Doux foyer (9)
Récit érotique écrit par Leatherbite [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Doux foyer (9)
Résumé de l'épisode précédent :
Les défis imaginés par Maîtresse Jennifer étaient lancés, Alexandre et Christelle attaquaient le lundi, chacun avec un défi différent, ainsi Alex se vit offrir une paire de bas et un string à porter durant la journée, tandis que Christelle avait pour défi de mimer une relation extra-conjugale avec des amants au moyen de dildos.
Pour Alex une évidence était en train de se former dans son esprit : il aimait le fantasme de cuckolding et devait finalement se résigner à l'avouer à Christelle ...
« Je veux te voir baiser avec un amant » pourquoi avais-je dis une telle chose ?
La scène s'était arrêtée, comme ça, d'un coup, elle n'avait plus prononcé un mot à ce sujet de toute la soirée, pire elle avait tenté de noyer le poisson chaque fois que je tentais de ramener le sujet sur la table.
Le réveil venait de sonner, nouvelle journée de travail. Bien entendu, mon sexe avait retrouvé sa place dans sa cage de chasteté.
Je me jetais sous la douche en attendant que le séchoir fasse son office, une fois que le travail était terminé, je récupérais les bas et le string que j'enfilais avant de mettre mon pantalon par dessus, ainsi qu'un polo et une paire de baskets, prêt à aller travailler.
Christelle dormait encore, doucement, je posais mes lèvres sur son front, elle gémissait un petit coup et se retournait dans le lit comme si un insupportable intrus venait de la déranger dans son sommeil.
C'était ce qui me faisait le plus peur : le couple que l'on formait était très heureux avant et j'avais tout à fait conscience que c'était ma tromperie qui avait démarré toute cette histoire, mais même si je me découvrais avec bonheur un côté soumis, je ne pouvais m'empêcher d'avoir peur de la perdre.
Et si elle tombait amoureuse d'un de ses amants ?
Et si, à force de me dominer, elle perdait toute estime pour moi ?
Et si notre relation non conventionnelle finissait par se savoir ?
Et moi dans tout ça ? Jusqu’où étais-je prêt à aller ? Il était évident que j'avais déjà été bien au delà de mes limites, j'aimerais dire que ce n'était que par amour, mais j'aimais cela, je devais l'admettre ...
Une fois dehors, je jetais un rapide coup d’œil à mes SMS, histoire de ne pas rater le défi du jour et bien entendu, j'avais un message de Maîtresse Jenny qui disait simplement « ce soir, Christelle a tout pouvoirs, tu devras obéir et ne rien dire »
Qu'est ce que cela pouvait bien signifier ? N'était-ce pas déjà le cas ?
La journée de travail se déroulait sans véritable accroc, si ce n'est les regards insistants de Paul, spécifiquement sur le haut de mon jeans, comme s'il essayait de voir si je portais toujours les mêmes sous vêtements, cette fois j'étais bien plus prudent, hors de question d'avoir une nouvelle discussion gênante comme l'autre jour.
— Alex ?
L'interpellation de Paul m'avait fait sursauter, j'étais tellement perdu dans mes pensées que je n'y avais même pas porté attention.
— Tu as réfléchis à ma proposition ?
— Je ...
Encore cette histoire de travestissement, décidément, Paul insistait.
— Paul, je t'ai déjà dis que c'était pour homme !
— Non, je parle du dîner avec Laeti et moi ...
— Oops, désolé ... Non, je n'ai pas encore eu l'occasion d'en parler avec Christelle je t'avoue.
— Çà marche, mais ne me fait pas trop attendre, Laeti est très curieuse.
— Elle devrait s'entendre avec Christelle alors, pourquoi ne veut-elle pas que j'amène ma femme avec moi ?
— Je te l'ai dis : elle est timide.
Mouais, vu l'attitude de Paul, je me rendais bien compte qu'il y avait autre chose, mais je préférais me contenter de hocher la tète, afin de me débarrasser de cette discussion, plus j'y pensais et moins je n'avais d'envie de rencontrer une femme qui ne veut pas rencontrer la mienne, je trouvais ça extrêmement suspect, surtout avec ce que Paul avait laissé échappé hier ...
A l'heure prévue, je quittait le travail, Paul venait déjà de partir et je le recroisais sur le parking, il était justement accompagné de sa femme ; une femme splendide, avec des lèvres fines, des yeux en amande et de longs cheveux blonds qui cascadaient sur ses épaules, elle portait une veste de training pas sexy pour un sou, un jeans et une paire d'escarpins.
Je les saluais rapidement et me dirigeais vers ma voiture, le regard de Laeti ne semblait pas vouloir me lâcher.
Quelques instants plus tard, j'étais enfin à la maison, je refermais la porte derrière moi, très curieux de voir à quelle sauce j'allais être mangé.
Mon regard se posais alors sur un salon ... Vide ...
— Christelle ?
Pas de Christelle
Je regardais rapidement dans la salle à manger, mais rien, je me dirigeais vers la salle de bain, mais repérais un post-it sur la porte.
Sur le post-it était écrit « déshabille-toi et attends moi à genoux dans la chambre »
Je m’exécutais donc, retirant chaussures et vêtements avant de me diriger vers notre chambre à coucher, je restais la quelques secondes comme un idiot.
— C'est fait !
Lançais-je à la cantonade.
J'entendais alors le bruit de la porte de la salle de bain s'ouvrir et une paire de talons claquer sur le sol.
— Baisse les yeux !
La voix de Christelle prenait en assurance au fur et à mesure que nous expérimentions et nos jeux également.
Mon regard se posait alors sur les pieds de ma femme enfoncés dans des chaussures à talons hauts que je n'avais encore jamais vue.
— Lèche !
Petit rituel habituel, je me penchais en avant, plaçant mes mains de part et d'autre des pieds de ma dominatrice avant de poser ma langue sur le dos de son peton et de m'atteler au travail de satisfaire ma Maîtresse.
Ma langue passait ainsi sur les contours de la chaussure, puis sur le dos du pied, entre les orteils ...
— Ça suffit !
Je m'interrompais tout net.
— Lève la tète !
Je pouvais enfin voir Christelle : elle était entièrement nue, son gode ceinture dressé dans ma direction.
Sa main venait s'emparer de mes cheveux et avec douceur elle m'enfonçait le gode dans la bouche, comme la veille je me donnais en devoir de pratiquer la meilleure fellation possible, jusqu'à ce qu'elle s'interrompe et me présente un tube noir et blanc.
— Tu sais ce que c'est ?
Je plissais les yeux pour mieux voir ce qui était écris ...
— Lubri ... Non !
— Oh si, ce soir on va tester ça !
— Chris ... Heu ... Maîtresse Christelle ...
— Chhuuttt, je vais y aller doucement, c'est promis, n'oublie pas ton défi : c'est moi qui commande ...
La garce avait l'air d'aimer ça, mais étais-je prêt à me faire prendre au gode ceinture, comme ça ?
— A quatre pattes, sur le lit !
Je m’exécutais alors, je serrais les dents très inquiet, allais-je vraiment faire une telle chose ? Si je refusais nous allions perdre notre défi, mais il fallait voir les choses en face : nous n'étions que mardi et il était question que me fasse prendre, comment allait terminer la semaine au juste ?
Contre tout attente ce fut le regard de Christelle qui se plantait dans le mien et posais ses mains sur les miennes.
— Écoute ... Je sais que je t'en demande beaucoup, mais j'ai vraiment envie d'essayer, mon défi de ce soir c'était de tester quelque chose avec toi, quelque chose que nous n'avons pas encore testé et qui m'excite.
Ses lèvres se posèrent sur les miennes.
— Alors s'il te plais Alex ... Ne me le refuse pas, je te promets de m'arrêter si ça ne va pas ...
Je la regardais quelques secondes, c'étaient ces quelques secondes de regard complice ou l'on avait pas besoin de communiquer pour se comprendre, oui j'avais accepté et pour rentrer dans le rôle, je posais ma tète dans l'oreiller et écartait mes fesses avec mes mains.
Je sentais d'abord une impression de froid sur mon anus, puis le doigt délicat de Christelle qui caressait le pourtour de ma rondelle avec douceur, enfonçant un doigt pour commencer.
Elle effectuait quelques vas-et-viens.
Je devais l'admettre : c'était très agréable ...
— Je pense que tu es prête ...
Hein ? « Prête » ? J'avais du mal entendre, de toute façon, ce n'était pas le moment de s'en inquiéter parce que le monstre allait arriver et déchirer l'intérieur de ma porte arrière.
Je sentais le bout du gode rose frotter contre mon anus, puis s'enfoncer doucement, il pénétrait en moi et je n'aimais pas ça, j'avais l'impression d'avoir une envie d'aller poser une pêche, je ressentais comme une douleur lancinante et brûlante le long de la paroi de mon intérieur, comme si l'on y avait enfoncé un tisonnier.
Mes doigts s’enfonçaient dans l'oreiller, tandis que les mains de Christelle se posaient sur mes fesses.
— Pousse !
— Hein ?
— Si tu as mal, pousse comme si tu allais à la toilette ...
— Je ... Ok ...
— On dit « oui Maîtresse » !
— Oui Maîtresse ...
Alors je poussais avec mon anus, comme si j'essayais de déféquer, bizarrement cela semblait marcher, la douleur était toujours présente, mais beaucoup moins.
Christelle n'avait pas menti, elle y allait doucement, son rythme de coups de rein, s'enfonçait en trois secondes et en mettait cinq à ressortir comme une répétition dans un exercice de muscu.
Soudain, le gode sortait de mon anus, comme un soulagement, avait-elle terminé.
— Je sens que ça marche bien, tu vas te retourner maintenant !
— Oui Maîtresse ...
Pour être honnête ce n'était pas désagréable du tout, je m’exécutais donc et levais les jambes, je me sentais un peu honteux dans cette position.
Christelle posais ses mains sur l'arrière de mes cuisses et s'enfonçait à nouveau, me pénétrant un rien plus rapidement, curieusement cette position semblait faciliter la pénétration.
Je soufflais fort, quand je sentais les hanches de ma femme contre mes fesses, dans ma tète un calcul se faisait à pleine vitesse : je revoyais la taille du gode et réalisais qu'il était entièrement enfoncé en moi.
Christelle commençait alors à remuer avec son gode et, sans trop que je sache pourquoi, cela me procurait une drôle de sensation, un bien fou qui commençait à monter de plus en plus.
— Christelle ... Je vais ... Heu ... Maîtresse ...
Trop tard, sans même y avoir toucher, mon pénis accusait plusieurs soubresauts bloqués par la cage, des quantités impressionnantes de sperme se déversaient sur l'acier qui m'emprisonnait et sur mon nombril, tandis que je gémissais avec force, mon corps entier était en train de trembler et le regard de Christelle ...
Je n'aurai jamais cru lui voir un regard pareil : un mélange de fierté et de douceur.
Lorsque Christelle sortait de moi, je m'allongeais, sentant encore les tremblement de plaisir, ma femme attrapait la clef de la cage attachée à sa cheville et venait me libérer, puis elle se collait à moi quelques instants.
Aucune de nous ne parlait, l'on venait de vivre une expérience incroyable : elle venait de me sodomiser et j'en avais jouis, de ce que j'en savais, ce n'était pas facile à atteindre, depuis combien de temps cette idée lui traversait l'esprit ?
Et si ...
Et si elle avait été chez Maîtresse Jennifer et avait baisé Ellie ?
Et si ...
Et si elle avait baisé avec Alonso ?
Et si ...
Et si ils avaient fait une méga partouze sans moi ?
Non, je devais me résonner, j'étais en train de me faire un film digne d'une production pornographique de haut vol, mais cela n'empêchait pas mon sexe de se tendre.
— Encore excité ?
— Je ... Oui, très ...
— Tu peux te branler si tu veux ...
— Je préférerais que tu me le fasse ...
Alors elle s’exécutait, il n'y avait plus de dominatrice ou de soumis, juste un couple amoureux et Madame qui donnait du plaisir à Monsieur avec sa main.
Du moins le croyais-je.
Au bout de quelques minutes, je sentais que ça venait, mon regard se plantait dans celui de Christelle.
— Tu vas venir ?
Me demandait-elle, je hochais la tète pour confirmer et ... Elle s'arrêtait ...
— Hey, tu fais quoi la !
— Je corse le jeu, retourne toi ...
— A quatre pattes ?
— Oui !
Je m’exécutais et elle posais ses doigts autour de mon pénis.
— Maintenant baise ma main !
— Quoi ?
— Tu veux jouir, tu baises ma main !
Je restais un moment interloqué, mais je comprenais rapidement que la Maîtresse était toujours la alors je m’exécutais à donner des coups de rein dans la main de Christelle qui desserrait son étreinte petit à petit ...
Tout à coup je sentais un doigt s'enfoncer dans mon anus, puis un second.
— Continue !
Je poursuivais, mais bientôt, sa main n'était plus autour de mon sexe, seul le plat de sa main était dessus.
— Je m'ennuie la, tu as dix secondes pour jouir.
— Mais Chris ... heu Maîtresse ... Je ne peux pas y arriver comme ça.
— Alors tant pis
Non, il fallait que je jouisse, j'allais devenir fou, je me frottais contre sa main comme si j'étais en manque, tandis que sa voix cristalline était en train de compter
— Dix ... Neuf ... Huit ...
Je frottais comme un fou, sentant ses doigts dans mon anus et ses autre doigt sur l'avant de mon sexe.
Impossible de jouir.
— Quatre ... trois ...
— Je t'en supplie Chris ...
— « Maîtresse Christelle » ! Deux ... Un ...
— Nooonnnn !!!
— Zéro ...
Je n'y étais pas parvenu, elle partait rapidement vers la salle de bain avec la cage pour la nettoyer, je m’apprêtais à empoigner mon sexe pour me terminer ...
— N'y penses même pas !
Aussitôt lachais-je mon pénis qui pulsait de désir.
Christelle enfonçait à nouveau mon sexe dedans en appuyant sans modération jusqu'à ce qu'il ramollisse et s'enferme, le cliquetis de la serrure sonnait comme la condamnation à mort de mon orgasme potentiel ...
Le reste de la soirée fut plutôt simple, l'on s'était mis un plateau télé, mon esprit s'était vite concentré sur autre chose, même si voir ma femme intégralement nue était toujours un spectacle excitant ...
— Au fait Christelle, Paul m'a invité à dîner chez eux pour rencontrer sa femme ...
Sans quitter l'écran de la télévision des yeux, Chris me répondait simplement :
— Génial, tu veux y aller quand ?
Je déglutissais, cela me faisait bizarre de demander ça autant que cela m'avait fait bizarre de l'entendre.
— Le hic c'est qu'apparemment sa femme est ultra timide, elle veut que je vienne seul.
Chris s'était interrompue, se fourchette dans la bouche, elle tournait lentement son regard vers moi.
— Oh non ... Tu n'es pas en train de me tromper à nouveau ?
Évidemment, cela lui faisait bizarre, je commençais à trembler de peur.
— Non Christelle, je te jure que non, c'est vraiment ce qu'il m'a dit, même si j'ai trouvé ça super bizarre ...
Christelle enfournait encore une bouchée avant de prendre mon téléphone et de composer le numéro de Paul, une fois que celui-ci décrochait, elle lui demandait confirmation, je la regardais tout du long.
Certes, j'aurai pu trouver ça vexant qu'elle ne me fasse pas confiance, mais depuis l'affaire Anaïs, je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir, c'était moi qui avait été infidèle après tout ...
Une fois confirmation obtenue, elle me regardait.
— Demain, dix-huit heure ...
— Hein ?
— Tu as rendez-vous avec eux ...
— T'aurai pu me demander mon avis !
— Moi ça m'arrange, j'ai un truc à faire.
— Quoi donc ?
Christelle me souriait alors et posait un baiser sur mes lèvres, avant de me répondre. Sa bouche n'avait pas bougé et sentait bon la sauce Chasseur.
— Un truc qui va beaucoup te plaire, une petite surprise que je t'ai concoctée ...
Les défis imaginés par Maîtresse Jennifer étaient lancés, Alexandre et Christelle attaquaient le lundi, chacun avec un défi différent, ainsi Alex se vit offrir une paire de bas et un string à porter durant la journée, tandis que Christelle avait pour défi de mimer une relation extra-conjugale avec des amants au moyen de dildos.
Pour Alex une évidence était en train de se former dans son esprit : il aimait le fantasme de cuckolding et devait finalement se résigner à l'avouer à Christelle ...
« Je veux te voir baiser avec un amant » pourquoi avais-je dis une telle chose ?
La scène s'était arrêtée, comme ça, d'un coup, elle n'avait plus prononcé un mot à ce sujet de toute la soirée, pire elle avait tenté de noyer le poisson chaque fois que je tentais de ramener le sujet sur la table.
Le réveil venait de sonner, nouvelle journée de travail. Bien entendu, mon sexe avait retrouvé sa place dans sa cage de chasteté.
Je me jetais sous la douche en attendant que le séchoir fasse son office, une fois que le travail était terminé, je récupérais les bas et le string que j'enfilais avant de mettre mon pantalon par dessus, ainsi qu'un polo et une paire de baskets, prêt à aller travailler.
Christelle dormait encore, doucement, je posais mes lèvres sur son front, elle gémissait un petit coup et se retournait dans le lit comme si un insupportable intrus venait de la déranger dans son sommeil.
C'était ce qui me faisait le plus peur : le couple que l'on formait était très heureux avant et j'avais tout à fait conscience que c'était ma tromperie qui avait démarré toute cette histoire, mais même si je me découvrais avec bonheur un côté soumis, je ne pouvais m'empêcher d'avoir peur de la perdre.
Et si elle tombait amoureuse d'un de ses amants ?
Et si, à force de me dominer, elle perdait toute estime pour moi ?
Et si notre relation non conventionnelle finissait par se savoir ?
Et moi dans tout ça ? Jusqu’où étais-je prêt à aller ? Il était évident que j'avais déjà été bien au delà de mes limites, j'aimerais dire que ce n'était que par amour, mais j'aimais cela, je devais l'admettre ...
Une fois dehors, je jetais un rapide coup d’œil à mes SMS, histoire de ne pas rater le défi du jour et bien entendu, j'avais un message de Maîtresse Jenny qui disait simplement « ce soir, Christelle a tout pouvoirs, tu devras obéir et ne rien dire »
Qu'est ce que cela pouvait bien signifier ? N'était-ce pas déjà le cas ?
La journée de travail se déroulait sans véritable accroc, si ce n'est les regards insistants de Paul, spécifiquement sur le haut de mon jeans, comme s'il essayait de voir si je portais toujours les mêmes sous vêtements, cette fois j'étais bien plus prudent, hors de question d'avoir une nouvelle discussion gênante comme l'autre jour.
— Alex ?
L'interpellation de Paul m'avait fait sursauter, j'étais tellement perdu dans mes pensées que je n'y avais même pas porté attention.
— Tu as réfléchis à ma proposition ?
— Je ...
Encore cette histoire de travestissement, décidément, Paul insistait.
— Paul, je t'ai déjà dis que c'était pour homme !
— Non, je parle du dîner avec Laeti et moi ...
— Oops, désolé ... Non, je n'ai pas encore eu l'occasion d'en parler avec Christelle je t'avoue.
— Çà marche, mais ne me fait pas trop attendre, Laeti est très curieuse.
— Elle devrait s'entendre avec Christelle alors, pourquoi ne veut-elle pas que j'amène ma femme avec moi ?
— Je te l'ai dis : elle est timide.
Mouais, vu l'attitude de Paul, je me rendais bien compte qu'il y avait autre chose, mais je préférais me contenter de hocher la tète, afin de me débarrasser de cette discussion, plus j'y pensais et moins je n'avais d'envie de rencontrer une femme qui ne veut pas rencontrer la mienne, je trouvais ça extrêmement suspect, surtout avec ce que Paul avait laissé échappé hier ...
A l'heure prévue, je quittait le travail, Paul venait déjà de partir et je le recroisais sur le parking, il était justement accompagné de sa femme ; une femme splendide, avec des lèvres fines, des yeux en amande et de longs cheveux blonds qui cascadaient sur ses épaules, elle portait une veste de training pas sexy pour un sou, un jeans et une paire d'escarpins.
Je les saluais rapidement et me dirigeais vers ma voiture, le regard de Laeti ne semblait pas vouloir me lâcher.
Quelques instants plus tard, j'étais enfin à la maison, je refermais la porte derrière moi, très curieux de voir à quelle sauce j'allais être mangé.
Mon regard se posais alors sur un salon ... Vide ...
— Christelle ?
Pas de Christelle
Je regardais rapidement dans la salle à manger, mais rien, je me dirigeais vers la salle de bain, mais repérais un post-it sur la porte.
Sur le post-it était écrit « déshabille-toi et attends moi à genoux dans la chambre »
Je m’exécutais donc, retirant chaussures et vêtements avant de me diriger vers notre chambre à coucher, je restais la quelques secondes comme un idiot.
— C'est fait !
Lançais-je à la cantonade.
J'entendais alors le bruit de la porte de la salle de bain s'ouvrir et une paire de talons claquer sur le sol.
— Baisse les yeux !
La voix de Christelle prenait en assurance au fur et à mesure que nous expérimentions et nos jeux également.
Mon regard se posait alors sur les pieds de ma femme enfoncés dans des chaussures à talons hauts que je n'avais encore jamais vue.
— Lèche !
Petit rituel habituel, je me penchais en avant, plaçant mes mains de part et d'autre des pieds de ma dominatrice avant de poser ma langue sur le dos de son peton et de m'atteler au travail de satisfaire ma Maîtresse.
Ma langue passait ainsi sur les contours de la chaussure, puis sur le dos du pied, entre les orteils ...
— Ça suffit !
Je m'interrompais tout net.
— Lève la tète !
Je pouvais enfin voir Christelle : elle était entièrement nue, son gode ceinture dressé dans ma direction.
Sa main venait s'emparer de mes cheveux et avec douceur elle m'enfonçait le gode dans la bouche, comme la veille je me donnais en devoir de pratiquer la meilleure fellation possible, jusqu'à ce qu'elle s'interrompe et me présente un tube noir et blanc.
— Tu sais ce que c'est ?
Je plissais les yeux pour mieux voir ce qui était écris ...
— Lubri ... Non !
— Oh si, ce soir on va tester ça !
— Chris ... Heu ... Maîtresse Christelle ...
— Chhuuttt, je vais y aller doucement, c'est promis, n'oublie pas ton défi : c'est moi qui commande ...
La garce avait l'air d'aimer ça, mais étais-je prêt à me faire prendre au gode ceinture, comme ça ?
— A quatre pattes, sur le lit !
Je m’exécutais alors, je serrais les dents très inquiet, allais-je vraiment faire une telle chose ? Si je refusais nous allions perdre notre défi, mais il fallait voir les choses en face : nous n'étions que mardi et il était question que me fasse prendre, comment allait terminer la semaine au juste ?
Contre tout attente ce fut le regard de Christelle qui se plantait dans le mien et posais ses mains sur les miennes.
— Écoute ... Je sais que je t'en demande beaucoup, mais j'ai vraiment envie d'essayer, mon défi de ce soir c'était de tester quelque chose avec toi, quelque chose que nous n'avons pas encore testé et qui m'excite.
Ses lèvres se posèrent sur les miennes.
— Alors s'il te plais Alex ... Ne me le refuse pas, je te promets de m'arrêter si ça ne va pas ...
Je la regardais quelques secondes, c'étaient ces quelques secondes de regard complice ou l'on avait pas besoin de communiquer pour se comprendre, oui j'avais accepté et pour rentrer dans le rôle, je posais ma tète dans l'oreiller et écartait mes fesses avec mes mains.
Je sentais d'abord une impression de froid sur mon anus, puis le doigt délicat de Christelle qui caressait le pourtour de ma rondelle avec douceur, enfonçant un doigt pour commencer.
Elle effectuait quelques vas-et-viens.
Je devais l'admettre : c'était très agréable ...
— Je pense que tu es prête ...
Hein ? « Prête » ? J'avais du mal entendre, de toute façon, ce n'était pas le moment de s'en inquiéter parce que le monstre allait arriver et déchirer l'intérieur de ma porte arrière.
Je sentais le bout du gode rose frotter contre mon anus, puis s'enfoncer doucement, il pénétrait en moi et je n'aimais pas ça, j'avais l'impression d'avoir une envie d'aller poser une pêche, je ressentais comme une douleur lancinante et brûlante le long de la paroi de mon intérieur, comme si l'on y avait enfoncé un tisonnier.
Mes doigts s’enfonçaient dans l'oreiller, tandis que les mains de Christelle se posaient sur mes fesses.
— Pousse !
— Hein ?
— Si tu as mal, pousse comme si tu allais à la toilette ...
— Je ... Ok ...
— On dit « oui Maîtresse » !
— Oui Maîtresse ...
Alors je poussais avec mon anus, comme si j'essayais de déféquer, bizarrement cela semblait marcher, la douleur était toujours présente, mais beaucoup moins.
Christelle n'avait pas menti, elle y allait doucement, son rythme de coups de rein, s'enfonçait en trois secondes et en mettait cinq à ressortir comme une répétition dans un exercice de muscu.
Soudain, le gode sortait de mon anus, comme un soulagement, avait-elle terminé.
— Je sens que ça marche bien, tu vas te retourner maintenant !
— Oui Maîtresse ...
Pour être honnête ce n'était pas désagréable du tout, je m’exécutais donc et levais les jambes, je me sentais un peu honteux dans cette position.
Christelle posais ses mains sur l'arrière de mes cuisses et s'enfonçait à nouveau, me pénétrant un rien plus rapidement, curieusement cette position semblait faciliter la pénétration.
Je soufflais fort, quand je sentais les hanches de ma femme contre mes fesses, dans ma tète un calcul se faisait à pleine vitesse : je revoyais la taille du gode et réalisais qu'il était entièrement enfoncé en moi.
Christelle commençait alors à remuer avec son gode et, sans trop que je sache pourquoi, cela me procurait une drôle de sensation, un bien fou qui commençait à monter de plus en plus.
— Christelle ... Je vais ... Heu ... Maîtresse ...
Trop tard, sans même y avoir toucher, mon pénis accusait plusieurs soubresauts bloqués par la cage, des quantités impressionnantes de sperme se déversaient sur l'acier qui m'emprisonnait et sur mon nombril, tandis que je gémissais avec force, mon corps entier était en train de trembler et le regard de Christelle ...
Je n'aurai jamais cru lui voir un regard pareil : un mélange de fierté et de douceur.
Lorsque Christelle sortait de moi, je m'allongeais, sentant encore les tremblement de plaisir, ma femme attrapait la clef de la cage attachée à sa cheville et venait me libérer, puis elle se collait à moi quelques instants.
Aucune de nous ne parlait, l'on venait de vivre une expérience incroyable : elle venait de me sodomiser et j'en avais jouis, de ce que j'en savais, ce n'était pas facile à atteindre, depuis combien de temps cette idée lui traversait l'esprit ?
Et si ...
Et si elle avait été chez Maîtresse Jennifer et avait baisé Ellie ?
Et si ...
Et si elle avait baisé avec Alonso ?
Et si ...
Et si ils avaient fait une méga partouze sans moi ?
Non, je devais me résonner, j'étais en train de me faire un film digne d'une production pornographique de haut vol, mais cela n'empêchait pas mon sexe de se tendre.
— Encore excité ?
— Je ... Oui, très ...
— Tu peux te branler si tu veux ...
— Je préférerais que tu me le fasse ...
Alors elle s’exécutait, il n'y avait plus de dominatrice ou de soumis, juste un couple amoureux et Madame qui donnait du plaisir à Monsieur avec sa main.
Du moins le croyais-je.
Au bout de quelques minutes, je sentais que ça venait, mon regard se plantait dans celui de Christelle.
— Tu vas venir ?
Me demandait-elle, je hochais la tète pour confirmer et ... Elle s'arrêtait ...
— Hey, tu fais quoi la !
— Je corse le jeu, retourne toi ...
— A quatre pattes ?
— Oui !
Je m’exécutais et elle posais ses doigts autour de mon pénis.
— Maintenant baise ma main !
— Quoi ?
— Tu veux jouir, tu baises ma main !
Je restais un moment interloqué, mais je comprenais rapidement que la Maîtresse était toujours la alors je m’exécutais à donner des coups de rein dans la main de Christelle qui desserrait son étreinte petit à petit ...
Tout à coup je sentais un doigt s'enfoncer dans mon anus, puis un second.
— Continue !
Je poursuivais, mais bientôt, sa main n'était plus autour de mon sexe, seul le plat de sa main était dessus.
— Je m'ennuie la, tu as dix secondes pour jouir.
— Mais Chris ... heu Maîtresse ... Je ne peux pas y arriver comme ça.
— Alors tant pis
Non, il fallait que je jouisse, j'allais devenir fou, je me frottais contre sa main comme si j'étais en manque, tandis que sa voix cristalline était en train de compter
— Dix ... Neuf ... Huit ...
Je frottais comme un fou, sentant ses doigts dans mon anus et ses autre doigt sur l'avant de mon sexe.
Impossible de jouir.
— Quatre ... trois ...
— Je t'en supplie Chris ...
— « Maîtresse Christelle » ! Deux ... Un ...
— Nooonnnn !!!
— Zéro ...
Je n'y étais pas parvenu, elle partait rapidement vers la salle de bain avec la cage pour la nettoyer, je m’apprêtais à empoigner mon sexe pour me terminer ...
— N'y penses même pas !
Aussitôt lachais-je mon pénis qui pulsait de désir.
Christelle enfonçait à nouveau mon sexe dedans en appuyant sans modération jusqu'à ce qu'il ramollisse et s'enferme, le cliquetis de la serrure sonnait comme la condamnation à mort de mon orgasme potentiel ...
Le reste de la soirée fut plutôt simple, l'on s'était mis un plateau télé, mon esprit s'était vite concentré sur autre chose, même si voir ma femme intégralement nue était toujours un spectacle excitant ...
— Au fait Christelle, Paul m'a invité à dîner chez eux pour rencontrer sa femme ...
Sans quitter l'écran de la télévision des yeux, Chris me répondait simplement :
— Génial, tu veux y aller quand ?
Je déglutissais, cela me faisait bizarre de demander ça autant que cela m'avait fait bizarre de l'entendre.
— Le hic c'est qu'apparemment sa femme est ultra timide, elle veut que je vienne seul.
Chris s'était interrompue, se fourchette dans la bouche, elle tournait lentement son regard vers moi.
— Oh non ... Tu n'es pas en train de me tromper à nouveau ?
Évidemment, cela lui faisait bizarre, je commençais à trembler de peur.
— Non Christelle, je te jure que non, c'est vraiment ce qu'il m'a dit, même si j'ai trouvé ça super bizarre ...
Christelle enfournait encore une bouchée avant de prendre mon téléphone et de composer le numéro de Paul, une fois que celui-ci décrochait, elle lui demandait confirmation, je la regardais tout du long.
Certes, j'aurai pu trouver ça vexant qu'elle ne me fasse pas confiance, mais depuis l'affaire Anaïs, je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir, c'était moi qui avait été infidèle après tout ...
Une fois confirmation obtenue, elle me regardait.
— Demain, dix-huit heure ...
— Hein ?
— Tu as rendez-vous avec eux ...
— T'aurai pu me demander mon avis !
— Moi ça m'arrange, j'ai un truc à faire.
— Quoi donc ?
Christelle me souriait alors et posait un baiser sur mes lèvres, avant de me répondre. Sa bouche n'avait pas bougé et sentait bon la sauce Chasseur.
— Un truc qui va beaucoup te plaire, une petite surprise que je t'ai concoctée ...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi bien écrit
Vivement la suite
Vivement la suite
Bonjour à vous deux,
Pas d'inquiétude, je suis en pleine rédaction de la suite qui devrait être envoyée cette semaine, j'ignore en revanche combien de temps prendra la validation.
Merci à vous de me suivre, ce sont vos commentaires qui me motive à écrire.
Pas d'inquiétude, je suis en pleine rédaction de la suite qui devrait être envoyée cette semaine, j'ignore en revanche combien de temps prendra la validation.
Merci à vous de me suivre, ce sont vos commentaires qui me motive à écrire.
Bonjour leatherbite, toujours aussi prenant votre histoire.
Nous voulons une suite 😉
Nous voulons une suite 😉