Double vie... ou plus 5/7 Je redeviens père… deux fois
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Double vie... ou plus 5/7 Je redeviens père… deux fois
J'annonce à ma femme que l'on se sépare, car finalement nous n'avons pas de véritable vie de couple et que j'ai rencontré quelqu'un sur Bordeaux. Finalement la séparation se passera assez bien. Il est vrai que cela l'arrange et la libère aussi.
Le divorce suivra quelques temps plus tard. Elle conservera la garde de notre fils, mais me permettra de le voir quand je descend au pays même en dehors des vacances.
Avant cela, une rencontre va faire entrer Nelly dans ma vie de travail et surtout de celle de Sylvie. J'avais prétexté un week-end au pays pour le passer avec ma belle-seur. N'ayant pas son fils avec elle, elle est venue me retrouver à l'hôtel. Nous étions à Bordeaux en promenade sur les quais lorsque je rencontre mon patron. Je lui présente Nelly comme étant ma femme, venue découvrir la capitale aquitaine. Il nous propose alors que je la fasse venir à la soirée qui doit avoir lieu au bureau pour fêter les dix ans de l’entreprise. Nelly, un peu surprise, n'ose pas refuser, même si après le départ de mon patron, elle trouve que ce n'est pas raisonnable.
Finalement elle accepte. Je laisse passer le temps mais à l'approche de la fête, j'annonce à Sylvie que ma femme est invitée à la soirée et qu'elle sera présente. Je lui raconte que depuis longtemps elle avait envie de connaître là où je travaille....
Lors de la soirée, mes collègues sont heureux de connaître enfin ma femme. Sylvie l'est un peu moins, car elle ne peut pas passer la soirée avec moi. Elle fait d'ailleurs la gueule. Nelly m'avait demandé quelle était la collègue qui était ma maîtresse. Elle a été surprise quand elle a vu Sylvie. Celle-ci avait revêtu ses plus beaux atours et rayonnait.
« Elle est très belle ! Me dit Nelly. A côté d'elle, je ne ressemble à rien !
Rassure-toi. Tu as des charmes qu'elle n'a pas !
Quoi par exemple ? Elle est canon !
Tu as des seins plus gros et de belles hanches.
Tu as vu ses jambes ? Magnifiques !
Oui un peu !
Salaud !
Et puis tu es ma belle-sœur et je t'aime depuis longtemps.»Je m'arrange pour présenter Nelly à Sylvie. Elles vont même discuter un peu entre-elles, mais je ne sais de quoi elles ont parlé, chacune sûrement tentant de se mettre en avant.
Le lundi suivant je retrouve Sylvie pour une semaine de déplacement commun. Dès que nous sommes seuls elle m'entreprend.
« Je ne comprends pas. Tu amènes ta femme qui est jolie et charmante. Elle m'a dit que vous vous connaissiez depuis quinze ans et elle m'a l'air éprise de toi et m'a l'air très... sensuelle !
Tu es jalouse ?
Oui ! Et elle aussi, il me semble. Mon problème, c'est que je t'aime, alors je ne voudrais pas que...
Je t'explique. Elle est venue visiter Bordeaux un weekend. Je n’ai pas pu l’empêcher, elle venait voir son frère et sa soeur. Bernard – notre patron - nous a rencontrés à Bordeaux.
Mais alors ?
Alors rien, c’est Bernard qui a insisté pour qu’elle vienne, mais j'adore que tu sois jalouse. »Elle qui était un peu coincée au début de notre relation, s'affirme de plus en plus comme une maîtresse accomplie. Elle sait que j'apprécie les dessous coquins et s'habille maintenant avec des bas, ce qui fait qu'avec ses robes et jupes courtes elle en laisse voir plus qu'il ne faudrait à la grande joie et excitation des mâles qui la déshabillent du regard. Elle s'en amuse et en joue, me réservant le soir de folles séances.
Deux mois ont passé depuis la fameuse soirée de fête. J'ai donc annoncé à ma femme notre prochaine séparation et je me suis installé chez Sylvie depuis quelques jours. Je profite de quelques week-ends et de semaines où elle est en déplacement pour aller voir Nelly.
Un jour, après avoir fait l'amour, celle-ci me déclare ;« Je voudrais un enfant de toi !
Tu es folle !
Non. Tu sais, j'ai changé. Je crois qu'en fait, je t'aime depuis toujours. Quand j'étais jeune, j'ai eu peur de notre histoire. Je crois que je faisais n'importe quoi pour ne pas m'attacher. Je baisais à droite à gauche pour t'oublier. J'adorais te brimer alors que tu ne pouvais me baiser. Bien sûr, j'aimais nos petites sorties dans les bois où je te faisais faire ce que je voulais depuis que j'avais découvert ta petite manie de boire mon urine.
J'ai fini par me persuader que je ne t'aimais pas et je me suis mise avec Steph. C'est alors que tu es sorti avec ma sœur. J'ai su tout de suite que c'était pour ne pas t'éloigner de moi et depuis j'en ai joué. Aujourd'hui, je ne veux plus jouer.Je sais que je t'aime et que je veux un enfant de toi. De toutes façons, il est trop tard. C'est peut-être déjà fait. On ne se protège pas et je ne prends plus la pilule depuis un mois.
Tu...
Je ne t'oblige à rien. Je suis assez grande pour l'élever toute seule.
Tu me demandes de me conduire comme un salaud ?
Ce n'est pas ça, mais, ce serait... compliqué... tu comprends... avec ma famille... Mais je m'en fous ! Je veux un enfant de toi! Je comprendrais si...
Tais-toi ! Bien sûr que je le reconnaîtrais ! Moi aussi je veux un enfant de toi !
Oh je le savais ! Mais... avec Sylvie, c'est sérieux non ? Je ne veux pas t'empêcher non plus...
Tu es extraordinaire toi !
Non, mais, nous deux, c'est pas possible de... vivre ensemble… enfin, je crois pas. Tu te rends compte du scandale ?
Dans ta famille, oui. On aurait du mal avec eux. Quoi que chez toi, on a l'habitude de taire tout ce qui ne paraît pas normal.
Comment ça ?
Ton père et ses maîtressesOh !
Ne dis pas que tu ne sais pas.
D'accord mais...
Tes parents font chambre à part depuis longtemps.
Toi aussi.
C'est dans les gênes.
Connard !
D'accord. Bon, il faut que je te dise quelque chose.
Quoi encore ?
Avant de faire entrer un nouveau membre dans cette famille, tu dois tout savoir. Tu as toujours cru être le vilain petit canard de la famille, mais tu ne l'es ni plus ni moins que les autres.
Les autres ?
Allez ! Sers-nous un coup à boire. Je vais te raconter. Il y en a pour un moment.
Tu me fais peur !
Ça devrait te plaire... enfin j'espère... Je commence par ce que tu sais. Ton père et madame G. Tu es au courant ?
Oui.
Tu sais aussi qu'ils... s'amusaient à plusieurs ?
Noon ! Avec qui ?
Cherche un peu. Tu te rappelles avec qui ton père était copain ?
Oui. Tu veux dire que ?
Voilà !
Tous avec elle ?
Non, il y avait aussi une autre femme. Tu te rappelles la secrétaire du club de sport ?
Oui ! Ça ne m'étonne pas d'elle ! Il n'empêche que ces vieux salauds en profitaient bien.
Je croyais que tu aimais beaucoup ton père ?
Je l'aime oui, mais bon, vis à vis de ma mère... Elle le sait ?
Euh... oui.
Et elle n'a rien dit ?
Ça je ne sais pas. Je crois tout de même, que c'est à partir de là qu'ils font chambre à part.
La pauvre. Finalement je la plains.
Il faut que tu saches tout de même qu'elle a un amant.
Ma mère. C'est pas possible ! Je te crois pas.
Le facteur.
Quoi ? Pierre ? Tu es sûr ?
Je les ai vus.
C'est pas possible, mais où ?
Chez toi, quand il vient porter le courrier.
J'y crois pas ! Et toi, comment tu les as vus ?
Quand j'habitais chez toi avec ta sœur.
Ah oui, c'est vrai. Finalement, elle a raison. Elle est bien, ma mère tout de même.
C'est sûr !
Il faut bien qu'elle supporte cette vie avec un peu de plaisir. Je la comprends. »Je ne lui raconte pas ce jour là que j'ai aussi été l'amant de sa mère et un peu l'initiateur de sa vie de débauche, ni que sa mère entretient depuis longtemps une relation homosexuelle avec la locataire de l'entresol. Ca, peut être que je lui dirai un jour« Et c'est tout ?
Tu en veux plus ?
Tu m'as dis que ma famille était... border line.
Tu sais que ton frère et ta belle-sœur participent à des soirées libertines tendances sado-maso ?
C'est pas vrai ! Comment tu sais ça toi ?
Ta belle-sœur me l'a raconté un soir de spleen. Disons qu'elle apprécie assez peu, surtout que ton frère se sert d'elle pour s'ouvrir les portes de ce genre de soirée et se taper des nanas. Il la prosttitue aussi pour son compte avec des vieux vicieux.
Putain ! Je parle pas d’elle non, mais c'est le truc quoi !
J'ai compris, même si tu ne l'aimes pas beaucoup.
C'est pas ça mais, elle est toujours aguicheuse. Elle promène son cul et ses nichons.
Ils sont pas mal non ?
Oh toi, évidemment. Tu la trouves bien toi ? Elle est grosse.
Si elle était dans ma chambre je n’irais pas dormir dans la salle de bains. Ton père non plus d'ailleurs.
Putain vous êtes des obsédés vous les mecs !
Bon, une dernière ?
Encore ? J'y crois pas !
Ta sœur, enfin, ma femme aime les femmes.
Quoi ?
Tu n'as pas remarqué que Véro était toujours avec elle ?
Je... Oui mais... Elles sont copines depuis longtemps.
Ben justement.
Tu es bargeot toi. C'est pas parce que tu vas te séparer d'elle qu'il faut dire ça !
Crois-moi ! Tu n'as pas remarqué à l'anniversaire de ta mère comment elles se regardaient, se touchaient ?
Euh...
Ce jour-là, il faut dire que la situation était assez cocasse, avec ces couples qui n’en sont pas et qui font semblant. A part ton frère aîné qui a l’air stable avec ses quatre enfants, les autres, y compris nous, c’est tout de même un peu spécial. Du coup, ça m'a frappé. Je me suis rappelé de certaines choses qui sur le moment ne m'avaient pas parues évidentes. Quand elles sont allées dans la cuisine sous prétexte d'aider à débarrasser la table, je les ai suivies discrètement et je les ai vues s'embrasser.
Non !
Puisque je te le dis ! Depuis, j'ai fais ma petite enquête. Véro passe très souvent le soir à la maison et y reste longtemps. En plus elles vont souvent se promener ensemble ou faire des courses et même en vacances.
Qui t'a renseigné ?
Plusieurs personnes. Les voisins, des copains, ta mère entre-autre.
Ma mère ? Qu'est-ce qu'elle t'a dit ?
C'est elle qui m'a parlé des promenades et des courses, mais je te rassure, c'était hors contexte et elle n'a fait aucun rapprochement dans la conversation. Les filles étaient justement parties le samedi après-midi à Bayonne et comptaient y rester le weekend.
Bon, si tu le dis. Finalement, votre séparation vous arrange bien.
C’est ça !”
Quinze jours plus tard, Nelly me montre tout sourire l'ordonnance de son gynécologue, précisant qu'elle attend un enfant.
« Que ce soit clair. Je ne veux pas vivre avec toi. Je veux être ta maîtresse. Je ne veux pas d'un homme en permanence à la maison. Je veux rester ta salope de belle-sœur ou ex belle-soeur, avec qui tu baises. Je veux baiser avec mon beau-frère, même si tu ne l'est plus. Toi, tu peux faire ta vie avec ta collègue. On ne sera jamais ensemble... enfin comme un couple. C'est ça que j'aime. Être ta maîtresse cachée... enfin tant que tu le veux.
Et... pour le gosse ?
Je peux l'élever toute seule. Je le fait quasiment déjà avec Jérémy.
Oui, mais... plus tard, il voudra sûrement savoir qui est son père et là...
On verra.... On attendra... mes parents... enfin tu comprends ?
Oui mais, seras-tu capable d'accepter que je vive avec Sylvie au grand jour et d'être toujours « celle qu'on cache »C'est ce que je veux.
Bon. De toutes façons, je t'aiderai pour... notre enfant.
Je t'aime de plus en plus toi !
Et tu me laisse dans les bras d'une autre.
Ça m'excite salaud !
***
La vie a pris un nouveau tournant et tout s'est accéléré quand Sylvie me déclare un jour :« Mon chéri, je suis enceinte !
C'est pas vrai !
Oui. J'ai arrêté la pilule depuis quelques temps et tu n'as pas été long à m'engrosser.
Tu aurais pû me le dire !
Tu es fâché ?
Non, mais je suis surpris.
De toutes façons, quelle que soit ta décision, je compte bien le garder !
J'espère bien ! Je suis très heureux, mais je ne m'attendais pas à faire un enfant à une aussi jolie fille !
Je suis si heureuse avec toi, qu'il fallait que j'ai un enfant de toi ! »Je n'avais pas prévu cela aussi rapidement, mais je suis heureux d'être bientôt père à nouveau. Pour l'instant, nous décidons de garder cela secret quelques temps.
Je me retrouve donc avec mes deux maîtresses enceintes en même temps. Elles se seraient données le mot que cela ne serait pas mieux. Maintenant il va falloir gérer.
Dès le week-end suivant, j'annonce à Nelly, la grossesse de Sylvie et son intention de garder le bébé.
« Que comptes-tu faire ?
Devenir deux fois père. Pour la suite, j'ai une petite idée, mais elle est assez tordue.
Dis-moi. J'aime tes idées tordues.
Je vais aller au pays avec Sylvie, pour que tout le monde la voit avec son petit bidon.
D'accord.
Tu disais que tu acceptais que j'ai une autre maîtresse. Je sais que tu aimes ce genre de situation, mais maintenant elle aussi va avoir un enfant avec moi. Ça change un peu. Mais je comprendrais si...
Je suis d'accord !
Salope !
Vicieux ! Tu crois qu'elle acceptera ?
Je crois qu'il vaut mieux ne rien lui dire. Au moins pour le moment.
D'après ce que tu m'as dis, elle n'est pas aussi vicieuse que nous et elle pense vivre un amour entier. Il va falloir que tu assures avec deux enfants en plus.
Pas de problème.
Et... pour ma sœur ?
Si je suis avec Sylvie, ce sera plus simple. C'est elle qui paraîtra officiellement et justifiera ma présence ici. Autrement, ta famille ne saurait pas qui je fréquente.
Tu es vraiment tordu toi.
Tu n'es pas mal non plus ! On fait bien la paire !
Je... J'ai envie ! Ça m'excite tout ça !
Salope !
Oui ! Je suis une salope, mais ça tu le sais depuis longtemps et c'est ça que tu aimes chez moi. Avec toi j'ai envie d'être une salope et de te le montrer. Je ne crains pas ton jugement. C'est bien la première fois. Allez ! Viens bouffer la chatte de ta salope. Bientôt il en sortira ton deuxième enfant.
Ou le troisième !
Salaud !”Nelly est effectivement bien excitée. Sa vulve est trempée et elle me régale de son jus. Elle est encore chaude et je la lèche comme un mort de soif. Elle veut que je la prenne mais j'insiste longtemps à grignoter son bouton érectile, à laper sa cyprine. Deux doigts dans sa chatte pour frotter son point G lui procurent une cascade de jouissances.
Lorsqu'elle n'en peut plus, je la retourne, lui relève les fesses et connaissant son goût pour la sodomie, je l'encule sans ménagement.
« Salaud ! Oui ! Encule-moi ! Je suis une salope ! J'aime ça ! Défonce moi le cul ! Pète-moi la rondelle ! J'adore, salaud ! Ouii ! Vas-y ! C'est bon ! Donne-moi ton foutre! Remplis-moi ! »Nelly est déchaînée. Malgré la fatigue due aux nombreuses jouissances précédentes, elle est encore active. Quand enfin je me lâche et que j’éjacule dans son cul, elle s'effondre sur le lit. Je ne suis pas mieux et je m'étale à ses côtés. Les cris de son fils dans sa chambre l'obligent à se lever, revêtir un peignoir et aller le calmer. Lorsqu'elle revient, sa mine est défaite le visage est ravagé par les cernes profonds de ses yeux. Malgré cela, elle sourit, me saute dans les bras, m'embrasse et me remercie du plaisir donné.
Nous nous endormons très vite. Lovés dans les bras de l'autre.
***
Le divorce suivra quelques temps plus tard. Elle conservera la garde de notre fils, mais me permettra de le voir quand je descend au pays même en dehors des vacances.
Avant cela, une rencontre va faire entrer Nelly dans ma vie de travail et surtout de celle de Sylvie. J'avais prétexté un week-end au pays pour le passer avec ma belle-seur. N'ayant pas son fils avec elle, elle est venue me retrouver à l'hôtel. Nous étions à Bordeaux en promenade sur les quais lorsque je rencontre mon patron. Je lui présente Nelly comme étant ma femme, venue découvrir la capitale aquitaine. Il nous propose alors que je la fasse venir à la soirée qui doit avoir lieu au bureau pour fêter les dix ans de l’entreprise. Nelly, un peu surprise, n'ose pas refuser, même si après le départ de mon patron, elle trouve que ce n'est pas raisonnable.
Finalement elle accepte. Je laisse passer le temps mais à l'approche de la fête, j'annonce à Sylvie que ma femme est invitée à la soirée et qu'elle sera présente. Je lui raconte que depuis longtemps elle avait envie de connaître là où je travaille....
Lors de la soirée, mes collègues sont heureux de connaître enfin ma femme. Sylvie l'est un peu moins, car elle ne peut pas passer la soirée avec moi. Elle fait d'ailleurs la gueule. Nelly m'avait demandé quelle était la collègue qui était ma maîtresse. Elle a été surprise quand elle a vu Sylvie. Celle-ci avait revêtu ses plus beaux atours et rayonnait.
« Elle est très belle ! Me dit Nelly. A côté d'elle, je ne ressemble à rien !
Rassure-toi. Tu as des charmes qu'elle n'a pas !
Quoi par exemple ? Elle est canon !
Tu as des seins plus gros et de belles hanches.
Tu as vu ses jambes ? Magnifiques !
Oui un peu !
Salaud !
Et puis tu es ma belle-sœur et je t'aime depuis longtemps.»Je m'arrange pour présenter Nelly à Sylvie. Elles vont même discuter un peu entre-elles, mais je ne sais de quoi elles ont parlé, chacune sûrement tentant de se mettre en avant.
Le lundi suivant je retrouve Sylvie pour une semaine de déplacement commun. Dès que nous sommes seuls elle m'entreprend.
« Je ne comprends pas. Tu amènes ta femme qui est jolie et charmante. Elle m'a dit que vous vous connaissiez depuis quinze ans et elle m'a l'air éprise de toi et m'a l'air très... sensuelle !
Tu es jalouse ?
Oui ! Et elle aussi, il me semble. Mon problème, c'est que je t'aime, alors je ne voudrais pas que...
Je t'explique. Elle est venue visiter Bordeaux un weekend. Je n’ai pas pu l’empêcher, elle venait voir son frère et sa soeur. Bernard – notre patron - nous a rencontrés à Bordeaux.
Mais alors ?
Alors rien, c’est Bernard qui a insisté pour qu’elle vienne, mais j'adore que tu sois jalouse. »Elle qui était un peu coincée au début de notre relation, s'affirme de plus en plus comme une maîtresse accomplie. Elle sait que j'apprécie les dessous coquins et s'habille maintenant avec des bas, ce qui fait qu'avec ses robes et jupes courtes elle en laisse voir plus qu'il ne faudrait à la grande joie et excitation des mâles qui la déshabillent du regard. Elle s'en amuse et en joue, me réservant le soir de folles séances.
Deux mois ont passé depuis la fameuse soirée de fête. J'ai donc annoncé à ma femme notre prochaine séparation et je me suis installé chez Sylvie depuis quelques jours. Je profite de quelques week-ends et de semaines où elle est en déplacement pour aller voir Nelly.
Un jour, après avoir fait l'amour, celle-ci me déclare ;« Je voudrais un enfant de toi !
Tu es folle !
Non. Tu sais, j'ai changé. Je crois qu'en fait, je t'aime depuis toujours. Quand j'étais jeune, j'ai eu peur de notre histoire. Je crois que je faisais n'importe quoi pour ne pas m'attacher. Je baisais à droite à gauche pour t'oublier. J'adorais te brimer alors que tu ne pouvais me baiser. Bien sûr, j'aimais nos petites sorties dans les bois où je te faisais faire ce que je voulais depuis que j'avais découvert ta petite manie de boire mon urine.
J'ai fini par me persuader que je ne t'aimais pas et je me suis mise avec Steph. C'est alors que tu es sorti avec ma sœur. J'ai su tout de suite que c'était pour ne pas t'éloigner de moi et depuis j'en ai joué. Aujourd'hui, je ne veux plus jouer.Je sais que je t'aime et que je veux un enfant de toi. De toutes façons, il est trop tard. C'est peut-être déjà fait. On ne se protège pas et je ne prends plus la pilule depuis un mois.
Tu...
Je ne t'oblige à rien. Je suis assez grande pour l'élever toute seule.
Tu me demandes de me conduire comme un salaud ?
Ce n'est pas ça, mais, ce serait... compliqué... tu comprends... avec ma famille... Mais je m'en fous ! Je veux un enfant de toi! Je comprendrais si...
Tais-toi ! Bien sûr que je le reconnaîtrais ! Moi aussi je veux un enfant de toi !
Oh je le savais ! Mais... avec Sylvie, c'est sérieux non ? Je ne veux pas t'empêcher non plus...
Tu es extraordinaire toi !
Non, mais, nous deux, c'est pas possible de... vivre ensemble… enfin, je crois pas. Tu te rends compte du scandale ?
Dans ta famille, oui. On aurait du mal avec eux. Quoi que chez toi, on a l'habitude de taire tout ce qui ne paraît pas normal.
Comment ça ?
Ton père et ses maîtressesOh !
Ne dis pas que tu ne sais pas.
D'accord mais...
Tes parents font chambre à part depuis longtemps.
Toi aussi.
C'est dans les gênes.
Connard !
D'accord. Bon, il faut que je te dise quelque chose.
Quoi encore ?
Avant de faire entrer un nouveau membre dans cette famille, tu dois tout savoir. Tu as toujours cru être le vilain petit canard de la famille, mais tu ne l'es ni plus ni moins que les autres.
Les autres ?
Allez ! Sers-nous un coup à boire. Je vais te raconter. Il y en a pour un moment.
Tu me fais peur !
Ça devrait te plaire... enfin j'espère... Je commence par ce que tu sais. Ton père et madame G. Tu es au courant ?
Oui.
Tu sais aussi qu'ils... s'amusaient à plusieurs ?
Noon ! Avec qui ?
Cherche un peu. Tu te rappelles avec qui ton père était copain ?
Oui. Tu veux dire que ?
Voilà !
Tous avec elle ?
Non, il y avait aussi une autre femme. Tu te rappelles la secrétaire du club de sport ?
Oui ! Ça ne m'étonne pas d'elle ! Il n'empêche que ces vieux salauds en profitaient bien.
Je croyais que tu aimais beaucoup ton père ?
Je l'aime oui, mais bon, vis à vis de ma mère... Elle le sait ?
Euh... oui.
Et elle n'a rien dit ?
Ça je ne sais pas. Je crois tout de même, que c'est à partir de là qu'ils font chambre à part.
La pauvre. Finalement je la plains.
Il faut que tu saches tout de même qu'elle a un amant.
Ma mère. C'est pas possible ! Je te crois pas.
Le facteur.
Quoi ? Pierre ? Tu es sûr ?
Je les ai vus.
C'est pas possible, mais où ?
Chez toi, quand il vient porter le courrier.
J'y crois pas ! Et toi, comment tu les as vus ?
Quand j'habitais chez toi avec ta sœur.
Ah oui, c'est vrai. Finalement, elle a raison. Elle est bien, ma mère tout de même.
C'est sûr !
Il faut bien qu'elle supporte cette vie avec un peu de plaisir. Je la comprends. »Je ne lui raconte pas ce jour là que j'ai aussi été l'amant de sa mère et un peu l'initiateur de sa vie de débauche, ni que sa mère entretient depuis longtemps une relation homosexuelle avec la locataire de l'entresol. Ca, peut être que je lui dirai un jour« Et c'est tout ?
Tu en veux plus ?
Tu m'as dis que ma famille était... border line.
Tu sais que ton frère et ta belle-sœur participent à des soirées libertines tendances sado-maso ?
C'est pas vrai ! Comment tu sais ça toi ?
Ta belle-sœur me l'a raconté un soir de spleen. Disons qu'elle apprécie assez peu, surtout que ton frère se sert d'elle pour s'ouvrir les portes de ce genre de soirée et se taper des nanas. Il la prosttitue aussi pour son compte avec des vieux vicieux.
Putain ! Je parle pas d’elle non, mais c'est le truc quoi !
J'ai compris, même si tu ne l'aimes pas beaucoup.
C'est pas ça mais, elle est toujours aguicheuse. Elle promène son cul et ses nichons.
Ils sont pas mal non ?
Oh toi, évidemment. Tu la trouves bien toi ? Elle est grosse.
Si elle était dans ma chambre je n’irais pas dormir dans la salle de bains. Ton père non plus d'ailleurs.
Putain vous êtes des obsédés vous les mecs !
Bon, une dernière ?
Encore ? J'y crois pas !
Ta sœur, enfin, ma femme aime les femmes.
Quoi ?
Tu n'as pas remarqué que Véro était toujours avec elle ?
Je... Oui mais... Elles sont copines depuis longtemps.
Ben justement.
Tu es bargeot toi. C'est pas parce que tu vas te séparer d'elle qu'il faut dire ça !
Crois-moi ! Tu n'as pas remarqué à l'anniversaire de ta mère comment elles se regardaient, se touchaient ?
Euh...
Ce jour-là, il faut dire que la situation était assez cocasse, avec ces couples qui n’en sont pas et qui font semblant. A part ton frère aîné qui a l’air stable avec ses quatre enfants, les autres, y compris nous, c’est tout de même un peu spécial. Du coup, ça m'a frappé. Je me suis rappelé de certaines choses qui sur le moment ne m'avaient pas parues évidentes. Quand elles sont allées dans la cuisine sous prétexte d'aider à débarrasser la table, je les ai suivies discrètement et je les ai vues s'embrasser.
Non !
Puisque je te le dis ! Depuis, j'ai fais ma petite enquête. Véro passe très souvent le soir à la maison et y reste longtemps. En plus elles vont souvent se promener ensemble ou faire des courses et même en vacances.
Qui t'a renseigné ?
Plusieurs personnes. Les voisins, des copains, ta mère entre-autre.
Ma mère ? Qu'est-ce qu'elle t'a dit ?
C'est elle qui m'a parlé des promenades et des courses, mais je te rassure, c'était hors contexte et elle n'a fait aucun rapprochement dans la conversation. Les filles étaient justement parties le samedi après-midi à Bayonne et comptaient y rester le weekend.
Bon, si tu le dis. Finalement, votre séparation vous arrange bien.
C’est ça !”
Quinze jours plus tard, Nelly me montre tout sourire l'ordonnance de son gynécologue, précisant qu'elle attend un enfant.
« Que ce soit clair. Je ne veux pas vivre avec toi. Je veux être ta maîtresse. Je ne veux pas d'un homme en permanence à la maison. Je veux rester ta salope de belle-sœur ou ex belle-soeur, avec qui tu baises. Je veux baiser avec mon beau-frère, même si tu ne l'est plus. Toi, tu peux faire ta vie avec ta collègue. On ne sera jamais ensemble... enfin comme un couple. C'est ça que j'aime. Être ta maîtresse cachée... enfin tant que tu le veux.
Et... pour le gosse ?
Je peux l'élever toute seule. Je le fait quasiment déjà avec Jérémy.
Oui, mais... plus tard, il voudra sûrement savoir qui est son père et là...
On verra.... On attendra... mes parents... enfin tu comprends ?
Oui mais, seras-tu capable d'accepter que je vive avec Sylvie au grand jour et d'être toujours « celle qu'on cache »C'est ce que je veux.
Bon. De toutes façons, je t'aiderai pour... notre enfant.
Je t'aime de plus en plus toi !
Et tu me laisse dans les bras d'une autre.
Ça m'excite salaud !
***
La vie a pris un nouveau tournant et tout s'est accéléré quand Sylvie me déclare un jour :« Mon chéri, je suis enceinte !
C'est pas vrai !
Oui. J'ai arrêté la pilule depuis quelques temps et tu n'as pas été long à m'engrosser.
Tu aurais pû me le dire !
Tu es fâché ?
Non, mais je suis surpris.
De toutes façons, quelle que soit ta décision, je compte bien le garder !
J'espère bien ! Je suis très heureux, mais je ne m'attendais pas à faire un enfant à une aussi jolie fille !
Je suis si heureuse avec toi, qu'il fallait que j'ai un enfant de toi ! »Je n'avais pas prévu cela aussi rapidement, mais je suis heureux d'être bientôt père à nouveau. Pour l'instant, nous décidons de garder cela secret quelques temps.
Je me retrouve donc avec mes deux maîtresses enceintes en même temps. Elles se seraient données le mot que cela ne serait pas mieux. Maintenant il va falloir gérer.
Dès le week-end suivant, j'annonce à Nelly, la grossesse de Sylvie et son intention de garder le bébé.
« Que comptes-tu faire ?
Devenir deux fois père. Pour la suite, j'ai une petite idée, mais elle est assez tordue.
Dis-moi. J'aime tes idées tordues.
Je vais aller au pays avec Sylvie, pour que tout le monde la voit avec son petit bidon.
D'accord.
Tu disais que tu acceptais que j'ai une autre maîtresse. Je sais que tu aimes ce genre de situation, mais maintenant elle aussi va avoir un enfant avec moi. Ça change un peu. Mais je comprendrais si...
Je suis d'accord !
Salope !
Vicieux ! Tu crois qu'elle acceptera ?
Je crois qu'il vaut mieux ne rien lui dire. Au moins pour le moment.
D'après ce que tu m'as dis, elle n'est pas aussi vicieuse que nous et elle pense vivre un amour entier. Il va falloir que tu assures avec deux enfants en plus.
Pas de problème.
Et... pour ma sœur ?
Si je suis avec Sylvie, ce sera plus simple. C'est elle qui paraîtra officiellement et justifiera ma présence ici. Autrement, ta famille ne saurait pas qui je fréquente.
Tu es vraiment tordu toi.
Tu n'es pas mal non plus ! On fait bien la paire !
Je... J'ai envie ! Ça m'excite tout ça !
Salope !
Oui ! Je suis une salope, mais ça tu le sais depuis longtemps et c'est ça que tu aimes chez moi. Avec toi j'ai envie d'être une salope et de te le montrer. Je ne crains pas ton jugement. C'est bien la première fois. Allez ! Viens bouffer la chatte de ta salope. Bientôt il en sortira ton deuxième enfant.
Ou le troisième !
Salaud !”Nelly est effectivement bien excitée. Sa vulve est trempée et elle me régale de son jus. Elle est encore chaude et je la lèche comme un mort de soif. Elle veut que je la prenne mais j'insiste longtemps à grignoter son bouton érectile, à laper sa cyprine. Deux doigts dans sa chatte pour frotter son point G lui procurent une cascade de jouissances.
Lorsqu'elle n'en peut plus, je la retourne, lui relève les fesses et connaissant son goût pour la sodomie, je l'encule sans ménagement.
« Salaud ! Oui ! Encule-moi ! Je suis une salope ! J'aime ça ! Défonce moi le cul ! Pète-moi la rondelle ! J'adore, salaud ! Ouii ! Vas-y ! C'est bon ! Donne-moi ton foutre! Remplis-moi ! »Nelly est déchaînée. Malgré la fatigue due aux nombreuses jouissances précédentes, elle est encore active. Quand enfin je me lâche et que j’éjacule dans son cul, elle s'effondre sur le lit. Je ne suis pas mieux et je m'étale à ses côtés. Les cris de son fils dans sa chambre l'obligent à se lever, revêtir un peignoir et aller le calmer. Lorsqu'elle revient, sa mine est défaite le visage est ravagé par les cernes profonds de ses yeux. Malgré cela, elle sourit, me saute dans les bras, m'embrasse et me remercie du plaisir donné.
Nous nous endormons très vite. Lovés dans les bras de l'autre.
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