Élise libertine 72 Kayo la deuxième rencontre - histoire érotique

Fin octobre 2006 un peu plus de trois mois après la rencontre avec Kayo (Élise libertine 67) nous acceptons une nouvelle rencontre avec lui et plusieurs de ses copains Black choisis pour leurs gros sexes. Afin de baiser sans capote nous exigeons de tous des tests de dépistage complet. Tous les tests médicaux sont OK, la date fixée est l’après-midi du premier vendredi de novembre.
Malheureusement le mardi Alan apprend le décès d’Yves un de ses très bon copain. L’enterrement a lieu à dix heures le vendredi matin à Bordeaux ce qui le fait partir vers deux heures du matin et revenir le vendredi en fin de soirée. Avec Alan nous proposons à Kayo de décaler d’une semaine il nous dit qu’il voit car la location du gite est payée. Gêné Kayo nous rappelle, le gite est complet les semaines suivantes.
Alan me dit « chérie vas-y seule si tu veux, il y en aura bien un pour prendre les photos, appelle le ».
Kayo répond « pas de soucis tu peux me faire confiance, on peut même filmer si tu veux ».
Le vendredi matin à deux heures trente Alan part pour Bordeaux. Je fais la grasse matinée, à dix heures message d’Alan il est arrivé depuis un quart d’heure. Vers onze heures je toilette ma petite chatte et après un lavement je prends une bonne douche. Je déjeune léger et je monte m’habiller. J’opte pour une robe portefeuille jaune sans sous-vêtement, ma veste et mes escarpins en cuir couleur camel.
Tout étant réglé Il est treize heures cinquante quand Kayo arrive accompagné de son ami Djibril pour me conduire au gite qu’ils ont loué. Je les accueille d’une bise rapide sur le pas de porte.
« J’arrive je prends ma veste »
Lorsque je reviens Kayo m’embrasse sur la bouche et, imité par son ami, glisse sa main sous ma robe.
«Je vois que tu es prête à l’emploi, tu mouilles déjà ! Djibril je te l’ais dit c’est une salope »
« Allons les garçons un peu de patience, en voiture »
J’échappe aux deux lascars et je saute à l’arrière de la voiture, vingt minutes plus tard nous arrivons au gite, je vais enfin savoir combien sont les amis de Kayo. Nous entrons, une chaleur douce règne dans la pièce à vivre grâce à un feu qui crépite dans la cheminée, je visite : une kitchenette trois chambres, deux salles de bain. Surprise qu’il n’y ait personne je me tourne vers Kayo
« Vous n’êtes que deux ? »
« Non, mais trois travaillant en intérim ont été appelés à la dernière minute, nous serons sept sur dix, les autres vont arriver. En attendant tu peux contrôler les résultats des tests pour les dix je t’assure que tout est OK. J’ai tout contrôlé moi-même sauf le tien. »
« Ha ! Dix quand même ! Tu n’as pas peur que cela fasse beaucoup pour une seule femme ! »
« Je sais qu’il ne faut pas t’en promettre »
Je lui tends mes résultats qu’il regarde minutieusement pendant que je contrôle les leurs. Il sort de son sac à dos trois pots remplis de diverses substances qu’il pose sur la table en disant que cela peut servir. Coups de klaxon une vielle Peugeot s’arrête, cinq jeunes noirs la trentaine descendent et nous rejoignent avec des boissons et quelques encas. Kayo les présente : Bakary, Touré, Boku, Assane, Adjoua je fais la bise à chacun puis Kayo demande aux garçons de libérer le milieu de la pièce et d’y amener un lit deux places. La mise en place terminée nous buvons un coup pour faire connaissance. La caméra installée, Kayo prend la parole :
« Le mari d’Élise ne peut être présent, il nous confie son épouse jusqu’au soir pour en faire notre pute à Blacks. Nous devons lui donner du plaisir. Attention! On lui rend sans blessure et sans marques des photos et des films informeront Alan, poupée tu veux ajouter quelques chose ? »
« Merci Kayo, vous pouvez me baiser comme vous voulez, les insultes, la fessée, les gifles et de légères morsures ne laissant pas de trace OK, pas de coup de poing. Comme vous êtes nombreux si je vous demande d’arrêter vous arrêtez. Mais surtout faites mois jouir ! Foutez vous à poil !»
J’observe les queues imposantes de tous ces jeunes entre dix-huit et plus de vingt centimètres. Je me mets nue, quelques sifflets et surtout des mains qui me touchent partout. Kayo est le premier à me plaquer contre la table je mouille tellement que son chibre pénètre ma chatte d’un coup. Il me besogne pendant que je branle deux autres grosses bites et qu’une quatrième me remplit la bouche, Touré se charges des photos. Sur cette table ma chatte reçoit sa première dose du sperme de Kayo.
Je suis déplacée sur le lit par les jeunes noirs, Kayo avec la caméra ne rate rien de ma première doublette, empalée sur le braquemart de Bakary, Assane après avoir enduit son chibre et mon anus d’une pommade m’encule sans difficulté et Touré me colle sa bite dans la bouche. Pour la première fois sous les encouragements et les coups de queues de ces fougueux soudards, les fesses rougies par les claques, je jouis.
« Salope tu les aimes les grosses bites africaines espèce de chienne »
« Ouii j’aime vos grosses bites, encore je viens oooooohouiiiiaahhh c’est bon »
Ils jouissent chacun leur tour ils me remplissent la chatte, le cul, Touré m’arrose les amygdales. Les suivants prennent la place je chevauche Boku alors que Djibril me perfore l’œillet et je suce Adjoua. Après deux heures de débauche et des orgasmes que je renonce à compter, nous faisons une pause.
Après un encas je vais prendre une douche pour me débarrasser du foutre qui coule de partout. Kayo en profite pour envoyer la vidéo et les photos à Alan qui est sur la route retour. Dix minutes plus tard Alan m’appelle pour me demander si ça se passe bien. Je lui confirme que les sept blacks s’occupent bien de moi. Je lui demande d’être prudent sur la route mais il est temps d’y retourner les jeunes étalons piaffent.
Je retourne donc m’allonger sur le ring Kayo plonge entre mes cuisses et me dévore le clito si bien que je jouis en criant malgré le gourdin de Djibril dans ma bouche. Les hommes de couleur me baisent à tour de rôle ou ensemble suivant leurs envies.
Lors d’un appel d’Alan, qui fait une pause, Djibril met en visio pour que mon mari voit comment les blacks baisent sa femme. je suis assise sur la bite de Bakary et Kayo qui m’encule me tire avec deux doigts dans la bouche en me traitant de trainée et de pouffiasse. Djibril film en gros plan les bites dans mes trous, il film également les autres noirs qui me tripotent les seins ou le clito. Je suis insultée, fessée, mes tétons mordus ou pincés tous ces sévices et ces grosse bites me font jouir à en mourir à maintes reprises. Le fait de savoir que mon homme assiste en visio à ça décuple mon plaisir.
Jusqu’à dix-huit heures trente j’enchaine pipes, doublette, diverses figures du Kâma-Sûtra et de nombreux orgasmes. Je commence à fatiguer et les jeunes mâles noirs aussi. Tout le monde passe à la douche et se rhabille. Kayo m’a enduit la chatte et l’anus d’un onguent pour me soulager des échauffements. Six des participants partent avec la vielle 205. Au moment de partir une Clio s’arrête devant le gite, la porte s’ouvre et trois noirs en sortent, le premier la vingtaine les deux autres autour de quarante ans.
« Ne dites pas qu’on arrive trop tard !»
Kayo : « salut les gars nous allions partir, l’après-midi a été intense Élise nous a usés j’allais la raccompagner, n’est-ce pas princesse ? »
« Oui malheureusement pour eux, mais présente moi tes amis »
« Jibo le gamin on l’appelle Jumbo, le crâne rasé c’est Ahmed et l’autre Malik, ils travaillent en extra pour un traiteur »
Les trois présentent une mine défaite d’arriver trop tard. Devant leur déception je propose à Kayo de finir avec eux chez moi. Le visage des trois gaillards s’illumine ils se tournent vers Kayo attendant sa décision.
Kayo récupère une bouteille de vingt-cinq centilitre en boit la moitié et me la tend « Si tel est ton désir je suis d’accord mais avant tu vas prendre des forces, c’est une potion revigorante maison ».
Nous buvons l’élixir puis nous allons chez moi suivis par la Clio. Il est près de dix-neuf heures trente, nous montons directement dans la chambre d’amis. Je retire le linge de lit pour ne laisser que le drap et les oreillers, Tout est prêt je retire ma robe j’ai chaud je me sens revigorée. Kayo sort ses lotions magiques et m’en enduit le sexe et l’anus, les quatre hommes se mettent nus.
Je comprends le surnom de jumbo en voyant la trompe qui pend entre ses jambes, Ahmed est dans la moyenne de ses amis et Malik possède la plus petite des bites de la journée un simple 17 par 5 de diamètre. Le plus jeune est prompt à me présenter sa trompe à sucer. Le membre se développe encore pour atteindre la taille d’un radis noir au moins vingt-cinq centimètres de long et entre six et sept de diamètre et une rigidité relative. Kayo installe la caméra afin de filmer pour mon mari.
Jumbo se couche sur le dos et m’invite à le chevaucher, je l’enjambe et guide son engin vers ma boite à plaisir, il est obligé de la guider pour éviter qu’elle ne se torde. Le monstre disparait peu à peu dans ma grotte sans y entrer totalement, Malik se fraie un chemin par l’entrée du ramoneur, les deux blacks se mettent en mouvement et relancent mon envie de jouir.
« C’est bon les mecs vous me remplissez bien baisez moi comme une salope je suis votre pute j’aime me faire défoncer par vos bites d’ébène. »
Malik me dit que je suis une bonne pute et se vide au fond de mon intestin. Jumbo pince mes tétons, si fort qu’il provoque ma jouissance.
« aaaaaaaaaaah ooooouiiiiiiiii je jouis mes salops »
Jumbo décide de me mettre à quatre pattes pour me prendre en levrette pendant qu’Ahmed au bord du lit me baise la bouche. Les deux se mettent à me traiter de tous les qualificatifs : catin, roulure, trainée etc, l’un en me giflant l’autre en me fessant. Je suis hyper chaude et gonflée à bloc j’en demande plus. Kayo se joint à nous il se place au-dessus de moi pour me prendre le fion. Les partenaires et positions se succèdent, entre coups de queues, gifles et insultes. Tout à notre plaisir nous ne prêtons pas d’attention à autre chose que notre débauche.
Il est vingt et une heures lorsque la voix d’Alan, que nous n’avons pas entendu rentrer, résonne :
« Joli spectacle n’arrêtez pas pour moi, faites jouir ma petite femme chérie »
En effet je suis bien baisée assise sur la bite d’Ahmed, le chibre de Jumbo a réussi avec difficulté à se loger totalement dans mon fondement. Il faut dire que les quatre africains m’ont déjà remplie de leur semence plusieurs fois, le bruit et les sécrétions qui coulent le long de leurs bites en témoignent. Alan s’approche m’embrasse et regarde les deux noirs qui me défoncent en me traitant de tous les noms. Ahmed me laboure la chatte et jumbo me ramone les boyaux mon mari qui me connait par cœur sait que je suis heureuse de me faire prendre ainsi. Il ne peut s’empêcher de me parler et de nous encourager
« Chérie elles te plaisent leurs bites, tu en a une grosse dans le cul tu aimes ? Petite dépravée profite en pour jouir à fond ! Allez les gars donnez du plaisir à ma salope, défoncez cette petite pute !»
Les paroles d’Alan déclenchent un surcroît d’énergie chez mes deux baiseurs et cela provoque chez moi un orgasme long et violent, je tremble de tout mon être avant de m’écouler sur Ahmed ce qui n’empêche pas les deux queutards de continuer à me défoncer. Les deux blacks se retirent et me basculent pour se branler au-dessus de moi Alan, Malik et Kayo se joignent à eux. Un a un ils jouissent sur moi je suis rapidement recouverte de foutre je regarde mon mari qui me sourit.
« Merci messieurs à voir son visage fatigué mais souriant elle semble satisfaite même si elle va certainement devoir ménager son corps le reste du week-end. »
«Les gars grâce à vous j’ai eu beaucoup d’orgasme et de plaisir à vivre cette journée de fille à blacks en plus je vois que mon homme est ravi du spectacle offert »
Kayo : « Alan c’est à nous de vous remercier d’avoir accepté de mettre Élise à notre disposition pour la baiser aujourd’hui, nous espérons qu’elle a eu autant de plaisir que nous et que nous ne l’avons pas trop fait souffrir. »
Alan leurs propose de prendre une douche, les quatre amis déclinent mais Kayo sort mon string de sa poche et me le donne
« Merci, comme promis je te le rends. Nous allons vous laisser vous retrouver, nous prendrons la douche chez moi »
Les garçons se rhabillent Alan les raccompagne à la porte et ils partent en nous remerciant encore. Alan vient se repaitre de mon corps couvert de foutre je le suce pour me nourrir de sa semence et nous entamons une longue nuit de récupération, mes orifices sont restés au repos tout le dimanche.
Ce week-end Alan et moi discutons longuement et sereinement. Après ce gang bang Nous décidons vu nos âges plusieurs fois par mois c’est trop. Il est temps de ralentir le rythme de nos rencontres libertines pour nous recentrer sur la famille et nos petits-enfants. Attention nous n’avons pas dit arrêt mais ralentissement.