Odette, étudiante, 20 ans, sodomisée sur la table gynécologique

- Par l'auteur HDS Lucian -
Récit érotique écrit par Lucian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Odette, étudiante, 20 ans, sodomisée sur la table gynécologique Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Odette, étudiante, 20 ans, sodomisée sur la table gynécologique
Odette, étudiante, 20 ans, sodomisée sur la table gynécologique
C'était un samedi matin lorsque le docteur Moruzescu a vécu l'expérience sexuelle la plus incroyable de sa vie d’homme de 40 ans.
Il pensait toujours aux filles de 20 ans quand ils les voyaient dans la rue, ces étudiantes grandes avec de longues jambes: mais il chassait ces pensées sales. Mais il voulait ça, une gamine de 20 ans. Ces pensées le rendaient malade.
C'était un samedi matin et le cabinet gynécologique était vide.
L'assistante Dana était partie, il était environ 11 heures.
C'était un mois de juillet, l’été torride de Bucarest… mais c'était agréable dans le bureau, avec le climatiseur.
Il était assis au bureau en regardant des pornos sur son ordinateur portable.
Des filles de 20 ans sodomisées. Aaah, qu’il aurait voulu gouter ça, une fois, une seule fois… Un anus de fille jeune.
Il n'avait aucune envie de rentrer chez lui.
Il voulait une fille inconnue, nue, et amatrice de sodo.
Il pouvait avoir une fille comme ça, parce qu'il était un type bien pour 44 ans, sans bedaine. Proportionné.
On aurait dit Claude Francois, plus jeune.
Mais c’était compliqué et risquant.
Il était donc pris dans ses pensées, quand l'alarme électronique sonna: quelqu'un était entré dans la salle de réception. Il sursauta en surprise et se dirigea vers la réception.
Qui cela peut-il bien être? Il ne se souvenait d'aucun rendez-vous.
Un fort frisson descenda en lui: une fille brune, très grande et d'une beauté inimaginable était entrée à la réception. Elle mesurait au moins 1m80 – Dieu, elle était tellement grande. Même avec des sandales plates.
Cette génération de grandes filles. Qui le tuait dans la rue.
Elle portait une robe blanche et des sandales blanches.
Une crinière de cheveux bouclés bruns et un visage angélique, avec de grands yeux et une petite bouche, comme un cœur. Style Blanche Neige. Iréelle.
Rapidement il vit qu'elle avait un corps androgyn, avec de petits seins, de sportive.
Et puis il se rappela qu'il l'avait vue le soir du nouvel An dans la famille, elle était la fille d'une collègue de sa femme. Et il se rappela également qu'il y a 3 jours, sa femme lui avait dit que cette fille viendrait pour un examen gynéco de routine.
La fille, devant lui, lui souriait timidement.
"Bonjour, docteur, je suis Odette, la fille de Mme Mireanu. Vous ne me connaissez peut-être pas, mais moi je vous connais depuis le réveillon du nouvel An." En présence de la belle et grande fille, le docteur Moruzescu transpira soudain, même s'il faisait frais au bureau. Et tout d”un coup, l’homme entra dans une érection monstrueuse et illogique.
Il racla sa gorge avec émotion.
"Bien sûr, mademoiselle. Eh bien, allons dans la salle de consultation. "Dans la salle il prépara la table gynécologique et les gants. Et lui dit:"Eh bien, je sors. Vous vous installez là, je pense que vous savez comment le faire?».
Il sortit et pu entendre Odette enlever son slip et monter sur la table.
Quand il re-entra dans la salle, il frissonna devant l’image de la superbe étudiante couchée sur la table hostile de metal avec ses belles jambes levées sur les supports métalliques. L images des jambes parfaites lui couppa lse soufflé. Les pieds nus en sandales romaines blanches etaient parfaits. Elle bougeait lentement les orteils fins avec des ongles roses.
Elle avait rempli le cabinet de consultation de son parfum floral.
Odette, allongée, les jambes levées et écartées le regardait avec de grands yeux. Le sexe de la fille – entre les cuisses nerveuses – etait complètement rasé… ce qui rendit fou le docteur. Les pieds nus, les jambs longues, et probablement soyeuses, comme seule une fille de 20 ans peut en avoir, étaient comme un rêve érotique.
Troublé, le docteur Moruzescu commença à explorer le vagin de la fille avec soin et palpa son ventre plat. En essayant d'être professionnel et neutre. Un peu difficile, avec un être si divin sous ses doigts. Son érection poussait et lui faisait mal.
"Quelque chose vous fait mal mademoiselle? Des douleurs?"”Odette dit que non.
Il palpa méticuleusement le sexe jeune avec des levres roses. Trouva l'hymen, petit et intact.
Tout allait bien, pas d'odeur, rien. Le vagin le plus propre et le plus vierge au monde.
"Odette, vous allez bien. C’est bon. Vous pouvez vous habiller. "Et puis le docteur Moruzescu a entendu sa voix chuchotée:"S'il vous plait ... docteur… Pourriez-vous me toucher encore comme ça? ... Je ne veux pas partir d'ici..."Il pensa qu'il rêve.
"Pardon??????"La fille ecartée sur la table soupira. Les yeux de Odette avaient une expression désespérée.
"J'aime sentir vos doigts... là... j'aime être comme ça exhibée devant vous... S'il vous plaît... J'ai eu des rêves sales avec une telle table et vous... Une table gynécologique et un gentleman mature comme vous..."Il respire profondément et saisit le menton de la fille, comme on fait aux enfants.
"Odette... Cherie… Soit raisonnable ... Je suis marié, tu es juste une gamine... je pourrais être ton papa… Comment serait-ce possible..."Elle soupira de nouveau et attrapa sa main (elle avait une petite main, chaude, en sueur).
"Non, non… S'il te plait… S'il te plait… Docteur… caresse-moi le sexe ... S'il te plaît ... Je veux que tu me fasses jouir... qui saurait ça? ... Tu n'es pas mon papa… Je suis majeure… Je veux une main d'homme mûr là et je t'aime depuis un an et tu es la nuit dedans tous mes rêves sales..."Quelque chose explosa en lui. Et il su plus ce qu'il fait.
Il se pencha doucement sur et prit sa bouche.
Passionnée, la fille répondit avec sa petite langue, ses bras enroulés autour de son cou.
Il gémit contre elle, puis une petite voix chaude lui dit des choses dans son oreille.
"Je veux... avec toi… des choses sales… maintenant… j'ai un plan... je veux dans la première phase que tu m’excites très fort là, dedans… avec tes doigts… puis sortir ta verge... Et la fourrer dans mon cul… sans honte… Dans le cul je ne suis pas vierge ... chaque jour c’est le vibromasseur qui entre la… Mais avec toi, maintenant, je veux voir ce que ça fait avec une bite réelle d'homme dans mon anus…. Une bite de mâle, une bite réelle, réelle, bite de chair humaine, car j’en ai assez de ce plastique maudit… Et avoir un orgasme comme ça… S'il te plait… aide-moi…”La fille de 20 ans avait dit tout ça rapidement, comme une litanie déjà apprise. Une litanie du péché. Dieu, ces gamines fourragees avec du porno…Comme dans un rêve, le cœur battant, le docteur courut à la réception et ferma la porte.
Crucifiée sur la table, la fille de 1m80m, avec sa robe retroussée sur sa poitrine, haletait dans une grande excitation, l’attendant, en soulèvent légèrement ses hanches. Elle le regardait avec de grands yeux, désespérée, rouge comme le feu.
Respirant bruyamment avec la bouche ouverte. Comme un rêve d'Hustler.
Febrilement, le docteur Moruzescu caressa les longues jambes chaudes, veloutées, de la hanche au talon, puis renifla la peau fine des pieds parfaits qui sentaient le savon Camay, puis sa bouche descendit entre ses longues cuisses, directement dans la fente de chair parfumée. Affame, l’homme mâchouilla la vulve de la déesse de 20 ans et le cabinet retenti des gémissements de la jeune fille arquée de plaisir.
”-Oh Oui… Oh oui… Oh oui…”Il lécha longtemps le sexe chaud et épilé et inondé de sécrétions sexuelles... qui avait le gout d un fruit sauvage… et mordilla le petit clitoris dur, et la fille gémit et gémit, levant ses hanches ... et faisant ça, le docteur sentit sous ses doigts comment l'anus de l étudiante se détendait, encore et encore.
L’angélique étudiante haletait maintenant sauvagement comme une pute, sur la table gynécologique, cambrant ses jambes écartées de plaisir, son vagin léché profondément par la langue du Moruzescu, vulve d’ado, le fruit interdit aux hommes mûrs. Et il morda les petals de chair, gonflées, et goûta les sécrétions et gémit, en roucoulant des mots d'extase.
L'extase à côté d'une étudiante hypersexuelle. Un merveilleux produit du porno de l’Internet.
Odette gémissait comme une cochonne:«Aaaah… Ahhh… Dieu… Oui… c’est bien… je suis proche des spasmes… Maintenant, vite, la bite, la bite…Vas-y, Monsieur, fourre-la… dedans, dedans… dans mes entrailles… vas-y… vas-y… encule-moi… oooh…»Une petite hystérique.
Le Docteur Moruzescu oublia les contraintes maritales et les pensées liées à l'infection qu'il pourrait contracter après une sodomie sans préservatif et la pensée que probablement d'autres hommes ont fait leurs plaisirs dans ce cul, care les filles sont tellement menteuses… et, vite fait, il ouvra sa braguette, libèra son organe dur, abaissa rapidement la table gynécologique au niveau de son ventre, s'installa entre les belles jambes nues de la deesse... il colla le gland contre l’anus béant, attrapa les chevilles fines et chaudes ...
Et, avec un cri inhumain, l’homme de 40 ans poussa sa bite, pour la première fois dans l’anus féminin, cette fois l'anus d'une fille de 20 ans.
D un coup ses yeux virent comme sa verge s'enfonce lentement dans l'anus d'Odette, jusqu'à la racine. D abord il sentit un besoin énorme de se vider, parce que le plaisir était inimaginable. Il serra ses dents et réussi à m'abstenir. Il se retira, et re-entra dans le cul de la fille.
Ensuite l’homme commencea un va et vient dans ce trou feminin pas fait pour la copulation.
Enculée, avec un phallus dans son rectum, la belle Odette également poussa un cri et torda ses hanches et caressa son clitoris.
Le docteur du pas travailler pour trop long dans le cul de la fille.
Étant déjà „préparée” par les caresses antérieures, la fille fut rapidement saisie par les spasmes d'un orgasme violent et commencea à se contracter avec de petits cris, en poussant ses chevilles prises dans des supports métalliques.
En vidant ses tensions sexuelles. Avec des petits cris d extase.
Complètement enfonce dans cet anus de fille le docteur Moruzescu ne résista pas: induit par le plaisir de la fille, avec la bite complètement enfoncée dans le rectum chaud, libéra également son plaisir dans les contractions sauvages d'une éjaculation cataclysmique, comme il n'a jamais eu auparavant. En remplissant l'anus de Odette avec sa semence abondante.
Il resta enfoncé dans le cul de la fille jusqu'au dernier spasme... et quand il retira sa bite il vit comme le sperme blanchâtre s'écoule et ruissele de l'anus pénètre, sur le linoleum.
Comme dans un film porno.
Essoufle par ses spasmes, il resta anéanti, debout, avec sa tempe sur la cheville de Odette qui le regardait avec les yeux vitreux des femmes sexuellement satisfaites. Elle avit encore des contractions.
Il balbutia.
"Malheur à moi... chère poupée... Qu'est-ce que tu m'as fait faire??... Dieu..."Odette le regardait sans un mot, les yeux écarquillés. Avec un étrange sourire.
Il entendit sa voix étouffée:"Dis pas ca... Je veux encore, s'il te plait. Mon anus veut encore ta bite..."À nouveau une vague de peur l'envahit, mais en même temps, la vue du pied nu, dans la sandale blanche, et les orteils du pied nu, et le talon rose comme seules les filles on lui donna des nouveaux frissons chauds dans son ventre et senti avec horreur que sa verge entre a nouveau en erection.
Arquée et dure comme le béton etait sa verge.
Automatiquement Moruzescu attrapa dans ses mains les mollets de la fille et enfoncea à nouveau sa bite dans ce sphyncter non fait pour l'amour, maintenant bien lubréfié par son propre sperme, recommençant cette pénétration ”tellement dégoûtante" pour les femmes, si peu hygiénique, mais si affolantes pour un homme.
Surprise, l étudiante sur la table gynécologique poussa un petit cri, puis de nouveau reçu l'organe du docteur dans son trou, et lui re-commença à pénétrer rythmiquement le rectum de la fille, en tenant à nouveau ses fines chevilles chaudes dans ses mains. En faisant grincer la table metallique pas faite pour ca.
À cette reprise – avec les tensions soulagées après cette éjaculation - Moruzescu sodomisa la déesse de 20 ans avec méthode, attentif, caressant en même temps son vagin humide et son clitoris dur, écoutant attentivement les soupirs féminins et regardant le corps arqué sur la table en métal. Au bout de cinq minutes, les gémissements s'intensifièrent, le corps de la fille se leva et la belle Odette eut un second orgasme, sauvage, secouant à nouveau la table.
Dans les derniers instants, le docteur saisit son pénis, et elibera son sperme a nouveau, éclaboussant comme un cheval le ventre plat de la fille, avec une nouvelle série de jets de sperme. Une ejaculation comme il n'avait jamais eu de sa vie.
Avec des gestes lents, Odette mouilla ses doigts dans la flaque de semence, renifla le liquide et le regarda avec passion et murmura:"Dieu... la recolte du plaisir masculin..."Elle donnait des citations? Il rit nerveusement mais son cœur battait a 110 coups par minute et lui faisait mal du a des énormes remords, réveillé à la réalité après les deux éjaculations monstrueses.
Il embrassa Odette, qui était toujours haletante, toujours crucifiée sur la table en métal.
Elle sentait les sécrétions sexuelles et le parfum et le sperme.
Mais ce n'était pas fini. La déesse écartée lui jeta un regard coquin.
”Ne leve pas ton slip, docteur. Ce n'est pas fini. Tu sais pas que les femmes ont également... une bouche?”Tout de suite, avec la verge en l'air le docteur alla à l'autre bout de la table, vers la tete d'Odette qui ouvrit soumise la bouche. Avec un gémissement l'homme enfoncea sa verge dans cete bouche parfaite et la fille recut sa bite jusqu aux amygdales, comme une cochonne, en roucoulant de plaisir.
Il tint la nuque de la fille et copula lentement - sans honte - avec la bouche chaude, et, en regardant avidement les pieds nus en sandales, bientôt il sentit les vagues d une troisième jouissance qui montent en lui. Il cria à nouveau, et ses glandes se vidèrent à nouveau – la semence explosa de ses couilles, cette fois sur le visage de Odette.
Le sperme ruissela abondante sur le menton, les joues et le nez de la déesse anale extasiée de plaisir.

Auteur lucius.ro@gmail.com

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