Madame Antonella – Une inattendue fellation de femme mûre

- Par l'auteur HDS Lucian -
Récit érotique écrit par Lucian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Madame Antonella – Une inattendue fellation de femme mûre Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Madame Antonella – Une inattendue fellation de femme mûre
Chers amis de France, voici une autre expérience réelle vécue par moi le chanceux dans les troubles années 90, en Roumanie sans Ceausescu, quand les femmes sont devenue émancipées et dingues et prêtes à sucer toutes les bites des voisins – désole par le manque sporadique d'accents sur les ”e” et apostrophes, c'est à cause du clavier Roumain...

Mais je pense que même comme ça je vais vous communiquer mes plaisirs sauvages ressentis dans cette décennie....

Mes vacances chez Madame Antonella – Une inattendue fellation d'une femme mûre
J'avais 23 ans et, je ne sais pas pourquoi, je me suis marié. Ma femme était une belle fille ... mais une grosse déception au lit. Le plus dur c'était qu'elle n'aimait pas sucer. Elle disait que seulement les putes font ca.
J'avais donc une envie sauvage de rencontrer une femme qui me dise ”Cheri, j'ai envie de sucer ta bite, maintenant, sans implications sentimentales et sans que je te demande des déclarations d'amour!”. Même une laide. Une femme – meme moche - qui se mette à genoux et commence a lécher ma bite. Et se faire arroser de semence à la fin. Sur visage, menton, épaules, seins....

Puis cet été-là, en juillet, elle me dit: «Lucian, tante Antonella de Busteni a dit que si tu veux, on peut rester avec elle pendant environ 10 jours. Tu iras toi d'abord, et je viendrai après quatre jours. " Busteni c'est une station de montagne en Roumanie.
Madame Antonella était une cousine éloignée de sa mère, une dame d'une quarantaine d'années. Ma femme m'avait prévenu qu'elle était sectaire, les témoins de Jéhovah.
Et de plus elle était veuve, son mari était mort depuis un an.
Après trois jours, j'arrivais à Busteni, dans l'un des petits immeubles chics près de l'hôtel Silva.

Au troisième étage, j'ai trouve l appartement: «Prof. Antonella-Ivona D.».
Enseignante. Intellectuelle.
Un peu inquiet, en pensant à cette personne qui devait nous loger.
Une jihadiste de Dieu?

Je sonne et cette Madame Antonella m'ouvre: une femme de taille moyenne, probablement 1m70, aux cheveux noirs, pas très belle, style Barbra Streisand, avec un nez long, mais souple pour son âge. Elle portait une étrange robe noire longue jusqu aux chevilles. Elle était pieds nus - les plus jolis pieds de femme que je n’ai jamais vue. Étroits et avec des longs orteils fins. Avec des ongles rouges.

Une femme pas tres jolie – mais d une feminite torride. En depit de sa robe noire.

Involontairement, mes yeux furent attirés par ses pieds nus, étroits et aux talons jaunes-roses, qui semblaient très soignes. La seule partie exposée de son corps. Et sous cette étrange robe austère, je devinais ses gros seins qui se balançaient. Ses seins de femme mûre.
J'ai porté mes bagages dans ma chambre, trouble par sa présence et son parfum de lys. Partout, la sectaire avait des icônes. La Bible était sur la table.

Elle arrangeait les choses, parlait de banalités, et je répondais monosyllabiquement, toujours les yeux sur ces pieds irréels, comme dessinés. Elle marchait élastiquement, toujours sur la pointe des pieds, comme une princesse, et déjà une énorme érection pulsait sous mon ventre. Et elle me lançait toujours des regards espiègles.

J'avais oublié depuis longtemps qu'elle était la tante de ma femme. J'étais donc en érection pres de cette femme mûre – comble par son parfum et l'image érotique de ses pieds nus.

Puis, vers trois heures, après la douche, elle m'a fait du café. Et nous avons parlé dans le salon. Sous les dizaines d'icônes. Elle passait sans cesse sa main dans ses cheveux et me fixait. Elle m'a demandé si je suis croyant, et j'ai dit oui (je ne voulais pas la contrarier, mois je suis athée).

Puis elle, après m'avoir parlé de la fidélité de la femme, de la morale douteuse et de la méchanceté de certaines femmes modernes, elle este passe au sujet sexualité. Tout d un coup. Boum.

- Lucian, je suis désolé de demander, mais Daniela, est qu'elle te rend heureux au lit?
(elle parlait de ma femme.)J'ai hésité.
-Ben, partiellement.
Elle arrondit les yeux, intriguée.
-Que veux-tu dire, chéri?
- Euh ... elle n'e fait pas des ... trucs. Mais j aime pas commenter ça, madame.
Elle semblait de plus en plus attirée par le sujet.
- Sérieusement, qu'est-ce qui ne va pas?
J'avais l'impression d'être de plus en plus excité ... mais je n'avais pas envie de dire des choses sur ma femme.
Madame Antonella me souriait étrangement. Elle passa sa langue sur ses lèvres.

-Écoute, j'ai déjà un soupçon. Elle ne met pas sa bouche sur toi... là?

Je me suis bloqué. J'ai ressenti des frissons chauds. Dans le ventre. On passait dans une autre dimension, deja.
-Oui. Elle n'aime pas ça. Pas du tout.
Elle prit une profonde inspiration et soupira à nouveau. Elle avait l'air agité. Ma bite était comme l'os sous mon jean. Dieu, était-ce une nymphomane ? Une sectaire nymphomane?
-Oh mon Dieu. Pas de caresses de bouche?
Puis elle se tut, me fixant toujours. C'était comme elle planifiait quelque chose. Puis elle parla avec une voix grave.

-Lucian ... Euh... Moi, par contre, j'aime embrasser les hommes... là, au ventre... Si ça te dérange par le fait que je suis si vieille... je pourrais t'aider.

J'ai eu l'impression d'étouffer. Ma gorge devint sèche. Mon visage etait en flammes.

- Madame Antonella ... Dieu... Mais je vous respecte... et... j'aime Daniela... euh... non, vous n'êtes pas du tout vieille, par contre vous êtes très attirantes. mais... comment...

Je parlais à peine, comme un élève de gymnase devant sa première femme nue.
Elle rit nerveusement.

- Dieu tu es adorable, si jeune et émotionne par le fait qu'une femme mûre te propose une telle chose... Ouh-la-la. Et si je te dis que depuis plusieurs années je rêve de caresser un garçon de vingt ans, que dis-tu? .... Et comment faire afin d obtenir ca?... Accoster des gars dans la rue?... Tu es de la famille... Tu es tombé sur moi... Et ça fait un an que je ai pas de mari ... moi suis tellement tensionnée et toi avec la verge pas touchee par bouche de femme... C est le moment, non?... Allez, chéri, enlève ton pantalon et viens ici... Ta femme ne sauras pas, crois-moi.

Oui, ils avaient raison, les films pornos sont inspirés de la réalité. La tante de ma femme etait me demandait de la bite, directement. J ai essaye de parler. A peine.

- Madame... Mais je vous respecte... Comment faire cela???

Elle a souri d une maniere maternelle.

- Faudrais que tu respectes ta mère. Allez, à poil cher garçon.

Avec le sentiment que je rêvais, et que ce n'était pas moi qui faisais ça, je me suis leve et je me suis déshabillé dans le salon devant la mystérieuse dame en noir, qui me regardait les yeux dilatés, sans aucune vergogne.
Jeans et slips sont tombes sur le tapis. Je suis resté seulement en chemise - debout devant elle. Avec mon organe dur arqué vers la dame sectaire.

Elle devint rouge-rouge et ses yeux regardèrent voracement ma verge arquée. Et mes coquilles gonflees.
J etais bien rase la.

-Oooh... Comme il est gros ton machin... Maintenant, promènes-toi dans la pièce jeune homme. Je veux te voir comme ça. Comme un faune excite. Par une nymphe âgée.

Étourdi par des lourds plaisirs, j'ai bougé nu devant ”la nymphe âgée”.
Mon pénis pendulait en erection, devant moi, décalotte et bestial, et me faisait mal à cause de cette érection sauvage. En fait mon organe il était si gros que je ne le reconnaissais pas.

Puis, j'approcha du canapé où était assise Madame Antonella. Avec une sensation d'ejaculation imminente. Devant moi, sous le ventre, mon organe pulsait en l'air, en érection, une erection comme je n'avais jamais eu avec ma femme Daniela. Ma bite était devenue longue, grosse, et avec un gland de la taille d'un abricot.
Madame Antonella ne souriait plus – comme en transe, la femme en noir me regardait avidement et fixait mon pénis arqué à 40 degrés vers son lustre en cristal de Murano.
Elle était devenu toute rouge et elle haletait légèrement.
Puis elle apporta une petite serviette de la salle de bain. Avec sa demarche elegante. Elle semblait vachement trouble et murmurait sans cesse:-Mon Dieu... Mon Dieu... Mon Dieu...

Quel Dieu? Son Jéhovah?

Donc, dans la lumière de l'après-midi - quatre heures seulement après notre rencontre - j'étais tout nu, debout devant Madame Antonella de Busteni. La tante de ma femme. Enseignante et sectaire. Nu et erecte sous les icones.

L'odeur du sapin et des fougères venait par la fenêtre ouverte et les voix des touristes se rendant au téléphérique se faisaient entendre.

Je me suis alors rapproché d'elle, tout près et mon pied nu a touché ses pieds nus sur le tapis: deux pieds chauds. Immédiatement l'impudique femme mit ses pieds nus sur mes pieds. Ses plantes étaient tendres et chaudes.
Ses pieds nus sur mes pieds nus.
Et cela a augmenté énormément mon erection déjà énorme.

Puis elle m'a fait une sorte de préliminaire: Madame Antonella a commencé à promener ses paumes sur ma poitrine, puis sur mon dos, les fesses, les cuisses. Avec une expression d'extase sur son visage. Son odeur avait changé, elle sentait le sexe maintenant. Étrange. Je gémissais sous ses mains veloutées et chaudes.

- Lucian, est-ce que le diable où le bon Dieu t'a amené chez moi, la femme mûre pleine de désir sexuel? Lucian, l'idée que tu es érecté à cause de moi me rend folle. Et j'apprécie vraiment ça, Lucian.

Elle parlait comme une toxicomane. La sectaire de Busteni etait dingue. Mais je le regrettais pas.

L'élégante nymphomane habillée en noir n'arrêtait pas de me caresser avec ses paumes, partout, et moi j'étais debout, et ma verge super-arquee n'était plus qu'à cinq centimetres de sa bouche. Elle respirait sur mon gland et je pouvais sentir un lourd plaisir monter en moi. Puis elle commença à renifler ma bite, comme une chienne en rut. Elle touchait son nez sur mon gland et j'ai gémi. Aucune fille n'avait fait ça avec moi. J'ai été douché et je sentais le Nivea for Men.

-Madame Antonella ... Aaahh ... avec vous je ressens des plaisirs comme je ne les avais jamais ressentis avec aucune fille ... Et j'aime ... voir vos pieds nus ...
Sans arrêter de renifler ma verge la femme gloussa.
-Petit fétichiste ... comme c'est étrange et excitant: tu me montres ta verge et tu continues à me parler avec ”vous”...

Puis elle est passé au niveau deux: le sectaire en noir a commencé à embrasser doucement la tete rose de ma bite. J'ai poussé un cri alors que ses lèvres rouges se collèrent à mon gland. Involontairement, je l'ai attrapé par ses épaules.
Madame Antonella ne jouait pas: elle était en train d'embrasser ma verge.
Sans hate, sensuellement et avec une bouche humide. Avec la technique des femmes mûres. Avec ses grands yeux curieux levés vers les miens. Ses lèvres charnues se baladaient maintenant sur mon gland et sous le gland, là où les hommes meurent de plaisir. Ooooh, cette dame savait vraiment comment le faire...
Ses mains caressaient mes miches... et elle a continué à embrasser affectueusement ma bite. Sa bouche se collait et se décollait comme une ventouse chaude sur mon gland. Avec un bruit mou.
Mon Dieu j'étais en train de recevoir les caresses le plus pornographique du monde.

Une caresse intime qui venait d'une femme mûre. que je ne connais que depuis quatre heures. Et qui etait la tante de ma femme.
En moi, parmi les plaisirs inhumains de la fellation, une grande peur semblait persister, en pensant à quelle infection je pourrais faire si cette bouche merveilleuse avait embrassé d autres bites de mâles. Mais aussi des remords douloureux à propos de ma femme.
Mais vite, ces songes ont passé et j'ai décidé de profiter de l'incroyable caresse sexuelle fournie par cette dame mûre, gratuitement et avec une grande passion. Et je l'ai regardée comme elle dorlote ma bite avec sa bouche, haletante et excitée, et sur le tapis l'image érotique de ses deux pieds nus.

Madame Antonella continua cette fellation sans mettre sa main sur ma bite – tout ce que je sentais c'était ses paumes chaudes sur mes miches et la bouche brûlante à l'avant. Dix minutes... quinze minutes... déjà des grosses vagues de plaisir visceral tourbillonnaient dans mes tripes, annonçant la montée d'une éjaculation cataclysmique.
J'ai gémi, avec mes mains sur ses épaules.

Parmi les sons mous des baisers donnés à ma verge, je l'entendis marmonner quelque chose:-Et bien, ce n'est pas pour ça que j'embrasse ta bite petit sot? Ouais chéri, vide tes couilles chéri... sur mon nez, dans ma bouche, allez donne moi ta semence... Appaise ma faim de bite, chéri...

Dieu, quelle cochonne de reves.
Eh oui, ma semence montait en moi.
La semence accumulee en 14 jours de masturbation.
Ca veneait, ca veneait… comme un tsunami.

Et elle savait ca. Aussitôt madame Antonella, penchée d'un côté pour protéger la robe, attrapa mon pénis dans sa main, en tirant cette fine peau vers la racine de la verge. Le geste final.
C'était la fin. Dans mes reins – du au decallotage extreme - j'ai senti les aiguilles de feu de l'orgasme imminent. J'ai immédiatement attrapé ses épaules et en criant sauvagement, et j'ai lâche plusieurs jets de jus masculin directement dans sa bouche, sur son nez, son menton et ses joues. Des giclées de cheval, comme disait un ecrivain.

Elle tint la serviette sous son menton et tout mon sperme chaud coula du visage de la femme - dans la serviette.
La dame sectaire connaissait son métier de vides-couilles cochonne.
J'étais sur le point de perdre conscience après une telle ejaculation. C'était comme toute ma moelle épinière avait jailli de mes glandes avec ces giclées de cheval.

Quand j'ai récupère de la ”petite mort”, la dame qui pouvait être ma mère avait maintenant une barbe et une moustache de semence fraiche qui ruisselait, chaude et collante et onctuese, vers la serviette.

Éclaboussée comme une pute elle me regardait sans vergogne, avec une expression victorieuse.

Elle léchait ses lèvres de mon sperme, comme un enfant lubrique. Puis la femme a oint son visage avec mon sperme, comme les femmes font avec la crème hydratante Nivea. Ma tête tournait. Ai-je rêvé?

-Regarde Lucian ... Regarde ce que tu m'as fait. Eh bien, est-ce possible jeune homme? Arosser une dame mure comme ça? Petit cochon va.
Elle me grondait en plaisantant.
Et je pouvais la voir renifler l'odeur de sperme dans la serviette.
Je tremblais encore. Je ne pouvais pas parler.
Cela avait été l'éjaculation la plus effrayante de ma vie.

Madame Antonella a ensuite couru vers la salle de bain, s'est lavée et et revenue puis a dit:-Petit cochon, écoute, maintenant je veux que tu t'asseyes nu sur le canapé et je vais te parler de mon plaisir sexuel et de mes pipes que je donne aux hommes depuis l'âge de 17 ans. Et quand ta verge sera à nouveau cambrée du a mes histoires... je l'embrasserai encore, parce que j'en veux encore une charge de semence. Oui?

Toujours tremblant de spasmes, je m'assis.
Nu, à côté de la dame habillée.

Elle prit un café et commença ses histoires.

- À 17 ans un cousin de ma mere m'a donné à boire du vin. Il avait 25, Marie. J etais ivre... et il a sorti sa bite devant moi. Sa bite énorme. Une ado devant une bite d'homme adulte... Dieu. Je sais pas pourquoi mais tout de suite j'ai commencé à lecher cette bite et en dix secondes ce cochon m'ai arrosé de sa semence abondante. J'arrivais pas à croire – mes seins de vierge inondent de sperme... Ensuite, sans essuyer mes seins j'ai ouvert la bouche et le mec à fourre sa bite dans ma bouche de gamine et...

Elle ne termina pas son histoire.

Très vite – sous ses yeux troubles - ma bite a repris sa forme de banane arquée.
Je gémissais en la regardant. Comme en implorant une nouvelle serie de caresses buccales.

-Oooh, mon petit, déjà?

La tante de ma femme, sans perdre le temps, comme droguée, se penchea sur mon ventre et cette fois, avec un soaupir, elle avala ma verge, jusq aux couilles, comme un boa constrictor sa proie, en poussant rythmiquement mon gland contre ses amygdales.

En me permettant une copulation avec sa bouche chaude. Va-et-vient avec ma verge dans une bouche de femme mure.
Mon plaisir dépassait toutes limites.
-Madame... Madame...
Je la tins par ses cheveux et en cinq minutes je vidais à nouveau mes couilles, cette fois directement dans sa bouche. Elle avala tout, sans hesiter. Quand elle leva la tete, ses yeux avaient un regard malade.

Autor lucius.ro@gmail.com

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bien écrite du rêve pendant quelques minutes Merci



Texte coquin : Madame Antonella – Une inattendue fellation de femme mûre
Histoire sexe : Une rose rouge
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