Le chat et la souris
Récit érotique écrit par Horizon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le chat et la souris
Le jeu du chat et de la souris vous connaissez ? C’est mon jeu préférer, séductrice sans pitié, sachant jouer de mes charmes et cerner rapidement les gens, je suis également une manipulatrice experte pour arriver à mes fins je suis le chat et ma souris c’est l’homme sur lequel je pose mon regard. Le jeu consiste à obtenir l’homme que je convoite, faire en sorte qu’il cherche à me plaire, le plier à mes désirs, et obtenir ce que je souhaite avoir de lui que ce soit de l’amour ou du sexe. J’aime plaire, mieux que ça, j’aime savoir que je plais, j’aime être observée, admirée et, par-dessus tout, désirée. Pour cela, tous mes gestes, postures, regards, mouvements sont calculés et ont un but bien précis, c’est devenu une sorte d’automatisme, tout hommes ayant voulu jouer avec moi se sont fait dépasser, je suis une prédatrice redoutable et je pensais tout contrôler jusqu’à son arrivé…
Cet homme, assez grand, châtain, aux yeux verts, habillé d’un jean, d’une chemise et d’une veste m’avait abordé de la pire manière qu’il soit et pourtant, après quelques échanges, le jeu c’est lancé. Au fond de moi, je savais que ce mec était plus fort que moi à ce jeu, on m’avait parlé de lui, un coureur de jupon qui prend les filles puis les jettes, mais je voulais relever ce défi et, je ne sais pourquoi, cet homme m’attirait. S’en est suivi d’une semaine de regards ambigus, de sourires, de compliments et de propositions cachés, plus le temps avançais plus j’avais envie de le connaitre, de le découvrir et par-dessous tout l’avoir pour moi. Cette semaine c’était terminé par une danse qui m’avait fait tournée la tête de désir et d’excitation et par un baiser. Un long baiser. A ce moment, le temps c’était arrêté, j’avais compris que, pour la première fois, j’étais la souris et lui le chat, il avait fait chaviré mon cœur et dorénavant j’allais me plier à toutes ses volontés, tous ses désirs afin de faire chaviré le sien.
Suite à cette soirée, il était repartis chez lui, loin de moi, mais nous avions gardé contact et appris à se connaitre malgré la distance. Il est revenus un mois et demi après pour deux semaines, je comptais les jours avant son arrivé, attendant le moment où je pourrais gouter de nouveau à l’étreinte de ses bras et à la douceur de ses lèvres.
Me voilà donc, ce jeudi matin, assise à côté de lui dans une salle de cinéma. On s’était retrouvé le lundi et, après quelques têtes à têtes à la fac, on avait décidé de se voir dans un autre lieu sans personne pour nous déranger. Le soir même on avait une soirée étudiante et, par conséquence, cette séance de cinéma était notre seule moment de calme à tous les deux. On y est, dans cette salle obscure, côte à côte, pour environs deux heures. J’en demande pas moins, je savoure chaque instant passé avec lui, chaque secondes, et là, rien qu’à l’idée de passer deux heures dans cette salle, dans le noir, mes envies commencent à ce déchainées, j’ai envie de lui, j’ai envie de lui depuis qu’il a posé ses lèvres sur les miennes, cette fois, ce sera moi le chat, je mènerais le jeu et je l’inciterais à me désirer. Les lumières de la salle s’éteignent, les personnes présentent dans la salle se taisent, il fixe l’écran, je fais de même, main dans la main, je pose ma tête sur son épaule et le film commence…
Le premier quart d’heure passe, il reste fixé sur le film, m’ignore-t-il ? Je caresse légèrement sa main avec mon pouce, il se tourne, me regarde, et dépose un léger baiser sur mes lèvres, ouf il répond à mes avances. Je l’observe, je le désire tellement, je voie son oreille, une envie irrésistible de la mordre me prend, je m’exécute, d’abord esquissant une petite caresse sur son lobe avec ma langue, puis, je le mordille doucement. Il frissonne, sourie puis m’embrasse langoureusement, sa main passe sur ma cuisse, je frémis de plaisir, je poursuis les caresses sur son oreille avec ma langue et les mordillements. Ma respiration s’accélère, le sentir réagir à mes avances m’excite, je descends dans son cou mordillant de plus en plus fort, savourant le gout de sa peau pendant que mes mains vont à la rencontre de son torse que je caresse à travers sa chemise. Une de ses mains est toujours autours de mon épaule, pendant que l’autre caresse ma cuisse et remonte sur mon ventre puis sur mes seins. D’abord, il les caresse doucement par-dessus mon t-shirt, je frissonne étonnée de réagir autant à ce traitement, mes joues brulent, une chaleur agréable commence à se rependre dans tout mon corps, il sent mon excitation et me sourit. Je l’embrasse tendrement passant une de mes mains sous sa chemise allant à la rencontre de sa peau, c’est chaud, agréable, je sens son cœur battre, vite, il me mord le cou, ma respiration se coupe, je frissonne de tout mon être, ma main se crispe lui griffant le torse. Sa main se balade d’un sein à l’autre, je savoure chacun de ses mouvements, d’une main experte il passe sous mon t-shirt et dégrafe mon soutien gorges qui tombe sur mes genoux. Sa main revient sur mon sein, le caressant doucement, jouant avec mon téton, le roulant entre ses doigts puis serrant mon sein entier dans sa main. Il continue de jouer ainsi pendant un moment, passant d’un sein à l’autre, je fonds sous ses caresse si douce si stimulantes, je sens l’excitation monté en moi, je veux savoir si je lui fais le même effet, je descends ma main vers son jean à travers celui-ci je sens son érection, il est si dur, qu’es ce que je donnerais pour que ce que je palpe soit en moi. Je le caresse et le masse à travers son jean, il apprécie et ça se sent car ses gestes deviennent de plus en plus intenses, son souffle s’accélère, le mien aussi, j’ai faim de lui, de son corps, de ses lèvres, je l’embrasse tout en continuant de le toucher à travers le jean. Je lui mords la lèvre inférieur, surpris il recule et se mord la lèvre, ainsi, il est à tomber. D’un coup, il écarte mon décolleté et part à l’assaut de mon sein avec sa bouche, j’émets un petit gémissement brouillant, vite, je regarde autour de moi pour m’assurer de ne pas avoir attiré l’attention, mais en réalité je m’en fou, je suis trop prise par cette excitation, cette sensation plus qu’agréable qui nait en moi. Il embrasse d’abord mon sein et le suce, il lèche doucement mon téton avec sa langue, puis, de plus en plus vite, je n’en peux plus, je vais lui sauter dessus. D’un coup il se stop, surprise je le regarde avec un air à la fois frustré et interrogateur, c’est le générique de fin, le film est terminé, déjà…
La lumière se rallume, je remets mon soutien-gorge, et nous reprenons nos affaire, cette séance est passée si vite, c’était si intense, si bon, si excitant, j’aurais voulu que sa dur plus longtemps. On sort de la salle, main dans la main, il me regarde amusé, il sait que je suis frustrée et que je déteste ça. Malheureusement nous devons partir chacun de notre côté, nous séparer avant ce soir donc je resterais, une fois de plus, avec ce désir non assouvie, quelle torture. Au moment de nous quitter, il me regarde, me serre dans ses bras, c’est dingue comment je me sens bien ici, m’embrasse tendrement et me dit à l’oreille : « ne t’inquiète pas petit ange, ce soir je te promets de satisfaire tous tes désirs ». Je souris, je ne sais pas comment cela pourrait être possible avec le monde qu’il y aura à cette soirée, Puis nous n’avons pas de lieu tranquille pour nous deux. Je l’embrasse de nouveau et lui murmure « alors j’ai hâte d’être à ce soir… » Puis je monte dans le bus, et, à travers la vitre, le voie s’éloigné, en moi-même je souffle « à ce soir petit ange… ».
Cet homme, assez grand, châtain, aux yeux verts, habillé d’un jean, d’une chemise et d’une veste m’avait abordé de la pire manière qu’il soit et pourtant, après quelques échanges, le jeu c’est lancé. Au fond de moi, je savais que ce mec était plus fort que moi à ce jeu, on m’avait parlé de lui, un coureur de jupon qui prend les filles puis les jettes, mais je voulais relever ce défi et, je ne sais pourquoi, cet homme m’attirait. S’en est suivi d’une semaine de regards ambigus, de sourires, de compliments et de propositions cachés, plus le temps avançais plus j’avais envie de le connaitre, de le découvrir et par-dessous tout l’avoir pour moi. Cette semaine c’était terminé par une danse qui m’avait fait tournée la tête de désir et d’excitation et par un baiser. Un long baiser. A ce moment, le temps c’était arrêté, j’avais compris que, pour la première fois, j’étais la souris et lui le chat, il avait fait chaviré mon cœur et dorénavant j’allais me plier à toutes ses volontés, tous ses désirs afin de faire chaviré le sien.
Suite à cette soirée, il était repartis chez lui, loin de moi, mais nous avions gardé contact et appris à se connaitre malgré la distance. Il est revenus un mois et demi après pour deux semaines, je comptais les jours avant son arrivé, attendant le moment où je pourrais gouter de nouveau à l’étreinte de ses bras et à la douceur de ses lèvres.
Me voilà donc, ce jeudi matin, assise à côté de lui dans une salle de cinéma. On s’était retrouvé le lundi et, après quelques têtes à têtes à la fac, on avait décidé de se voir dans un autre lieu sans personne pour nous déranger. Le soir même on avait une soirée étudiante et, par conséquence, cette séance de cinéma était notre seule moment de calme à tous les deux. On y est, dans cette salle obscure, côte à côte, pour environs deux heures. J’en demande pas moins, je savoure chaque instant passé avec lui, chaque secondes, et là, rien qu’à l’idée de passer deux heures dans cette salle, dans le noir, mes envies commencent à ce déchainées, j’ai envie de lui, j’ai envie de lui depuis qu’il a posé ses lèvres sur les miennes, cette fois, ce sera moi le chat, je mènerais le jeu et je l’inciterais à me désirer. Les lumières de la salle s’éteignent, les personnes présentent dans la salle se taisent, il fixe l’écran, je fais de même, main dans la main, je pose ma tête sur son épaule et le film commence…
Le premier quart d’heure passe, il reste fixé sur le film, m’ignore-t-il ? Je caresse légèrement sa main avec mon pouce, il se tourne, me regarde, et dépose un léger baiser sur mes lèvres, ouf il répond à mes avances. Je l’observe, je le désire tellement, je voie son oreille, une envie irrésistible de la mordre me prend, je m’exécute, d’abord esquissant une petite caresse sur son lobe avec ma langue, puis, je le mordille doucement. Il frissonne, sourie puis m’embrasse langoureusement, sa main passe sur ma cuisse, je frémis de plaisir, je poursuis les caresses sur son oreille avec ma langue et les mordillements. Ma respiration s’accélère, le sentir réagir à mes avances m’excite, je descends dans son cou mordillant de plus en plus fort, savourant le gout de sa peau pendant que mes mains vont à la rencontre de son torse que je caresse à travers sa chemise. Une de ses mains est toujours autours de mon épaule, pendant que l’autre caresse ma cuisse et remonte sur mon ventre puis sur mes seins. D’abord, il les caresse doucement par-dessus mon t-shirt, je frissonne étonnée de réagir autant à ce traitement, mes joues brulent, une chaleur agréable commence à se rependre dans tout mon corps, il sent mon excitation et me sourit. Je l’embrasse tendrement passant une de mes mains sous sa chemise allant à la rencontre de sa peau, c’est chaud, agréable, je sens son cœur battre, vite, il me mord le cou, ma respiration se coupe, je frissonne de tout mon être, ma main se crispe lui griffant le torse. Sa main se balade d’un sein à l’autre, je savoure chacun de ses mouvements, d’une main experte il passe sous mon t-shirt et dégrafe mon soutien gorges qui tombe sur mes genoux. Sa main revient sur mon sein, le caressant doucement, jouant avec mon téton, le roulant entre ses doigts puis serrant mon sein entier dans sa main. Il continue de jouer ainsi pendant un moment, passant d’un sein à l’autre, je fonds sous ses caresse si douce si stimulantes, je sens l’excitation monté en moi, je veux savoir si je lui fais le même effet, je descends ma main vers son jean à travers celui-ci je sens son érection, il est si dur, qu’es ce que je donnerais pour que ce que je palpe soit en moi. Je le caresse et le masse à travers son jean, il apprécie et ça se sent car ses gestes deviennent de plus en plus intenses, son souffle s’accélère, le mien aussi, j’ai faim de lui, de son corps, de ses lèvres, je l’embrasse tout en continuant de le toucher à travers le jean. Je lui mords la lèvre inférieur, surpris il recule et se mord la lèvre, ainsi, il est à tomber. D’un coup, il écarte mon décolleté et part à l’assaut de mon sein avec sa bouche, j’émets un petit gémissement brouillant, vite, je regarde autour de moi pour m’assurer de ne pas avoir attiré l’attention, mais en réalité je m’en fou, je suis trop prise par cette excitation, cette sensation plus qu’agréable qui nait en moi. Il embrasse d’abord mon sein et le suce, il lèche doucement mon téton avec sa langue, puis, de plus en plus vite, je n’en peux plus, je vais lui sauter dessus. D’un coup il se stop, surprise je le regarde avec un air à la fois frustré et interrogateur, c’est le générique de fin, le film est terminé, déjà…
La lumière se rallume, je remets mon soutien-gorge, et nous reprenons nos affaire, cette séance est passée si vite, c’était si intense, si bon, si excitant, j’aurais voulu que sa dur plus longtemps. On sort de la salle, main dans la main, il me regarde amusé, il sait que je suis frustrée et que je déteste ça. Malheureusement nous devons partir chacun de notre côté, nous séparer avant ce soir donc je resterais, une fois de plus, avec ce désir non assouvie, quelle torture. Au moment de nous quitter, il me regarde, me serre dans ses bras, c’est dingue comment je me sens bien ici, m’embrasse tendrement et me dit à l’oreille : « ne t’inquiète pas petit ange, ce soir je te promets de satisfaire tous tes désirs ». Je souris, je ne sais pas comment cela pourrait être possible avec le monde qu’il y aura à cette soirée, Puis nous n’avons pas de lieu tranquille pour nous deux. Je l’embrasse de nouveau et lui murmure « alors j’ai hâte d’être à ce soir… » Puis je monte dans le bus, et, à travers la vitre, le voie s’éloigné, en moi-même je souffle « à ce soir petit ange… ».
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