La faute à la COVID 19 1éme partie

- Par l'auteur HDS les-jacanas -
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Récit libertin : La faute à la COVID 19  1éme partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La faute à la COVID 19 1éme partie
Bonjour je transmets mon récit par l’intermédiaire d’ÉLISE et ALAN rencontrés grâce à IGOR et sa femme.
Je suis Aude 25 ans brune d’un mètre soixante-quinze un corps que j’entretiens par le sport des seins et des fesses fermes on me dit plutôt jolie. Je suis mariée depuis cinq ans à Jessi de six ans mon ainé. Lui est châtain barbu et mesure un mètre soixante-douze et il a un charme fou. mon mari est contrôleur de gestion dans une entreprise d’une centaine d’employés. Nous habitons au deuxième et dernier étage d’une résidence bourgeoise. Bien que titulaire d’un BTS secrétariat (GPME) Je suis mère au foyer avec un petit ange de trois ans nommé Ethan qui fréquente la maternelle ce qui me permet de tenir mon rôle de ménagère
Lors du Confinement Jessi se retrouve en télétravail quatre jours par semaine il travaille habituellement dans un coin du salon pour que je puisse aller et venir sans perturber son travail.
Vers la fin du confinement le matin du huit avril 2021, à lieu l’évènement qui a tout déclenché : une réunion visio entre Jessi et le nouveau directeur de l’usine.
Je viens de faire lever et déjeuner Ethan, après sa toilette il va jouer dans sa chambre le temps que je me prépare pour que je le dépose à l’école avant d’aller faire quelques courses. Je peux enfin rendre soins de moi je vais prendre ma douche, je me coiffe et me maquille dans la salle d’eau avant d’aller m’habiller dans ma chambre qui se trouve en face de la salle de bain. Comme d’habitude c’est nue que je traverse le couloir et j’entre dans ma chambre sans voir que mon mari est sur la droite avec son ordinateur portable.
En effet comme il a le casque sur les oreilles et qu’il ne parle pas ni lui ni moi ne s’aperçoit de la présence de l’autre. Après m’être regardée tranquillement dans le miroir de l’armoire (mon côté narcissique) c’est en ouvrant mon armoire pour choisir une robe que dans le miroir de la porte qui pivote je le vois avec son ordi en visio, je crie et me sauve non sans avoir attrapé une robe sans la choisir. Le temps de revêtir ma robe sans sous-vêtement je reviens dans la chambre et interpelle Jessi qui me fait signe qu’il est en visio et me dit de me taire mais comme je suis remontée
« Pendant que tu y es demande-lui si le spectacle lui a plu !»
« Aude je suis avec mon directeur »
« Peut-être ! Mais pour ça ta place est dans le salon pas dans la chambre ! »
En colère je sors en claquant la porte, je récupère Ethan dans sa chambre nous enfilons chacun notre manteau et notre masque puis nous partons je dépose mon ange à la maternelle ensuite je faire les courses. C’est la première fois que je sors ainsi sans dessous mais avec un masque. Une heure plus tard je rentre mon mari me décharge des sacs de denrées et me demande
« Aude pourquoi t’est tu emportée, qu’est-ce que j’ai fait »
« Tu n’as pas vu que j’étais à poil quand je suis venue dans la chambre »
« Non je t’ai entendu crier et le temps que je me retourne tu n’étais plus là »
« Eh bien ! Ton directeur a eu le temps de me voir dans le plus simple appareil avant que le miroir me fasse découvrir que tu étais en visio dans la chambre »
« Il ne t’a peut-être pas vue ! Il ne m’en a rien dit»
« Tu m’étonnes ! Je ne veux plus te voir travailler dans la chambre »
« Y a pas mort d’homme, je ne travaillerai plus dans la chambre »
Le reste de la journée est tendu mais nous retrouvons vite notre routine confinement jusqu’au mois de mai. Fin mai Jessi reprend le travail en présentiel.
A la rentrée de septembre monsieur Stasiak le directeur de l’usine convie quelques personnels avec les conjoints à un diner chez lui le vendredi de la semaine suivante, bien évidemment mon mari fait partie des cinq personnes invitées. J’explique que je n’ai pas envie d’y aller et de me retrouver face à un mec que je ne connais pas et qui m’a vue à poil, ce qui nous vaut une forte prise de bec. Jessi insiste lourdement pour que je l’accompagne et que je ne fasse surtout pas d’esclandre c’est un diner important.
Le vendredi matin mon homme me rappelle le diner du soir et me demande de me faire belle. Quand Jessi rentre vers dix-huit heures je ne suis pas du tout prête et je rechigne un peu. Il élève la voix nous nous prenons la tête encore une fois sur l’intérêt de ma présence. Il me dit qu’il a répondu au directeur que je serai présente et insiste que pour sa carrière dans la boite c’est important.
Finalement quoique très remontée je cède bien décidée à lui faire payer cet affront. Je m’habille en conséquence, un redresse seins effet push-up et un petit string sous ma belle robe empire bleu nuit dont la longueur dévoile mes genoux, et le beau décolleté met en valeur ma poitrine. Je veux en mettre plein les yeux à mon homme mais aussi aux autres participants au diner. Après un maquillage léger je me regarde dans le miroir mon décolleté découvre mon sillon mammaire sans être vulgaire. Des escarpins noirs et mon manteau complètent ma tenue. Jessi est en costume sombre chemise bleu ciel, cravate sombre. Nous déposons Ethan chez les parents de Jessi pour la nuit ils sont trop heureux de le garder.
Après avoir parcouru sans un mot les quatre kilomètres, qui séparent la ville du domicile du directeur, nous passons le portail de la maison bourgeoise il est vingt heures. Jessi gare la voiture dans la cour gravillonnée, nous gravissons les quelques marches Jessi sonne brièvement et la maitresse des lieux une belle femme d’à peine plus de quarante ans vient nous accueillir.
« Bonsoir madame, monsieur je suis Hilda Stasiak»
« Madame Stasiak je suis Jessi Dupont et mon épouse Aude»
Elle nous débarrasse de nos manteaux et nous guide vers le salon où monsieur Stasiak est en discussion avec deux autres couples invités. J’observe le fameux directeur, c’est un bel homme d’un mètre quatre-vingt la cinquantaine beaucoup d’allure dans son costume sombre, il s’approche de nous, Jessi fait les présentations.
« Monsieur Stasiak, mon épouse Aude »
« Aude soyez la bienvenue, Jessi votre épouse est resplendissante ! Je m’excuse je dois vous laisser quelques instants un coup de fil urgent, je vous laisse rejoindre vos deux collègues et leurs dames»
Nous rejoignons les autres invités un serveur nous propose du champagne et je délaisse mon mari pour faire connaissance avec les autres femmes, dans le quart d’heure suivant une collègue arrive avec son conjoint puis le dernier un informaticien célibataire accompagné d’une amie. Tout le monde étant présent monsieur Stasiak dit quelques mots de bienvenue et nous levons nos verres à la société et ses employés. Vers vingt et une heures le serveur parle au maitre des lieux qui annonce que nous pouvons passer à table.
Notre hôte me prend la main « vous permettez Aude je vous garde près de moi» il m’entraine dans une grande salle à manger avec une table ronde imposante. Il tire une chaise pour que je m’installe, je suis à la fois gênée et flattée. Puis il montre à Jessi la place de l’autre côté de son épouse qui est debout près de lui. Je ne m’attendais pas à être séparée de mon homme mais finalement cela lui servira de leçon, je constate que le directeur fait de même pour les autres couples, le célibataire et son amie fermant le cercle.
Au cours du repas notre hôte se fait charmeur il me demande de l’appeler Igor. Il me fait même quelques compliments sur le travail de Jessi sur son esprit d’analyse des informations qui remontent des services blablabla et blablabla. Il comprend rapidement que je me fous de ce qu’il me dit mais ne s’en offusque pas et change de sujet.
L’homme se montre attentionné, il remplit mon verre dès que je bois. Je remarque qu’Igor échange souvent avec sa femme par petit signe ou à voix basses. Soudain au milieu du repas alors que je parlais à Dominique mon autre voisin de table Igor se tourne vers moi pose sa main sur la mienne me dit tout bas:
« J’ai beaucoup apprécié ma réunion en visioconférence avec Jessi le huit avril dernier, l’arrière-plan a été, un trop bref instant, magnifiquement embellit et cela m’a donné envie de vous connaitre »
Je sens que je rougis, aussi pour me donner une contenance je vide mon verre d’un trait. Je me tourne légèrement vers Dominique pour voir s’il a entendu la réflexion de notre hôte il n’en est rien. Je me retourne vers le directeur qui me sourit et pose sa main sur ma cuisse
« Chère Aude vous n’avez pas à rougir votre nudité a fait naitre en moi l’envie de vous posséder »
Je vide mon verre à nouveau ne sachant comment réagir sans créer de scandale. Sa main devient plus pesante et remonte lentement sur ma cuisse je pose la mienne dessus la sienne pour la bloquer et la retirer mais à ce jeux il est le plus fort je sens ma robe remonter sur mes cuisses je panique je suis à deux doigts de crier mais je me contente de lui dire à voix basse
« Igor je vous en prie cessez, je suis mariée vous aussi et nous allons attirer l’attention »
« Aude j’arrête à la condition que vous veniez avec moi découvrir de nouveaux horizons un peu plus tard dans la soirée »
« Igor je ne peux pas Jessi s’apercevrait de mon absence et de la vôtre»
« Ne vous inquiétez pas Hilda s’occupe déjà de votre petit mari et il semble apprécier, quelle est votre réponse : oui ou bien non? Si c’est non je continue »
Devant cet ultimatum je réponds oui en espérant pouvoir m’extraire de ses griffes en sortant de table. Le reste du repas se déroule sans problème si ce n’est que je vois Jessi se rapprocher et être plus avenant avec la femme du directeur, et que de dépit je bois un peu plus que de raison. A la fin du repas vers vingt-trois heures Igor invite tout le monde dans le salon pour boire une vodka polonaise (belvédère) avec du tonic et du thym citron pour clore la soirée. En sortant de table il me parle à l’oreille et se met à me tutoyer.
« Je ne t’oublie pas on se retrouve tout à l’heure »
Dans le salon le serveur distribue à chaque invité un verre déjà rempli du mélange vodka tonic, les groupes se forment les discussions vont bon train, Jessi est en compagnie d’un de ses collègues et de madame Stasiak, il me demande si je passe une bonne soirée je suis un peu éméchée et par défi je lui réponds excellente et je le laisse pour discuter avec l’ingénieur informaticien. Au troisième verre de vodka les langues sont les voix plus fortes c’est un vrai brouhaha qui emplit le salon.
Vers vingt-trois heures trente le premier couple d’invités prend congé. Je cherche Jessi du regard et l’aperçois sur la terrasse tenant Hilda par la main ils dirigent vers le parc. Quelques minutes plus tard alors que nous ne sommes plus que six à discuter dans le salon Igor vient près de moi et me dit à l’oreille
« Aude tu me suis !»
C’est plus un ordre qu’une invitation. Je suis Igor dans le hall pour sortir mais celui-ci attrape ma main et m’entraine dans les escaliers, à l’étage il me pousse dans la première pièce à droite qui se trouve être une chambre. Il me plaque contre le mur et m’embrasse avec fougue sa main est déjà en train de remonter le long de ma cuisse soulevant ma robe. Je commence par essayer de le repousser mais le combat n’est pas égal. Il quitte mes lèvres
« Ne joue pas les effarouchées si tu es venue habillée comme cela sachant que je t’ai vue nue c’est pour me provoquer ? »
« Je ne voulais pas venir ! C’est Jessi qui m’a obligée. Ma tenue c’est juste pour me venger de lui »
Il coupe la lumière et m’entraine vers la fenêtre qui donne sur le parc éclairé il se colle derrière moi. « Regarde les trésors que l’on trouve dans le parc, profite bien du spectacle ! »
Il me tourne la tête vers le parc que nous dominons il guide mon regard vers la gauche sur une alcôve de verdure en bordure de pelouse (à l’abri des regards depuis la salle de réception). Sur le banc surprise, je découvre Jessi sans pantalon dépoitraillé se faisant sucer par Hilda également à moitié nue. Après quelques instants Jessi se couche sur le banc et la femme d’Igor vient le chevaucher. Devant ce spectacle la colère monte en moi, je me retourne vers mon hôte qui scrute mon visage
« Tu aimes ce que tu vois ? Ne me dis pas que cela te surprends de la part de ton mari. Je vais t’aider à te venger, je vais libérer le reste de mes invités et le serveur puis je reviens te tenir compagnie »
Il sort de la chambre ferme la porte derrière lui je l’entends descendre l’escalier je suis inquiète Jessi va me chercher pour partir. Je reste un moment à la fenêtre pour regarder mon goujat de mari baiser la femme de son patron puis je profite d’être seule pour faire le tour de la pièce, sur le côté une porte vitrée donne sur une salle de bain attenante, sur les tables de nuit divers accessoires, du lubrifiant et des préservatifs qui me laissent penser que tout cela est prémédité par monsieur Stasiak, Jessi est-il dans la combine à moins que ce soit Hilda? Moins de dix minutes plus tard Igor fait son retour. Il est minuit passé, ma colère est loin d’être retombée.
« Nous voilà tranquille tout le monde est parti !»
« Mais Jessi n’est pas parti et il ne partira pas sans moi ? »
« Ne t’inquiètes pas il est toujours avec Hilda, et comme je la connais ils en ont pour un moment ce qui nous laisse du temps pour mieux nous connaitre, je te laisserai le rejoindre quand il reviendra. Déshabille toi j’ai hâte de te serrer dans mes bras»
Il se déshabille et comme je ne me déshabille pas assez vite il s’approche de moi attrape le bas de ma robe et la relève pour me la retirer, au niveau de la poitrine cela force un peu et je crains le pire mais la robe passe enfin au-dessus de ma tête. Me voici uniquement vêtue de mes sous-vêtements devant le patron de mon époux. Igor arrache mon string qui se déchire et tombe sur mes pieds, les agrafes du redresse-seins ne résistent pas davantage. Ma lingerie disparue, il me regarde l’œil brillant :
« C’est tout à fait ce que j’ai vu en avril tu as un corps magnifique fait pour l‘amour. »
« Vous avez manigancé ça avec votre épouse espèce de pervers »
Il me saisit par les épaules en me regardant durement dans les yeux
« Si toi ou Jessi aviez refusé nos avances il ne se serait rien passé mais dès le moment où ton mari n’a pas résisté aux caresses d’Hilda sous la table le sors en était jeté. Maintenant je vais te baiser comme il baise Hilda dans le parc»
Je suis en colère et Déçue du comportement de mon mari que je viens de voir me tromper avec la femme d’Igor son patron. Ce dernier est bien décidé lui aussi à me baiser sans violence mais avec fermeté si bien que par vengeance je m’abandonne à lui sans opposer de résistance.
Il me pousse sur le lit déjà ouvert et il se penche sur moi avec un sourire carnassier, il fait courir ses lèvres sur mon corps nu de mes lèvres à mon cou puis mes seins. Il se redresse
« Je vais te dévorer et te donner du plaisir, beaucoup de plaisir, tu vas aimer et en redemander»

Il place un genou entre mes cuisses pour les écarter et il embrasse ma poitrine tout en glissant ses doigts sur mon clitoris et ma vulve. Je commence à aimer ses caresses et comme je mouille beaucoup l’expérimenté coquin en profite pour glisser plusieurs doigts dans ma chatte. Il me branle le clito avec son pouce tout en me baisant de ses doigts, le plaisir monte en moi Igor en profite pour couvrir son chibre et le planter dans mon trou d’amour. Il me laboure le vagin pendant de longues minutes si son sexe semble à peine plus gros que celui de Jessi son endurance est nettement supérieure et sa vigueur est surprenante. En un rien de temps il me fait jouir deux fois sans avoir lui-même déchargé.
Le cinquantenaire semble inépuisable il me retourne comme une crêpe pour me mettre à plat ventre et me prodigue une feuille de rose, caresse que mon mari ignore, je découvre un plaisir nouveau avec cette langue qui parcourt les plis de mon anus le pénétrant légèrement. La salive de mon tourmenteur sert de lubrifiant pour le doigt qui se glisse plus profondément dans mon orifice. Je cherche à me débarrasser de ce doigt inquisiteur ce qui étonne le bonhomme.
« Aude ne dites pas que Jessi ne vous a pas fait découvrir la sodomie depuis que vous êtes mariés »
(Jessi je l’ai oublié, où est-il ? que fait-il ? Je m’en fiche je fais comme lui je m’éclate)
« Jessi a essayé une fois et j’ai eu mal quand il a voulu me pénétrer, ça s’est arrêté là »
« N’ai pas peur laisse-moi faire je te promets tu n’auras pas mal »
A suivre………..

Les avis des lecteurs

la suite le 18 septembre

Histoire Libertine
Vous n'avez pas repondu, à quand la suite ?

Je ne suis pas sûr que les deux lectrices aient lu le récit attentivement car si voir par la fenêtre votre mari sucé par une femme qui ensuite vient le chevaucher sur le banc dans le parc ce n'est pas une preuve qu'est-ce ? Pour Aude le comportement de Jessi est suffisamment violent (c'est ainsi qu'elle l'a ressenti) pour déclencher son envie de vengeance.

Histoire Libertine
C’est 1 sacrée vengeance pour juste des chichis. Imaginons ils vont dans 1 soirée à elle je ne suis pas sure qu’elle serait ravie qu’il se tape 1 fille.

J’espère pour eux qu’ils n’ont pas oublié les capotes.

En plus qu’elle preuve à t’elle qu’il a réellement couché avec la femme ???

A quand la suite Jacanas pour savoir qui a raison !!!

Aude se venge. Vivement la suite!

Histoire Libertine
Donc la femme croit sans voir !!! Encore 1 mec cocu qui se fait couilloner jusqu’à la moelle.

Histoire Erotique
Vivement la suite !
J’adore



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