EDUCATION DE L'INSTIT A LA BITE FROMAGEUSE
Récit érotique écrit par Brunob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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EDUCATION DE L'INSTIT A LA BITE FROMAGEUSE
Vous connaissez tous le nom d'un site de rencontres qui est la redondance d'une syllabe à deux lettres. Je suis toujours tombé sur des mythos. Pleins de propositions et une fois qu'il s'agit de se fixer rendez-vous, plus rien. Et bien là je me suis retrouvé a discuter avec un bi de 37 ans qui voulait expérimenter. Un instit en vacances. En fait il était très indécis. « Ma femme est montée à l'étage : viens me voir, quand tu seras là , elle dormira». Je ne sais pas dans quelle histoire je m'engage, mais cela m'excite.
Après avoir été marié, je ne fréquente désormais que des mecs. Mon plaisir est immense. Je me suis épanoui sexuellement. A cinquante ans , j'ai l'impression de vivre le milieu de ma vingtaine. Je revis, je baise, ah oui ça pour baiser je baise. Une véritable frénésie de plaisirs. Pourtant je suis banal, légèrement en chair, mon physique est quelconque. L'arme fatale se situe plus bas. Il faut vouloir la voir. Un calibre de 5 par 20 dans l'effort. Cela en tente quelques uns. Je suis poilu sauf sur le sexe, rasé pour la circonstance. Actif essentiellement, il m'arrive d’être parfois passif.
Ce soir je suis sur ce site et le mec semble motivé pour me faire venir. Une vingtaine de kilomètres nous séparent, et j'avoue que mon gourdin frétille dans mon boxer. Après une demie heure d'échanges, ou je le sens parfois hésitant , parfois décidé, j'abandonne mon clavier, pour partir à sa rencontre. Les kilomètres qui nous séparent sont l'occasion de se poser pleins d'interrogations qui submergent mon esprit.
Gares toi prés de la mairie et de l'école mais pas sur le parking. Elle peut entendre le bruit du moteur et ouvrir le volet.
Je vais respecter sa demande et me gare sur la place de l'église. Il est prés de 23 heures. Pas âme qui vive dans les rues. J’envoie un texto pour prévenir de mon arrivée . Je suis sur la petite place entre l'église et la mairie. Place éclairée par les réverbères de la rue. Je ne vois personne. Une grille entoure la mairie . Un muret entoure la cour et l'habitation jouxtant l'école. Sortant de nul part. J'aperçois un mec dans la pénombre qui me fait signe. Avec l'ombre des arbres je ne le voyais pas derrière le muret. Il m'invite de la main, pour me montrer le portail grillagé de l'école. J'avance dans cette direction. Le mec porte des lunettes. 1,75m, 90 kilos je dirais, il porte une chemisette claire et un short en jean. J'arrive face au portail à un mètre de lui, il me chuchote de passer par dessus. Je ne suis pas gymnaste, et je préfère passer par dessus le muret qui entoure cette cour. Il fait environ 1,50 mètre. Je me porte à la force des bras . Je le franchi et me réceptionne de l'autre coté, en scrutant que personne n'ai pu me voir. Je suis dans la cour bitumée et il ouvre le chemin pour me conduire dans un angle du préau. Je m'approche de lui et j'entends sa respiration saccadée par la peur de l'inconnu. J'avoue que je ne suis guère plus rassuré. Il me dit. Elle ne dort pas. Il porte sa main mal assurée sur la bosse de mon short. Nos corps se rapprochent dans l'angle du préau. Personne ne peut nous voir. Une de mes mains lui caresse le dos pendant que la seconde lui palpe les fesses. Humm un beau petit cul rebondi, comme j'aime. La fesse est souple et ma main s'ouvre et se ferme sur ce fessier au travers du tissus. La main de Mikael est déjà plus assurée puisqu'elle épouse la forme de mon sexe bandé dans mon boxer. Et il déboutonne le short et ouvre la ceinture. Lui ne porte pas de ceinture et mes doigts s'aventurent sous l'élastique. Je touche son sexe qui doit faire 15 centimètres. Pas très large, et mes doigts entament un va et vient. Je tire sur le bas du short de l'autre main pour le faire tomber.
Il a vraiment pris de l'assurance car sa main triture ouvertement ma queue qui bande désormais un max. Mon short est en bas des jambes, je remonte le bas de mon tee shirt jusqu'à mes épaules. Il caresse mon torse. Moi j'ouvre les boutons de sa chemisette, je vise ses pecs et ses tétons. Mes doigts attrapent les bouts de ses seins. Il souffle et se contorsionne. Mikael branle ma bite vigoureusement. Je lui suggère de me sucer. J'ai l'impression d'avoir affaire à un novice.
Cette impression est la bonne. Il tend son cul et me suce maladroitement. Je sens le contact de ses dents et cela manque de conviction. Ce n'est pas ma meilleure pipe loin de là. Enfin je bande c'est l'essentiel. Il maintient la base de ma queue fermement. Néanmoins je décide d'impacter sur sa tête pour qu'il aille plus loin encore. En fait il aspire mon sexe mais sa langue ne participe pas. Comme s'il était dégoûté. Je pense que maman ne doit pas exceller du tout dans l'art de la pipe. Le pauvre garçon ne sait pas y faire. C'est pourtant tellement bon de reproduire ce que l'on ressent. C'est la raison pour laquelle les mecs font ça mieux que les nanas.
Pendant ce temps mes doigts n'ont pas attendu. Je les ai introduit dans son anus. D'abord le majeur, qui est entré tout seul, puis l'index gauche et je tourne mes deux doigts dans son conduit chaud et serré. Il piaille en douceur. Je titille sa prostate et je sens que sa bouche réponds mieux sur ma bite. Je déchire un sachet de gel que j'ai attrapé dans ma poche de short en me baissant. On apprend pas à un vieux singe à faire la grimace, tout est prévu à l'avance. Moi ce soir je n'ai pas envie de sucer, il faut faire vite , j'ai l'impression d'un rendez-vous interdit. Peut être un sens inné qui me prévient de ne pas sucer sa queue. De toutes façons elle ne m'excite pas spécialement par ses dimensions.
Baise moi. Susurre t-il
J'ouvre l'emballage du préservatif que j'avais attrapé en même temps que le gel. Je déroule la capote. Il tend son cul en ouvrant son fessier des deux mains. Ses fesses sont fortement poilues. Il se penche en avant. Mon sexe pointe entre les deux sillons. J'ai beaucoup de mal à me frayer un chemin. Rien y fait. Mon gland pénètre tout juste de 3 centimètres. Et le gel fait qu'il ressort en glissant, et je débande. C'est la débandade, c'est le cas de le dire. Je me sens minable ce soir. Je pense que le moment et le lieu ne jouent pas pour nous. Il n’arrête pas de me dire: «Dis rien elle peut nous entendre», je me sens stressé. Tant pis. Je remonte mon froc à regret, mais je ne vais pas attendre toute la nuit, et le confort est sommaire. Je te rappelle me dit il.
Je franchi le muret pour repartir. De retour chez moi il me harcèle de textos. Elle dort. Reviens. J'ai le cul en feu. Que m'as tu mis? Je lui explique que s'il le souhaite on peut se revoir mais pas dans ces conditions. Nous convenons de nous revoir le lendemain chez moi.
Il arrive le lendemain. J'ouvre la porte. On se retrouve face à face en plein jour.
Brun , fortement poilu sur les jambes et les fesses et un torse clairsemé. Ça je le vois dés que je lui ai fait glisser toutes ses fringues. Par contre quand le boxer tombe, l'odeur est pas top. Je lui demande d'aller se laver la bite à la salle de bain. Il revient et tombe à mes pieds pour me sucer. La technique est meilleure. Il tète ma bite avec plus d'entrain. J'appui sur sa nuque pour qu'il aille bien à fond. Je lui demande de laisser sa langue parcourir mon gland. Et de lécher ma queue sur toute la longueur. C'est mieux, ça vient.
Je décide de lui rendre la pareille , je m'agenouille et me trouve face à sa queue. Je la décalotte pour découvrir une bite fromageuse. J’attrape l’essuie-tout, et je retire le fromage tout autour. Il n'y a pas d'odeur, mais je suis un peu dégoûté quand même. L'excitation est plus forte, ma langue aidée de ma salive fait le ménage et la toilette en même temps. Finalement je ressens du plaisir à sucer cette petite queue qui maintenant est complètement décalottée et qui bande enfin. Mikael branle mon engin. Je me relève et commence à enduire son trou de gel. Et je masse. Son cul m'excite grave une large toison de poils bruns recouvrent sa peau. Une capote sur le zgeg. Je l'installe en levrette et je pousse. Sur cette première impulsion un tiers de ma queue s'est faufilée à l'intérieur. Je lui ai auparavant demandé de pousser au moment ou je rentrais en lui. Il souffle fort et mordille un coussin. Je fais une petite pause de quelques secondes, le temps qu'il digère l'intromission. Et je pousse à nouveau, je viens l’emboîter jusqu'à la garde. Il souffle profondément. J'attends à nouveau. Et me voilà parti d'avant en arrière dans des va et vient, lents et délicats. Il ne moufte pas , il couine le gaillard. Là il peut à volonté s'exprimer. J'ai monté le son de la télé en fond sonore pour les voisins. Que son trou est bien bon. Par moment je le déboîte fortement et il pigne. Faire couiner un mec , c'est si bon. J’accélère La cadence. J'ai envie de le prendre en missionnaire. Je lui demande de s'allonger sur le dos.
- Non fini t-il pas me dire. Cela suffit pour aujourd’hui. Mon instit reviendra compléter son apprentissage j'en suis certain.
Après avoir été marié, je ne fréquente désormais que des mecs. Mon plaisir est immense. Je me suis épanoui sexuellement. A cinquante ans , j'ai l'impression de vivre le milieu de ma vingtaine. Je revis, je baise, ah oui ça pour baiser je baise. Une véritable frénésie de plaisirs. Pourtant je suis banal, légèrement en chair, mon physique est quelconque. L'arme fatale se situe plus bas. Il faut vouloir la voir. Un calibre de 5 par 20 dans l'effort. Cela en tente quelques uns. Je suis poilu sauf sur le sexe, rasé pour la circonstance. Actif essentiellement, il m'arrive d’être parfois passif.
Ce soir je suis sur ce site et le mec semble motivé pour me faire venir. Une vingtaine de kilomètres nous séparent, et j'avoue que mon gourdin frétille dans mon boxer. Après une demie heure d'échanges, ou je le sens parfois hésitant , parfois décidé, j'abandonne mon clavier, pour partir à sa rencontre. Les kilomètres qui nous séparent sont l'occasion de se poser pleins d'interrogations qui submergent mon esprit.
Gares toi prés de la mairie et de l'école mais pas sur le parking. Elle peut entendre le bruit du moteur et ouvrir le volet.
Je vais respecter sa demande et me gare sur la place de l'église. Il est prés de 23 heures. Pas âme qui vive dans les rues. J’envoie un texto pour prévenir de mon arrivée . Je suis sur la petite place entre l'église et la mairie. Place éclairée par les réverbères de la rue. Je ne vois personne. Une grille entoure la mairie . Un muret entoure la cour et l'habitation jouxtant l'école. Sortant de nul part. J'aperçois un mec dans la pénombre qui me fait signe. Avec l'ombre des arbres je ne le voyais pas derrière le muret. Il m'invite de la main, pour me montrer le portail grillagé de l'école. J'avance dans cette direction. Le mec porte des lunettes. 1,75m, 90 kilos je dirais, il porte une chemisette claire et un short en jean. J'arrive face au portail à un mètre de lui, il me chuchote de passer par dessus. Je ne suis pas gymnaste, et je préfère passer par dessus le muret qui entoure cette cour. Il fait environ 1,50 mètre. Je me porte à la force des bras . Je le franchi et me réceptionne de l'autre coté, en scrutant que personne n'ai pu me voir. Je suis dans la cour bitumée et il ouvre le chemin pour me conduire dans un angle du préau. Je m'approche de lui et j'entends sa respiration saccadée par la peur de l'inconnu. J'avoue que je ne suis guère plus rassuré. Il me dit. Elle ne dort pas. Il porte sa main mal assurée sur la bosse de mon short. Nos corps se rapprochent dans l'angle du préau. Personne ne peut nous voir. Une de mes mains lui caresse le dos pendant que la seconde lui palpe les fesses. Humm un beau petit cul rebondi, comme j'aime. La fesse est souple et ma main s'ouvre et se ferme sur ce fessier au travers du tissus. La main de Mikael est déjà plus assurée puisqu'elle épouse la forme de mon sexe bandé dans mon boxer. Et il déboutonne le short et ouvre la ceinture. Lui ne porte pas de ceinture et mes doigts s'aventurent sous l'élastique. Je touche son sexe qui doit faire 15 centimètres. Pas très large, et mes doigts entament un va et vient. Je tire sur le bas du short de l'autre main pour le faire tomber.
Il a vraiment pris de l'assurance car sa main triture ouvertement ma queue qui bande désormais un max. Mon short est en bas des jambes, je remonte le bas de mon tee shirt jusqu'à mes épaules. Il caresse mon torse. Moi j'ouvre les boutons de sa chemisette, je vise ses pecs et ses tétons. Mes doigts attrapent les bouts de ses seins. Il souffle et se contorsionne. Mikael branle ma bite vigoureusement. Je lui suggère de me sucer. J'ai l'impression d'avoir affaire à un novice.
Cette impression est la bonne. Il tend son cul et me suce maladroitement. Je sens le contact de ses dents et cela manque de conviction. Ce n'est pas ma meilleure pipe loin de là. Enfin je bande c'est l'essentiel. Il maintient la base de ma queue fermement. Néanmoins je décide d'impacter sur sa tête pour qu'il aille plus loin encore. En fait il aspire mon sexe mais sa langue ne participe pas. Comme s'il était dégoûté. Je pense que maman ne doit pas exceller du tout dans l'art de la pipe. Le pauvre garçon ne sait pas y faire. C'est pourtant tellement bon de reproduire ce que l'on ressent. C'est la raison pour laquelle les mecs font ça mieux que les nanas.
Pendant ce temps mes doigts n'ont pas attendu. Je les ai introduit dans son anus. D'abord le majeur, qui est entré tout seul, puis l'index gauche et je tourne mes deux doigts dans son conduit chaud et serré. Il piaille en douceur. Je titille sa prostate et je sens que sa bouche réponds mieux sur ma bite. Je déchire un sachet de gel que j'ai attrapé dans ma poche de short en me baissant. On apprend pas à un vieux singe à faire la grimace, tout est prévu à l'avance. Moi ce soir je n'ai pas envie de sucer, il faut faire vite , j'ai l'impression d'un rendez-vous interdit. Peut être un sens inné qui me prévient de ne pas sucer sa queue. De toutes façons elle ne m'excite pas spécialement par ses dimensions.
Baise moi. Susurre t-il
J'ouvre l'emballage du préservatif que j'avais attrapé en même temps que le gel. Je déroule la capote. Il tend son cul en ouvrant son fessier des deux mains. Ses fesses sont fortement poilues. Il se penche en avant. Mon sexe pointe entre les deux sillons. J'ai beaucoup de mal à me frayer un chemin. Rien y fait. Mon gland pénètre tout juste de 3 centimètres. Et le gel fait qu'il ressort en glissant, et je débande. C'est la débandade, c'est le cas de le dire. Je me sens minable ce soir. Je pense que le moment et le lieu ne jouent pas pour nous. Il n’arrête pas de me dire: «Dis rien elle peut nous entendre», je me sens stressé. Tant pis. Je remonte mon froc à regret, mais je ne vais pas attendre toute la nuit, et le confort est sommaire. Je te rappelle me dit il.
Je franchi le muret pour repartir. De retour chez moi il me harcèle de textos. Elle dort. Reviens. J'ai le cul en feu. Que m'as tu mis? Je lui explique que s'il le souhaite on peut se revoir mais pas dans ces conditions. Nous convenons de nous revoir le lendemain chez moi.
Il arrive le lendemain. J'ouvre la porte. On se retrouve face à face en plein jour.
Brun , fortement poilu sur les jambes et les fesses et un torse clairsemé. Ça je le vois dés que je lui ai fait glisser toutes ses fringues. Par contre quand le boxer tombe, l'odeur est pas top. Je lui demande d'aller se laver la bite à la salle de bain. Il revient et tombe à mes pieds pour me sucer. La technique est meilleure. Il tète ma bite avec plus d'entrain. J'appui sur sa nuque pour qu'il aille bien à fond. Je lui demande de laisser sa langue parcourir mon gland. Et de lécher ma queue sur toute la longueur. C'est mieux, ça vient.
Je décide de lui rendre la pareille , je m'agenouille et me trouve face à sa queue. Je la décalotte pour découvrir une bite fromageuse. J’attrape l’essuie-tout, et je retire le fromage tout autour. Il n'y a pas d'odeur, mais je suis un peu dégoûté quand même. L'excitation est plus forte, ma langue aidée de ma salive fait le ménage et la toilette en même temps. Finalement je ressens du plaisir à sucer cette petite queue qui maintenant est complètement décalottée et qui bande enfin. Mikael branle mon engin. Je me relève et commence à enduire son trou de gel. Et je masse. Son cul m'excite grave une large toison de poils bruns recouvrent sa peau. Une capote sur le zgeg. Je l'installe en levrette et je pousse. Sur cette première impulsion un tiers de ma queue s'est faufilée à l'intérieur. Je lui ai auparavant demandé de pousser au moment ou je rentrais en lui. Il souffle fort et mordille un coussin. Je fais une petite pause de quelques secondes, le temps qu'il digère l'intromission. Et je pousse à nouveau, je viens l’emboîter jusqu'à la garde. Il souffle profondément. J'attends à nouveau. Et me voilà parti d'avant en arrière dans des va et vient, lents et délicats. Il ne moufte pas , il couine le gaillard. Là il peut à volonté s'exprimer. J'ai monté le son de la télé en fond sonore pour les voisins. Que son trou est bien bon. Par moment je le déboîte fortement et il pigne. Faire couiner un mec , c'est si bon. J’accélère La cadence. J'ai envie de le prendre en missionnaire. Je lui demande de s'allonger sur le dos.
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