Doux foyer (2) - histoire érotique

Résumé de l'épisode précédent :
Christelle et Alexandre forme un duo heureux, le couple parfait selon certains.
Sauf que, derrière les sourires, Alex cache une énorme frustration : il aime dominer au lit et ne se sent pas d'en parler à sa chérie.
Alex rencontre alors Anaïs, une jeune soumise qui n'appréciera que modérément qu'Alex ne lui ai pas avoué être en couple.
Un soir, alors qu'Alex revient à la maison, il surprend Christelle en plein acte sexuel avec un autre homme, parti pour lui faire une scène, celle-ci lui avoue qu'elle sait pour Anaïs, le couple décide de remettre les compteurs à zéro.
Mais l'incident ne restera pas sans conséquence ...

Le regard perdu sur son téléphone, Christelle ne pipait mot et touchait à peine à son petit déjeuner.
C'était comme cela depuis une semaine quand je l'avais surprise en train de ...
Non, je ne voulais même plus y repenser et pourtant des flashbacks m'avaient frappés plusieurs fois, j'en rêvais même parfois la nuit ou y repensait sous la douche et je me rendais compte de plus en plus souvent que cela me procurait une érection sans que je sache trop pourquoi.
Une part de moi se disait que c'était parce que Christelle était -à mes yeux- la plus belle femme du monde alors l'imaginer en action me procurait forcément des envies, même avec un autre.
Pourtant ...
Je m'étais posé la question, plus d'une fois : était-il possible, qu'inconsciemment cela m'avait excité ? La voir ainsi prendre du plaisir comme si je n'étais pas la ...
Non ...
Elle SAVAIT que j'étais la, elle l'avait dit et sa réaction avait été blessante, méchante, méprisante et ...
Érection ...
Encore ...
Imaginer Christelle en pleine acte et me parler comme si je n'étais rien me procurait une réaction, je ne pouvais le nier : ma respiration s’accélérait, mon palpitant s'emballait et mon pénis était tendu à en défoncer la porte ...

La veille, je n'avais pas pu m'empêcher : elle était sortie avec des copines, je m'étais installé sur l'ordinateur et avait cherché quelques mots clefs pour comprendre et je fus surpris d'apprendre qu'il existait un fantasme consistant à regarder sa femme avoir du plaisir avec d'autres, cela s'appelait le « cuckolding »
Alors j'avais cherché cela sur internet, bien sur dans le but d'en savoir plus, mais très vite les vidéos pornos prirent la place des explications plus sérieuses et je me mis à en regarder de plus en plus.
L'histoire était toujours la même : de belles femmes, mariées à des mecs qu'elles ne regarderaient même pas dans la rue si ce n'était pas une fiction, elle avait des rapports extra conjugaux devant leurs maris qui était -la plupart du temps- attaché, le sexe enfermé dans une cage de chasteté.
Rapidement, j'avais glissé une main dans mon short pour faire durcir mon sexe, me masturbant, tentant de me rassurer en m'imaginant que c'était seulement de voir la fille se faire sauter qui me rendait si chaud, mais bien vite, la vidéo n'était plus qu'un prétexte et mon imagination vagabondait en rythme avec la vidéo que je découvrais en temps réel.
Pourtant, je refermais l'ordi portable pris de panique, quand une scène en particulier avait faillit me mener au bord de l'explosion.
Dans cette vidéo une noire magnifique, présentait son amant à son mari et après avoir défoncer son mari à coups de gode ceinture le forçait à ... Sucer son amant ...
Je ne m'étais même pas aperçu de la scène tant je prenais plaisir à la regarder, mais ce qui me rendait le plus dingue, ce fut le moment ou la maîtresse dégageait le pénis de son amant pour gifler son mari en disant « Tu ne sais donc rien faire de bien !? »
Le fait d'avoir poussé un homme hétérosexuel à sucer le sexe de l'homme qui la sautait devant lui était déjà particulier, mais cette autorité qu'elle dégageait ...

J'avais donc refermer l'ordinateur, pris de panique à l'idée d'être excité par ... Comment aurais-je pu ? Je suis un homme, hétérosexuel et j'aime ma femme que je trouve magnifique et jamais je ne pourrais vouloir la voir se faire baiser par un autre homme ...

—  Alex ?

Je sortais de ma torpeur, posant mon regard sur ma chérie, magnifique, les yeux pleins d'inquiétude, c'était la première fois qu'elle m'adressait la parole depuis l'autre jour.

—  Tu ne crois pas qu'il faudrait qu'on parle de ce qu'il s'est passé ? ...

Je haussais un sourcil, un peu nerveux, avait-elle compris mon trouble ?

—  Que veux-tu dire ?

Elle posais son portable sur la table, joignant les mains, tandis que je la détaillais : elle portais son jeans et un T-shirt violet, elle était pieds nus, ses cheveux roux dansant prêt de ses pommettes.

—  Je sais que c'était mérité, mais j'ai l'impression que ça t'as particulièrement travaillé ...

Je fus pris de panique, elle savait, j'ignorais comment, mais elle savait et je ne pouvais pas vraiment le nier, je lui avais déjà bien assez menti ...
Mais rien ne m'empêchait de noyer le poisson ...

—  Tu te fais des idées, tout va bien ...

—  Ah oui ?

Elle me plantait à nouveau son regard qui semblait dire « arrête Alex, je sais tout »

—  Et c'est pour ça que tu recherches la définition du mot cuckolding et que tu mater des vidéos avec des dominatrices qui trompent leurs maris devant eux je suppose ...

—  Je ...

—  Alex ...

Elle me prit doucement les mains et posait ce regard qui me faisait fondre ...

—  Tu n'es pas attiré par la cocufiction mon cœur, tu as juste été perturbé ... Que l'on soit clairs : ce que tu as fait était effroyable et tu avais mérité une leçon, mais j'aurai peut-être du te confronter autrement ...

—  Je ne sais pas Christelle, j'y penses tout le temps depuis et ...

—  Ecoute ... Aujourd'hui tu vas bosser, prends le temps d'y penser, mais pas sur un ordinateur devant un porno et la queue à la main, prends le temps de vraiment réfléchir et tu verras que tout ça pour finir c'est juste que tu es perturbé par la situation.

Sur ces mots, elle n'ajoutait rien de plus, se levant et se préparant à aller travailler, comme elle avait un contrat mi-temps, elle finissait avant moi.

Il devait être aux alentours de quatorze heure quand j'avais terminé mes tâches quotidiennes, comme mon patron n'était jamais sur place et surestimait ma charge de travail, il m'arrivait parfois de finir plus tôt, aussi m’attelais-je à laisser mon imagination voguer, j'imaginais bien que ce n'était pas ce que Christelle avait voulu dire quand elle avait évoqué le fait d'y réfléchir, mais je ne voyais pas comment mieux me le figurer.

Je choisissais donc de me laisser aller à mon imagination, éludant la scène que j'avais vue pour en imaginer une, basée sur ce porno que j'avais regardé.
Je décidais de poser quelques barrières de sécurité en évitant d'imaginer les scènes du gode ceinture et de la fellation.

Ainsi donc, j'imaginais la scène :
Un bar en bois d’ébène, un billard prêt de la porte, un canapé sur une moquette rouge, la maîtresse noire se tenait la dans sa belle robe blanche, à côté d'elle, son amant, un homme élégant dans un costume sans cravate qui ne regardait même pas le soumis.
Redistribution des rôles : j'étais le soumis, nu, à genoux, les mains attachées dans le dos et l'amant qui caressait le visage à la peau sombre quelques secondes plus tôt, passait maintenant son doigt sur la joue de Christelle qui lui souriait. Le regard de ma femme se posait sur moi, impitoyable, dur, elle m'insultait, invectivait pour mon incapacité à la faire jouir.
Elle se levait alors et saisissais ma tète, la couchant sur le sol avant de me fesser le derrière à coups de cravache, un instrument qui était apparu comme par magie -après tout, c'est mon imagination-
La douleur claquait et lorsque je rouvrais les yeux, je la voyais sucer l'inconnu.

Pause ...

Cette vision me rendait dur comme de la pierre, Christelle s'était trompée, allais-je vraiment devenir un cuck ? Non, impossible, il fallait que je pense à autre chose, que je me concentre sur d'autres tâches ...
Mais l'imaginer était si plaisant ...
Je retournai dans mon songe, ma femme qui suce un autre homme et qui se tourne vers moi, ses doigts délicats et fins enserrait autour du sexe en érection de son amant.

—  Rends-toi utile, lèche moi !

Je me penchais alors, passant ma langue entre ses lèvres intime, tandis que son amant prenait du plaisir à cette fellation, cela durait de nombreuses minutes, avant qu'elle ne se retire, précisant que nous avions tout notre temps ...
L'homme parti derrière le bar se servir un whisky, tandis que Christelle m'attachait sur le bar et ... Wow, j'avais dis pas le gode ceinture, il allait falloir que je trouve autre chose ...
Après la scène du bar, la maîtresse se faisait prendre par son amant et puis il y avait la scène de fellation qui clôturait la vidéo, je choisissais dans mon imagination d'en clôturer la fin et de ne laisser que la partie ou Christelle se faisait prendre ...
Mais évidemment, l'image dérapait, je revoyais cette scène dans notre appartement, ma femme se faisant prendre sauvagement, je laissais mon imagination complètement à la dérive, mélangeant la vidéo avec mes souvenirs.
Fini le bar, fini la maîtresse noire, fini l'amant du film, cette fois c'était Christelle en pleine action avec son amant en train de la ramoner comme jamais et elle qui m'insulte et me méprise.
L'homme la saisissait par les hanches et la baisait avec tant de violences que la pièce était remplie de bruits mat et humide de leur sueur, l'odeur du sexe pouvait presque me piquer les narines tant mon imagination voguait dans mon esprit.

Puis Christelle suçait l'homme, ses lèvres fines autour du sexe de son amant, lui donnant du plaisir, je pouvais la voir de plus en plus prêt ...
Puis ça parti en sucette ...
Christelle me fourrait le sexe de l'amant dans la bouche et cette fois je n'arrêtais pas, j'imaginais la scène, moi, suçant le sexe d'un autre homme sous les ordres de ma femme infidèle qui ...

Non, je ne pouvais pas faire ça ...

Trop tard ...

Dans mon jeans une sensation d'humidité un rien gluante, je venais de jouir sans même me toucher ...

Tout le reste du temps jusque seize heure, je ne pensais qu'a ce que j'allais dire à Christelle, je me rendais bien à l'évidence : je voulais le faire, au moins essayer ...

Tremblant et nerveux, je passais la clef dans la serrure de notre chez nous pour l'ouvrir, je m'avançais dans le couloir d'entrée avant d'arriver dans le salon.

Christelle était la ...

Elle était adossée au mur, comme si elle n'avait pas bougé de la maison : toujours pieds nus, toujours son jeans et son t-shirt

—  Alors tu as réfléchis ?

Quoi lui dire ? « Oui chérie, je veux que tu tape un autre homme ? » Non, je ne pouvais pas lui dire cela ...

—  Parce que moi oui ...

Elle ne bougeait pas, ne fit pas un geste pour me rassurer ou m'inquiéter, elle était juste la, son regard posé sur moi, habillée comme pour rester le dimanche à la maison et pourtant je ne l'avais jamais trouvée aussi sexy qu'en ce moment.

—  Et quelle est ta conclusion ?

J'étais nerveux et ça devait s'entendre : j'avais du mal à déglutir et ma voix tremblait ...

—  Je ne veux pas recoucher avec un autre homme ...

Je ne savais pas si j'étais soulagée ou un peu déçu ...

—  Mais j'avoue que j'ai regardé la vidéo ... Et quelques autres et j'ai eu une idée ...

Christelle me prit doucement par la main m'emmenant vers la chambre.

—  J'ai acheté un petit truc ...

Je pouvais le voir dès que j'arrivais dans la chambre, mon regard se posant sur un plug collé à la tète de lit tandis que Christelle enlevait son t-shirt et son jeans, elle montait à genoux sur le lit.

—  Viens ...

Je la suivais, toujours habillé, elle me regardait d'un air désapprobateur.

—  Déshabille toi s'il te plaît ...

Alors je m’exécutais, mes chaussures tombant lourdement sur la moquette rejointe par la chute plus délicate de mes chaussettes, puis mon jeans et ma chemise.

Christelle s'approchait du plug et me jetait un regard, prenant le jouet de plastique entre ses lèvres, poussant quelques gémissements. Ses lèvres délicates glissant le long du jouet, elle le sortait pour le masturber en me regardant.

—  Tu peux te branler si tu veux ...

Elle recommençait, enfonçant le jouet de plastique dans sa bouche, je la regardais faire, mais n'arrivait pas à bander, peut-être n'était-ce pas mon truc finalement ?
Christelle se tournait vers moi, enfonçant le jouet en elle et remuant pour se baiser dessus.
Elle remarquait vite mon trouble.

—  Ca ne te plais pas ?

Mon regard se posant dans le sien.

—  Je ... Si ... Je ne sais pas ... C'est comme s'il manquait un truc ...

Christelle sortait le jouet de son vagin et l'enfonçait dans son anus.

—  Et si je fais ça ? Je te l'ai toujours refusé ... Imagine que c'est mon amant, il est en train de me baiser le cul et toi tu n'y a jamais eu droit, ça te fais quoi hein ?

J’appréciai l'effort, je commençais à me masturber, oui, cela faisait de l'effet, je la regardai droit dans les yeux, elle prenait du plaisir, elle gémissait, du moins en avais-je l'impression.
Mais rien, mon sexe retombait tout flasque entre mes doigts ...

—  Je suis désolé Christelle, je crois que c'est pas mon truc en fait ...

—  Mais t'avais durcit ... Et tu avais l'air tellement ...

—  Excité ?

—  Oui ...

Nous restions la un moment sans mot dire, elle commençait alors à me branler, mais rien, je ne durcissait pas.

—  Dommage que tu ne sois pas opérationnel, je suis trop chaude ...

Me dit-elle de son air taquin habituel.
Elle continuait alors à remuer sur le plug, je constatais que -contrairement à ce qu'elle m'avait dit- le jouet n'avait jamais été dans son anus

—  Oh putain, c'est trop bon ...

Christelle semblait partie pour prendre du plaisir seule, je ne pouvais pas lui en vouloir, après tout, je n'étais simplement pas dans le mood. J'ignorais si cela me rassurait ou non, mine de rien une sexualité différente avait son petit côté excitant.

—  Fini ce que tu as à faire, je vais prendre un bain.

—  Ah non tu restes !

Je la regardais avec curiosité.

—  Si t'es pas capable de me baiser au moins tu me regardes avoir du plaisir, ça m'excite !

—  Ok ...

Je me posais à côté d'elle, c'était la moindre des choses, je m’asseyais au bord du lit.

—  non, viens à genoux, je veux voir ton visage ...

Alors je la rejoins, plantant mon regard dans le sien.

—  Je suis désolée d'insister, mais je veux vraiment essayer un autre truc ...

Elle me pinçait un téton, je sursautais.

—  Ca va pas t'es malade !?

—  Tu n'a pas aimé ?

—  Bien sûr que non !

—  Alors pourquoi tu bandes ?

Je baissais mon regard et force était de constater que Christelle avait raison : une érection puissante et tendue et Christelle qui continuait de remuer sur son jouet, l'excitation montait et je me rendais très bien compte de ce qui manquait réellement à cette scène.

J'étais dominant, mais je n'avais jamais pu dominer Christelle parce que je la trouvais trop pure, trop parfaite alors peut-être que l'inverse était possible.
La bouche tremblante, le regard vitreux je me remettais à genoux face à elle, les mains dans le dos.

—  Je t'en supplie Christelle ...

—  ?

—  Gifle moi de toutes tes forces ...

A suivre ...

Cette histoire est une fiction, toute ressemblance avec des personnages réels serait purement fortuite.