Élise Libertine 66 LE SCULPTEUR 2/2
Récit érotique écrit par les-jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 24 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de les-jacanas ont reçu un total de 168 167 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 970 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Élise Libertine 66 LE SCULPTEUR 2/2
Je manipule avec gourmandise tous ces bites que Paul a sculptés en lui posant mille questions certaine qu’Alan nous observe de son bureau Au bout d’un moment je m’approche de lui et l’embrasse sur la bouche. Je lui demande de me caresser les fesses par-dessus ma robe. Le coquin se plie volontiers à ma demande. Je suis sûre que mon homme doit bander et se caresser en nous regardant. Je guide la main de mon visiteur vers ma chatte sous ma robe.
- « toutes ces bites m’excitent regarde comme je mouille, peut-on essayer ces beaux objets ? »
- « bien évidemment, le bois est protégé ce qui permet la pose d’un préservatif pour satisfaire les amatrices».
Je retire ma robe pour apparaitre dans le plus simple appareil devant mon sculpteur dont les mains parcourent mes formes avec douceur et gourmandise. Pour le premier essai je prends un phallus blanc en érable de taille moyenne, Paul le couvre d’un préservatif et le glisse lentement entre mes lèvres mouillées de cyprine.
La sculpture de bois pénètre doucement mon puit d’amour la sensation est bizarre c’est froid et dur, très très dur, mon sexe n’a d’autre choix que de se soumettre à l’objet qu’aucune de mes contractions n’influence. Je demande à Paul de prendre quelques photos. Il s’exécute tout en faisant glisser l’objet dans mon intimité.
- « c’est froid ! Vas-y doucement que je découvre ce qu’une queue en bois peut procurer comme sensations.»
- « tu vas voir on s’habitue et le plaisir peut surprendre. »
Il accélère le mouvement et le membre artificiel me pénètre de plus en plus profondément. Je m’habitue à l’objet qui peu à peu se réchauffe, lorsque Paul le retire et le remplace par celui difforme en olivier il doit forcer un peu pour faire pénétrer l’énorme gland d’au moins six ou sept cm d’épaisseur. Après un instant plus inconfortable que douloureux je m’habitue au va et vient de la sculpture difforme. L’énorme boule et sa tige torsadée me font un bien terrible, le plaisir monte en moi.
Pendant qu’il photographie la chatte remplie de cette nouvelle prothèse, mes mains partent à l’aventure vers son entrejambe, je dégage une belle bite d’environ 18cm par 4,5. Je prends en bouche cette queue chaude et je la suce.
Paul et moi reprenons nos ouvrages. La queue de Paul durcie dans ma bouche, ma langue lui caresse le gland je le sens palpiter sous ma langue tandis que dans mon ventre le membre de bois manœuvré par Paul fait monter à nouveau mon plaisir. En quelques minutes je jouis pour la première fois (il faut dire que je me suis conditionnée pour cette rencontre)
Paul laisse le gode en bois dans ma chatte et me caresse la poitrine en se concentrant sur ma fellation je le sens gonfler encore dans ma bouche avant qu’il se tende prêt à se reculer.
- « attention je vais jouir »
Ma main l’attrape par l’entrejambe je l’empêche de reculer quand un jet de sperme s’écrase au fond de ma gorge.
- « aaaaarghh, putain que c’est bon je gicle »
Effectivement sa bite a encore deux ou trois soubresauts en se vidant dans ma bouche. J’avale sa liqueur, épaisse avec une légère amertume, en continuant ma fellation le membre ramolli ne dégonfle pas vraiment.
- « merci ta bouche est si douce et adroite que je n’ai pas pu me retenir ».
- « j’te devais bien ça avec l’orgasme que tu m’as procuré avec ton ‘Quasimodo’ qui me remplit encore la chatte»
Je venais de donner un nom à son œuvre ce qui l’amusa et en retirant Quasimodo il proposa.
- « En voilà un de baptisé ! Tu as des idées pour les autres »
C’est ainsi que tout en nous caressant nous nous approchons de la table et nous lançons des propositions pour les autres. Celui en bois de rose devient ‘le vit en rose’, le plus petit ‘lilliputien’, le plus gros en ébène je le nomme Ahmadou en souvenir d’un congolais rencontré à Lyon (récit 38) pour les autres un nommé le ridé à cause des ondulations régulières de son veinage le chinois pour celui en houp tirant sur le jaune etc.
Ce petit intermède ayant permis de recharger nos batteries je vois la bite de Paul grossir à nouveau, je la prends dans ma main, ça me donne envie de me faire baiser par ce magnifique dard. Paul se déshabille je constate que c’est un faux maigre son buste est bien dessiné, la musculature est saillante sans excès bref un corps beau.
- « Paul baise moi comme tu veux avec ta bite cette fois»
- « Mais ton mari ? »
- « Eh bien ! Il verra qu’il est cocu et que je suis baisée par une bite plus grosse que la sienne »
Sa main s’attarde encore un peu dans mon con brûlant puis il coiffe son sexe d’un préservatif. Il m’entraine sur le canapé il m’allonge, son dard se présente face à ma fente et glisse entre mes lèvres humides. Il pénètre d’une traite mon temple d’amour, mes jambes se referment sur ses hanches.
- « je te baise comme ça pour commencer ensuite nous verrons selon ton désir »
Je jette un regard à la caméra pour mon homme, qui doit se branler en nous regardant, le sculpteur me pilonne avec vigueur un long moment et me fait sentir son savoir faire
- « ta bite est bonne, baise moi plus fort je vais jouir ! Plus vite ! Je viens hooouiiiiii enncorrre ouiiiiiii ooooooooh! »
- « Bien ma belle ce n’est que le début ! »
Je récupère doucement de ma jouissance, son braquemard est toujours bandé et actif dans mon ventre. Je lui propose de changer de position pour qu’il me prenne en levrette.
Je me redresse, je me mets à genoux je pose ma tête sur l’accoudoir pour être bien de profil pour la caméra, Paul se glisse derrière moi et me pénètre. Rapidement son marteau à boule me martèle le berlingot à cadence irrégulière.
Je suis attentive aux douces sensations que son outil me procure. En quelques minutes je suis de nouveau prête pour un nouvel orgasme. J’encourage Paul à me saillir plus virilement et il se fait un plaisir de suivre mes demandes.
- « tu aimes te faire baiser comme une chienne grosse salope»
En disant ces mots il m’excite encore plus je lui demande de me claquer le cul. Trop heureux ses mains s’abattent alternativement sur mes fesses qui rougissent. Il frappe avec entrain ce qui déclenche en moi un nouvel orgasme.
« Oui, oui, ouiiiii, encore, plus profond, je jouiiiis ! hooooo c’est booon, j’aimeeee oooohhhhhhhhouiiii ! Merciiii »
Paul me retient il m’empêche de m’écrouler sa queue ne faiblie pas il s’agite encore en moi mais c’en est trop pour moi je suis épuisée. Le coquin ne l’entend pas de cet oreille il décide de me sodomiser sa bite enduite de ma jouissance quitte ma chatte pour se loger dans mon cul malgré son épaisseur c’est sans difficulté que cette grosse queue perfore ma rondelle provoquant une douleur supportable. Quand il est bien en moi il commence à me ramoner le conduit, mes chairs réagissent et je ressens un certain plaisir avec ce braquemard qui s’agite dans mon fondement. Il ne faut pas longtemps pour que mon enculeur jouisse dans mon étroit conduit.
« aaargrhr je gicle ! La chienne, quel pied ! Ma salope que ton cul est bon! »
Malgré son ardeur je n’ai pas à joui, cette fois je n’en peux plus.
- « Tu m’as épuisée, je suis vidée! Quel après-midi plutôt agréable mais il est temps de faire une pause»
- « Élise c’est bon de te baiser. Ton mec est conscient de la chance d’avoir une salope comme toi, j’espère ! »
- « Il en est conscient et prend beaucoup de plaisir lui aussi avec la salope que je suis »
Nous prenons une bière en bavardant, mon visiteur ne reste pas inactif il a toujours une main qui se balade sur mon corps et peu à peu ses caresses me redonne l’envie. Je prends une gorgée de bière bien fraiche et je me jette sur sa bite mi molle que j’embouche. La réaction ne se fait pas attendre la verge gonfle et durcit sous le contraste froid du breuvage et la chaleur de ma bouche. Ma langue agace le gland qui reprend vie.
Il me couche sur la table et met mes jambes sur ses épaules. Je suis prête à le recevoir mais il s’empare du gros sexe d’ébène et le coiffe d’une capote.
- « Tu l’appelles comment celui-là ? Ahmadou ! Voyons si cela te rappelle de bons souvenirs »
- « Non attends ! Il est encore plus gros que le sexe d’Ahmadou jamais il n’entrera »
- « N’ai pas peur ! Je suis sûr que tu peux prendre un morceau pareil ! Ça va aller, ma belle! Tu vas aimer! Crois-moi»
Paul me branle un peu pour me faire mouiller encore plus puis il promène le gland coiffé de la sculpture entre mes lèvres humides par petite manœuvres successives il introduit peu à peu l’énorme prothèse. Je sens ma chatte s’élargir à la limite de la douleur ma main retient celle de Paul pour limiter l’introduction je souffle beaucoup.
- «pffe pffe ça ne rentre pas ! Oh, c'est énorme! arhhhhh, j’vais pas y arriver, arhhhh!aïe aïe ouille ouille!! Arrête ! »
- « Ça va le faire on y est presque le gros gland est presque rentré »
- « Arrrrrrhhhhh, ohhhhh, c'est trop groooos, arhhhhhhhhhhhhhh
- « Mais si petite salope, ouverte comme tu es tu peux et tu vas le faire. Prends ton temps! Tu y es presque!
Effectivement en disant cela une pression un peu plus forte de sa part et le gland est absorbé d’un coup il franchi le passage vers mon vagin. Je souffle de soulagement Paul temporise il me laisse le temps de digérer cet effort.
- « hooo qu’il est gros ! Oups ! C’est passé »
- « Tu vois je te l’avais dit, maintenant le reste ce sera du plaisir pour toi »
- « Oui mais vas-y doucement quand même, c’est un sacré morceau ! »
Paul pousse à nouveau sur braquemard de bois tout en crachant sur la tige au fur et à mesure de son avance. Je sens mon ventre se remplir jusqu’à ce que le gland butte sur mon utérus la douleur devient trop forte je lui demande d’arrêter. Tout n’est pas rentré, mon tortionnaire commence à retirer le phallus artificiel pour le replonger aussitôt au fond de mon ventre. Le sculpteur est attentif à mes réactions il me voit me détendre progressivement et m’encourage avec un sourire satisfait.
- « Voilà tu le sens aller et venir qu’est-ce que ça te fait ? »
- « Pour le sentir je le sens ! Mais ça va mieux je commence à aimer même si c’est un peu trop rigide »
- « Je ne me suis pas trompé seule une salope comme toi peut prendre un tel morceau passons la vitesse supérieure je vais te baiser un peu plus vite avec, tu me guide ? »
Il accélère le va et vient me pénétrant chaque fois au maximum le plaisir venant je commence à mouiller de plus en plus quand cette fois il retire totalement le morceau de bois pour le réintroduire aussitôt surprise je pousse un cri mais en réalité ce n’est pas si douloureux. Je dirai que cette douleur est bénéfique à mon plaisir. Je vois que lui aussi aime car sa bite gonflée et dressée.
- « Ouiii mon salop baise moi encore avec Ahmadou j’adore me sentir remplie comme ça. Vas-y plus vite tu vas me faire jouir, sors encore complètement et remplis moi ! »
- « Putain, tu m'excites! Si je m’écoute, je te défonce comme une pute. Maintenant passons aux choses sérieuses »
Il s’arrête se coiffe d’un préservatif puis ses doigts viennent me graisser la rondelle déjà inondée de mouille.
- « Je vais te casser le cul en même temps,».
Il lâche un instant sa sculpture pour guider sa bite vers sa cible. Il pousse, mon anneau a du mal à s’ouvrir mais finalement le ridé accueille le morceau de chair qui prend place dans mon rectum.
Paul me ramone l’intestin tout en ma baisant avec le morceau d’ébène, lorsque sa bite s’introduit à fond dans mon cul son ventre vient pousser sur la sculpture de bois qui vient heurter un peu plus mon utérus. Je suis totalement investie dans mes deux orifices et mon plaisir est intense. La torture de ce pal en ébène qui me défonce avec cette queue qui me lime le fion se transforme en un plaisir exceptionnel que j’exprime bruyamment.
- « Oh, c'est bon, oui, vas-y prends-moi bien à fond! Arhhhhhhh, c’est trop bon, encore, arhhhhhhhhh»
Il me soulève en m'empalant au rythme qu'il désire et me regarde gémir de plaisir.
- « alors elles te plaisent mes grosses bites?".
- « Oh, j'adore, elles me remplissent tellement, Oh, oui ! je t'en supplie! Démontes-moi, je suis une vraie salope »
- « Tu aimes te faire défoncer la chatte par un gros bite noire et le cul par une queue blanche sale pute! »
Oui, insulte-moi encore, arhhhhhhhhhhh, je joui, arhhhh, oui, je suis une pute, j'aime ta bite dans mon petit cul!".
Il ne peut se retenir plus longtemps et quand je crie ma jouissance il se vide dans son préservatif. Un petit café pour récupérer un brin de toilette pour lui et il me quitte il est plus de dix-sept heures trente.
Je monte voir Alan qui m’entraine dans la chambre. Il est tellement excité qu’il me sodomise de suite profitant du passage préparé par le sculpteur puis il me demande de poursuivre mon récit.
- « j’adore te voir faire ta salope comme cet après-midi, tu t’es dépassée pour organiser cette journée tu m’as beaucoup excité et je suis heureux d’avoir une épouse aussi indécente et gourmande. »
La soirée a été chaude et s’est prolongée très tard. En attendant de nouvelles aventures
- « toutes ces bites m’excitent regarde comme je mouille, peut-on essayer ces beaux objets ? »
- « bien évidemment, le bois est protégé ce qui permet la pose d’un préservatif pour satisfaire les amatrices».
Je retire ma robe pour apparaitre dans le plus simple appareil devant mon sculpteur dont les mains parcourent mes formes avec douceur et gourmandise. Pour le premier essai je prends un phallus blanc en érable de taille moyenne, Paul le couvre d’un préservatif et le glisse lentement entre mes lèvres mouillées de cyprine.
La sculpture de bois pénètre doucement mon puit d’amour la sensation est bizarre c’est froid et dur, très très dur, mon sexe n’a d’autre choix que de se soumettre à l’objet qu’aucune de mes contractions n’influence. Je demande à Paul de prendre quelques photos. Il s’exécute tout en faisant glisser l’objet dans mon intimité.
- « c’est froid ! Vas-y doucement que je découvre ce qu’une queue en bois peut procurer comme sensations.»
- « tu vas voir on s’habitue et le plaisir peut surprendre. »
Il accélère le mouvement et le membre artificiel me pénètre de plus en plus profondément. Je m’habitue à l’objet qui peu à peu se réchauffe, lorsque Paul le retire et le remplace par celui difforme en olivier il doit forcer un peu pour faire pénétrer l’énorme gland d’au moins six ou sept cm d’épaisseur. Après un instant plus inconfortable que douloureux je m’habitue au va et vient de la sculpture difforme. L’énorme boule et sa tige torsadée me font un bien terrible, le plaisir monte en moi.
Pendant qu’il photographie la chatte remplie de cette nouvelle prothèse, mes mains partent à l’aventure vers son entrejambe, je dégage une belle bite d’environ 18cm par 4,5. Je prends en bouche cette queue chaude et je la suce.
Paul et moi reprenons nos ouvrages. La queue de Paul durcie dans ma bouche, ma langue lui caresse le gland je le sens palpiter sous ma langue tandis que dans mon ventre le membre de bois manœuvré par Paul fait monter à nouveau mon plaisir. En quelques minutes je jouis pour la première fois (il faut dire que je me suis conditionnée pour cette rencontre)
Paul laisse le gode en bois dans ma chatte et me caresse la poitrine en se concentrant sur ma fellation je le sens gonfler encore dans ma bouche avant qu’il se tende prêt à se reculer.
- « attention je vais jouir »
Ma main l’attrape par l’entrejambe je l’empêche de reculer quand un jet de sperme s’écrase au fond de ma gorge.
- « aaaaarghh, putain que c’est bon je gicle »
Effectivement sa bite a encore deux ou trois soubresauts en se vidant dans ma bouche. J’avale sa liqueur, épaisse avec une légère amertume, en continuant ma fellation le membre ramolli ne dégonfle pas vraiment.
- « merci ta bouche est si douce et adroite que je n’ai pas pu me retenir ».
- « j’te devais bien ça avec l’orgasme que tu m’as procuré avec ton ‘Quasimodo’ qui me remplit encore la chatte»
Je venais de donner un nom à son œuvre ce qui l’amusa et en retirant Quasimodo il proposa.
- « En voilà un de baptisé ! Tu as des idées pour les autres »
C’est ainsi que tout en nous caressant nous nous approchons de la table et nous lançons des propositions pour les autres. Celui en bois de rose devient ‘le vit en rose’, le plus petit ‘lilliputien’, le plus gros en ébène je le nomme Ahmadou en souvenir d’un congolais rencontré à Lyon (récit 38) pour les autres un nommé le ridé à cause des ondulations régulières de son veinage le chinois pour celui en houp tirant sur le jaune etc.
Ce petit intermède ayant permis de recharger nos batteries je vois la bite de Paul grossir à nouveau, je la prends dans ma main, ça me donne envie de me faire baiser par ce magnifique dard. Paul se déshabille je constate que c’est un faux maigre son buste est bien dessiné, la musculature est saillante sans excès bref un corps beau.
- « Paul baise moi comme tu veux avec ta bite cette fois»
- « Mais ton mari ? »
- « Eh bien ! Il verra qu’il est cocu et que je suis baisée par une bite plus grosse que la sienne »
Sa main s’attarde encore un peu dans mon con brûlant puis il coiffe son sexe d’un préservatif. Il m’entraine sur le canapé il m’allonge, son dard se présente face à ma fente et glisse entre mes lèvres humides. Il pénètre d’une traite mon temple d’amour, mes jambes se referment sur ses hanches.
- « je te baise comme ça pour commencer ensuite nous verrons selon ton désir »
Je jette un regard à la caméra pour mon homme, qui doit se branler en nous regardant, le sculpteur me pilonne avec vigueur un long moment et me fait sentir son savoir faire
- « ta bite est bonne, baise moi plus fort je vais jouir ! Plus vite ! Je viens hooouiiiiii enncorrre ouiiiiiii ooooooooh! »
- « Bien ma belle ce n’est que le début ! »
Je récupère doucement de ma jouissance, son braquemard est toujours bandé et actif dans mon ventre. Je lui propose de changer de position pour qu’il me prenne en levrette.
Je me redresse, je me mets à genoux je pose ma tête sur l’accoudoir pour être bien de profil pour la caméra, Paul se glisse derrière moi et me pénètre. Rapidement son marteau à boule me martèle le berlingot à cadence irrégulière.
Je suis attentive aux douces sensations que son outil me procure. En quelques minutes je suis de nouveau prête pour un nouvel orgasme. J’encourage Paul à me saillir plus virilement et il se fait un plaisir de suivre mes demandes.
- « tu aimes te faire baiser comme une chienne grosse salope»
En disant ces mots il m’excite encore plus je lui demande de me claquer le cul. Trop heureux ses mains s’abattent alternativement sur mes fesses qui rougissent. Il frappe avec entrain ce qui déclenche en moi un nouvel orgasme.
« Oui, oui, ouiiiii, encore, plus profond, je jouiiiis ! hooooo c’est booon, j’aimeeee oooohhhhhhhhouiiii ! Merciiii »
Paul me retient il m’empêche de m’écrouler sa queue ne faiblie pas il s’agite encore en moi mais c’en est trop pour moi je suis épuisée. Le coquin ne l’entend pas de cet oreille il décide de me sodomiser sa bite enduite de ma jouissance quitte ma chatte pour se loger dans mon cul malgré son épaisseur c’est sans difficulté que cette grosse queue perfore ma rondelle provoquant une douleur supportable. Quand il est bien en moi il commence à me ramoner le conduit, mes chairs réagissent et je ressens un certain plaisir avec ce braquemard qui s’agite dans mon fondement. Il ne faut pas longtemps pour que mon enculeur jouisse dans mon étroit conduit.
« aaargrhr je gicle ! La chienne, quel pied ! Ma salope que ton cul est bon! »
Malgré son ardeur je n’ai pas à joui, cette fois je n’en peux plus.
- « Tu m’as épuisée, je suis vidée! Quel après-midi plutôt agréable mais il est temps de faire une pause»
- « Élise c’est bon de te baiser. Ton mec est conscient de la chance d’avoir une salope comme toi, j’espère ! »
- « Il en est conscient et prend beaucoup de plaisir lui aussi avec la salope que je suis »
Nous prenons une bière en bavardant, mon visiteur ne reste pas inactif il a toujours une main qui se balade sur mon corps et peu à peu ses caresses me redonne l’envie. Je prends une gorgée de bière bien fraiche et je me jette sur sa bite mi molle que j’embouche. La réaction ne se fait pas attendre la verge gonfle et durcit sous le contraste froid du breuvage et la chaleur de ma bouche. Ma langue agace le gland qui reprend vie.
Il me couche sur la table et met mes jambes sur ses épaules. Je suis prête à le recevoir mais il s’empare du gros sexe d’ébène et le coiffe d’une capote.
- « Tu l’appelles comment celui-là ? Ahmadou ! Voyons si cela te rappelle de bons souvenirs »
- « Non attends ! Il est encore plus gros que le sexe d’Ahmadou jamais il n’entrera »
- « N’ai pas peur ! Je suis sûr que tu peux prendre un morceau pareil ! Ça va aller, ma belle! Tu vas aimer! Crois-moi»
Paul me branle un peu pour me faire mouiller encore plus puis il promène le gland coiffé de la sculpture entre mes lèvres humides par petite manœuvres successives il introduit peu à peu l’énorme prothèse. Je sens ma chatte s’élargir à la limite de la douleur ma main retient celle de Paul pour limiter l’introduction je souffle beaucoup.
- «pffe pffe ça ne rentre pas ! Oh, c'est énorme! arhhhhh, j’vais pas y arriver, arhhhh!aïe aïe ouille ouille!! Arrête ! »
- « Ça va le faire on y est presque le gros gland est presque rentré »
- « Arrrrrrhhhhh, ohhhhh, c'est trop groooos, arhhhhhhhhhhhhhh
- « Mais si petite salope, ouverte comme tu es tu peux et tu vas le faire. Prends ton temps! Tu y es presque!
Effectivement en disant cela une pression un peu plus forte de sa part et le gland est absorbé d’un coup il franchi le passage vers mon vagin. Je souffle de soulagement Paul temporise il me laisse le temps de digérer cet effort.
- « hooo qu’il est gros ! Oups ! C’est passé »
- « Tu vois je te l’avais dit, maintenant le reste ce sera du plaisir pour toi »
- « Oui mais vas-y doucement quand même, c’est un sacré morceau ! »
Paul pousse à nouveau sur braquemard de bois tout en crachant sur la tige au fur et à mesure de son avance. Je sens mon ventre se remplir jusqu’à ce que le gland butte sur mon utérus la douleur devient trop forte je lui demande d’arrêter. Tout n’est pas rentré, mon tortionnaire commence à retirer le phallus artificiel pour le replonger aussitôt au fond de mon ventre. Le sculpteur est attentif à mes réactions il me voit me détendre progressivement et m’encourage avec un sourire satisfait.
- « Voilà tu le sens aller et venir qu’est-ce que ça te fait ? »
- « Pour le sentir je le sens ! Mais ça va mieux je commence à aimer même si c’est un peu trop rigide »
- « Je ne me suis pas trompé seule une salope comme toi peut prendre un tel morceau passons la vitesse supérieure je vais te baiser un peu plus vite avec, tu me guide ? »
Il accélère le va et vient me pénétrant chaque fois au maximum le plaisir venant je commence à mouiller de plus en plus quand cette fois il retire totalement le morceau de bois pour le réintroduire aussitôt surprise je pousse un cri mais en réalité ce n’est pas si douloureux. Je dirai que cette douleur est bénéfique à mon plaisir. Je vois que lui aussi aime car sa bite gonflée et dressée.
- « Ouiii mon salop baise moi encore avec Ahmadou j’adore me sentir remplie comme ça. Vas-y plus vite tu vas me faire jouir, sors encore complètement et remplis moi ! »
- « Putain, tu m'excites! Si je m’écoute, je te défonce comme une pute. Maintenant passons aux choses sérieuses »
Il s’arrête se coiffe d’un préservatif puis ses doigts viennent me graisser la rondelle déjà inondée de mouille.
- « Je vais te casser le cul en même temps,».
Il lâche un instant sa sculpture pour guider sa bite vers sa cible. Il pousse, mon anneau a du mal à s’ouvrir mais finalement le ridé accueille le morceau de chair qui prend place dans mon rectum.
Paul me ramone l’intestin tout en ma baisant avec le morceau d’ébène, lorsque sa bite s’introduit à fond dans mon cul son ventre vient pousser sur la sculpture de bois qui vient heurter un peu plus mon utérus. Je suis totalement investie dans mes deux orifices et mon plaisir est intense. La torture de ce pal en ébène qui me défonce avec cette queue qui me lime le fion se transforme en un plaisir exceptionnel que j’exprime bruyamment.
- « Oh, c'est bon, oui, vas-y prends-moi bien à fond! Arhhhhhhh, c’est trop bon, encore, arhhhhhhhhh»
Il me soulève en m'empalant au rythme qu'il désire et me regarde gémir de plaisir.
- « alors elles te plaisent mes grosses bites?".
- « Oh, j'adore, elles me remplissent tellement, Oh, oui ! je t'en supplie! Démontes-moi, je suis une vraie salope »
- « Tu aimes te faire défoncer la chatte par un gros bite noire et le cul par une queue blanche sale pute! »
Oui, insulte-moi encore, arhhhhhhhhhhh, je joui, arhhhh, oui, je suis une pute, j'aime ta bite dans mon petit cul!".
Il ne peut se retenir plus longtemps et quand je crie ma jouissance il se vide dans son préservatif. Un petit café pour récupérer un brin de toilette pour lui et il me quitte il est plus de dix-sept heures trente.
Je monte voir Alan qui m’entraine dans la chambre. Il est tellement excité qu’il me sodomise de suite profitant du passage préparé par le sculpteur puis il me demande de poursuivre mon récit.
- « j’adore te voir faire ta salope comme cet après-midi, tu t’es dépassée pour organiser cette journée tu m’as beaucoup excité et je suis heureux d’avoir une épouse aussi indécente et gourmande. »
La soirée a été chaude et s’est prolongée très tard. En attendant de nouvelles aventures
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par les-jacanas
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...