Elle est déchaînée
Récit érotique écrit par J-M [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elle est déchaînée
Elle me fait, encore, une belle surprise…
Comme tous les jours je rentre vers 19h30 du boulot et comme tous les jours je suis épuisé et je voudrais me poser cinq minutes dans le canapé.
Je tourne la clé et j’ouvre la porte et là, direct, j’entends ses soupirs et ses gémissements de plaisir. Comme Marie (cfr précédente histoire) devait passer plus tôt dans la journée, mon imagination s’emballe et je les imagine toutes les deux dans le salon d’où proviennent les gémissements.
« Viens vite Chou! »
Elle n’a pas besoin de me le demander deux fois que j’ai déjà jeté mon manteau et que je me précipite dans le salon. Pas de Marie en vue, je me suis fait un film.
Mais par contre quel spectacle!
Elle est habillée avec une nuisette vaporeuse bleue que je n’avais encore jamais vue. Elle est dans une position carrément obscène avec les pieds sur le canapé et les jambes très écartées; avec deux doigts elle se caresse le clito et avec l’autre main elle s’enfonce son gode (qu’on a surnommé Bob) avec de grands mouvements assez lents. Les petits détails qui rendent la scène encore plus torride c’est d’abord qu’elle a étalé une grande serviette de plage sur le fauteuil en prévision de son orgasme (ses orgasmes si je m’y prends bien) et ensuite elle a acheté des pinces à tétons reliés par une chaîne, pour l’instant elles sont posées sur le canapé à côté d’elle mais cette vision me fout une trique monumentale.
« J’avais envie mais comme tu n’arrivais pas et que je n’en pouvais plus d’attendre, je voulais jouir une première fois avant que tu ne t’occupes de moi comme je le mérite. Viens t’occuper de mes seins je vais décoller! »
Je passe derrière le canapé et lui empaume doucement les seins pour les caresser tout en l’embrassant dans le cou. Elle soupire de bien-être et accélère un peu les mouvements de ses mains. Mais ça ne dure pas bien longtemps avant qu’elle ne se tourne vers moi
« Je n’en suis déjà plus là depuis un moment, vas-y plus fort ! »
Je saute au-dessus du canapé pour m’installer à côté d’elle et lui abaisse vivement le haut de sa nuisette. J’ai eu peur de l’avoir arrachée dans la précipitation mais, après coup, elle n’a rien, en tout cas pas la nuisette ;)
Je lui attrape donc un sein à pleine main et je joue à lui pincer le téton tandis que l’autre est assailli par ma bouche. Je l’aspire et je laisse trainer les dents comme elle aime tandis que son autre téton est tordu dans tous les sens et étiré au maximum.
Ses gémissements se font plus forts et le rythme de ses mains s’accélère. Signe qu’elle va décoller prochainement : ses mouvements sont plus rapides mais surtout beaucoup moins amples. Elle a aussi de plus en plus de paroles qui m’incitent à lui bouffer les seins et à oublier la tendresse…
Elle part dans un orgasme assez conséquent. Pas le plus impressionnant qu’elle m’ait montré mais facilement dans le top 10 et qui justifie largement à lui seul l’utilité de la serviette de plage.
Elle ralentit ses mouvements avec Bob pour se laisser redescendre un peu mais elle n’en a clairement pas fini, elle est lancée et cet orgasme l’a seulement mise en conditions pour la suite. Je sens que je vais devoir me surpasser pour la calmer… Elle enlève sa main qui caressait son clito pour attraper les pinces à tétons et me les donner sans un mot mais avec ce regard tellement salope qui confirme mes soupçons.
J’attrape la première pince et lui tire durement sur le téton avec mes doigts pour les faire sortir et pouvoir lui installer. C’est un système avec un petit pas de vis que je peux serrer selon mon bon vouloir (et ses goûts bien sûr) et l’installation de cette première pince me permet de reprendre la main et la direction des opérations. Attitude qu’elle apprécie largement si j’en crois le regain de gémissements!
Je fais donc durer le plaisir en installant la deuxième. J’ attends quelques secondes avant de resserrer un peu les vis des deux côtés. Je titille les deux petits bouts qui dépassent et cette fois-ci ses seins sont tellement sous pression qu’un effleurement léger suffit à lui faire pousser un énorme soupir de plaisir. Bob ne s’est jamais arrêté de la pénétrer pendant tout ce temps-là et je commence à avoir bien envie de prendre sa place et de moi aussi en profiter un peu. Je me relève et me déshabille face à elle qui continue à se pénétrer et à effleurer ses tétons qui dépassent des pinces (je pense qu’on va les revoir souvent celles-là vu l’effet que ça lui fait). Une fois nu, je grimpe sur le canapé et viens lui enfoncer ma queue bien raide au fond de la gorge. Elle n’a pas besoin de bouger, je lui cloue la tête sur le dossier avec de profonds coups de reins. Elle bave partout et Bob recommence à accélérer… Je l’attrape par les cheveux pour lui sortir ma queue de la bouche histoire de la laisser un peu reprendre son souffle et je remarque qu’elle a les larmes aux yeux et de la bave partout. J’ai un petit mouvement de recul de peur d’avoir été trop abrupt; on aime tous les deux quand ça se passe de manière musclée mais ça doit rester bienveillant et pour notre plaisir à tous les deux. Elle m’attrape par les fesses et s’enfonce d’elle-même ma queue dans la gorge. Me voilà donc plus serein et je recommence le pilonnage de sa bouche.
Ce traitement nous fait beaucoup d’effet à tous les deux et je la sens s’agiter et geindre de manière étouffée. Comme ça risque de me faire partir j’essaye de me retirer mais elle me maintient par les fesses pour que je continue. Je me déchaîne donc dans sa bouche et je finis par jouir au plus profond de sa gorge ce qui a pour effet de la faire jouir aussi.
On reprend des positions un peu plus calmes mais pourtant Bob ne s’arrête toujours pas et j’ en profite pour jouer un peu avec la chaîne qui relie ses tétons et à l’admirer…
Elle a les yeux qui pleurent, les cheveux dans tous les sens, de la bave partout. Elle est tellement belle et a l’air tellement heureuse, elle est la dernière des chiennes dans ces situations là mais ça ne la rend que plus belle à mes yeux et je l’aime encore plus.
« Désolée mais tu ne pouvais pas t’arrêter à ce moment-là, j’étais trop bien à me faire ravager la bouche » « Tu vas pouvoir récupérer quelques minutes le temps de préparer mon petit trou; ma chatte est pour Bob ce soir mais je veux que tu m’ouvres le cul et que tu me démontes à ne plus savoir marcher ».
Ces paroles si crues dans sa si jolie bouche me donnent l’énergie de me positionner à genoux devant elle et de commencer à lui caresser les fesses. Ses deux orgasmes ont transformé la zone et la serviette en piscine. C’est trempé de partout et j’humidifie régulièrement mes doigts pour aller lui lubrifier le petit trou. Bob continue ses va-et-vient pendant que j’enfonce de plus en plus mes doigts et que je caresse toutes les petites zones sensibles et cette fine membrane entre Bob et mes doigts. Elle joue aussi à tirer de plus en plus loin la chaîne entre ses tétons en alternant avec de très légers effleurements sur les bouts de tétons qui dépassent.
Elle est déchaînée (enfin pas ses seins du coup ;) et je n’ai aucun mal à vite écarter bien fort son petit trou qui ne l’est plus tant que ça maintenant, je peux facilement enfoncer quatre doigts et je tire pour bien lui ouvrir le cul comme elle a demandé.
Elle est bien prête et j’ai retrouvé une trique qui va pouvoir exaucer son deuxième souhait. Je reste à genoux, place les siens sur mes épaules, elle enfonce Bob à fond pour me laisser de la place et pose ses mains sur ses magnifiques fesses pour les écarter au maximum. Je m’enfonce d’un coup tout au fond et je reste abuté le temps que l’on profite tous les deux de cette tempête de sensations.
Elle grogne pour que je me mette en route et je commence de longs mouvements qui s’accélèrent au fur-et-à-mesure. Elle se caresse le clito et joue avec les pinces à seins tandis que je repousse Bob avec mon bassin quand il a l’audace de sortir et que je commence à la secouer dans tous les sens avec des coups de reins de plus en plus brutaux.
C’est dans un concerto de cris, de gémissements, de grognements animaux et de mots vulgaire qu’un nouvel orgasme la surprend.
La première jouissance me permet de ne pas me lâcher tout de suite mais elle est bien KO et Bob est abandonné, gisant sur la serviette trempée. Elle fait mine de retirer les pinces sur ses tétons mais je l’arrête.
« Je n’en ai pas fini avec toi, tu m’as demandé quelque chose… »
« …C’est toi qui décide »
Elle est KO mais elle me dit ça avec son petit air aguicheur donc je me relève et j’attrape la chaîne pour la diriger et la positionner à quatre pattes pour une levrette. Je profite de coincer la chaîne grâce au canapé histoire que ça tire si elle bouge trop. Je lui agrippe les fesses pour bien les ouvrir et me réenfonce profondément dans son cul qui est maintenant bien grand ouvert. Je l’attrape ensuite par les cheveux et toute partie que je peux atteindre (son cou, ses épaules, ses hanches) et qui me permettent de me déchaîner. Les fessées pleuvent et elle crie de plaisir (je sais d’avance qu’elle ne jouira plus mais ça ne l’empêche pas d’apprécier largement le traitement).
Je finis par jouir bien callé au fond. Je me retire et lui écarte encore les fesses pour regarder couler mon sperme sur sa petite chatte qui est toute rouge.
On est cassés, transpirants, ça sent le sexe dans toute la maison. Elle se déshabille et on alterne pour aller prendre une douche et souper.
Souper pendant lequel je lui explique la méprise concernant Marie que j’ai eue en arrivant et elle me regarde avec un petit sourire qui laisse planer le doute…
J’ai ensuite passé un moment à lui appliquer de la crème apaisante un peu partout ce qui a bien sur dégénéré en un missionnaire doux les yeux dans les yeux. Malheureusement pour moi sans aucun attouchement sur ses seins qui étaient bien trop sensibles. Elle adore la sensation des pinces et je regarde déjà pour d’autres modèles et elle les a réutilisées souvent depuis mais après elle a les seins sensibles ce qui fait que je ne peux que les prendre en bouche.
PS : Effectivement elle n’en était pas à ne plus savoir marcher mais elle m’a expliqué que s’asseoir avait été compliqué le lendemain au boulot.
PS : Toutes histoires vraies et vécues, une autre m’ est arrivée récemment mais je dois voir avec elle si elle est d’accord que je la raconte…
Comme tous les jours je rentre vers 19h30 du boulot et comme tous les jours je suis épuisé et je voudrais me poser cinq minutes dans le canapé.
Je tourne la clé et j’ouvre la porte et là, direct, j’entends ses soupirs et ses gémissements de plaisir. Comme Marie (cfr précédente histoire) devait passer plus tôt dans la journée, mon imagination s’emballe et je les imagine toutes les deux dans le salon d’où proviennent les gémissements.
« Viens vite Chou! »
Elle n’a pas besoin de me le demander deux fois que j’ai déjà jeté mon manteau et que je me précipite dans le salon. Pas de Marie en vue, je me suis fait un film.
Mais par contre quel spectacle!
Elle est habillée avec une nuisette vaporeuse bleue que je n’avais encore jamais vue. Elle est dans une position carrément obscène avec les pieds sur le canapé et les jambes très écartées; avec deux doigts elle se caresse le clito et avec l’autre main elle s’enfonce son gode (qu’on a surnommé Bob) avec de grands mouvements assez lents. Les petits détails qui rendent la scène encore plus torride c’est d’abord qu’elle a étalé une grande serviette de plage sur le fauteuil en prévision de son orgasme (ses orgasmes si je m’y prends bien) et ensuite elle a acheté des pinces à tétons reliés par une chaîne, pour l’instant elles sont posées sur le canapé à côté d’elle mais cette vision me fout une trique monumentale.
« J’avais envie mais comme tu n’arrivais pas et que je n’en pouvais plus d’attendre, je voulais jouir une première fois avant que tu ne t’occupes de moi comme je le mérite. Viens t’occuper de mes seins je vais décoller! »
Je passe derrière le canapé et lui empaume doucement les seins pour les caresser tout en l’embrassant dans le cou. Elle soupire de bien-être et accélère un peu les mouvements de ses mains. Mais ça ne dure pas bien longtemps avant qu’elle ne se tourne vers moi
« Je n’en suis déjà plus là depuis un moment, vas-y plus fort ! »
Je saute au-dessus du canapé pour m’installer à côté d’elle et lui abaisse vivement le haut de sa nuisette. J’ai eu peur de l’avoir arrachée dans la précipitation mais, après coup, elle n’a rien, en tout cas pas la nuisette ;)
Je lui attrape donc un sein à pleine main et je joue à lui pincer le téton tandis que l’autre est assailli par ma bouche. Je l’aspire et je laisse trainer les dents comme elle aime tandis que son autre téton est tordu dans tous les sens et étiré au maximum.
Ses gémissements se font plus forts et le rythme de ses mains s’accélère. Signe qu’elle va décoller prochainement : ses mouvements sont plus rapides mais surtout beaucoup moins amples. Elle a aussi de plus en plus de paroles qui m’incitent à lui bouffer les seins et à oublier la tendresse…
Elle part dans un orgasme assez conséquent. Pas le plus impressionnant qu’elle m’ait montré mais facilement dans le top 10 et qui justifie largement à lui seul l’utilité de la serviette de plage.
Elle ralentit ses mouvements avec Bob pour se laisser redescendre un peu mais elle n’en a clairement pas fini, elle est lancée et cet orgasme l’a seulement mise en conditions pour la suite. Je sens que je vais devoir me surpasser pour la calmer… Elle enlève sa main qui caressait son clito pour attraper les pinces à tétons et me les donner sans un mot mais avec ce regard tellement salope qui confirme mes soupçons.
J’attrape la première pince et lui tire durement sur le téton avec mes doigts pour les faire sortir et pouvoir lui installer. C’est un système avec un petit pas de vis que je peux serrer selon mon bon vouloir (et ses goûts bien sûr) et l’installation de cette première pince me permet de reprendre la main et la direction des opérations. Attitude qu’elle apprécie largement si j’en crois le regain de gémissements!
Je fais donc durer le plaisir en installant la deuxième. J’ attends quelques secondes avant de resserrer un peu les vis des deux côtés. Je titille les deux petits bouts qui dépassent et cette fois-ci ses seins sont tellement sous pression qu’un effleurement léger suffit à lui faire pousser un énorme soupir de plaisir. Bob ne s’est jamais arrêté de la pénétrer pendant tout ce temps-là et je commence à avoir bien envie de prendre sa place et de moi aussi en profiter un peu. Je me relève et me déshabille face à elle qui continue à se pénétrer et à effleurer ses tétons qui dépassent des pinces (je pense qu’on va les revoir souvent celles-là vu l’effet que ça lui fait). Une fois nu, je grimpe sur le canapé et viens lui enfoncer ma queue bien raide au fond de la gorge. Elle n’a pas besoin de bouger, je lui cloue la tête sur le dossier avec de profonds coups de reins. Elle bave partout et Bob recommence à accélérer… Je l’attrape par les cheveux pour lui sortir ma queue de la bouche histoire de la laisser un peu reprendre son souffle et je remarque qu’elle a les larmes aux yeux et de la bave partout. J’ai un petit mouvement de recul de peur d’avoir été trop abrupt; on aime tous les deux quand ça se passe de manière musclée mais ça doit rester bienveillant et pour notre plaisir à tous les deux. Elle m’attrape par les fesses et s’enfonce d’elle-même ma queue dans la gorge. Me voilà donc plus serein et je recommence le pilonnage de sa bouche.
Ce traitement nous fait beaucoup d’effet à tous les deux et je la sens s’agiter et geindre de manière étouffée. Comme ça risque de me faire partir j’essaye de me retirer mais elle me maintient par les fesses pour que je continue. Je me déchaîne donc dans sa bouche et je finis par jouir au plus profond de sa gorge ce qui a pour effet de la faire jouir aussi.
On reprend des positions un peu plus calmes mais pourtant Bob ne s’arrête toujours pas et j’ en profite pour jouer un peu avec la chaîne qui relie ses tétons et à l’admirer…
Elle a les yeux qui pleurent, les cheveux dans tous les sens, de la bave partout. Elle est tellement belle et a l’air tellement heureuse, elle est la dernière des chiennes dans ces situations là mais ça ne la rend que plus belle à mes yeux et je l’aime encore plus.
« Désolée mais tu ne pouvais pas t’arrêter à ce moment-là, j’étais trop bien à me faire ravager la bouche » « Tu vas pouvoir récupérer quelques minutes le temps de préparer mon petit trou; ma chatte est pour Bob ce soir mais je veux que tu m’ouvres le cul et que tu me démontes à ne plus savoir marcher ».
Ces paroles si crues dans sa si jolie bouche me donnent l’énergie de me positionner à genoux devant elle et de commencer à lui caresser les fesses. Ses deux orgasmes ont transformé la zone et la serviette en piscine. C’est trempé de partout et j’humidifie régulièrement mes doigts pour aller lui lubrifier le petit trou. Bob continue ses va-et-vient pendant que j’enfonce de plus en plus mes doigts et que je caresse toutes les petites zones sensibles et cette fine membrane entre Bob et mes doigts. Elle joue aussi à tirer de plus en plus loin la chaîne entre ses tétons en alternant avec de très légers effleurements sur les bouts de tétons qui dépassent.
Elle est déchaînée (enfin pas ses seins du coup ;) et je n’ai aucun mal à vite écarter bien fort son petit trou qui ne l’est plus tant que ça maintenant, je peux facilement enfoncer quatre doigts et je tire pour bien lui ouvrir le cul comme elle a demandé.
Elle est bien prête et j’ai retrouvé une trique qui va pouvoir exaucer son deuxième souhait. Je reste à genoux, place les siens sur mes épaules, elle enfonce Bob à fond pour me laisser de la place et pose ses mains sur ses magnifiques fesses pour les écarter au maximum. Je m’enfonce d’un coup tout au fond et je reste abuté le temps que l’on profite tous les deux de cette tempête de sensations.
Elle grogne pour que je me mette en route et je commence de longs mouvements qui s’accélèrent au fur-et-à-mesure. Elle se caresse le clito et joue avec les pinces à seins tandis que je repousse Bob avec mon bassin quand il a l’audace de sortir et que je commence à la secouer dans tous les sens avec des coups de reins de plus en plus brutaux.
C’est dans un concerto de cris, de gémissements, de grognements animaux et de mots vulgaire qu’un nouvel orgasme la surprend.
La première jouissance me permet de ne pas me lâcher tout de suite mais elle est bien KO et Bob est abandonné, gisant sur la serviette trempée. Elle fait mine de retirer les pinces sur ses tétons mais je l’arrête.
« Je n’en ai pas fini avec toi, tu m’as demandé quelque chose… »
« …C’est toi qui décide »
Elle est KO mais elle me dit ça avec son petit air aguicheur donc je me relève et j’attrape la chaîne pour la diriger et la positionner à quatre pattes pour une levrette. Je profite de coincer la chaîne grâce au canapé histoire que ça tire si elle bouge trop. Je lui agrippe les fesses pour bien les ouvrir et me réenfonce profondément dans son cul qui est maintenant bien grand ouvert. Je l’attrape ensuite par les cheveux et toute partie que je peux atteindre (son cou, ses épaules, ses hanches) et qui me permettent de me déchaîner. Les fessées pleuvent et elle crie de plaisir (je sais d’avance qu’elle ne jouira plus mais ça ne l’empêche pas d’apprécier largement le traitement).
Je finis par jouir bien callé au fond. Je me retire et lui écarte encore les fesses pour regarder couler mon sperme sur sa petite chatte qui est toute rouge.
On est cassés, transpirants, ça sent le sexe dans toute la maison. Elle se déshabille et on alterne pour aller prendre une douche et souper.
Souper pendant lequel je lui explique la méprise concernant Marie que j’ai eue en arrivant et elle me regarde avec un petit sourire qui laisse planer le doute…
J’ai ensuite passé un moment à lui appliquer de la crème apaisante un peu partout ce qui a bien sur dégénéré en un missionnaire doux les yeux dans les yeux. Malheureusement pour moi sans aucun attouchement sur ses seins qui étaient bien trop sensibles. Elle adore la sensation des pinces et je regarde déjà pour d’autres modèles et elle les a réutilisées souvent depuis mais après elle a les seins sensibles ce qui fait que je ne peux que les prendre en bouche.
PS : Effectivement elle n’en était pas à ne plus savoir marcher mais elle m’a expliqué que s’asseoir avait été compliqué le lendemain au boulot.
PS : Toutes histoires vraies et vécues, une autre m’ est arrivée récemment mais je dois voir avec elle si elle est d’accord que je la raconte…
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