Doux foyer (6)

- Par l'auteur HDS Leatherbite -
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Récit libertin : Doux foyer (6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Doux foyer (6)
CHAPITRE 6

Résumé de l'épisode précédent :
Christelle a révélé à Alex qu'elle avait prit des conseils auprès d'une dominatrice plus expérimentée : Maîtresse Jenny. Celle-ci les invitent chez elle pour un dîner à ambiance domination.
Durant la soirée, le couple fait la connaissance de Ellie, une jeune sissy soubrette, la soumise principale de Maîtresse Jenny.
Dans le but de tenter de développer un peu plus la soumission d'Alex et éventuellement sa bisexualité, elle confronte le jeune homme à l'un de ses esclaves en lui demandant de le masturber, Alex prend peur quand il réalise que Christelle ne se contrôle plus et doit être rappelée à l'ordre par Maîtresse Jenny qui lui rappelle l'importance des limites.
Lorsque Christelle réalise son erreur, Alex décide quand-même d'obéir pour lui faire plaisir.
A ce moment la, Maîtresse Jenny ordonne à Ellie de sucer son dildo, alors qu'elle s'apprête à raconter le passé de la jeune sissy.

Éloignons nous un petit peu de Alex et Christelle ...
Si vous avez bien suivi le chapitre précédent, je suis Ellie, malgré les apparences, j'ai vingt trois ans, cela fait à peu prêt deux ans que je suis devenue une jeune sissy soubrette, mais cela n'a pas toujours été le cas.

Quand j'étais jeune, avant la perruque rose, la cage de chasteté, les robes, la soumission, la prise d'hormones, je m'appelais Elliot, j'étais un garçon chatain, assez timide, toujours la bonne poire du groupe et pas dégourdi pour un sou.
J'avais souvent l'impression de ne servir à rien, que mes parents ne m'aimaient pas et que je ne trouverai jamais l'amour.
C'est bête, mais je pensais sincèrement que chaque être humain avait une âme sœur et que nous devions être en nombre impair, dans mon esprit, j'étais celui de trop.

Comme je n'avais aucune confiance en moi, j'étais mauvais à l'école et mes notes s'en ressentaient, si bien qu'une fois sorti du collège, je n'avais pas grand chose à part un diplôme de vente en poche, dont je ne faisais rien car je passais mon temps sur ma console de jeu ...
Même ça, ce n'était pas un plaisir ...
Le sport ? N'en parlons même pas, j'étais nul, j'avais toujours eu un corps chétif et même quand j'ai commencé à fréquenter une salle de sport, mon corps ne changeait pas, j'ignorai qu'il fallait compter ses aliments, manger des protéines etc ...
Quand je l'ai su, j'ai aussitôt abandonné, comme beaucoup d'autres choses.

J'étais frustré ...

J'avais déjà ce fantasme de féminisation et de me soumettre à une dominatrice, mais -comme tout le reste- je me disais que je n'arriverai jamais à être assez bon pour servir une femme.
Jusqu'à ce que je rencontre Maîtresse Jenny ...

Mes parents en avaient marre de me voir végéter sans rien faire, ils ont donc décidé de me pousser à faire du bénévolat dans une clinique.
C'est la que j'ai rencontré Jennifer ...
Elle avait vingt-neuf ans à l'époque et même dans son uniforme d'infirmière, elle était sexy a tombé.
Comprenez bien : dans les films les uniformes d'infirmières c'est magnifique, mais en vérité, c'est juste trop laid.
Mais Jennifer, elle, était tellement parfaite ...

Comme je détestais ce job, je passais mon temps à fuir mon travail, de toute façon qu'allaient-ils faire ? Me virer ? D'un job bénévole ? La bonne blague ...

Jenny est moi on a fait connaissance en parlant de films d'horreur, j'étais passionné par les slashers et elle aussi, vous savez ? Ces films ou un tueur masqué s'en prend à des étudiants et souvent le coupable c'est l'un d'entre eux.
A cette époque on s'était rapprochés de plus en plus, cela allait mal avec son copain et moi je n'avais personne.
Un soir on s'est embrassés et à partir de ce soir la on est sortis ensemble.

Personnellement je n'en revenais pas : cette fille incroyablement sexy avait quitté son homme pour moi, je ne comprenais pas ce qu'elle me trouvait.
Elle disait souvent qu'elle était sorti avec tellement de bad boys que pour une fois, elle voulait un mec gentil et elle avait l'impression que j'en serai un.
En fait, je n'avais jamais réalisé jusqu'ici, mais il n'y qu'avec elle que je souriais et que je pouvais être moi-même.

Moins d'un mois plus tard, je lâchais le taf et je quittais l'appartement de mes parents pour vivre avec elle.
Comme d'hab, j'étais en train de tout faire foirer ...
D'une part, je n'avais pas de boulot et je n'en cherchais pas, d'autre part, je ne faisais rien comme tâches ménagères et enfin, le sexe était génial, mais comme je ne me masturbais plus, j'étais frustré de ne plus voir mes films de féminisation et -évidemment- hors de question d'en parler à Jenny.
Finalement, trop frustré, j'avais commencé à me masturber sur des vidéos sissy pendant qu'elle était au travail, le problème étant que quand elle rentrait, je n'avais jamais envie et même notre vie sexuelle en pâtissait.

Finalement la féminisation a sauvé nos vies ...

Jennifer avait commencé de manière subtile, un jour, alors que nous regardions la télévision (le programme était ennuyeux) elle s'est glissée à genoux devant le canapé et a baissé mon caleçon pour me sucer.
Jenny avait toujours été douée pour sucer, une véritable pro, capable de faire jouir n'importe qui avec ses lèvres pulpeuses.

Puis sans prévenir, elle avait posé les mains sur mes fesses, pendant que je sentais le gland caresser son palais et sa langue qui venait toucher le début de mes testicules.
Vu de l'extérieur c'était moi le dominant, vu de l'intérieur, c'était autre chose, car Jenny avait laissé glisser son majeur à l'entrée de mon anus « l'air de rien » cela semblait être une maladresse, mais cela m'excitais au plus haut point, aussi, ressentais-je un plaisir incontrôlé et je ne disais rien, même quand le bout de son doigt semblait s'enfoncer à l'intérieur.

Cela avait toujours été un début de fantasme de me faire doigter l'anus par une femme, alors je me taisais, faisant semblant de ne rien avoir remarqué, son doigt s'enfonçait de plus en plus, si bien que je commençais à me demander si elle ne le faisait pas exprès, mais c'était impossible, Jenny avait toujours été très classique dans sa sexualité.
Tout à coup, elle sortait son doigt de mon cul en réalisant ce qu'elle venait de faire.

— Oh pardon, je suis désolée !

— De quoi ?

Demandais-je en feignant l'ignorance

— J'avais mon doigt dans ton ... Oh pardon, je suis désolée, les mecs n'aiment pas ça d'habitude ...

— Hein ? Mais non jamais de la vie ...

— J'avais mon doigt dans ton cul Elliot, ne me dis pas que tu ne l'a pas remarqué !?

Bien sûr que si ...

— Non, je te jure, tu dois confondre.

— Je l'ai vu Elliot ...

Ok, comment me sortir de ce merdier ? Je ne voulais vraiment pas que Jennifer apprenne pour mes fantasmes si particulier.

— Je l'ai peut-être juste pas senti, t'as du mettre juste le bout ...

— Oui, c'est sûrement ça ...

C'était le premier incident ...

Le second eu lieu quelques temps plus tard ...

Jenny et moi étions au cinéma, nous arrivions en retard à la projection d'un slasher quelconque, elle m'expliquait alors qu'elle avait oublié de prendre des chips et me demandait si je voulais bien aller lui en chercher.
Je me levais en soupirant, je crois qu'on peut le dire, si j'avais de la chance de sortir avec quelqu'un comme Jenny malgré mon corps chétif et mon manque de virilité, je n'étais pourtant pas amoureux ...
Pas de cette Jenny la du moins ...

J'avais un peu traîné et lorsque je revins, ma chérie qui étais au siège du bord était maintenant en plein discussion avec un autre mec qui s'était installé à côté d'elle ... A ma place ...
Docilement je m'étais assis derrière elle, sans un mot, ce que je voyais me glaçait ...
L'homme semblait si proche d'elle, elle riait à ses blagues, ils avaient l'air presque ... Compatible ?
Je tapotai son épaule pour lui donner ses chips.

— Oh merci mon cœur, t'es un amour, tu connais Alonso ?

— Salut mec !

Je serrai la pogne du géant à la peau ébène, s'il le décidait il pouvait me briser en deux avec des muscles comme les siens.

Je devais l'admettre, Jenny était tellement parfaite et sexy qu'elle collait mieux dans le paysage avec Alonso qu'avec moi, cette pensée me rendait un peu triste, moi qui me trouvait incapable de rencontrer l'âme sœur, j'avais trouvé quelqu'un et je gâchais tout avec elle.
Sur le trajet du retour, elle passait son temps à me parler d'Alonso qu'elle l'avait rencontré au collège, qu'ils étaient sortis ensemble et moi, au lieu de me défendre et d'affirmer ma place de petit ami, je commençais à sortir des trucs ridicule du style « oui il est viril » « oui il est beau gosse » etc ...

Le troisième incident n'en était pas un et eu lieu le lendemain ...

Jenny avait prit sa journée et avait décidé de me faire une surprise, elle m'avait donné de l'argent pour aller lui chercher un pack de coca.
Lorsque je revenais à l'appartement et déposait le pack derrière le comptoir, j'entendais sa voix de la salle de main qui me disait que ma surprise m'attendait sur le lit.

Un peu curieux, je me dirigeais vers la chambre : il y avait un sac à dos et une énorme boite.
Dans la boite je trouvais une paire de talons hauts et dans le sac en toile, une tenue d'écolière, je souriais, apparemment cela allait devenir torride ...

— On dirait que quelqu'un veut être une écolière sexy aujourd'hui ?

— Qui ? Moi ?

Je souriais en me tournant vers la provenance de la voix, je voyais juste la tète de Jenny passée par l'embrasure de la porte.

— Qui d'autre ?

— Regarde la pointure des chaussures ...

Je regardais à l'intérieur, c'était beaucoup trop grand pour elle.

— Tu t'es trompée de taille mon amour.

— Je ne crois pas, c'est bien ta pointure non ?

Une pique se fit dans mon estomac.

— Comment ça ?

— Elliot, je ne suis pas stupide ...

Jenny rentrait dans la pièce, elle était habillée d'une jupe en cuir avec des escarpins et un chemisier.
Elle me prit les mains.

— J'ai compris que tu n'étais pas heureux avec moi, alors j'ai fouillé ton historique et j'ai vu les vidéos que tu regardes ...

— Je ...

— Ce n'est pas grave ... Je t'avoue que ça m'a un peu excitée ...

— Je voulais t'en parler tu sais, mais ...

Elle posait un doigt sur ma bouche.

— Maintenant je sais, alors habille toi et on va pouvoir en parler, mais je ne veux parler à Elliot, je veux parler à ... Emilie ? Eliana ? ... Ellie !

— Ellie ... J'aime bien Ellie ...

Une fois habillée, j'étais rentrée dans le salon, Jennifer fit claquer une cravache entre ses mains puis remuait cette dernière car elle s'était fait mal.

— Bon sang, ce n'est pas facile de jouer les dominatrices ...

— Tu n'es pas obligée tu sais ?

— Mais je veux ... Ca fait un moment que je suis au courant ... Tu sais Alonso ... C'est un soumis, comme toi, on n'est jamais sorti ensemble, je ne l'avais même jamais vu avant la soirée du cinéma, je voulais juste tester ta jalousie.

Jennifer s'approchait de moi et fit claquer la cravache sur mes fesses.

— Maintenant à genoux Ellie, car à partir d'aujourd'hui, notre vie va changer ...

Nos premières dominations furent un peu ... Nulle, mais nous apprenions avec le temps, petit à petit, j'étais doigtée de plus en plus souvent, genrée au féminin, habillée en femme à la maison et en homme au dehors, puis petit à petit, je faisais le ménage, le repassage, la lessive, tout pour faire plaisir, non plus à ma petite amie, mais à ma Maîtresse.

Au départ c'était de temps en temps, puis c'était devenu permanent.

L’apogée arrivait un jour d'été, Maîtresse Jenny était en congé et m'avait ordonné d'aller chercher un pack de Coca, j'avais enfilé rapidement un pantalon et un sweat shirt pour cacher ma tenue de soubrette et une paire de basket, lorsque je revins, Jenny était nue dans le canapé (à l'époque nous n'en avions qu'un)

— Approche, nous devons parler Ellie ...

Inquiète, j'avançais, vers elle, j'avais déjà laissé mon « déguisement d'homme » à l'entrée, j'étais à nouveau en robe de soubrette, je n'avais plus que mes escarpins à mettre.
Je pris place, pieds nus sur le panier en fourrure.

— Depuis que tu es encagée, nous n'avons plus de relations sexuelles et c'est un problème.

Je savais très bien ce qu'elle allait me dire ensuite, j'étais déjà impatiente, un autre fantasme à barrer sur la liste !

— J'ai invité Alonso pour qu'il s'occupe de moi, il attend dans la chambre, va le chercher.

Docilement, je m'étais relevée, avait enfilé mes talons et j'avais filé vers la chambre.
Alonso était la, intégralement nu, son sexe massif tendu tandis qu'il se masturbait.
Je le fis venir chez Maîtresse Jenny, cette dernière s'approchait de moi et me pris le visage entre les mains.

— Je veux que tu regarde, que tu n'en perde pas une miette et rappelle toi au plus profond de ta frustration, rappelle toi combien de fois je t'ai sucée, combien de fois tu m'a prise sur le lit et que ce genre d'acte n'arrivera plus jamais ...

Alors j'ai regardé ...
A genoux sur le panier, les mains sur les cuisses, j'ai regardé mon ex petite amie -et Maîtresse actuelle- faire ce qu'elle avait à faire pour avoir du plaisir.

Je la voyais à genoux, sucer Alonso qui la regardait, mains dans le dos, elle faisait courir ses lèvres sur son sexe tendu, ses mains accrochées à ses cuisses, l'une d'elle remontant à son fessier et lui doigtant l'anus.
Je l'entendais gémir, elle me jetait quelques coups d’œil à la dérobée, je restais totalement impassible, sentant mon sexe durcir dans la cage de chasteté.

Puis elle se fit prendre à quatre pattes, me regardant dans le blanc des yeux, je ne bougeais pas, je ne réagissais pas, véritable statue de granit prenant du plaisir à un spectacle si frustrant, Jenny n'était pas en reste, elle hurlait son plaisir à mon visage.

— Vient me lécher ...

Silencieusement, sans contredire ma dominante, je me couchais en dessous d'elle, passant ma langue sur son intimité, elle touchait parfois le sexe de Alonso encore en plein acte, c'était la première fois que je léchais un sexe d'homme, mais je m'en fichais, tant que ma maîtresse était contente.

Alonso attrapait sans gène les hanches de notre dominatrice pour donner des coups de rein puissant et fort, je sentais le corps de ma Maîtresse trembler de plus en plus, jusqu'à l'explosion de plaisir, elle hurlait, tremblait et rependait son liquide sur mon visage.

J'étais satisfaite, comblée d'être ainsi humiliée et ridiculisée par la femme que j'aimais. Je n'aimais pas la Jenny petite amie, je désirais la Jennifer dominante et sûre d'elle. J'avais conscience du nombre d'hommes qui la regardaient en espérant pouvoir coucher avec, la mettre à genoux, mettre leurs sexes dans sa bouche, moi je ne rêvais que de les voir faire et pourtant j'étais amoureux et c'était par amour pour CETTE Jenny que je ne demandais pas mieux de la voir s'amuser avec d'autres hommes ...

J'avais toujours été un loser sans aucune ambition, Jennifer avait été la bouffée d'air frais de mon existence et -même la- j'étais arrivée à tout fiche par terre, mais maintenant j'avais trouvé mon but dans la vie : servir Maîtresse Jenny, plus rien d'autre n'avait d'importance ...

De nos jours ...

A genoux, le corps immobile, je suçais le gode ceinture de ma Maîtresse tandis qu'elle exposait mon histoire à Alex et sa femme. Je n'avais cure qu'elle décrive mon moi d'autrefois comme un fainéant, un mec sans virilité ou d'autres mots encore moins flatteurs, je faisais ce que Maîtresse Jenny demandait et c'était tout ce qui importait ...

La cerise sur le gâteau de l'humiliation : je sentais les regards sur moi, celui de Maîtresse Jenny -et c'était bien normal- mais surtout celui de Christelle et Alexandre, deux inconnus qui débutaient dans ce milieu.

— Stop !

Je m'arrêtais comme demandé, ma Maîtresse se plaçait alors derrière moi, me faisant tourner pour que mon visage soit face à celui de nos hôtes, je pouvais constater que Alexandre avait beau être subjugué par le spectacle, sa main devenait de plus en plus vigoureuse, ceci me fit sourire, moi aussi j'étais timide comme ça avec un homme la première fois -le même homme d'ailleurs-

Je sentais d'abord une fessée bien claquante qui m'arrachait un petit cri de surprise.

— Cambre mieux salope !

— Oui Maîtresse ...

Et je m’exécutais, levant le fessier plus haut encore, tandis qu'une impression de froid caressait les parois de ma rondelle anale.
Puis, le gode ceinture s'enfonçait, dégageant la place, se faisant envahissant, glissant sur le lubrifiant et créant cette petite impression de brûlure habituelle.

Ma Maîtresse me pénétrait, c'était un acte banal pour moi, mais je savais ce qu'elle voulait montrer à nos invités : elle avait senti le potentiel de Maîtresse Christelle, mais surtout celui d'Alexandre qui restait la planté comme un imbécile, toujours en train de masturber Alonso bêtement, vu que personne n'y faisait attention, il aurait pu s'arrêter, un coup d’œil au géant d’ébène aurait fait comprendre qu'il n'aurait pas vendu la mèche, mais une part d'Alexandre devait aimer ça.

J'avais été dans sa situation et même moi je m'étais arrêtée au départ par fatigue du bras, mais pas lui, Alexandre masturbait Alonso sans y penser, comme si c'était inscrit en lui, pire : il se donnait à fond jouant de son poignet et de ses doigts.

Un coup de rein plus puissant me ramenait à la réalité.

— Concentre-toi salope !

— Oui Maîtresse ...

Je vous aime Maîtresse Jennifer ...

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Texte coquin : Doux foyer (6)
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