ECLATE DU FION DE REMI - histoire érotique

J'ai rencontré au sauna voilà plus d'un an un mec taille crevette qui me fait kiffer. 38 ans, 172, 60 kilos tout mouillé, brun cheveux clairsemés, visage allongé mais viril. Il s'appelle Rémi et passe épisodiquement au sauna. Il cherche des mecs virils, velus, style bear et il raffole des sexes épais. En fait il est bi je pense, et il parcourt pas mal de kilomètres pour y venir, car il recherche la discrétion.

Lors de notre première rencontre nos corps s'étaient aimantés et nous avions passée plus d'une heure dans une cabine ensemble. Nous avions pu garder contact grâce à la complicité du patron, qui lui avait donnée mon adresse mail, car j'avais du rentrer précipitamment. Les mois ont passé et nous nous sommes revus plusieurs fois. De bons moments sans retrouver la ferveur de la première rencontre. Cela fait un trimestre que nous communiquons par mails mais n'avons pas pu croiser nos plannings. Enfin jusqu'à aujourd'hui ou nous nous sommes donné rencart sur place en ce milieu d'aprem. Le lieu est quasi désert, après ma douche je tourne pour trouver Rémi. En sortant de la cabine de sauna. Je l'aperçoit venant du hammam. Il est vraiment mignon ce mec. Il se dirige vers moi et déjà sa main se pose par dessus le carré de tissus qui recouvre mes hanches.
Tu viens d'arriver? Questionne t-il.
A l'instantDéjà il m'attire vers le hammam. Nous posons nos serviettes sur les patères. Nos bouches se soudent, nos mains deviennent furtives. Il masse déjà ma queue - Putain quelle queue tu as, j'adore.
Et il empoigne mon engin qui déjà se déploie. Nous sommes seuls dans le hammam debout, l'un contre l'autre, nous nous frottons et nous caressons mutuellement. Mon engin est déployé 20x5 et chaque passage de sa main sur ma peau me fait pousser un murmure. Il s'assoit et embouche mon zgeg. Son visage est à la bonne hauteur.
- Oh Rémi, oui comme c'est bon.
Il suce le gland puis plonge mon sexe dans sa gorge.
oh cette bite. Oui je la veux réplique t-il.
Il se redresse déjà et nous nous embrassons en nous serrant fort dans les bras l'un de l'autre. Une étreinte fort virile et puissante. Ce que je ressens dans ses bras est indescriptible.
Allons dans une cabineOui j'ai trop envie de toi. Je lui réponds.
Aussitôt dit, nous sortons de là , prenons une douche rapide, l'un à coté de l'autre et nous voilà parti en quête d'une cabine. Sans nouer la serviette, le sexe à l'air bien bandé. La première face au salon avec les sofas fera l'affaire. Une litière à hauteur d'un lit nous accueille. Nous fermons la porte. C'est bestial il chope mes pectoraux poilus qu'il serre fortement. Puis il croche ses doigts et me laboure le dos.
Oh putain ta queue j'aime trop dit-il en la soupesant.
Allonges toi Et je viens m'étendre sur lui, l'écraser avec mon presque un quintal. Je sais qu'il adore. Sa réaction est immédiate.
J'adore sentir ton poids et ta force m'écraser.
Pour toute réponse ma langue force sa bouche pour un baiser fougueux. Il n’arrête pas de me répéter qu'il aime trop mon gros sexe. Et qu'il a trop envie de le sentir en lui. Nos corps se frottent l'un à l'autre, nos sexes sont majestueux. Le sien fait 16 à 17 centimètre mais il est bien rigide aussi. Je descends légèrement mon corps pour venir loger mon sexe bandé entre ses cuisses le long de sa raie. Il soupire rien que de sentir mon morceau de chair lui caresser la peau. Je le fais ex prés , pour faire monter son désir, et comme je le connais je sais que j'y réussi très bien.
Il est évident que nous allons nous donner un max de plaisir, depuis le temps ou nous nous sommes vu. Il n’arrête pas de lancer des jurons du type: «oh putain», «waou cette bite», à chaque passage et ondulation de mon sexe le long de son postérieur. Je change de position et attrape mon sexe pour le mettre en position allongée le long de son bas ventre. A nouveau nous faisons un frottis-frotta dans cette position. Que cela est plaisant, de se chercher ainsi. D'autant plus que j'ai attrapé son visage et que ma langue fouille sa bouche. Rémi monte en pression, je le sens fébrile. Il me serre très fort, tape sur mon torse fermement en criant des «wooo», des «wwwaaa», puis il caresse les poils de mon torse , avant de choper ma queue à nouveau. Puis il me mord les lèvres. Il est à point prêt à se livrer.
Oh Dav , je veux te sentir, prends moi.
C'est une supplique, je suis à fond. Les coups de reins dans le vide m'ont bien émoustillés. Je me positionne debout et lui demande d'allonger son torse et de laisser ses jambes au sol. Gel et capotes sont de la partie. Je me positionne contre lui et laisse mon sexe le pénétrer.
Doucement, doucement ooouuufffLe voilà qui fait la pucelle effarouchée. Avec son air de ne pas y toucherAh Dav elle est grosse, c'est monstrueux. Rajoute t-il.
Ce n'est pas une première pour toiNon mais je me rappelais plus l'effet que tu me fais.
Et je pousse à ce moment pour le prendre à fond.
-ahh ahh ohhh putain !!! Lance t'il dans un soupir. Tout doux.
Je me suis bloqué le temps de le laisser reprendre ses esprits. Et sa respiration.
Et je commence le basculement d'avant en arrière, lentement pour qu'il s'habitue à ce membre qui le fouille. Et ma bite gonfle encore de le sentir transporté.
Changes de position me dit il. J'ai mal.

Rémi s'allonge sur le dos. Je remonte ses jambes de chaque coté de mes épaules . Et je le pilonne à nouveau. Il pousse un cri strident. Je suis allé au fond. Mais là il ne m'échappera pas. Je le lime à fond et il se met à couiner. Pas très discret mais on s'en moque.
- Oh la la quel effet tu me fais. C'est trop bon, cette queue!
tu aimes ça , tu es venu pour ça? Et bien tu en as.

Je lui suggère de se mettre sur le coté. Nous changeons à nouveau de position. Je viens le prendre de coté, et il couine de nouveau. Puis je le fais mettre allongé sur le ventre, puis je m'introduis en lui. Je vais le défoncer tellement son antre me convient. Mon poids et ma queue l'écrasent. Il miaule, il ronronne et pousse des cris sauvages, au rythme de mes coups de butoir. Mon corps exulte, c'est de la rage. Mes bras sont de chaque coté et j'entame des pompes, en mettant toute la force dans mon fessier. Cela a pour effet de rentrer à fond. Ces cris de plaisir redoublent. Je n'ai plus conscience de ses paroles. Juste des mots suffoqués: «Ta queue...oui... Oh Dav...trop bon...trou...défoncé.»
Je prends un plaisir de fou. Lui aussi d'ailleurs. Il est haletant. Le temps n'a plus d'emprise. Mes mollets se sont enroulés sur ses mollets. Nos corps ne forment plus qu'un. Je suis trempé, mais j'adore cette énergie incontrôlable qui me possède. Il y a bien longtemps que je n'ai pas vécu un moment si chaud. Ah Rémi, tu m'as chauffé, tu voulais me voir pour retrouver l'instant de nos premiers ébats. Et bien ce que je t'offre et que tu me donnes aujourd'hui est bien plus. De la hargne, un corps à corps de folie. C'est jubilatoire de prendre son pieds ainsi et de le faire prendre à l'autre. Et ce n'est pas fini. Je me retire et m'allonge sur le dos, exténué.

Rémi ne perds rien et il vient maintenant s'empaler sur mon vit, et le voici parti dans une danse ondulatoire. J'accompagne ses mouvements en maintenant fermement ses hanches. Il me fait face et passe sa main par derrière pour attraper mes burnes fermement. Quelle chienne ce mec , il en veut toujours plus, et je ne manque pas de lui faire remarquer. Le lit de fortune grince toujours autant depuis le début de nos corps à corps au rythme des secousses et des coups bien mis. Mes doigts titillent les pointes de ses mamelons. Parfois une main descend tout au long de son corps , et insiste sur ses jambes et ses fesses velues. Puis dans cette pénétration empalée, je me redresse en restant en lui et nos bouches se soudent. Puis mon sexe perd de la superbe. Et je lui fais remarquer.
Il se relève et me propose de me prendre.

Nous changeons de position. Il veut me prendre en missionnaire. Une noisette de gel et le voilà parti à fouiller mon anus avec ses doigts. Oui il me doigte fermement. D'un , il passe à deux puis trois doigts qu'il enfonce comme seul lui sait le faire. A un concours de doigt age, je reconnaîtrais sa façon de faire, tant elle est particulière, brutale et puissante. Il me fouille et c'est moi qui glousse. De son autre main il se paluche la queue pour lui faire retrouver de la vigueur. Chacun sait qu’après s’être fait prendre, il n'est pas aisé de se remettre à bander. Le voilà qu'il tire sur mes jambes fléchies pour me positionner face à lui. Son sexe me pénètre. Quelques va et vient, mais cela ne se passe pas comme il le souhaite. Il me fait retourner sur le torse fesses présentées à l'extérieur et pieds posés sur le sol. Et il revient dans mon trou. Tout cela manque quand même un peu de vigueur. On essayera une ultime fois en levrette , mais je crois que c'est peine perdue pour aujourd'hui.

Après être repassés par le hammam, et le sauna pour se détendre, une bonne douche et retour au vestiaire. Tu me fais remarquer que tu es bien détendu et que ton derrière se rappellera de la vigueur de nos étreintes. Deux jours plus tard un sms me dira: «Je n'arrive plus à m'asseoir mais que c'était bon, vivement le prochain coup».