Douce nuit
Récit érotique écrit par Horizon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Douce nuit
Je ne suis pas une fille bien…
Je suis en couple depuis maintenant presque 3 ans avec un homme gentil, attentionné, à mes soins et pourtant je ne peux m’empêcher de penser à mes années de liberté où je glissais de bras en bras en séduisant tout homme qui pouvait me plaire…
J’aime le sexe, pire que ça je l’adore, j’en suis accroc et malheureusement il me manque atrocement. Le quotidien avait eu raison de notre fougue, et les fréquences des rapports devenaient de plus en plus éloignées.
Je suis une jeune femme de vingt ans, pas exceptionnellement belle, mais je prends soin de moi, je sais jouer de mes atouts et cela suffit à faire de moi une redoutable prédatrice auprès des hommes. Je sais me faire comprendre et je suis, pour eux, comme une grippe ; on m’attrape, on devient malade à en mourir puis on guérit et fini par m’oublier…
J’ai tenu trois année avec le même homme, ce qui était inconcevable pour moi, mais je commençais à me lasser ; me lasser des habitudes, des jours se ressemblant tous, me lasser de ses rapports trop peu fréquent, tous les même et sans saveur…
Je veux du nouveau, de la folie, de l’envie, je veux et j’ai besoin de me sentir de nouveau désiré, dominer par un homme qui aurait soif de plaisir, qui pourrait me donner du plaisir et qui laisserait libre cours à ses envies.
Je n’avais pas de cible en vue jusqu’à maintenant, un ami de mon copain, un homme à peine plus vieux que moi, il me faisait rire, il était à l’écoute avec moi et surtout on avait une bonne complicité mais malgré mes tentatives, il me rejetais sans cesse, sans me juger certes, mais juste par respect pour son ami et pour mon couple.
Pourtant ce soir je l’attends, mon petit amis n’étant pas chez moi, je l’ai appelé prétextant l’envie de passer ma soirée accompagné, par peur de la solitude. J’ai mis ma plus belle robe, noire, coute, épousant mes formes, ouverte sur les coté avec de la dentelle noire, une paire d’escarpins noir à talons hauts et j’ai recouvert mon corps d’un baume à la framboise rendant ma peau appétissante.
Soudain, j’entends la sonnerie retentir, j’ouvre la porte, il est là, devant moi, en jean, t-shirt mal coiffé et mal raser mais c’est ce que j’aime chez lui, ce petit côté faussement négliger qui le rend si attirant.
Il entre et on s’assoit sur le canapé devant une émission TV dont je me fou totalement, je tente une approche en m’allongeant contre lui et, surprise, il me prend dans ses bras tendrement, subtilement, me caressant légèrement l’épaule avec son pouce. J’ai affreusement envie de lui, depuis longtemps, j’en ai marre qu’il me résiste je souhaite qu’il s’abandonne à moi, qu’il cède à mon jeu de séduction. Dans un élan de désir, je lève la tête, me tourne vers lui et l’embrasse légèrement avant de reculer l’air gêné. Il me dévisage et, avec un sourire en coin, me dit :
« Tu sais ce que tu veux toi. »
Il me prend dans ses bras, me renverse sur le canapé et vient sur moi pour me donner un baiser langoureux et passionné. Des frissons traversent tout mon corps, je sens son souffle, son désir, je suis surprise, lui qui me repoussait me tombe dans les bras si facilement ? Qu’importe je me laisse emporté par ce baiser si doux et à la fois si déterminé. Tandis que mes bras sont enroulés autours de son cou, ses mains se baladent sur mon corps, caressant doucement ma poitrine, remontant mes jambes jusqu’à mes fesses, effleurant mes joues mon cou et mon oreille.
L’excitation monte je me mets à lui mordiller le lobe de l’oreille et le cou en parcourant son dos et ses fesses avec mes mains. Je sens sa main chercher quelque chose dans mon dos, puis, trouver la fermeture de ma robe. Soudain, je stoppe, jugeant que ce lieu n’est pas adéquat, je l’emmène dans ma chambre l’assois sur le lit et, debout, face à lui, je descends moi-même la fermeture de ma robe la laissant glisser le long de mes hanche dévoilant ainsi un somptueux ensemble de sous vêtement noir à dentelle avec des bas et un porte jarretelle. L’effet espéré ne se fit pas attendre, je vis le désir dans ses yeux et, m’approchant de lui à la manière d’un fauve, je me penche, le fixe dans les yeux avant de déboutonner son jean. Je me penche vers son oreille, lui murmure un « j’ai énormément envie de toi » avant de baisser son pantalon et de tâter à travers le caleçon ce qui m’attend. Je caresse, j’effleure, je masse et soudains, le sentant dur et prêt à aller plus loin, j’enlève son caleçon, entame quelques allés retour avec ma main avant de glisser son pénis dans ma bouche. Je m’applique à lui procurer un maximum de plaisir, faisant tourner ma langue autour de son gland, titillant son urètre avec le bout de ma langue durcit, faisant des allers retours avec mes lèvres, ma langue et ma main en même temps. Je sens qu’il n’est pas loin, il gémit de plaisir, c’est tellement excitant, puis, il saisit ma tête entre ses mains, agrippe mes cheveux, et gère lui-même les mouvement de son engin, accélérant, allant plus loin dans ma gorge, prenant de plus en plus son pied jusqu’à ce que, crispé dans un ultime aller, il se lâche au fond de ma bouche dans un gémissement d’intense plaisir.
Il lâche prise, me regarde d’un air que je ne lui connaissais pas, puis, me portant jusqu’au lit où il m’allonge sur le dos, il me glisse un « à moi de jouer » avant de dégrafer mon soutient gorge. Je sens son souffle dans mon cou, des frissons parcourent mon corps, il descend jusqu’à ma poitrine et embrasse mes tétons endurcies par l’excitation, il caresse mes seins, les suces et me mordille les tétons. Je ferme les yeux, emporté par cette sensation si douce d’être dévoré par un homme qui a faim de moi, Il descend doucement, m’embrassant le ventre, continuant d’une main à jouer avec mes tétons et de l’autre, à enlever mon string déjà mouiller par l’effet que me produisent ses caresses et la chaleur de cet homme. D’un coup, sa seconde main rejoint l’autre pour, toutes deux, passées sous chacune de mes jambes afin de les relevées, je me cambre, savourant à l’avance le plaisir qu’il allait m’offrir, et, doucement, sa langue effleure mon clitoris, joue avec de plus en plus fort, le mordille et le suce. Je gémis de plaisir, c’est si bon, un sursaut me prend, il vient de glisser deux doigts en moi et entame des allers retours tout en continuant de jouer avec sa langue. Je me tords, sent que le désir monte, une sensation de pur plaisir commence à naitre en moi, je vais bientôt avoir un orgasme, ça fait si longtemps que ça ne m’était pas arrivé, ce plaisir monte de plus en plus et explose en moi, des frissons me parcours de la tête au pied, un intense gémissement de plaisir sort du plus profond de mon être, c’est si bon, si agréable. Il retire ses doigts se relève et me sourit, il est temps de passer aux choses sérieuses…
Il me rejoint sur le lit, vient sur moi et doucement, délicatement, me pénètre, je retiens ma respiration, savourant cette sensation douce et chaude qui m’avait tant manquée, il fait de longs mouvements, amples mais précis, son souffle dans mon cou me fait frémir, je prends plaisir et apprécie sa douceur et le respect dont il me fait preuve. Tout s’accélère, j’ai envie de folie, de brutalité, je le griffe dans le dos et mordille son oreille, la réponse ne se fit pas attendre, pris d’une envie torride il me porta pour me mettre en levrette avant de me pénétrer plus violemment. Il accélère, devient de plus en plus brutal, m’agrippe par les cheveux, il se tient droit et enchaine des coups de hanche rapide et fort, son pubis claque contre mes fesse à chaque allers, j’aime ce côté dominant c’est si excitant, si bon. Je lui propose de m’attacher avec le foulard présent dans ma commode près de mon lit, l’idée lui plait, il l’attrape et m’attache solidement les mains dans le dos avant de me prendre violemment toujours en levrette, mais ma tête est contre le matelas et mes mains tenues par les siennes. Je m’abandonne à lui, je veux être tout à lui, il me domine et je prends plaisir à ça, il me fait mal mais ce mal me fait tant de bien, d’un coup je me libère et prend les choses en main. Je lui saute dessus et l’allonge sur le dos, monte sur lui et entame des mouvements circulaire avec mon bassin tout en lui tenant les poignets, il aime ça, ça se voit, il me sourit, gémis de plaisir et se laisse dominer. Je monte et descend sur son engin donnant de temps en temps des coups de bassin vers l’avant et l’arrière, je sens qu’il va bientôt jouir de nouveau, moi aussi un nouvel orgasme approche et il le sait. Il se relève brutalement, je passe mes jambe dans son dos, nous somme en position du lotus, une de mes positions préféré, On est si proche, corps contre corps, mes seins caressent son torse, je le sent en moi, si dur, si chaud, si doux, il va loin en moi et nos plaisirs montent encore et encore, jusqu’à ce que nous nous enlaçons dans un intense orgasme final. Il a éjaculé en moi, se sent son fluide se rependre dans mon vagin, résultat d’un ébat réussit.
A bout de souffle, nous nous allongeons côte à côte, je me blottis dans ses bras, je m’y sens bien, apaiser, satisfaite, il m’avoue qu’il avait attendu ce moment depuis quelque temps sans oser me l’avouer, je sourie flatté, j’ai envie de l’embrasser, un doux baiser de remerciement, d’attirement, de tendresse, je m’approche de lui, touche ses lèvres douce et encore chaude et me réveille …
Je suis en couple depuis maintenant presque 3 ans avec un homme gentil, attentionné, à mes soins et pourtant je ne peux m’empêcher de penser à mes années de liberté où je glissais de bras en bras en séduisant tout homme qui pouvait me plaire…
J’aime le sexe, pire que ça je l’adore, j’en suis accroc et malheureusement il me manque atrocement. Le quotidien avait eu raison de notre fougue, et les fréquences des rapports devenaient de plus en plus éloignées.
Je suis une jeune femme de vingt ans, pas exceptionnellement belle, mais je prends soin de moi, je sais jouer de mes atouts et cela suffit à faire de moi une redoutable prédatrice auprès des hommes. Je sais me faire comprendre et je suis, pour eux, comme une grippe ; on m’attrape, on devient malade à en mourir puis on guérit et fini par m’oublier…
J’ai tenu trois année avec le même homme, ce qui était inconcevable pour moi, mais je commençais à me lasser ; me lasser des habitudes, des jours se ressemblant tous, me lasser de ses rapports trop peu fréquent, tous les même et sans saveur…
Je veux du nouveau, de la folie, de l’envie, je veux et j’ai besoin de me sentir de nouveau désiré, dominer par un homme qui aurait soif de plaisir, qui pourrait me donner du plaisir et qui laisserait libre cours à ses envies.
Je n’avais pas de cible en vue jusqu’à maintenant, un ami de mon copain, un homme à peine plus vieux que moi, il me faisait rire, il était à l’écoute avec moi et surtout on avait une bonne complicité mais malgré mes tentatives, il me rejetais sans cesse, sans me juger certes, mais juste par respect pour son ami et pour mon couple.
Pourtant ce soir je l’attends, mon petit amis n’étant pas chez moi, je l’ai appelé prétextant l’envie de passer ma soirée accompagné, par peur de la solitude. J’ai mis ma plus belle robe, noire, coute, épousant mes formes, ouverte sur les coté avec de la dentelle noire, une paire d’escarpins noir à talons hauts et j’ai recouvert mon corps d’un baume à la framboise rendant ma peau appétissante.
Soudain, j’entends la sonnerie retentir, j’ouvre la porte, il est là, devant moi, en jean, t-shirt mal coiffé et mal raser mais c’est ce que j’aime chez lui, ce petit côté faussement négliger qui le rend si attirant.
Il entre et on s’assoit sur le canapé devant une émission TV dont je me fou totalement, je tente une approche en m’allongeant contre lui et, surprise, il me prend dans ses bras tendrement, subtilement, me caressant légèrement l’épaule avec son pouce. J’ai affreusement envie de lui, depuis longtemps, j’en ai marre qu’il me résiste je souhaite qu’il s’abandonne à moi, qu’il cède à mon jeu de séduction. Dans un élan de désir, je lève la tête, me tourne vers lui et l’embrasse légèrement avant de reculer l’air gêné. Il me dévisage et, avec un sourire en coin, me dit :
« Tu sais ce que tu veux toi. »
Il me prend dans ses bras, me renverse sur le canapé et vient sur moi pour me donner un baiser langoureux et passionné. Des frissons traversent tout mon corps, je sens son souffle, son désir, je suis surprise, lui qui me repoussait me tombe dans les bras si facilement ? Qu’importe je me laisse emporté par ce baiser si doux et à la fois si déterminé. Tandis que mes bras sont enroulés autours de son cou, ses mains se baladent sur mon corps, caressant doucement ma poitrine, remontant mes jambes jusqu’à mes fesses, effleurant mes joues mon cou et mon oreille.
L’excitation monte je me mets à lui mordiller le lobe de l’oreille et le cou en parcourant son dos et ses fesses avec mes mains. Je sens sa main chercher quelque chose dans mon dos, puis, trouver la fermeture de ma robe. Soudain, je stoppe, jugeant que ce lieu n’est pas adéquat, je l’emmène dans ma chambre l’assois sur le lit et, debout, face à lui, je descends moi-même la fermeture de ma robe la laissant glisser le long de mes hanche dévoilant ainsi un somptueux ensemble de sous vêtement noir à dentelle avec des bas et un porte jarretelle. L’effet espéré ne se fit pas attendre, je vis le désir dans ses yeux et, m’approchant de lui à la manière d’un fauve, je me penche, le fixe dans les yeux avant de déboutonner son jean. Je me penche vers son oreille, lui murmure un « j’ai énormément envie de toi » avant de baisser son pantalon et de tâter à travers le caleçon ce qui m’attend. Je caresse, j’effleure, je masse et soudains, le sentant dur et prêt à aller plus loin, j’enlève son caleçon, entame quelques allés retour avec ma main avant de glisser son pénis dans ma bouche. Je m’applique à lui procurer un maximum de plaisir, faisant tourner ma langue autour de son gland, titillant son urètre avec le bout de ma langue durcit, faisant des allers retours avec mes lèvres, ma langue et ma main en même temps. Je sens qu’il n’est pas loin, il gémit de plaisir, c’est tellement excitant, puis, il saisit ma tête entre ses mains, agrippe mes cheveux, et gère lui-même les mouvement de son engin, accélérant, allant plus loin dans ma gorge, prenant de plus en plus son pied jusqu’à ce que, crispé dans un ultime aller, il se lâche au fond de ma bouche dans un gémissement d’intense plaisir.
Il lâche prise, me regarde d’un air que je ne lui connaissais pas, puis, me portant jusqu’au lit où il m’allonge sur le dos, il me glisse un « à moi de jouer » avant de dégrafer mon soutient gorge. Je sens son souffle dans mon cou, des frissons parcourent mon corps, il descend jusqu’à ma poitrine et embrasse mes tétons endurcies par l’excitation, il caresse mes seins, les suces et me mordille les tétons. Je ferme les yeux, emporté par cette sensation si douce d’être dévoré par un homme qui a faim de moi, Il descend doucement, m’embrassant le ventre, continuant d’une main à jouer avec mes tétons et de l’autre, à enlever mon string déjà mouiller par l’effet que me produisent ses caresses et la chaleur de cet homme. D’un coup, sa seconde main rejoint l’autre pour, toutes deux, passées sous chacune de mes jambes afin de les relevées, je me cambre, savourant à l’avance le plaisir qu’il allait m’offrir, et, doucement, sa langue effleure mon clitoris, joue avec de plus en plus fort, le mordille et le suce. Je gémis de plaisir, c’est si bon, un sursaut me prend, il vient de glisser deux doigts en moi et entame des allers retours tout en continuant de jouer avec sa langue. Je me tords, sent que le désir monte, une sensation de pur plaisir commence à naitre en moi, je vais bientôt avoir un orgasme, ça fait si longtemps que ça ne m’était pas arrivé, ce plaisir monte de plus en plus et explose en moi, des frissons me parcours de la tête au pied, un intense gémissement de plaisir sort du plus profond de mon être, c’est si bon, si agréable. Il retire ses doigts se relève et me sourit, il est temps de passer aux choses sérieuses…
Il me rejoint sur le lit, vient sur moi et doucement, délicatement, me pénètre, je retiens ma respiration, savourant cette sensation douce et chaude qui m’avait tant manquée, il fait de longs mouvements, amples mais précis, son souffle dans mon cou me fait frémir, je prends plaisir et apprécie sa douceur et le respect dont il me fait preuve. Tout s’accélère, j’ai envie de folie, de brutalité, je le griffe dans le dos et mordille son oreille, la réponse ne se fit pas attendre, pris d’une envie torride il me porta pour me mettre en levrette avant de me pénétrer plus violemment. Il accélère, devient de plus en plus brutal, m’agrippe par les cheveux, il se tient droit et enchaine des coups de hanche rapide et fort, son pubis claque contre mes fesse à chaque allers, j’aime ce côté dominant c’est si excitant, si bon. Je lui propose de m’attacher avec le foulard présent dans ma commode près de mon lit, l’idée lui plait, il l’attrape et m’attache solidement les mains dans le dos avant de me prendre violemment toujours en levrette, mais ma tête est contre le matelas et mes mains tenues par les siennes. Je m’abandonne à lui, je veux être tout à lui, il me domine et je prends plaisir à ça, il me fait mal mais ce mal me fait tant de bien, d’un coup je me libère et prend les choses en main. Je lui saute dessus et l’allonge sur le dos, monte sur lui et entame des mouvements circulaire avec mon bassin tout en lui tenant les poignets, il aime ça, ça se voit, il me sourit, gémis de plaisir et se laisse dominer. Je monte et descend sur son engin donnant de temps en temps des coups de bassin vers l’avant et l’arrière, je sens qu’il va bientôt jouir de nouveau, moi aussi un nouvel orgasme approche et il le sait. Il se relève brutalement, je passe mes jambe dans son dos, nous somme en position du lotus, une de mes positions préféré, On est si proche, corps contre corps, mes seins caressent son torse, je le sent en moi, si dur, si chaud, si doux, il va loin en moi et nos plaisirs montent encore et encore, jusqu’à ce que nous nous enlaçons dans un intense orgasme final. Il a éjaculé en moi, se sent son fluide se rependre dans mon vagin, résultat d’un ébat réussit.
A bout de souffle, nous nous allongeons côte à côte, je me blottis dans ses bras, je m’y sens bien, apaiser, satisfaite, il m’avoue qu’il avait attendu ce moment depuis quelque temps sans oser me l’avouer, je sourie flatté, j’ai envie de l’embrasser, un doux baiser de remerciement, d’attirement, de tendresse, je m’approche de lui, touche ses lèvres douce et encore chaude et me réveille …
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique histoire, j'ai l'impression d'être la narratrice tellement je m'identifie dans ton histoire... Merci...
Salut ! J’ai lu par curiosité ton texte, le titre m’ayant intrigué. Je suis gay (et fier !) et pourtant la façon dont tu l’as écrit m’a bien excité (tu me diras, je pensais plus au corps du mec qu’au tien, mais bon, la description de ta robe, la façon dont tu l’as enlevée, etc. ne m’ont pas laissé indifférent. Je préfère les hommes mais j’aime la sensualité, et les beaux corps).
Seul petit point négatif : des fautes, un peu trop nombreuses je trouve (enfin, je parle je parle mais j’en ai fait tellement, par inattention…) un seul moyen : relire. Relire à fond. Je sais, c’est dure, on connait déjà le texte, et on fait pas gaffe. Lis-le comme si tu le lisais pour la première fois. Tu peux aussi faire des retours à la ligne plus fréquents.
(comme ça, quoi :D) Fais aussi des phrases plus courtes. Si elles sont trop longues, on « s’ennuie ». Un point est une respiration, un tremplin pour repartir d’un nouveau pied. Alors que si tu fais une phrase super longue comme celle que je vais écrire tu arrives à la fin de cette foutue phrase et au final tu as oublié ce qu’il y a écrit au début ce qui est quand même carrément bête et puis tu vois ça fait lourd, j’aurais pu mettre des points pour alléger le récit mais là ça fait gros pâté tout moche et dégueulasse même moi j’ai du mal à écrire un truc comme ça parce que je me dis que c’est nawak. Bref.
Je sens du potentiel, persévère, j’lirai même la suite (trop de bonté !) !
Seul petit point négatif : des fautes, un peu trop nombreuses je trouve (enfin, je parle je parle mais j’en ai fait tellement, par inattention…) un seul moyen : relire. Relire à fond. Je sais, c’est dure, on connait déjà le texte, et on fait pas gaffe. Lis-le comme si tu le lisais pour la première fois. Tu peux aussi faire des retours à la ligne plus fréquents.
(comme ça, quoi :D) Fais aussi des phrases plus courtes. Si elles sont trop longues, on « s’ennuie ». Un point est une respiration, un tremplin pour repartir d’un nouveau pied. Alors que si tu fais une phrase super longue comme celle que je vais écrire tu arrives à la fin de cette foutue phrase et au final tu as oublié ce qu’il y a écrit au début ce qui est quand même carrément bête et puis tu vois ça fait lourd, j’aurais pu mettre des points pour alléger le récit mais là ça fait gros pâté tout moche et dégueulasse même moi j’ai du mal à écrire un truc comme ça parce que je me dis que c’est nawak. Bref.
Je sens du potentiel, persévère, j’lirai même la suite (trop de bonté !) !