bouche.
Même bite courte et grosse, même geste pour tenir ma tête et enfoncer son pieu dans ma bouche. Je m’applique et comme pour l’autre, le nez dans les poils odorants, je pompe l’organe. Comme l’autre, il met à peine une minute pour gicler dans ma bouche qui avale sa deuxième rasade de sperme, alors que l’homme éructe un « Ahhh !! » bruyant.
Me croyant libéré, je me relève. Je découvre alors que le premier homme bande à nouveau, malgré sa jouissance récente.
- « T’es un’ bon’ pute toi ! Fous-toi à poil, j’vais t’baiser ! Il est bon n’est-ce pas le François ?
- J’sais pas où tu l'as trouvé çui-là, mais il m’plaît ben !
- Allez ! A poil me lance l’autre voyant que je tarde. »
Alors que je retire mes vêtements, le gars enlève ses bottes et sa salopette. Il est maintenant entièrement nu dans la cuisine et une odeur de pieds atroce envahit la pièce.
Dès que je suis nu, il me penche sur la table et se met derrière moi.
- « Crache sur mon cul ! Tu es gros ! Tu vas me déchirer !
- François ! Amène du beurre ! Tu vas voir toi, c’est du bon beurre normand mon gars ! Ça va glisser tout seul ! »
Il me badigeonne entre les fesses et sans plus attendre, me fourre sa pine dans le cul. Malgré le beurre, quand il me pénètre, j’ai l’impression d’être perforé par une barre de fer. Il s’enfonce d’un coup. Sa queue n’étant pas très longue, je ne ressens aucune autre douleur. Mes muqueuses bien écartées moulent sa queue idéalement. Elle frotte au bon endroit, là où j’ai le plus de plaisir. Mon plaisir d’ailleurs, monte en moi. Son enculade est trop bonne.
“Oui ! Vas-y ! Démonte-moi le cul ! Elle est bonne ta queue !
Ah la salope ! On l’a bien trouvée celle-là !
Oui ! Je veux être votre salope ! Baisez-moi les mecs ! Mettez-moi vos bites !”
Malheureusement, comme il y a peu dans ma bouche, l’homme éjacule dans mon fondement. Décidément, c’est un rapide ! Ça ne l’empêche pas de m’expédier encore une belle dose de sperme.
Le second, qui lui aussi s’est déloqué, vient prendre sa place. Celui-ci me prend tel un fétu de paille et me retourne de dos sur la table. Je relève les jambes et les fesses pour lui faciliter l’accès.
Il pointe son dard et d’un coup lui aussi, me perfore jusqu'à ce que ses couilles touchent mon entre-fesses.
Il se penche sur moi. Son odeur de mâle en rut est encore plus prégnante. Ses pectoraux m’écrasent et surprise, il m’embrasse, ou plutôt sa langue prend possession de ma bouche. Longue et grosse, elle me fouille pendant que l’homme me prend. Le sperme laissé par l’autre sert de lubrifiant et je ne ressens que du plaisir. Mes mains caressent son dos poilu. Sa peau est dure et musculeuse. Ma bite coincée entre nos ventres est sollicitée, et je jouis.
Comme l’autre, il crache son jus très vite et me remplit les boyaux. Il se relève.
- « Ah l’con ! Il a jouit ! » Il se penche sur mon ventre et lèche mon jus de sa langue râpeuse. « Oh putain ! Il est bon celui-là !
- Il est tombé en panne sur le chemin et je l’ai tiré avec le tracteur.
- Pas qu’avec le tracteur !
- Plains toi ! Tu en as profité ! »
Nous sommes tous les trois nus dans la cuisine et aucun ne songe à s’habiller. Vont-ils encore m’utiliser pour leur plaisir ?
- « Dis-donc l’parisien, tu m’as bien dis que t’étais pas pressé ? Tu vas rester un moment avec nous. J’ai l’impression que tu aimes ça, te faire baiser !
- Oh oui ! Vous m’avez bien baisé tous les deux ! Mais si on doit continuer, il faudra vous laver ! Vos pieds, c’est une puanteur !
- C’est à cause des bottes !
- Peut-être, mais c’est horrible. Vos poils, l’odeur de terre et de sueur, ça va, j’aime, mais les pieds, non ! Vous avez une douche tout de même ?
- Ben oui ! On en prend une toutes les semaines !
- Ah oui ! Quand même !”
Celui qui s’appelle Claude m’entraîne à côté. La douche est simple, mais propre. Pas de carrelage, mais des murs crépis, bruts, sans peinture. L’espace est malgré tout assez grand. Il rentre dans le bac et à sa surprise, je rentre avec lui.
- « Je vais te laver, tu vas aimer !
- Ah putain ! C’est la première fois depuis ma mère, qu’on va m’laver ! »
Une fois la température réglée, je nous arrose abondamment. Pas de gel douche, mais du bon savon de Marseille. Je lui passe sur tout le corps, obligé de m’accroupir pour enduire ses pieds et ses chevilles. Un gros gant de crin va me permettre de le débarrasser de toute la crasse. Je m’amuse à bien frotter entre ses fesses en aventurant un doigt à l’entrée de son cul sans qu’il ne proteste – tiens tiens !- Je frotte aussi son engin, en y restant plus qu’il ne faut.
Évidemment, le gars bande à nouveau. Bien décalottée, sa queue est encore plus belle. Je ne peux m’empêcher d’y déposer un baiser.
- « Tu aimes la bite toi dis-donc !
- Oui ! Maintenant qu’elle est propre, je la préfère. Il faudrait enlever quelques poils dessus et elle serait magnifique !
- Quoi ? Tu veux me la raser ?
- Oui. Et les couilles avec ! Tu verrais, elle ressortirait encore mieux. » L’autre derrière nous, qui ne rate rien du spectacle, déclare.
- Oui ! Rase-lui ! Ce sera plus agréable pour le sucer !
- Ah parce qu’entre vous… vous…
- Qu’est ce que tu crois ? Qu’il y a des gonzesses par ici ? On est bien obligés de s’entraider !
- C’est pas bête !
- Si tu rases mon frangin tu me rases aussi.
- Ah parce que vous êtes aussi frères ?
- Ben oui ! Ça t’dérange ?
- Pas du tout ! Bon, on y va ?
- Fais attention tout de même de ne pas me l’abîmer !
- J’ai pas envie de me priver de ta belle bite mon gars.
- Ah ah ah ! » L’autre reprend
- Il a raison ce gars, il faut qu’on se fasse propre plus souvent ! »
J’enduis sa pine et ses couilles avec le savon. Je coupe les poils avec un ciseau que m’a apporté le François.
- « C’est déjà mieux comme ça, dit-il en admirant la queue de son frère, toujours bien bandée. »
Avec un rasoir, je fignole mon ouvrage et je le rince. Le splendide engin apparaît au milieu des poils pubiens et des cuisses. Je plonge mon visage et j’avale la queue toute lisse. Quel Plaisir !
Sachant maintenant que l’homme gicle vite, quand je sens arriver le jus, je me retire et je le fini avec la main. En quatre jets puissants, il se libère sur moi en grognant « Ah putain ! C’est bon ! » Je vois ainsi l’importante quantité qu’il expédie chaque fois. Le spectacle est superbe.
Le sperme s’écoule sur mon corps et s’en va dans le siphon. Je fais sortir le Claude de la douche et de lui-même, le François y entre.
- « Tu vas m’faire pareil ?
- Bien sûr !
- Tu vois, j’ai commencé à me laver les pieds. C’est vrai que c’est dégueulasse avec ces bottes en caoutchouc !
- Il faudrait mettre des chaussettes, ou vous les laver souvent.
- Tu as raison ! »
Comme avec son frère, je le savonne de la tête aux pieds. Quand je passe entre ses fesses, il se penche de lui-même et les écarte. J’ai presque envie d’y fourrer ma langue, mais je lui enfile un doigt bien profond. Il grogne de plaisir. J’en ajoute un, puis un autre et je ramone son cul.
- « Tu aimes ça toi aussi, j’ai l’impression ;
- Oh oui !
- Attends alors, je vais te branler la queue en même temps ! »
Trois doigts dans son cul et ma main sur sa bite le font gicler en quelques secondes. Son cri de plaisir est encore plus fort et son premier jet frappe la paroi de la douche, suivi de trois autres pour une belle quantité. Décidément, ces deux hommes « rechargent » vite, mais en plus, il fournissent beaucoup !
- « Ah putain ! C’est bon ça !
- Je vois que tu aimes aussi te faire prendre le cul !
- Ben oui ! Avec le Claude, on s’fait du bien aussi comme ça depuis la mort de not’ mère.
- Ah parce que… ? Avec votre mère vous…
- Le Claude, l’a pas connu d’autre femme.
- Et toi ?
- J’ai été aux putes quelques fois en ville.
- Drôle de vie.
- Ben c’est la nôtre.
- Et... avec des mecs de passage comme moi, c’est déjà arrivé ?
- Ben non. Avec l’ancien facteur et un ouvrier agricole, mais pas avec un parisien ! »
Je renonce à leur dire que je ne suis pas parisien. Les deux frères sont maintenant propres et toujours nus, nous revenons à la cuisine. Je les fais s'asseoir tous les deux côte à côte sur la table. Devant eux, je saisis leurs bites et je les branle, puis alternativement je me penche sur l’une, puis l’autre bite pour les sucer.
J’adore ces deux « nounours » poilus. Il se dégage d’eux un érotisme sauvage. J’aime leurs poils, leur corps, leur odeur de mâle et de la terre, qui reste malgré la douche.
Je fais coucher le Claude sur la table. Je monte dessus et je m’empale sur son vit dressé. Ma bite s’agite de haut en bas en suivant mes mouvements et peu à peu se raidit. Encore une fois, le Claude se vide en moi après quelques instants. Je reste empalé, assis sur son ventre. Le François se penche alors et avale ma queue. Il me pompe un moment. Je ne suis pas un rapide comme eux et il est surpris que je ne jouisse pas.
- « Branle-moi aussi. Je sens que je vais venir ! »
Il alterne succion et branle. La bite de son frère reprend sa raideur dans mon cul et enfin, je me libère dans la bouche du François.
Il se redresse alors et vient me rouler une grosse pelle en me rendant une partie de mon sperme que l’on partage grâce encore à la grosse langue envahissante.
On se calme un peu. Les deux hommes veulent remettre leurs salopettes et je leur demande d’en enfiler des propres, ainsi que des sandales pour l’intérieur.
Nous passons à table. Un déjeuner pantagruélique pour moi, suivi de leur infâme café accompagné bien sûr d’un « Calva » tiré d’une bouteille poussiéreuse et sans étiquette. Le genre de Calva qui vous arrache la gueule.
- « Tu vas repartir alors ?
- Oui. Je vais reprendre ma route.
- Tu.. voudrais pas rester un peu ?
- Jusqu’à demain, peut-être un jour de plus, mais c’est tout. Ensuite, je pars, sinon…
- On aime ben te tirer, tu sais ?
- J’aime bien aussi, mais je ne voudrais pas y prendre goût et ne plus repartir. C’est pour ça que je veux bien passer la nuit ici avec vous. Demain, je verrai...
- On n’a qu’un lit tu sais ?
- Vous couchez ensemble ? Je dormirai dans mon camion.
- Je.. Il y a de la place…
- Je sais couillon ! Je coucherai dans votre lit, à condition que vous ne m’écrasiez pas entre vous.
- On va t’écraser, mais pas entre.
- Mmmh »
Sur cette alléchante proposition, les deux frères retournent à leurs travaux. J’en profite pour nettoyer la boue qui a giclé sur mon camion pendant que je tentais de m’en sortir sur le chemin. J’en profite pour bien nettoyer le dessous et je vérifie que je n’ai fait aucun dégât. Tout va bien.
Une fois fini, je fais le tour de la petite ferme à pied.
Je trouve le François en train de rentrer du foin dans la grange. Je tente bien de l’aider, mais il se marre « c’est pas un travail pour un parisien ça ! »
Par contre, il me coince contre une balle de paille et me roule une pelle. J’ai compris. De moi-même, je dégrafe les deux boutons de sa salopette, qui tombe à ses pieds, je baisse mon pantalon et je me tourne dos à lui. Immédiatement, sa queue cherche mon cul et sans ambages, il me pénètre.
Un coït brutal et sauvage. Sans un seul mot, mis à part des grognements. Comme d’habitude, François gicle rapidement dans mon cul. Il va pour se rhabiller, mais je lui demande de rester un peu en moi et de continuer à me baiser.
Ses mouvements font sortir le sperme que je sens couler de mon cul sur mes cuisses. Je m’en fiche. La formidable bite, même ramollie, me donne de bonnes sensations. Je fais jouer mes muscles internes pour le masser et je sens une certaine raideur se manifester à nouveau. Le François reprend ses pénétrations et me défonce à nouveau. J’ai de la chance. Le deuxième assaut est ainsi un peu plus long et j’en profite un maximum.
Quand Le François lance un « Putain ! » sonore en giclant à nouveau en moi, je gicle dans la paille.
- « Ah putain ! C’est ben la première fois que je tire deux coups sans sortir ! T’es un bon, toi. Tu es sûr de vouloir partir ?
- Oh que oui ! Je serais vite « accro » à vos deux bites et mon cul ne le supporterait pas longtemps. Il ne pourrait plus se fermer ! »
- Ah ah ! Bon. Si tu veux voir le Claude, il doit être vers le petit bois.
- Je vais récupérer un peu quand même !
- J’suis sûr que tu as envie de te faire tirer par lui aussi. Il a un’ p’tit’ cabane là bas. Je suis certain que tu vas aimer ! »
Il rajuste sa salopette et je remonte mon pantalon. Sans réfléchir, je me colle à lui et je l’embrasse. J’ai pris goût à sentir ce corps poilu et musclé, à son odeur et à sa langue sauvage qui fouille ma bouche. C’est animal !
Je le laisse à ses travaux. J’appelle Rocky qui sort de derrière un bâtiment, suivi du chien des deux frères. Ils ont l’air copains tous les deux.
Je fume une cigarette et je pars me promener. Déjà la perspective de retrouver le Claude, me titille. Après tout, je suis resté pour ça non ? Je me fais honte !
Depuis le chemin, je me dirige vers le petit bois, en longeant un champ de maïs. Des oies sauvages passent au-dessus en criant, signe de l’arrivée prochaine du temps froid.
Je rentre dans le bois. Tout est silencieux. Je m’enfonce et je trouve le Claude debout, en train de s’astiquer. Décidément, ils n’arrêtent pas !
- « Oh là le Claude ! Ne gâche pas ton bon jus ! Fais-moi-en profiter au moins. Je baisse mon pantalon et je me penche de dos devant lui. Immédiatement, je sens sa queue me pourfendre.
- Ben dis-donc ! T’es bien ouvert et ça rentre tout seul ! Tu avais envie toi !
- Ton frère bien de m’en mettre deux rasades !
- Oh la pute ! Tu es vraiment un pédé de parisien ! »
Il s’agrippe à mes hanches et me bourre en cadence. Bien excité avant mon arrivée, Le Claude se vide en quelques secondes dans mes boyaux. Je tente bien de le retenir en moi, mais il se dégage. Je m’accroupis et je vide mon cul de l’accumulation de sperme qui me remplit.
Comme avec son frère avant, je me tourne et je nettoie la bite sortant de mon cul.
Les deux frères sont en perpétuelle chaleur. Il suffit que je m’approche de l’un d’eux, pour qu’il me mette la main au cul ou la mienne sur leur bite. Il faut dire que je ne fais rien pour les décourager. Dans l’après-midi, je vais me retrouver souvent à genoux pour les sucer et avaler leur foutre qui semble inépuisable. J’ai ainsi sucé Le François trois fois en l’espace d’une demi-heure, avec chaque fois distribution abondante de sperme dans ma gorge. Il suffit de lui sucer le gland une minute, pour qu’il décharge.
Avec le Claude, nous sommes partis dans les champs en tracteur. J’étais là-aussi, cul nul, assis sur sa bite pendant qu’il conduisait. Je ne vous dis pas les sensations avec les cahots du chemin. Il a giclé dans mon cul sans sortir à quatre reprises durant notre « ballade ». Aucun effort à faire, simplement subir les à coups et soubresauts de la machine ! Je me tenais au volant pour ne pas tomber. Mon cul débordait de foutre qui sortait et coulait sur la sienne et sur le siège du tracteur. Énorme ! Quand j’y repense, j’en suis tout excité, malgré la honte de me comporter comme une pute.
La fin d’après-midi est plus calme, si ce n’est qu’en rentrant, nous trouvons Rocky qui fornique avec la chienne des frangins. « Si elle est en chasse, vous risquez d’avoir des bâtards de Husky !
- Très bien ! Ça nous fera un chien de garde. »
Au moment du repas, je prends mon désormais « apéritif » en pompant les deux frangins, à genoux sur le carrelage.
Le temps du repas est plus calme. On discute un peu. Ils sont gentils malgré tout, les deux frères. Leur vie n’a pas été facile, mais ne connaissant rien d’autre, ils sont heureux.
On se couche tôt dans la maison. C’est vrai qu’il n’y a pas de télévision. Les deux frères sont étonnés quand ils me voient travailler sur mon ordinateur. J’ai fait des photos d’eux et les ajoute à ma galerie. J’en profite pour leur montrer mes « conquêtes » du voyage. Hommes et femmes avec lesquels j’ai eu un rapport. Ils sont scotchés, notamment quand ils découvrent la jeunesse de Sophie ou de Hervé.
Déjà qu’ils n’ont pas besoin de grand-chose pour être excités, les deux frères m’entraînent aussitôt dans leur chambre.
Vite à poil, nous nous retrouvons tous les trois dans le lit qu’ils partagent. C’est moi qu’ils vont se partager une bonne partie de la nuit, me réveillant plusieurs fois pour se soulager. Ce sont vraiment des machines à fabriquer du sperme.
Je les étonne malgré tout quand je leur demande de me prendre l’un par le cul et l’autre en même temps par la bouche.
Je les surprends quand je leur propose de leur lécher le cul. Ils n’y avaient jamais pensé. Deux culs poilus identiques qui sentent bien. Je me régale ! Je leur bouffe le cul, tous les deux à genoux côte à côte sur le lit.
J’adore me retrouver entre mes deux « nounours » dans la chaleur de leurs corps épais et sensuels. Le François est toujours le seul qui m’embrasse et dans ces cas là je suis électrique. Je ne m’explique pas ce sentiment, mais j’adore qu’ainsi, il me domine. Je suis sa chose.
Je vais aussi les sodomiser tous les deux, sous les yeux du frangin qui bande et attend son tour. Pour le plaisir, je leur demande de se mettre à genoux côte à côte. J’ai face à moi les deux culs poilus des frangins qui attendent, les fesses hautes, de se faire saillir par leur “parisien”.
Le Claude aime ma queue, plus longue que celle de son frère et qui atteint des zones profondes, non explorées par le gros braquemart. Je les baise longtemps en passant de l’un à l’autre quand je sens monter mon sperme. Ils ne bougent pas. Attendent ainsi, les fesses en l’air.
Enfin, je les fais mettre sur le dos. Et debout entre leurs cuisses musclées et velues, je les baise l’un après l’autre. Je leur demande de se branler l’un l’autre, ce qui déclenche des jets puissants de foutre, qui engluent leurs corps poilus.
C’est démentiel ! Je me fini à la main en aspergeant leurs deux corps, mélangeant mon foutre au leur.
Je vais aussi leur demander de baiser entre eux, devant moi. Le spectacle est superbe. Je fais des photos
Le foutre sortant des culs, coule sur les draps. Peu importe, ils sont déjà d’une couleur douteuse. Je comprend l’expression « se vautrer dans le stupre », sans parler de l’odeur.
Dans la nuit, le Claude, couché derrière moi en cuillère, me baise. Le François, réveillé par les mouvements, me fait monter ensuite sur lui pour me baiser à son tour. Je l’enjambe, me mets face à lui. Quand il voit ma bite s’agiter au rythme de ma chevauchée, il l’empoigne et me branle, tout en soutenant mes fesses de l’autre main.
A nos côtés, le François nous regarde et se branle. Quand je vais éjaculer sur le torse de son frère, il va mêler son sperme au mien.
Au petit matin, il fait à peine jour et les deux hommes sont déjà en forme. J’ai droit à une enculade de chacun avant le petit déjeuner. Bien sûr, je leur fais la toilette avec ma bouche. Je les oblige à passer sous la douche. J’hésite encore à rester un peu plus. Je suis vraiment accro à leur sexe et à leur corps. Dans un dernier sursaut de lucidité, je me décide à partir. Les deux frangins ne veulent pas me laisser sans me donner des provisions. Je vais faire le plein de confit, de saucisses, de cidre, de légumes… de vin. Mon frigo et mon congélateur sont pleins pour un mois.
Il vont aussi faire le plein du réservoir d’eau et celui du carburant. Ils vont vidanger la cuve des sanitaires. Une étape qui ne m’a pas coûté cher, si on excepte le nombre de coups de queue que j’ai pris, sans parler des pipes ! Chacun d’eux à dû éjaculer une quinzaine ou une vingtaine de fois dans mes orifices.
Bien sûr, les adieux vont donner droit à deux nouveaux «assauts » de mes hôtes. Enfin… deux chacun. J’ai du mal à partir. Je suis bien avec ces deux paysans rustres. Je suis encore à deux doigts de rester, mais il me reste assez de lucidité et je monte dans le camping-car. Le cœur gros, le cul plein de sperme et la bouche qui garde leurs goûts. Je ne sais combien de litres de sperme j’ai avalé par la bouche et par le cul, le nombre de fois où je me suis fait enculer en vingt quatre heures, mais cela doit être un record. En tous cas pour moi, ça l’est. Mon cul n'avait pas le temps de se refermer entre deux assauts.
Dans le rétroviseur, je vois les deux frères me saluer. Ils sont nus sur la porte de la maison, un bras levé et l’autre entourant la taille de l’autre. Je viens de les sucer une dernière fois sur le pas de la porte. Ils bandent encore. Je sens que ces deux-là vont faire un petit supplément entre eux.
Je n’aurais jamais pensé baiser – je peux même dire faire l’amour – avec des hommes comme eux : Gros, pas beaux, barbus, poilus et sentant fort la terre et la transpiration.
La nuit tombe et je décide de rester comme cela jusqu’au matin. Je n’ai pas l’avant du camping-car face au vent, mais celui-ci n’est pas fort et j’espère qu’il ne le sera pas jusqu’au lendemain.
Malgré cela, la vue est superbe. Je suis seul au monde. Je lâche Rocky et lui indique qu’il peut aller courir. Je n’ai aucun souci. Il reviendra quand il le voudra. Je lui prépare une bonne gamelle d’eau. Pour les croquettes, j’attendrai un peu après son retour, quand il aura récupéré de sa course. Ce n’est pas bon qu ‘il mange aussitôt après l’effort, surtout qu’il avale tout en quelques secondes.
La nuit est calme. Au matin il fait beau. J’attelle Rocky au vélo, je ferme le camping-car et nous reprenons le chemin en sens inverse. Il m’avait semblé apercevoir une ferme à un ou deux kilomètres, le paysan devrait pourvoir me sortir de ce mauvais pas.
La ferme n’a pas l’air très grande ni en très bon état, mais dans la cour il y a un petit tracteur qui devrait faire l’affaire. Je fais le tour et je ne trouve personne. Je frappe à la porte, personne non plus ne répond. J’entends du bruit dans une grange. Je me dirige vers là.
- « Il y a quelqu’un ?
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Bonjour Monsieur.
- Bonjour. » - Plutôt bougon le personnage- « C’est pourquoi ?
- Excusez-moi de vous déranger. Je me suis embourbé un peu plus loin sur le chemin. Vous serait-il possible de me tracter. Il ne faut pas grand-chose…
- Ah ces parisiens ! Ils savent rouler que sur la route !
- Je ne suis pas parisien et j’ai un peu l’habitude des chemins et de la boue, mais il n’y avait aucun endroit pour faire demi-tour. J’ai presque réussi, mais...
- Bon, bon. On va voir ça. Vous avez cinq minutes ? Je dois finir la traite.
- Aucun problème, j’ai tout mon temps » L’homme se remet au travail et je le regarde faire. Je prends quelques photos avec mon téléphone. « Ça ne vous dérange pas si je prends des photos ? On ne voit plus beaucoup de monde traire à la main.
- Ouais, ouais, faites. Chez nous on a toujours fait comme ça et ce n’est pas pour quat’ vaches qu’on va s’acheter une machine à traire. C’est bien vrai ! Non ? Sa réflexion me rappelle de la publicité de la mère Denis dans les années 80 et me fait rire.
Dix minutes plus tard, l’homme a fini son ouvrage.
- « Bon. J’vais porter l’seau dedans, et on y va. »
L’homme démarre son tracteur. Une antiquité, mais dont le moteur part au premier coup.
Je pars devant avec Rocky, suivi sur son tracteur, par le paysan bourru, mais bien serviable. Pas besoin de forcer le train, au contraire, le Pony n’est pas un avion. Arrivé au camion, l’homme fait demi-tour et descend du tracteur.
- « Ah mince ! J’ai point pris d’chaîne !
- Ne vous inquiétez pas ! J’ai une sangle ! Ça devrait le faire. » Pendant que j’attache un bout au crochet que j’ai vissé devant le pare-choc, l’homme observe mon « camion »
- C’est un bel engin que vous avez là !
- Oui. Il est pas mal. Bon là, je l’ai un peu sali en manœuvrant, c’est quand même assez lourd et je n’avait plus d’adhérence sur les roues motrices.
- Ça doit coûter bonbon vot’ truc.
- Cent trente mille euros à peu près.
- Ah quand même !
- C’est pour ça que je n’ai pas voulu forcer, de peur de l’abîmer. Bon, ça y est. Vous voulez bien reculer que j’attache à votre tracteur ?
- OK.
- Je pense qu’il sera vite sorti. Quelques mètres et ça ira.
- C’est sûr !
- Je vous ferai signe quand je roulerai.
- Vous êtes habitué à être en remorque ?
- J’ai travaillé dans le bâtiment autrefois, ça arrivait souvent sur les chantiers avec les camions ! »
Il ne dit rien et monte sur son engin. Je m’installe au volant. A mon signe il démarre. Un peu fort à mon goût, mais la manœuvre est efficace et je me retrouve vite droit sur le chemin. J’avance sans son aide et je lui fais signe, mais l’homme continue, comme si de rien n’était. Je suis obligé de calquer ma vitesse sur la sienne pour ne pas donner d’à-coups à ma sangle, au risque de la casser.
On continue comme ça, à petit rythme, jusqu’à la ferme. L’homme entre même directement dans la cour. Enfin il s’arrête.
Je descends et je défais la sangle. L’homme a arrêté son tracteur et le laisse comme ça au milieu de la cour. Pas très soigneux le type, à l’image de sa ferme.
Je range la sangle dans la soute en me disant que je la nettoierais plus tard. Avant de partir malgré tout, je tiens à remercier mon sauveur.
- « Merci beaucoup monsieur ! Combien je vous dois par le dérangement ?
- Oh ! Petit dérangement. Il ne se passe pas grand-chose par ici, ça m’a distrait un peu.
- Tout de même !
- J’ veux rien voyons !
- Je vous donne cinquante euros. Ça ira ?
- Ah non hé ! J’veux pas d’argent !
- Je vais vous donner quelque chose quand même ! » J’ouvre un coffre sur le côté et je prends une boîte de foie gras que je gardais pour Noël. J’en trouverai bien une autre en route. « Tenez, C’est du foie gras de chez moi. Je suis du Pays Basque.
- Ah ben dis-donc ! J’dis pas non. Vous prendrez ben un café ? »
Je sais que dans ces cas-là, refuser serait un affront. Même si le café « maison » est souvent une infâme lavasse, je suis bien obligé d’accepter. Je fais sortir Rocky et je vais pour suivre le paysan.
- « L’est ben beau vot’ chien !
- C’est un Husky. Un chien du grand Nord. C’est mon compagnon de voyage. » Nous entrons et Rocky part faire un tour dans la ferme. « Ne vous inquiétez pas, il ne s’attaquera pas aux animaux. Il est bien dressé. »
La cuisine est à l’image de la ferme : rustique, assez propre malgré tout, comme on dit « dans son jus », celui des années soixante. Il y a longtemps qu’elle n’a pas vu de peinture, et je ne parle pas de l’électricité. Au milieu de la salle, une grande table en bois. Sur un mur, un vaisselier à l’ancienne et un poêle- cuisinière à bois dans la grande cheminée. Le sol est en dalles de pierre. C’est une carte postale représentant ce que l’on pouvait voir il y a cinquante ans. Elle me rappelle la cuisine d’un vieil oncle chez qui nous allions avec mon père autrefois.
Comme je le craignais, la cafetière est posée sur le poêle et ce sera du « café bouillu » comme on disait. Servi dans un verre « Duralex » calotté par les ans et les cafés innombrables bus dedans. Deux sucres feront passer un peu le goût.
Nous nous asseyons à la table qu’aucune nappe ne couvre bien sûr. Comme il se doit, il faut bien parler et le paysan ne se gêne pas.
- « Alors, comment avez- vous fait vot’ compte pour arriver là ?
- Je fais le tour de la France en longeant les côtes au plus près. J’ai crû que je passerai. Je pense que si j’avais continué tout droit, je serais passé, j’ai vu sur la carte qu’il y avait une route ou un chemin, mais j’ai voulu faire demi-tour.
- Vous êtes tout seul alors ?
- Oui. Avec mon chien, on fait une bonne équipe. Je le fais courir et il garde la nuit.
- Vous êtes parti depuis longtemps ?
- Ça fait plus de deux mois et je compte au moins une bonne année pour faire tout le tour.
- Ah quand même !
- Je ne suis pas pressé.
- C’est bien ça !
- L’avantage de la retraite !
- Ben c’est sûr.
- Et vous, vous vous en sortez avec votre ferme ?
- On s’débrouille. On n’a pas beaucoup d’besoins.
- Bon. Merci encore, je vais vous laisser et reprendre la route. » Je me lève et le gars vient vers moi.
- « Z’êtes pas pressé ? »
Il est presque contre moi. Je sens son odeur faite de terre et de sueur. Je ne l’ai pas décrit. Un bonhomme pas très grand, rondouillard, mal rasé, habillé d’une salopette sur un « marcel », le tout pas très net et avec des bottes aux pieds. Ses bras et son poitrail sont bien velus.
A-t-il senti mon trouble ? Il attrape mon bras et vient poser ma main sur sa bosse.
- « Si tu veux me remercier, j’connais un moyen. »
Je ne retire pas ma main. Il dégrafe les bretelles de sa salopette qui tombe sur ses mollets. N’ayant rien dessous, il se retrouve en marcel qu’il retire aussitôt et c’est nu qu’il présente sa bite. Pas très longue – douze ou treize centimètres -, mais très grosse et bien bandée ! Il est poilu de partout et sa queue se dresse au milieu d’une forêt de poils. Il appuie sur mes épaules, m’indiquant ainsi comme il désire que je le remercie.
Je m’agenouille. Il sent fort et ça m’excite. Prenant sa queue en main pour le décalotter, je découvre un dépôt de sperme séché que je m’empresse d’enlever avec les doigts. Sa bite pue le sperme et la pisse. Je crache dessus pour faire passer le goût et j’écarte largement ma bouche, ne parvenant à avaler que le gros gland. Il pousse derrière ma tête en même temps qu’il avance son ventre. J’arrive à absorber une bonne moitié de son engin, mais il en veut plus. Il force, et mon nez touche ses poils alors que sa pine me remplit ma bouche.
Je commence alors à le pomper. Le goût infâme passe et il peut tranquillement me « baiser la gueule ».
J’ai mal à la mâchoire, tant je dois l’écarter, mais je ne fais rien pour me reculer. Heureusement pour moi, en moins d’une minute, il crache son sperme. Une belle quantité que je ne peux qu’avaler. Son jus est agréable. Gluant et parfumé, cela compense la première impression et masque totalement l’odeur initiale.
Il se vide bien en grognant, me tenant toujours la tête contre lui.
- « Eh bien le Claude ! On s’ennuie pas ici ! »
La voix qui me parvient toute proche me fait reculer. Je vois alors la copie conforme de l’homme. Même corpulence, même tête. L’homme est vêtu d’une salopette identique, qu’il porte sans marcel. Ses poils débordent de partout. Il ne se pose pas de question et immédiatement, il détache sa salopette et se retrouve nu.
Je comprends le message et je me tourne vers lui, toujours à genoux. Sa queue est aussi souillée que celle de l’autre et je retire la crème gluante et écoeurante, avant de le prendre en bouche.
Même bite courte et grosse, même geste pour tenir ma tête et enfoncer son pieu dans ma bouche. Je m’applique et comme pour l’autre, le nez dans les poils odorants, je pompe l’organe. Comme l’autre, il met à peine une minute pour gicler dans ma bouche qui avale sa deuxième rasade de sperme, alors que l’homme éructe un « Ahhh !! » bruyant.
Me croyant libéré, je me relève. Je découvre alors que le premier homme bande à nouveau, malgré sa jouissance récente.
- « T’es un’ bon’ pute toi ! Fous-toi à poil, j’vais t’baiser ! Il est bon n’est-ce pas le François ?
- J’sais pas où tu l'as trouvé çui-là, mais il m’plaît ben !
- Allez ! A poil me lance l’autre voyant que je tarde. »
Alors que je retire mes vêtements, le gars enlève ses bottes et sa salopette. Il est maintenant entièrement nu dans la cuisine et une odeur de pieds atroce envahit la pièce.
Dès que je suis nu, il me penche sur la table et se met derrière moi.
- « Crache sur mon cul ! Tu es gros ! Tu vas me déchirer !
- François ! Amène du beurre ! Tu vas voir toi, c’est du bon beurre normand mon gars ! Ça va glisser tout seul ! »
Il me badigeonne entre les fesses et sans plus attendre, me fourre sa pine dans le cul. Malgré le beurre, quand il me pénètre, j’ai l’impression d’être perforé par une barre de fer. Il s’enfonce d’un coup. Sa queue n’étant pas très longue, je ne ressens aucune autre douleur. Mes muqueuses bien écartées moulent sa queue idéalement. Elle frotte au bon endroit, là où j’ai le plus de plaisir. Mon plaisir d’ailleurs, monte en moi. Son enculade est trop bonne.
“Oui ! Vas-y ! Démonte-moi le cul ! Elle est bonne ta queue !
Ah la salope ! On l’a bien trouvée celle-là !
Oui ! Je veux être votre salope ! Baisez-moi les mecs ! Mettez-moi vos bites !”
Malheureusement, comme il y a peu dans ma bouche, l’homme éjacule dans mon fondement. Décidément, c’est un rapide ! Ça ne l’empêche pas de m’expédier encore une belle dose de sperme.
Le second, qui lui aussi s’est déloqué, vient prendre sa place. Celui-ci me prend tel un fétu de paille et me retourne de dos sur la table. Je relève les jambes et les fesses pour lui faciliter l’accès.
Il pointe son dard et d’un coup lui aussi, me perfore jusqu'à ce que ses couilles touchent mon entre-fesses.
Il se penche sur moi. Son odeur de mâle en rut est encore plus prégnante. Ses pectoraux m’écrasent et surprise, il m’embrasse, ou plutôt sa langue prend possession de ma bouche. Longue et grosse, elle me fouille pendant que l’homme me prend. Le sperme laissé par l’autre sert de lubrifiant et je ne ressens que du plaisir. Mes mains caressent son dos poilu. Sa peau est dure et musculeuse. Ma bite coincée entre nos ventres est sollicitée, et je jouis.
Comme l’autre, il crache son jus très vite et me remplit les boyaux. Il se relève.
- « Ah l’con ! Il a jouit ! » Il se penche sur mon ventre et lèche mon jus de sa langue râpeuse. « Oh putain ! Il est bon celui-là !
- Il est tombé en panne sur le chemin et je l’ai tiré avec le tracteur.
- Pas qu’avec le tracteur !
- Plains toi ! Tu en as profité ! »
Nous sommes tous les trois nus dans la cuisine et aucun ne songe à s’habiller. Vont-ils encore m’utiliser pour leur plaisir ?
- « Dis-donc l’parisien, tu m’as bien dis que t’étais pas pressé ? Tu vas rester un moment avec nous. J’ai l’impression que tu aimes ça, te faire baiser !
- Oh oui ! Vous m’avez bien baisé tous les deux ! Mais si on doit continuer, il faudra vous laver ! Vos pieds, c’est une puanteur !
- C’est à cause des bottes !
- Peut-être, mais c’est horrible. Vos poils, l’odeur de terre et de sueur, ça va, j’aime, mais les pieds, non ! Vous avez une douche tout de même ?
- Ben oui ! On en prend une toutes les semaines !
- Ah oui ! Quand même !”
Celui qui s’appelle Claude m’entraîne à côté. La douche est simple, mais propre. Pas de carrelage, mais des murs crépis, bruts, sans peinture. L’espace est malgré tout assez grand. Il rentre dans le bac et à sa surprise, je rentre avec lui.
- « Je vais te laver, tu vas aimer !
- Ah putain ! C’est la première fois depuis ma mère, qu’on va m’laver ! »
Une fois la température réglée, je nous arrose abondamment. Pas de gel douche, mais du bon savon de Marseille. Je lui passe sur tout le corps, obligé de m’accroupir pour enduire ses pieds et ses chevilles. Un gros gant de crin va me permettre de le débarrasser de toute la crasse. Je m’amuse à bien frotter entre ses fesses en aventurant un doigt à l’entrée de son cul sans qu’il ne proteste – tiens tiens !- Je frotte aussi son engin, en y restant plus qu’il ne faut.
Évidemment, le gars bande à nouveau. Bien décalottée, sa queue est encore plus belle. Je ne peux m’empêcher d’y déposer un baiser.
- « Tu aimes la bite toi dis-donc !
- Oui ! Maintenant qu’elle est propre, je la préfère. Il faudrait enlever quelques poils dessus et elle serait magnifique !
- Quoi ? Tu veux me la raser ?
- Oui. Et les couilles avec ! Tu verrais, elle ressortirait encore mieux. » L’autre derrière nous, qui ne rate rien du spectacle, déclare.
- Oui ! Rase-lui ! Ce sera plus agréable pour le sucer !
- Ah parce qu’entre vous… vous…
- Qu’est ce que tu crois ? Qu’il y a des gonzesses par ici ? On est bien obligés de s’entraider !
- C’est pas bête !
- Si tu rases mon frangin tu me rases aussi.
- Ah parce que vous êtes aussi frères ?
- Ben oui ! Ça t’dérange ?
- Pas du tout ! Bon, on y va ?
- Fais attention tout de même de ne pas me l’abîmer !
- J’ai pas envie de me priver de ta belle bite mon gars.
- Ah ah ah ! » L’autre reprend
- Il a raison ce gars, il faut qu’on se fasse propre plus souvent ! »
J’enduis sa pine et ses couilles avec le savon. Je coupe les poils avec un ciseau que m’a apporté le François.
- « C’est déjà mieux comme ça, dit-il en admirant la queue de son frère, toujours bien bandée. »
Avec un rasoir, je fignole mon ouvrage et je le rince. Le splendide engin apparaît au milieu des poils pubiens et des cuisses. Je plonge mon visage et j’avale la queue toute lisse. Quel Plaisir !
Sachant maintenant que l’homme gicle vite, quand je sens arriver le jus, je me retire et je le fini avec la main. En quatre jets puissants, il se libère sur moi en grognant « Ah putain ! C’est bon ! » Je vois ainsi l’importante quantité qu’il expédie chaque fois. Le spectacle est superbe.
Le sperme s’écoule sur mon corps et s’en va dans le siphon. Je fais sortir le Claude de la douche et de lui-même, le François y entre.
- « Tu vas m’faire pareil ?
- Bien sûr !
- Tu vois, j’ai commencé à me laver les pieds. C’est vrai que c’est dégueulasse avec ces bottes en caoutchouc !
- Il faudrait mettre des chaussettes, ou vous les laver souvent.
- Tu as raison ! »
Comme avec son frère, je le savonne de la tête aux pieds. Quand je passe entre ses fesses, il se penche de lui-même et les écarte. J’ai presque envie d’y fourrer ma langue, mais je lui enfile un doigt bien profond. Il grogne de plaisir. J’en ajoute un, puis un autre et je ramone son cul.
- « Tu aimes ça toi aussi, j’ai l’impression ;
- Oh oui !
- Attends alors, je vais te branler la queue en même temps ! »
Trois doigts dans son cul et ma main sur sa bite le font gicler en quelques secondes. Son cri de plaisir est encore plus fort et son premier jet frappe la paroi de la douche, suivi de trois autres pour une belle quantité. Décidément, ces deux hommes « rechargent » vite, mais en plus, il fournissent beaucoup !
- « Ah putain ! C’est bon ça !
- Je vois que tu aimes aussi te faire prendre le cul !
- Ben oui ! Avec le Claude, on s’fait du bien aussi comme ça depuis la mort de not’ mère.
- Ah parce que… ? Avec votre mère vous…
- Le Claude, l’a pas connu d’autre femme.
- Et toi ?
- J’ai été aux putes quelques fois en ville.
- Drôle de vie.
- Ben c’est la nôtre.
- Et... avec des mecs de passage comme moi, c’est déjà arrivé ?
- Ben non. Avec l’ancien facteur et un ouvrier agricole, mais pas avec un parisien ! »
Je renonce à leur dire que je ne suis pas parisien. Les deux frères sont maintenant propres et toujours nus, nous revenons à la cuisine. Je les fais s'asseoir tous les deux côte à côte sur la table. Devant eux, je saisis leurs bites et je les branle, puis alternativement je me penche sur l’une, puis l’autre bite pour les sucer.
J’adore ces deux « nounours » poilus. Il se dégage d’eux un érotisme sauvage. J’aime leurs poils, leur corps, leur odeur de mâle et de la terre, qui reste malgré la douche.
Je fais coucher le Claude sur la table. Je monte dessus et je m’empale sur son vit dressé. Ma bite s’agite de haut en bas en suivant mes mouvements et peu à peu se raidit. Encore une fois, le Claude se vide en moi après quelques instants. Je reste empalé, assis sur son ventre. Le François se penche alors et avale ma queue. Il me pompe un moment. Je ne suis pas un rapide comme eux et il est surpris que je ne jouisse pas.
- « Branle-moi aussi. Je sens que je vais venir ! »
Il alterne succion et branle. La bite de son frère reprend sa raideur dans mon cul et enfin, je me libère dans la bouche du François.
Il se redresse alors et vient me rouler une grosse pelle en me rendant une partie de mon sperme que l’on partage grâce encore à la grosse langue envahissante.
On se calme un peu. Les deux hommes veulent remettre leurs salopettes et je leur demande d’en enfiler des propres, ainsi que des sandales pour l’intérieur.
Nous passons à table. Un déjeuner pantagruélique pour moi, suivi de leur infâme café accompagné bien sûr d’un « Calva » tiré d’une bouteille poussiéreuse et sans étiquette. Le genre de Calva qui vous arrache la gueule.
- « Tu vas repartir alors ?
- Oui. Je vais reprendre ma route.
- Tu.. voudrais pas rester un peu ?
- Jusqu’à demain, peut-être un jour de plus, mais c’est tout. Ensuite, je pars, sinon…
- On aime ben te tirer, tu sais ?
- J’aime bien aussi, mais je ne voudrais pas y prendre goût et ne plus repartir. C’est pour ça que je veux bien passer la nuit ici avec vous. Demain, je verrai...
- On n’a qu’un lit tu sais ?
- Vous couchez ensemble ? Je dormirai dans mon camion.
- Je.. Il y a de la place…
- Je sais couillon ! Je coucherai dans votre lit, à condition que vous ne m’écrasiez pas entre vous.
- On va t’écraser, mais pas entre.
- Mmmh »
Sur cette alléchante proposition, les deux frères retournent à leurs travaux. J’en profite pour nettoyer la boue qui a giclé sur mon camion pendant que je tentais de m’en sortir sur le chemin. J’en profite pour bien nettoyer le dessous et je vérifie que je n’ai fait aucun dégât. Tout va bien.
Une fois fini, je fais le tour de la petite ferme à pied.
Je trouve le François en train de rentrer du foin dans la grange. Je tente bien de l’aider, mais il se marre « c’est pas un travail pour un parisien ça ! »
Par contre, il me coince contre une balle de paille et me roule une pelle. J’ai compris. De moi-même, je dégrafe les deux boutons de sa salopette, qui tombe à ses pieds, je baisse mon pantalon et je me tourne dos à lui. Immédiatement, sa queue cherche mon cul et sans ambages, il me pénètre.
Un coït brutal et sauvage. Sans un seul mot, mis à part des grognements. Comme d’habitude, François gicle rapidement dans mon cul. Il va pour se rhabiller, mais je lui demande de rester un peu en moi et de continuer à me baiser.
Ses mouvements font sortir le sperme que je sens couler de mon cul sur mes cuisses. Je m’en fiche. La formidable bite, même ramollie, me donne de bonnes sensations. Je fais jouer mes muscles internes pour le masser et je sens une certaine raideur se manifester à nouveau. Le François reprend ses pénétrations et me défonce à nouveau. J’ai de la chance. Le deuxième assaut est ainsi un peu plus long et j’en profite un maximum.
Quand Le François lance un « Putain ! » sonore en giclant à nouveau en moi, je gicle dans la paille.
- « Ah putain ! C’est ben la première fois que je tire deux coups sans sortir ! T’es un bon, toi. Tu es sûr de vouloir partir ?
- Oh que oui ! Je serais vite « accro » à vos deux bites et mon cul ne le supporterait pas longtemps. Il ne pourrait plus se fermer ! »
- Ah ah ! Bon. Si tu veux voir le Claude, il doit être vers le petit bois.
- Je vais récupérer un peu quand même !
- J’suis sûr que tu as envie de te faire tirer par lui aussi. Il a un’ p’tit’ cabane là bas. Je suis certain que tu vas aimer ! »
Il rajuste sa salopette et je remonte mon pantalon. Sans réfléchir, je me colle à lui et je l’embrasse. J’ai pris goût à sentir ce corps poilu et musclé, à son odeur et à sa langue sauvage qui fouille ma bouche. C’est animal !
Je le laisse à ses travaux. J’appelle Rocky qui sort de derrière un bâtiment, suivi du chien des deux frères. Ils ont l’air copains tous les deux.
Je fume une cigarette et je pars me promener. Déjà la perspective de retrouver le Claude, me titille. Après tout, je suis resté pour ça non ? Je me fais honte !
Depuis le chemin, je me dirige vers le petit bois, en longeant un champ de maïs. Des oies sauvages passent au-dessus en criant, signe de l’arrivée prochaine du temps froid.
Je rentre dans le bois. Tout est silencieux. Je m’enfonce et je trouve le Claude debout, en train de s’astiquer. Décidément, ils n’arrêtent pas !
- « Oh là le Claude ! Ne gâche pas ton bon jus ! Fais-moi-en profiter au moins. Je baisse mon pantalon et je me penche de dos devant lui. Immédiatement, je sens sa queue me pourfendre.
- Ben dis-donc ! T’es bien ouvert et ça rentre tout seul ! Tu avais envie toi !
- Ton frère bien de m’en mettre deux rasades !
- Oh la pute ! Tu es vraiment un pédé de parisien ! »
Il s’agrippe à mes hanches et me bourre en cadence. Bien excité avant mon arrivée, Le Claude se vide en quelques secondes dans mes boyaux. Je tente bien de le retenir en moi, mais il se dégage. Je m’accroupis et je vide mon cul de l’accumulation de sperme qui me remplit.
Comme avec son frère avant, je me tourne et je nettoie la bite sortant de mon cul.
Les deux frères sont en perpétuelle chaleur. Il suffit que je m’approche de l’un d’eux, pour qu’il me mette la main au cul ou la mienne sur leur bite. Il faut dire que je ne fais rien pour les décourager. Dans l’après-midi, je vais me retrouver souvent à genoux pour les sucer et avaler leur foutre qui semble inépuisable. J’ai ainsi sucé Le François trois fois en l’espace d’une demi-heure, avec chaque fois distribution abondante de sperme dans ma gorge. Il suffit de lui sucer le gland une minute, pour qu’il décharge.
Avec le Claude, nous sommes partis dans les champs en tracteur. J’étais là-aussi, cul nul, assis sur sa bite pendant qu’il conduisait. Je ne vous dis pas les sensations avec les cahots du chemin. Il a giclé dans mon cul sans sortir à quatre reprises durant notre « ballade ». Aucun effort à faire, simplement subir les à coups et soubresauts de la machine ! Je me tenais au volant pour ne pas tomber. Mon cul débordait de foutre qui sortait et coulait sur la sienne et sur le siège du tracteur. Énorme ! Quand j’y repense, j’en suis tout excité, malgré la honte de me comporter comme une pute.
La fin d’après-midi est plus calme, si ce n’est qu’en rentrant, nous trouvons Rocky qui fornique avec la chienne des frangins. « Si elle est en chasse, vous risquez d’avoir des bâtards de Husky !
- Très bien ! Ça nous fera un chien de garde. »
Au moment du repas, je prends mon désormais « apéritif » en pompant les deux frangins, à genoux sur le carrelage.
Le temps du repas est plus calme. On discute un peu. Ils sont gentils malgré tout, les deux frères. Leur vie n’a pas été facile, mais ne connaissant rien d’autre, ils sont heureux.
On se couche tôt dans la maison. C’est vrai qu’il n’y a pas de télévision. Les deux frères sont étonnés quand ils me voient travailler sur mon ordinateur. J’ai fait des photos d’eux et les ajoute à ma galerie. J’en profite pour leur montrer mes « conquêtes » du voyage. Hommes et femmes avec lesquels j’ai eu un rapport. Ils sont scotchés, notamment quand ils découvrent la jeunesse de Sophie ou de Hervé.
Déjà qu’ils n’ont pas besoin de grand-chose pour être excités, les deux frères m’entraînent aussitôt dans leur chambre.
Vite à poil, nous nous retrouvons tous les trois dans le lit qu’ils partagent. C’est moi qu’ils vont se partager une bonne partie de la nuit, me réveillant plusieurs fois pour se soulager. Ce sont vraiment des machines à fabriquer du sperme.
Je les étonne malgré tout quand je leur demande de me prendre l’un par le cul et l’autre en même temps par la bouche.
Je les surprends quand je leur propose de leur lécher le cul. Ils n’y avaient jamais pensé. Deux culs poilus identiques qui sentent bien. Je me régale ! Je leur bouffe le cul, tous les deux à genoux côte à côte sur le lit.
J’adore me retrouver entre mes deux « nounours » dans la chaleur de leurs corps épais et sensuels. Le François est toujours le seul qui m’embrasse et dans ces cas là je suis électrique. Je ne m’explique pas ce sentiment, mais j’adore qu’ainsi, il me domine. Je suis sa chose.
Je vais aussi les sodomiser tous les deux, sous les yeux du frangin qui bande et attend son tour. Pour le plaisir, je leur demande de se mettre à genoux côte à côte. J’ai face à moi les deux culs poilus des frangins qui attendent, les fesses hautes, de se faire saillir par leur “parisien”.
Le Claude aime ma queue, plus longue que celle de son frère et qui atteint des zones profondes, non explorées par le gros braquemart. Je les baise longtemps en passant de l’un à l’autre quand je sens monter mon sperme. Ils ne bougent pas. Attendent ainsi, les fesses en l’air.
Enfin, je les fais mettre sur le dos. Et debout entre leurs cuisses musclées et velues, je les baise l’un après l’autre. Je leur demande de se branler l’un l’autre, ce qui déclenche des jets puissants de foutre, qui engluent leurs corps poilus.
C’est démentiel ! Je me fini à la main en aspergeant leurs deux corps, mélangeant mon foutre au leur.
Je vais aussi leur demander de baiser entre eux, devant moi. Le spectacle est superbe. Je fais des photos
Le foutre sortant des culs, coule sur les draps. Peu importe, ils sont déjà d’une couleur douteuse. Je comprend l’expression « se vautrer dans le stupre », sans parler de l’odeur.
Dans la nuit, le Claude, couché derrière moi en cuillère, me baise. Le François, réveillé par les mouvements, me fait monter ensuite sur lui pour me baiser à son tour. Je l’enjambe, me mets face à lui. Quand il voit ma bite s’agiter au rythme de ma chevauchée, il l’empoigne et me branle, tout en soutenant mes fesses de l’autre main.
A nos côtés, le François nous regarde et se branle. Quand je vais éjaculer sur le torse de son frère, il va mêler son sperme au mien.
Au petit matin, il fait à peine jour et les deux hommes sont déjà en forme. J’ai droit à une enculade de chacun avant le petit déjeuner. Bien sûr, je leur fais la toilette avec ma bouche. Je les oblige à passer sous la douche. J’hésite encore à rester un peu plus. Je suis vraiment accro à leur sexe et à leur corps. Dans un dernier sursaut de lucidité, je me décide à partir. Les deux frangins ne veulent pas me laisser sans me donner des provisions. Je vais faire le plein de confit, de saucisses, de cidre, de légumes… de vin. Mon frigo et mon congélateur sont pleins pour un mois.
Il vont aussi faire le plein du réservoir d’eau et celui du carburant. Ils vont vidanger la cuve des sanitaires. Une étape qui ne m’a pas coûté cher, si on excepte le nombre de coups de queue que j’ai pris, sans parler des pipes ! Chacun d’eux à dû éjaculer une quinzaine ou une vingtaine de fois dans mes orifices.
Bien sûr, les adieux vont donner droit à deux nouveaux «assauts » de mes hôtes. Enfin… deux chacun. J’ai du mal à partir. Je suis bien avec ces deux paysans rustres. Je suis encore à deux doigts de rester, mais il me reste assez de lucidité et je monte dans le camping-car. Le cœur gros, le cul plein de sperme et la bouche qui garde leurs goûts. Je ne sais combien de litres de sperme j’ai avalé par la bouche et par le cul, le nombre de fois où je me suis fait enculer en vingt quatre heures, mais cela doit être un record. En tous cas pour moi, ça l’est. Mon cul n'avait pas le temps de se refermer entre deux assauts.
Dans le rétroviseur, je vois les deux frères me saluer. Ils sont nus sur la porte de la maison, un bras levé et l’autre entourant la taille de l’autre. Je viens de les sucer une dernière fois sur le pas de la porte. Ils bandent encore. Je sens que ces deux-là vont faire un petit supplément entre eux.
Je n’aurais jamais pensé baiser – je peux même dire faire l’amour – avec des hommes comme eux : Gros, pas beaux, barbus, poilus et sentant fort la terre et la transpiration.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment bon comme histoire j'ai bien bandé
Un vrai plaisir à lire.
Je trouve ça primaire et excitant
Le niveau baisse, dommage...