Élise libertine 70 Élise rattrape une occasion manquée - histoire érotique

Lors d’une de nos voyages sur Bordeaux nous avions rencontré Serge et Thierry, deux jeunes militaires sous-officiers d’à peine vingt-cinq ans, au sauna libertin près de la gare. Nous n’avions pas le temps de partager du sexe car nous étions sur le départ. Ils semblaient très déçus aussi ils nous donnèrent leurs coordonnées dans l’espoir d’une prochaine rencontre.
Fin septembre 2006 nous passons à Bordeaux nous en profitons pour les contacter et organiser un rendez-vous à notre hôtel le vendredi après-midi. Pour l’occasion Élise est nue sous une mini robe léopard en voile. Elle est surexcitée à l’idée de rencontrer les deux garçons dont elle avait pu constater l’anatomie plutôt avantageuse au sauna.
Un SMS annonce leur arrivée je descends pour les accueillir, mais avant Je passe par le bar pour demander que l’on monte une bouteille de champagne et quatre verres dans notre chambre. Dans le hall de l’hôtel les deux garçons m’attendent ils me saluent nous allons prendre un verre au bar histoire de rendre ma puce encore plus impatiente. Ils se disent heureux d’avoir l’occasion de connaitre Élise intimement car ils ne se faisaient pas trop d’illusion puisque nous habitions en Provence. De plus ils regrettent de n’être libre que jusqu’à dix-huit heures. Je confirme qu’Élise est impatiente d’être leur jouet pour l’après-midi.
Au bout de dix minutes nous montons dans la chambre je n’ai pas le temps de passer mon badge dans la serrure que mon épouse pressée ouvre la porte. Je fais les présentations :
« Voici Élise mon impatiente épouse, chérie voici Serge le grand brun au teint halé et Thierry châtain clair et moins bronzé. »
Elle salue nos invités pour lesquels elle brûle de désir elle me regarde.
« Vous en avez mis un temps, heureusement le champagne est arrivé plus vite que vous. J’avais la robe au trois quart ouverte pensant que c’était vous, vous auriez dû voir la tête du mec du service en chambre! »
Les deux jeunots, nullement intimidés par une cinquantenaire, s’approchent d’Élise et l’embrassent à pleine bouche, l’entrainant doucement vers le lit. Les coquins défont un à un les boutons de la courte robe qui s’ouvre sur le corps appétissant de ma libertine. Elle n’est pas passive à cette attaque car ses mains sont parties à la découverte des trésors cachés dans les pantalons de ces jeunes mâles.
Les ceintures défaites, les braguettes ouvertes les pantalons tombent et les bites de fort belles tailles sont libérées. Élise se saisir des deux queues bandées qui semblent ravir l’impatiente. Les deux gars se défont de leurs pantalons et poussent ma femme sur le lit, couchés de part et d’autre de ma Géraldine robe ouverte ils se partagent son corps. Thierry s’occupe de sa bouche et ses seins pendant que Serge lui dévore le berlingot et lui taquine le fripé de son index. Les doigts de l’un pincent les tétons durcis pendant que l’autre mordille le clito gorgé de sang.
Élise est affamée elle gémit sous les caresses avant de se redresser pour venir sucer le braquemard de Thierry. Peu à peu les derniers vêtements tombent et découvrent les corps très musclés des deux recrues. Les corps nus s’enchevêtrent, la bouche de Serge dévore le clito avec tant de dextérité que la belle atteint son premier orgasme.
« Oui soldats continuez vos caresses sont délicieuses je viens aaaaaaah ouuuiiiii merciiii »
Ces jeunes gens sont loin d’être inexpérimenté je dirais même que leur complicité est source d’une redoutable efficacité. Tandis que la jouisseuse, allongée sur le dos, tente de récupérer de son orgasme les militaires se redressent en souriant et Thierry me dit.
« Ton épouse est plutôt réceptive nous allons essayer de lui donner encore beaucoup de plaisir »
« Elle est toute à vous et n’attend que cela. Vous allez voir que c’est une insatiable salope »
Thierry attrape un préservatif sur la table de chevet le déroule sur son membre tendu puis il se glisse entre les cuisses ouvertes de la dissolue, il guide son chibre vers les lèvres humides
« Il est temps de fourrer cette chatte, la saucisse de madame est avancée »
La queue trouve le chemin du vagin où il prend sa place entrainant un soupire de satisfaction de la coquine. Puis le militaire entame la manœuvre de va et vient réguliers. Son binôme se place la queue au-dessus de l’amatrice et lui baise la bouche. Les deux guerriers unissent leurs efforts pour faire jouir Élise qui se libère en poussant un cri de plaisir qui provoque la jouissance des mâles. Thierry rempli le préservatif et Serge arrose les amygdales de la gourmande qui avale le précieux nectar.
Une petite pause champagne permet à tous de récupérer. Les deux galants ont tôt fait de retrouver la forme (privilège de la jeunesse). Les armes étant rechargées les combats reprennent cette fois Élise est mis à quatre pattes c’est Serge qui lui baise la chatte pendant que Thierry baise sans ménagement la bouche de ma belette. (Comme convenu dans nos échanges)Les insultes, comme chienne trainée catin, fusent ce qui excite encore plus ma bourgeoise. La bave coule au bord de ses lèvres entre lesquelles coulisse le mandrin du soldat. Derrière elle Serge lui burine énergiquement le vagin de sa grosse queue en lui claquant le cul. Les belligérants jouissent en même temps, Thierry arrose copieusement le visage de ma belle.
Après une nouvelle pose Serge s’allonge sur le dos et invite la cochonne à venir s’empaler sur son gourdin ce qu’elle fait avec plaisir, ses hanches chaloupent sur le mat du beau militaire elle en profite pour frotter son bouton d’amour sur le pubis de son amant. C’est encore elle qui part la première vers l’extase en s’écroulant sur le torse musclé.
Thierry s’approche du couple enlacé, du doigt il caresse le dos d’Élise qui frissonne lorsque l’index vient lui chatouiller l’anus.
« Serge tu ne bouges pas j’encule cette garce, salope comme elle est je suis sûr qu’elle va aimer »
« À l’assaut les guerriers il est temps de se frayer un chemin et de me défoncer Thierry plante-moi ton pieu dans rondelle et ramone moi le fion pendant que Serge me défonce la chatte »
Les deux mecs coordonnent leurs mouvements comme s’il s’agissait d’une manœuvre militaire, maintes fois, répétée. Mon épouse est à leur merci l’un lui lime l’intestin pendant que l’autre lui pilonne la chatte comme s’il bombardait l’ennemi. Sous l’action conjuguée de deux chibres mon audacieuse épouse est aux anges elle enchaine deux orgasmes avant que Serge remplisse sa capote.
Serge ayant perdu de sa superbe se trouve éjecté de la chatte mais Thierry est toujours en ordre de bataille reste en prise il bascule sur le côté entrainant Élise ce qui permet de libérer son frère d’arme. En restant sur le côté il se saisit de la jambe droite de la salope et continue de lui aléser le conduit, la position nous permet une vue dégagée sur le pieu qui va et vient dans l’anus de la petite enculée. Cette fois Thierry fais durer l’exercice pendant de longues minutes :
« Tu aimes te faire casser le cul par ma grosse bite devant ton mec salope »
« Oui je suis une salope j’aime me faire baiser et casser le cul par des grosses queues et jouir devant mon mari qui adore me voir jouir comme un trainée »
Je continue à prendre des photos et à côté de moi Serge est de nouveau en érection ce que ma salope ne manque pas de remarquer elle l’invite à venir se faire sucer. Le militaire s’approche et sous les yeux de son pote il baise la bouche de mon épouse qui œuvre avec ardeur. Elle ne sait plus trop qui lui caresse le clito qui lui pince les tétons mais elle se sent partir vers un nouvel orgasme qui se déclenche lorsque Thierry éjacule dans son cul. Quand il se retire le préservatif contient une bonne dose de semence il l’étale sur les seins de ma femme alors que Serge quitte la bouche de la gourmande pour se finir à la main et envoie à son tour son foutre sur les seins et le visage d’Élise.
Thierry « il est dix-sept heures trente nous allons devoir vous laisser le devoir nous appelle »
Mon épouse couverte de sperme collant se redresse et se tourne vers deux militaires
« J’espère avoir effacé votre frustration du sauna et que cela vous a plu moi j’ai aimé et mon époux aussi. Vous pouvez prendre une douche avant de partir si vous le voulez. »
« Merci ! Mais nous la prendrons à la caserne. Merci également pour votre accueil et le plaisir partagé »
Une fois les guerriers partis je profite pleinement du corps collant de mon épouse nous jouissons tous deux une dernière fois avant de prendre notre douche et de sortir diner en ville.