Ejaculations illicites avec la vierge Gabriela
Récit érotique écrit par Lucian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Ejaculations illicites avec la vierge Gabriela
Chers amis, voici l’histoire d’un très doux souvenir: MON PREMIER PLAISIR SEXUEL ILLEGAL
en tant qu'homme marié.
Je suis Roumain.
J'ai épousé en 1988 une fille magnifique mais très inhibée au lit.
La chute du dictateur Ceausescu m'a surpris donc dans un état de crise sexuelle maximale.
Bref, je rêvais sans arrêt d'une fille impudique et sensuelle qui aimerait caresser et
embrasser mon pénis, en regardant attentivement le plaisir de mes explosions séminales à
la lumière du jour. Ce que ma femme ne pouvait pas supporter. Elle disait que “seulement
les putes des films XXX font ca”.
Mon rêve sale s'est soudainement réalisé au printemps 1992 lorsque Gabriela, une
étudiante de première année a la Fac de Lettres, est venue habiter dans mon immeuble,
chez sa tante. J'avais 29 ans. Elle avait 19 ans.
D’emblee je suis devenu fou. Physiquement elle était totalement différente de ma femme.
Elle avait environ 1m74 (ma femme, 1m66), forte (ma femme était plutot mignonne), avec
une crinière de cheveux noirs ondulees et avec une peau blanche comme le lait (ma femme
était plutot créole) et avec des seins assez gros.
Por moi c’etait une femme venue d’un autre monde. Le monde de mes reves sexuels.
De plus, elle etait vierge. Donc, apart l’age tellement jeune cette fille était donc un
phénotype féminin divin que mes mains n'avaient jamais touché.
Ensuite le Diable de ceux qui trompent leurs femmes m’a aide.
En avril, ma femme etait partie pour une spécialisation à Bucarest, pour 7 mois.
J’etais donc seul. J'ai parlé à cette Gabriela au magasin d’a cote et, sans aucune
intention pour le moment, je l'ai invitée chez moi pour un café.
Elle a accepté. Meme si elle savait que je suis marie.
Elle était très émotive, elle rougissait tout le temps... mais un jour nos bouches se
sont rencontrées. Elle avait une bouche très douce... car elle ne fumait pas. Elle ne
savait pas embrasser, mon Dieu, elle était vierge. Ensuite elle ne s'est pas opposée
quand j'ai commencé à mettre ma bouche sur ses genoux ronds, sur ses jambes charnues
(elle avait des chevilles un peu grosses pour mon gout... mais c’etait ok).
Alors, à plusieurs reprises, elle m'a laissé explorer son corps robuste et ses longues
jambes avec mes mains. Sauf son ventre.
Lors du cinquième "café", entre deux reprises de “langue-en-bouche”, je lui ai demandé de
toucher ma verge au-dessus de mon jean et, après de longues hésitations, ca y est: sa
main timide de vierge s'est aventurée entre mes cuisses et j'ai senti ses doigts sur mon
organe. J’ai gemit et elle a retire ses doigts.
Les jours suivants, je l’a fait avouer qu'elle avait "certains rêves" et qu'elle avait
hâte "de voir comment un homme est fait". Et je lui ai dit que je pouvais l'aider. Et
qu'elle pourrais m'aider "comme une femme". Elle m'a dit non, qu'elle avait peur que si
nous nous déshabillions "nous ne nous arrêterons pas". Et je lui ai dit qu'il ne fallait
pas faire l'amour et, pour commencer sa vie de femme, elle pourrait d’abord caresser un
pénis.
Elle m’a repousse, apparaiment degoutee par mes propos.
En tout cas, je ne l'ai pas pressée et 18 jours après le début du flirt, la douce vierge
Gabriela a fait connaissance avec mon pénis et moi avec des caresses sexuelles comme je
n'en avais jamais connu auparavant: les caresses d une vierge.
Il était 8 heures du matin, elle était pas allee au cours, je sortais juste de la
douche, avec mes glandes hyper-pleines... après 20 jours de non éjaculation. Elle, la
vierge, était mentalement prête, je pense, car je lui avais toujours dit qu'un grand
plaisir d'un homme était de toucher sa verge sur les seins de la femme... et voir pour
son déversements de sperme sur les seins nua... et lalala... et lalala... enfin, toutes
les cochonneries possibles... etc.
Je ne peux pas oublier ce matin.
La fenêtre était ouverte, on entendait les moineaux et les pigeons à l'extérieur, et
Gabriela, apres beaucoup d’hesitation avait enlevé sa robe et s'était assise sur le
fauteuil... uniquement dans son bikini rose et ses sandales blanches. Quasiment nue.
Avec ses gros seins nus.
Ses seins blancs, ronds, aux tetons roses et durs.
Elle tremblait, et moi aussi, et j'ai gémi bruyamment quand ses mains ont descendu mon
slip et ma bite arquee a rebondi vers elle, érectee et decalotee et bien rasée et sentant
le Rexona For Men.
Je peux pas oublier ses yeux, même aujourd'hui, apre presque trente ans: ses beaux yeux
avec ses pupilles dilatées par une curiosité lubrique et comme elle a murmuré: "Ciel,
quel monstre..." Monstre? Eh bien, j'ai une verge au-dessus de la moyenne, mais à ce
moment, je pense que j'avais atteint 19 cm, maximum-maximorum. Probablement pour cette
minette il avait vraiment un air bestial, comme un film porno.
Les yeux dilatés, elle a regarde mon sexe pendant que je gémissais sauvagement. Après
l'avoir laissée le regarder pendant environ 5 minutes, je lui ai dit qu'elle devait le
saisir dans sa main. “Comme un femme”.
Au bout de quelques instants, ses longs doigts timides touchaient mon membre, le
serraient, et je gémissais. Mais elle savait pas branler un homme.
Elle ne savait pas, merde, c'était vachement clair, j'étais son PREMIER homme nu, son
premier organe sexuel male. Je l'ai eduquee... et en quelques minutes la vierge Gabriela
masturbait ma bite comme une femme, avec une main élastique, avec un geste rythmique,
avec ses grands yeux ouverts, des yeux qui enregistraient avides tout ce qui lui
arrivait, ce matin de mai.
La tension en moi etait enorme et j’ai failli exploser environ 3 fois et je l'ai arrêté
à temps, avec des effort sur-humains. Puis j'ai mis ses mains sur mes cuisses et mes
fesses, et, comme ca, j'ai commence a frotter mon sexe contre ses seins de vierges, en
frissonant de plaisirs de satire malade. La peau de ses seins etait incroyablement
soyeuse et chaude.
Puis je lui ai dit “Embrasse-la, cherie, je t’en supplie...”... et elle m’a regarde avec
mepris... et a dit non, elle ne fait pas ca, care c’est deguelasse.... et qu’elle va me
toucher qu'avec ses mains. Ca doit me suffire.
Elle a continué à caresser mon sexe avec ses doigts soyeux et brulants. Pendant que moi
je pleurnichait comme un con: “Ta bouche cherie... Je t’en prie, j’ai besoin de ta
bouche... Ta bouche cherie... Je t’en prie, j’ai besoin de ta bouche... Ta bouche
cherie... Je t’en prie, j’ai besoin de ta bouche... Ta bouche cherie... Je t’en prie,
j’ai besoin de ta bouche... “
Excedee et agitee par cette folie l’etudiante nue a fait ensuite le geste supreme
feminin: avec des instincts déchaînés de femme, comme en sachant ce que j'attendais, elle
a baissé la tête vers mon ventre et ses lèvres fraiches et charnues ont commencé à
embrasser timidement mon gland, après quoi elle l'a touché légèrement avec le bout de sa
langue. Une petite langue rose, humide et tiede. J’ai pousse un cri de plaisir: Gabriela
la vierge léchouillait maintenant mon gland gonfle et, sou scette langue ehontee, un
volupte aigue m’avait envahi le corps.
Je ne m'attendais pas à cette initiative, c'était trop, j’ai ressenti les aiguilles
brulants de l’orgasme dans mes glandes... j”a crie son nom... avec désespoir je lui ai
saisi les épaules nus, je me suis pousse en elle et dans les secondes qui suivirent je
"baptisais" Gabriela, en eliberant sur ses beaux seins cing ou six giclees sauvages de
sperme, toute la semence acumulees en plus de 20 jours de rêves sexuels, la semence
abondante comme seul un homme de 29 ans peut delivrer.
Elle est restee sous les giclees, stupéfaite par une telle explosion de plaisir, en
regardant les torrents chauds et gluants coulant entre ses seins et ses épaules...
Puis elle a chuchoté: "Mon Dieu... Mon Dieu... Nooon... Noooon... c'est affreux. Tu
n'aurais pas dû faire ça! Tu n'aurais pas dû faire ça!"
Qu’aurais-je pu dire?...
Je suis reste devant elle... embarasse... et vide... avec mes slips baisses... etourdi
par l'énorme plaisir que j'ai ressenti lors de cette ejaculation enorme... et abherrante.
Et un peu déçu de pas m'être abstenu pendant encore 10 minutes.
Je l'ai embrassée et j'ai dit doucement, pendant qui je lui essuyait les seins avec mon
teeshirt: "Gabriela, tu as caressé et vidé un homme! Tu es une femme maintenant. Tu es
une femme!"
Soudain, il a commencé à pleurer de façon hystérique. Ses épaules tremblaient et elle
pleurait nerveusement, silencieusement. J'ai essuyé ses beaux seins avec le teeshirt, je
l'ai embrassée.
La crise passée, elle s'est habillée et quand elle est sortie, elle a froncé les
sourcils: "Je suis désolée, mais je reviens plus jamais chez toi. Ce que j'ai fait avec
toi c’est une énorme merde très nauséabonde. Ça me suffit. Et tu es une horrible male
obsede sexuel!! Et moi sus pas une salope. Ok?"
Merde, je me suis dis. Je suis resté dans la porte de l’appartement en écoutant ses
talons de ses sandales clicquetant nerveuses dans l'escalier.
Mais en 5 jours, que trouvais-je dans la boîte aux lettres?
Un billet avec son ecriture calligraphique: "Je veux a nouveau ta creme chaude sur moi.
Demain à 8 heures. Ta princesse des plaisirs. G."
Ma... creme chaude? Dieu... la vierge innocente d’hier etait devenue la pute
d’aujourd’hui. Mission accomplie, Messieurs dames.
La deuxième fois, la seance de fellation a eu lieu devant le miroir du vestibule, un
vieux miroir de Venise. La, pendant 30 minutes, j’ai jouit visuellement en me regardant
en train d’enfoncer mon fallus rigide profondement dans la gorge de la belle etudiante
Gabriela. Accroupie devant moi, nue et chausee avec une paire de sandales noires de ma
femme. Comme un pute du porno.
Gabriela a supporte ma verge dans ses amygdales stoiquement, jusqu’au moment ou je me
suis vide sauvagement sur son visage angelique.
J'ai continué les plaisirs illicites avec Mlle Gabriela les jours suivants.
Et mon appétit a été ainsi ouvert pour la décennie 1990-1999 ...
A suivre.
L’auteur
Lucian de Roumanie
lucius.ro@gmail.com
en tant qu'homme marié.
Je suis Roumain.
J'ai épousé en 1988 une fille magnifique mais très inhibée au lit.
La chute du dictateur Ceausescu m'a surpris donc dans un état de crise sexuelle maximale.
Bref, je rêvais sans arrêt d'une fille impudique et sensuelle qui aimerait caresser et
embrasser mon pénis, en regardant attentivement le plaisir de mes explosions séminales à
la lumière du jour. Ce que ma femme ne pouvait pas supporter. Elle disait que “seulement
les putes des films XXX font ca”.
Mon rêve sale s'est soudainement réalisé au printemps 1992 lorsque Gabriela, une
étudiante de première année a la Fac de Lettres, est venue habiter dans mon immeuble,
chez sa tante. J'avais 29 ans. Elle avait 19 ans.
D’emblee je suis devenu fou. Physiquement elle était totalement différente de ma femme.
Elle avait environ 1m74 (ma femme, 1m66), forte (ma femme était plutot mignonne), avec
une crinière de cheveux noirs ondulees et avec une peau blanche comme le lait (ma femme
était plutot créole) et avec des seins assez gros.
Por moi c’etait une femme venue d’un autre monde. Le monde de mes reves sexuels.
De plus, elle etait vierge. Donc, apart l’age tellement jeune cette fille était donc un
phénotype féminin divin que mes mains n'avaient jamais touché.
Ensuite le Diable de ceux qui trompent leurs femmes m’a aide.
En avril, ma femme etait partie pour une spécialisation à Bucarest, pour 7 mois.
J’etais donc seul. J'ai parlé à cette Gabriela au magasin d’a cote et, sans aucune
intention pour le moment, je l'ai invitée chez moi pour un café.
Elle a accepté. Meme si elle savait que je suis marie.
Elle était très émotive, elle rougissait tout le temps... mais un jour nos bouches se
sont rencontrées. Elle avait une bouche très douce... car elle ne fumait pas. Elle ne
savait pas embrasser, mon Dieu, elle était vierge. Ensuite elle ne s'est pas opposée
quand j'ai commencé à mettre ma bouche sur ses genoux ronds, sur ses jambes charnues
(elle avait des chevilles un peu grosses pour mon gout... mais c’etait ok).
Alors, à plusieurs reprises, elle m'a laissé explorer son corps robuste et ses longues
jambes avec mes mains. Sauf son ventre.
Lors du cinquième "café", entre deux reprises de “langue-en-bouche”, je lui ai demandé de
toucher ma verge au-dessus de mon jean et, après de longues hésitations, ca y est: sa
main timide de vierge s'est aventurée entre mes cuisses et j'ai senti ses doigts sur mon
organe. J’ai gemit et elle a retire ses doigts.
Les jours suivants, je l’a fait avouer qu'elle avait "certains rêves" et qu'elle avait
hâte "de voir comment un homme est fait". Et je lui ai dit que je pouvais l'aider. Et
qu'elle pourrais m'aider "comme une femme". Elle m'a dit non, qu'elle avait peur que si
nous nous déshabillions "nous ne nous arrêterons pas". Et je lui ai dit qu'il ne fallait
pas faire l'amour et, pour commencer sa vie de femme, elle pourrait d’abord caresser un
pénis.
Elle m’a repousse, apparaiment degoutee par mes propos.
En tout cas, je ne l'ai pas pressée et 18 jours après le début du flirt, la douce vierge
Gabriela a fait connaissance avec mon pénis et moi avec des caresses sexuelles comme je
n'en avais jamais connu auparavant: les caresses d une vierge.
Il était 8 heures du matin, elle était pas allee au cours, je sortais juste de la
douche, avec mes glandes hyper-pleines... après 20 jours de non éjaculation. Elle, la
vierge, était mentalement prête, je pense, car je lui avais toujours dit qu'un grand
plaisir d'un homme était de toucher sa verge sur les seins de la femme... et voir pour
son déversements de sperme sur les seins nua... et lalala... et lalala... enfin, toutes
les cochonneries possibles... etc.
Je ne peux pas oublier ce matin.
La fenêtre était ouverte, on entendait les moineaux et les pigeons à l'extérieur, et
Gabriela, apres beaucoup d’hesitation avait enlevé sa robe et s'était assise sur le
fauteuil... uniquement dans son bikini rose et ses sandales blanches. Quasiment nue.
Avec ses gros seins nus.
Ses seins blancs, ronds, aux tetons roses et durs.
Elle tremblait, et moi aussi, et j'ai gémi bruyamment quand ses mains ont descendu mon
slip et ma bite arquee a rebondi vers elle, érectee et decalotee et bien rasée et sentant
le Rexona For Men.
Je peux pas oublier ses yeux, même aujourd'hui, apre presque trente ans: ses beaux yeux
avec ses pupilles dilatées par une curiosité lubrique et comme elle a murmuré: "Ciel,
quel monstre..." Monstre? Eh bien, j'ai une verge au-dessus de la moyenne, mais à ce
moment, je pense que j'avais atteint 19 cm, maximum-maximorum. Probablement pour cette
minette il avait vraiment un air bestial, comme un film porno.
Les yeux dilatés, elle a regarde mon sexe pendant que je gémissais sauvagement. Après
l'avoir laissée le regarder pendant environ 5 minutes, je lui ai dit qu'elle devait le
saisir dans sa main. “Comme un femme”.
Au bout de quelques instants, ses longs doigts timides touchaient mon membre, le
serraient, et je gémissais. Mais elle savait pas branler un homme.
Elle ne savait pas, merde, c'était vachement clair, j'étais son PREMIER homme nu, son
premier organe sexuel male. Je l'ai eduquee... et en quelques minutes la vierge Gabriela
masturbait ma bite comme une femme, avec une main élastique, avec un geste rythmique,
avec ses grands yeux ouverts, des yeux qui enregistraient avides tout ce qui lui
arrivait, ce matin de mai.
La tension en moi etait enorme et j’ai failli exploser environ 3 fois et je l'ai arrêté
à temps, avec des effort sur-humains. Puis j'ai mis ses mains sur mes cuisses et mes
fesses, et, comme ca, j'ai commence a frotter mon sexe contre ses seins de vierges, en
frissonant de plaisirs de satire malade. La peau de ses seins etait incroyablement
soyeuse et chaude.
Puis je lui ai dit “Embrasse-la, cherie, je t’en supplie...”... et elle m’a regarde avec
mepris... et a dit non, elle ne fait pas ca, care c’est deguelasse.... et qu’elle va me
toucher qu'avec ses mains. Ca doit me suffire.
Elle a continué à caresser mon sexe avec ses doigts soyeux et brulants. Pendant que moi
je pleurnichait comme un con: “Ta bouche cherie... Je t’en prie, j’ai besoin de ta
bouche... Ta bouche cherie... Je t’en prie, j’ai besoin de ta bouche... Ta bouche
cherie... Je t’en prie, j’ai besoin de ta bouche... Ta bouche cherie... Je t’en prie,
j’ai besoin de ta bouche... “
Excedee et agitee par cette folie l’etudiante nue a fait ensuite le geste supreme
feminin: avec des instincts déchaînés de femme, comme en sachant ce que j'attendais, elle
a baissé la tête vers mon ventre et ses lèvres fraiches et charnues ont commencé à
embrasser timidement mon gland, après quoi elle l'a touché légèrement avec le bout de sa
langue. Une petite langue rose, humide et tiede. J’ai pousse un cri de plaisir: Gabriela
la vierge léchouillait maintenant mon gland gonfle et, sou scette langue ehontee, un
volupte aigue m’avait envahi le corps.
Je ne m'attendais pas à cette initiative, c'était trop, j’ai ressenti les aiguilles
brulants de l’orgasme dans mes glandes... j”a crie son nom... avec désespoir je lui ai
saisi les épaules nus, je me suis pousse en elle et dans les secondes qui suivirent je
"baptisais" Gabriela, en eliberant sur ses beaux seins cing ou six giclees sauvages de
sperme, toute la semence acumulees en plus de 20 jours de rêves sexuels, la semence
abondante comme seul un homme de 29 ans peut delivrer.
Elle est restee sous les giclees, stupéfaite par une telle explosion de plaisir, en
regardant les torrents chauds et gluants coulant entre ses seins et ses épaules...
Puis elle a chuchoté: "Mon Dieu... Mon Dieu... Nooon... Noooon... c'est affreux. Tu
n'aurais pas dû faire ça! Tu n'aurais pas dû faire ça!"
Qu’aurais-je pu dire?...
Je suis reste devant elle... embarasse... et vide... avec mes slips baisses... etourdi
par l'énorme plaisir que j'ai ressenti lors de cette ejaculation enorme... et abherrante.
Et un peu déçu de pas m'être abstenu pendant encore 10 minutes.
Je l'ai embrassée et j'ai dit doucement, pendant qui je lui essuyait les seins avec mon
teeshirt: "Gabriela, tu as caressé et vidé un homme! Tu es une femme maintenant. Tu es
une femme!"
Soudain, il a commencé à pleurer de façon hystérique. Ses épaules tremblaient et elle
pleurait nerveusement, silencieusement. J'ai essuyé ses beaux seins avec le teeshirt, je
l'ai embrassée.
La crise passée, elle s'est habillée et quand elle est sortie, elle a froncé les
sourcils: "Je suis désolée, mais je reviens plus jamais chez toi. Ce que j'ai fait avec
toi c’est une énorme merde très nauséabonde. Ça me suffit. Et tu es une horrible male
obsede sexuel!! Et moi sus pas une salope. Ok?"
Merde, je me suis dis. Je suis resté dans la porte de l’appartement en écoutant ses
talons de ses sandales clicquetant nerveuses dans l'escalier.
Mais en 5 jours, que trouvais-je dans la boîte aux lettres?
Un billet avec son ecriture calligraphique: "Je veux a nouveau ta creme chaude sur moi.
Demain à 8 heures. Ta princesse des plaisirs. G."
Ma... creme chaude? Dieu... la vierge innocente d’hier etait devenue la pute
d’aujourd’hui. Mission accomplie, Messieurs dames.
La deuxième fois, la seance de fellation a eu lieu devant le miroir du vestibule, un
vieux miroir de Venise. La, pendant 30 minutes, j’ai jouit visuellement en me regardant
en train d’enfoncer mon fallus rigide profondement dans la gorge de la belle etudiante
Gabriela. Accroupie devant moi, nue et chausee avec une paire de sandales noires de ma
femme. Comme un pute du porno.
Gabriela a supporte ma verge dans ses amygdales stoiquement, jusqu’au moment ou je me
suis vide sauvagement sur son visage angelique.
J'ai continué les plaisirs illicites avec Mlle Gabriela les jours suivants.
Et mon appétit a été ainsi ouvert pour la décennie 1990-1999 ...
A suivre.
L’auteur
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