Elle réalise mon fantasme
Récit érotique écrit par J-M [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Elle réalise mon fantasme
Enfin !
Après plusieurs années de vie commune, elle s’est décidée à réaliser mon plus grand fantasme et, avec son accord (comme pour les autres récits d’ailleurs), je me dois de partager ça avec vous (j’ai envie de le crier sur les toits mais, à part sa meilleure amie à qui elle raconte presque tout, je ne peux pas parler de ça ouvertement).
Je lui ai raconté mon fantasme un jour que l’on parlait de ça et ça nous avait bien chauffés mais je savais qu’elle n’était pas prête à sauter le pas de la réalisation et je la laissais tranquille avec ça pour ne pas la brusquer. Si vous avez lu nos autres aventures, vous savez qu’elle aime que je ne sois pas particulièrement doux et que j’ai tendance à décider. Cette relation nous convient à tous les deux mais mon fantasme c’était une étape qu’elle n’était pas prête à franchir. Et du coup j’avais un peu laissé cette idée de côté en me disant que ça n’arriverait peut-être jamais.
C’est une soirée normale qui s’annonce, je suis rentré du boulot, fatigué comme souvent en ce moment. Elle est déjà à la maison et prépare le souper innocemment. Elle porte une petite robe noire avec des fleurs (somme toute le genre de robes qu’elle porte souvent) qui lui arrive à mi-cuisses, des bas et des bottes à talons. En allant lui dire bonjour et l’embrasser doucement dans le cou, je remarque qu’elle ne porte pas de soutien-gorge ; c’est assez rare parce qu’elle est un peu complexée par ses formes. De mon côté je trouve que les soutien-gorge lui font une poitrine étriquée et qu’elle est plus belle quand ses seins sont libres de leurs mouvements mais je suis amoureux donc mon point de vue n’est pas vraiment objectif et il est difficile de combattre les complexes féminins. Je la trouve très belle (comme d’habitude, objectivité tout ça tout ça), je lui fais remarquer et la complimente sur sa tenue et son parfum, ce qui la fait rougir un peu. Parfum de frais et de propre, l’air de rien elle me dit avoir pris un bain et elle me confirme que j’ai le temps de passer sous la douche avant de souper.
Une douche, je ne mets pas mon pyjama mais un T-shirt propre et un pantalon détente. Je l’ai complimentée sur sa tenue et elle a cuisiné, la moindre des choses est de lui faire honneur. Nous voilà à table et malgré une conversation enjouée et un très bon repas (oui en plus d’être belle elle cuisine très bien), je la sens un peu stressée et tendue. Elle me dit que c’est sa journée de travail qui lui fait cet effet là et je comprends qu’elle préfère que je n’insiste pas.
Je l’envoie dans le fauteuil le temps que je fasse la vaisselle et que je range un peu la maison histoire qu’elle prenne un peu de temps de détente aussi mais je la surprends perdue dans ses pensées avec un petit air anxieux. Ça m’attriste un peu de la voir comme ça et j’essaye de faire de mon mieux pour qu’elle se sente bien. Je lui propose donc d’allumer la télé et de regarder une absurdité qu’elle aime bien. Elle respire un grand coup et me réponds qu’elle préfère que l’on aille se coucher tout de suite.
J’accepte volontiers et dans l’escalier je me dis que je lui proposerais bien un petit massage histoire de lui faire plaisir et de chasser cette tension qui me chiffonne.
Le choc en rentrant dans la chambre : elle a installé des bougies un peu partout, changé les draps du lit (elle les avait bien mouillés la veille) et elle a déplacé le fauteuil. Je suis étonné qu’elle n’ait pas mis de musique mais je suis trop abasourdi pour y prêter plus d’ attention. Je reste un moment à regarder la chambre bêtement et elle s’approche en souriant avant de se coller à moi et de m’embrasser fougueusement. D’un coup ça va beaucoup mieux et je l’embrasse à pleine bouche en faisant glisser mes mains sur son petit cul. De drôles de lacets et reliefs sous la robe me promettent de la lingerie qui, je le sais, va me rendre fou. Elle enlève rapidement mes mains de ses fesses et me maintiens les poignets
« Attends un peu, j’ai une surprise ! Ne fais pas cette tête tu vas aimer. Allez bas les pattes. Assieds-toi dans le fauteuil ; tu n’as rien d’autre à faire que de regarder… Pour l’instant ! »
Ce retournement de situation où c’est elle qui donne les ordres est assez inhabituel mais, avec un petit sourire, je m’exécute. Je suis confiant parce qu’elle a déjà essayé de retourner la situation mais au final c’est elle qui a réclamé que je reprenne la direction des opérations.
A peine assis, elle commence une petite danse assez sensuelle et un peu maladroite, ce qui la rend encore plus belle. Elle dégrafe sa robe et commence à l’enlever doucement en m’empêchant de voir tout de suite ce qu’il y’a dessous. Son petit manège me rend fou et j’ai envie de me lever et de lui arracher sa robe mais je me retiens pour l’instant. Je crois qu’elle a compris mon état d’esprit parce qu’elle laisse tomber sa robe d’un coup. Tout en dansant elle tourne un peu sur elle-même pour que je puisse l’admirer sous tous les angles.
Je suis au bord de la crise cardiaque !
Ses bottes à talons sont prolongées par des bas noirs, eux-mêmes retenus par un porte-jarretelles en dentelles, surmonté d’un corset noir recouvert d’arabesques qui lui arrive juste en dessous des seins. Ils sont bien libres comme je le savais déjà et tombent harmonieusement (elle doit être très excitée parce qu’ils ont l’air bien fermes) et leurs pointes sont bien dressées. Elle n’a pas mis de culottes et je remarque qu’elle s’est épilée intégralement. Je l’ai déjà vue des milliers de fois, dans les lingeries et les positions les plus osées, mais elle me fait toujours le même effet.
Je bande fort maintenant et je remets ma queue en place car la position dans le pantalon est assez gênante
« Enlève ton pantalon pour ne pas être trop serré mais interdiction de te caresser ou de me tripoter pour l’instant ! »
Je résiste à l’envie que j’ai de l’attraper et de reprendre mon rôle habituel et je fais docilement ce qu’elle me dit. Elle s’approche doucement et m’offre une vue splendide sur ses seins pendant qu’elle me caresse et qu’elle passe ses doigts sur mon gland. Mais juste quelques secondes plus tard elle se retourne et, en roulant de son petit cul tellement excitant, s’éloigne et va s’allonger contre une énorme pile de coussins. Elle commence à se caresser absolument tout le corps. De ses pieds qu’elle débarrasse des bottes à son cou si sensible (juste derrière l’oreille droite). Elle commence à s’attarder sur les zones plus précises. Ses mains parcourent d’abord ses seins, en douceur. Elle passe ses doigts partout en une spirale qui finit sur les pointes dressées qu’elle pince et roule entre ses doigts. Tout en tirant sur les pointes, elle attrape le maximum de ses seins à pleines mains et elle les malaxe maintenant comme je sais qu’elle aime que je fasse (douceur et fermeté). Elle écarte de plus en plus les jambes et ondule du bassin. Je remarque donc facilement qu’elle est absolument trempée comme elle l’a rarement été. Elle a fermé les yeux mais les miens sont bien grands ouverts pour ne rien rater du spectacle qu’elle m’offre. Je suis tellement captivé que je ne pense même pas à mon plaisir et je fais très attention de ne pas casser l’ambiance. Je reste donc silencieux tandis qu’elle glisse doucement ses mains le long du corset pour descendre sur ses cuisses et remonter par l’intérieur de celles-ci. Elle passe ses doigts sur les côtés de ses lèvres et caresse absolument toute la zone périphérique mais je sens qu’elle commence à vouloir un contact plus direct. Ça ne rate pas et quelques instants plus tard elle caresse l’entrée de son vagin pour bien humidifier ses doigts avant de caresser son clitoris. Tout ce qu’elle aime y passe et, même si je connais certains de ses trucs, j’essaye de mémoriser ses gestes pour tenter de les reproduire à l’avenir et lui donner encore plus de plaisir. Comment elle aime passer son clitoris entre deux de ses doigts, son doigt qui s’égare doucement vers son petit trou pour le caresser mais sans y rentrer, ses deux doigts qui forment comme un crochet et qui caressent son clitoris dans un mouvement de va et vient et qui lui permet de les rentrer,…
Elle a une main sur son sein qu’elle pétrit allégrement et dont elle joue avec la pointe et l’autre qui s’active maintenant assez fort entre ses jambes. Ses gémissements sont de plus en plus sonores et elle laisse libre cours à ses cris et à ses paroles désordonnées sans plus de limites ni de tabous. J’aime le cadeau qu’elle me fait de se lâcher complétement devant moi (elle m’avouera plus tard qu’elle appréhendait de se lâcher devant quelqu’un mais qu’une fois lancée ça l’avait excitée de savoir que je la regardais).
Après un orgasme retentissant (les voisins sont au courant), elle reste allongée quelques instants et je lui laisse reprendre ses esprits.
« Viens ! »
Je me lève donc et m’approche. Je m’allonge à côté d’elle et l’embrasse tendrement avant qu’elle ne m’entraine au-dessus d’elle pour un missionnaire tout en douceur les yeux dans les yeux jusqu’à un nouvel orgasme pour elle et une délivrance pour moi.
Cette soirée finit en douceur pour une fois et je trouve ça assez agréable (même si, dès le lendemain, elle me demandera de la démonter brutalement sur le plan de travail de la cuisine ; mais c’est une autre histoire…)
Après plusieurs années de vie commune, elle s’est décidée à réaliser mon plus grand fantasme et, avec son accord (comme pour les autres récits d’ailleurs), je me dois de partager ça avec vous (j’ai envie de le crier sur les toits mais, à part sa meilleure amie à qui elle raconte presque tout, je ne peux pas parler de ça ouvertement).
Je lui ai raconté mon fantasme un jour que l’on parlait de ça et ça nous avait bien chauffés mais je savais qu’elle n’était pas prête à sauter le pas de la réalisation et je la laissais tranquille avec ça pour ne pas la brusquer. Si vous avez lu nos autres aventures, vous savez qu’elle aime que je ne sois pas particulièrement doux et que j’ai tendance à décider. Cette relation nous convient à tous les deux mais mon fantasme c’était une étape qu’elle n’était pas prête à franchir. Et du coup j’avais un peu laissé cette idée de côté en me disant que ça n’arriverait peut-être jamais.
C’est une soirée normale qui s’annonce, je suis rentré du boulot, fatigué comme souvent en ce moment. Elle est déjà à la maison et prépare le souper innocemment. Elle porte une petite robe noire avec des fleurs (somme toute le genre de robes qu’elle porte souvent) qui lui arrive à mi-cuisses, des bas et des bottes à talons. En allant lui dire bonjour et l’embrasser doucement dans le cou, je remarque qu’elle ne porte pas de soutien-gorge ; c’est assez rare parce qu’elle est un peu complexée par ses formes. De mon côté je trouve que les soutien-gorge lui font une poitrine étriquée et qu’elle est plus belle quand ses seins sont libres de leurs mouvements mais je suis amoureux donc mon point de vue n’est pas vraiment objectif et il est difficile de combattre les complexes féminins. Je la trouve très belle (comme d’habitude, objectivité tout ça tout ça), je lui fais remarquer et la complimente sur sa tenue et son parfum, ce qui la fait rougir un peu. Parfum de frais et de propre, l’air de rien elle me dit avoir pris un bain et elle me confirme que j’ai le temps de passer sous la douche avant de souper.
Une douche, je ne mets pas mon pyjama mais un T-shirt propre et un pantalon détente. Je l’ai complimentée sur sa tenue et elle a cuisiné, la moindre des choses est de lui faire honneur. Nous voilà à table et malgré une conversation enjouée et un très bon repas (oui en plus d’être belle elle cuisine très bien), je la sens un peu stressée et tendue. Elle me dit que c’est sa journée de travail qui lui fait cet effet là et je comprends qu’elle préfère que je n’insiste pas.
Je l’envoie dans le fauteuil le temps que je fasse la vaisselle et que je range un peu la maison histoire qu’elle prenne un peu de temps de détente aussi mais je la surprends perdue dans ses pensées avec un petit air anxieux. Ça m’attriste un peu de la voir comme ça et j’essaye de faire de mon mieux pour qu’elle se sente bien. Je lui propose donc d’allumer la télé et de regarder une absurdité qu’elle aime bien. Elle respire un grand coup et me réponds qu’elle préfère que l’on aille se coucher tout de suite.
J’accepte volontiers et dans l’escalier je me dis que je lui proposerais bien un petit massage histoire de lui faire plaisir et de chasser cette tension qui me chiffonne.
Le choc en rentrant dans la chambre : elle a installé des bougies un peu partout, changé les draps du lit (elle les avait bien mouillés la veille) et elle a déplacé le fauteuil. Je suis étonné qu’elle n’ait pas mis de musique mais je suis trop abasourdi pour y prêter plus d’ attention. Je reste un moment à regarder la chambre bêtement et elle s’approche en souriant avant de se coller à moi et de m’embrasser fougueusement. D’un coup ça va beaucoup mieux et je l’embrasse à pleine bouche en faisant glisser mes mains sur son petit cul. De drôles de lacets et reliefs sous la robe me promettent de la lingerie qui, je le sais, va me rendre fou. Elle enlève rapidement mes mains de ses fesses et me maintiens les poignets
« Attends un peu, j’ai une surprise ! Ne fais pas cette tête tu vas aimer. Allez bas les pattes. Assieds-toi dans le fauteuil ; tu n’as rien d’autre à faire que de regarder… Pour l’instant ! »
Ce retournement de situation où c’est elle qui donne les ordres est assez inhabituel mais, avec un petit sourire, je m’exécute. Je suis confiant parce qu’elle a déjà essayé de retourner la situation mais au final c’est elle qui a réclamé que je reprenne la direction des opérations.
A peine assis, elle commence une petite danse assez sensuelle et un peu maladroite, ce qui la rend encore plus belle. Elle dégrafe sa robe et commence à l’enlever doucement en m’empêchant de voir tout de suite ce qu’il y’a dessous. Son petit manège me rend fou et j’ai envie de me lever et de lui arracher sa robe mais je me retiens pour l’instant. Je crois qu’elle a compris mon état d’esprit parce qu’elle laisse tomber sa robe d’un coup. Tout en dansant elle tourne un peu sur elle-même pour que je puisse l’admirer sous tous les angles.
Je suis au bord de la crise cardiaque !
Ses bottes à talons sont prolongées par des bas noirs, eux-mêmes retenus par un porte-jarretelles en dentelles, surmonté d’un corset noir recouvert d’arabesques qui lui arrive juste en dessous des seins. Ils sont bien libres comme je le savais déjà et tombent harmonieusement (elle doit être très excitée parce qu’ils ont l’air bien fermes) et leurs pointes sont bien dressées. Elle n’a pas mis de culottes et je remarque qu’elle s’est épilée intégralement. Je l’ai déjà vue des milliers de fois, dans les lingeries et les positions les plus osées, mais elle me fait toujours le même effet.
Je bande fort maintenant et je remets ma queue en place car la position dans le pantalon est assez gênante
« Enlève ton pantalon pour ne pas être trop serré mais interdiction de te caresser ou de me tripoter pour l’instant ! »
Je résiste à l’envie que j’ai de l’attraper et de reprendre mon rôle habituel et je fais docilement ce qu’elle me dit. Elle s’approche doucement et m’offre une vue splendide sur ses seins pendant qu’elle me caresse et qu’elle passe ses doigts sur mon gland. Mais juste quelques secondes plus tard elle se retourne et, en roulant de son petit cul tellement excitant, s’éloigne et va s’allonger contre une énorme pile de coussins. Elle commence à se caresser absolument tout le corps. De ses pieds qu’elle débarrasse des bottes à son cou si sensible (juste derrière l’oreille droite). Elle commence à s’attarder sur les zones plus précises. Ses mains parcourent d’abord ses seins, en douceur. Elle passe ses doigts partout en une spirale qui finit sur les pointes dressées qu’elle pince et roule entre ses doigts. Tout en tirant sur les pointes, elle attrape le maximum de ses seins à pleines mains et elle les malaxe maintenant comme je sais qu’elle aime que je fasse (douceur et fermeté). Elle écarte de plus en plus les jambes et ondule du bassin. Je remarque donc facilement qu’elle est absolument trempée comme elle l’a rarement été. Elle a fermé les yeux mais les miens sont bien grands ouverts pour ne rien rater du spectacle qu’elle m’offre. Je suis tellement captivé que je ne pense même pas à mon plaisir et je fais très attention de ne pas casser l’ambiance. Je reste donc silencieux tandis qu’elle glisse doucement ses mains le long du corset pour descendre sur ses cuisses et remonter par l’intérieur de celles-ci. Elle passe ses doigts sur les côtés de ses lèvres et caresse absolument toute la zone périphérique mais je sens qu’elle commence à vouloir un contact plus direct. Ça ne rate pas et quelques instants plus tard elle caresse l’entrée de son vagin pour bien humidifier ses doigts avant de caresser son clitoris. Tout ce qu’elle aime y passe et, même si je connais certains de ses trucs, j’essaye de mémoriser ses gestes pour tenter de les reproduire à l’avenir et lui donner encore plus de plaisir. Comment elle aime passer son clitoris entre deux de ses doigts, son doigt qui s’égare doucement vers son petit trou pour le caresser mais sans y rentrer, ses deux doigts qui forment comme un crochet et qui caressent son clitoris dans un mouvement de va et vient et qui lui permet de les rentrer,…
Elle a une main sur son sein qu’elle pétrit allégrement et dont elle joue avec la pointe et l’autre qui s’active maintenant assez fort entre ses jambes. Ses gémissements sont de plus en plus sonores et elle laisse libre cours à ses cris et à ses paroles désordonnées sans plus de limites ni de tabous. J’aime le cadeau qu’elle me fait de se lâcher complétement devant moi (elle m’avouera plus tard qu’elle appréhendait de se lâcher devant quelqu’un mais qu’une fois lancée ça l’avait excitée de savoir que je la regardais).
Après un orgasme retentissant (les voisins sont au courant), elle reste allongée quelques instants et je lui laisse reprendre ses esprits.
« Viens ! »
Je me lève donc et m’approche. Je m’allonge à côté d’elle et l’embrasse tendrement avant qu’elle ne m’entraine au-dessus d’elle pour un missionnaire tout en douceur les yeux dans les yeux jusqu’à un nouvel orgasme pour elle et une délivrance pour moi.
Cette soirée finit en douceur pour une fois et je trouve ça assez agréable (même si, dès le lendemain, elle me demandera de la démonter brutalement sur le plan de travail de la cuisine ; mais c’est une autre histoire…)
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