Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 3

- Par l'auteur HDS Shazam4577 -
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 3
-Bonsoir jeune fille ....

Élodie sursaute de peur, fermant la main sur le string poisseux, avant de la planquer dans son dos. Elle se retourne, le cœur battant la chamade, et tombe nez à nez avec son moustachu de voisin, Mr. Grosbout. Son visage est si prêt du sien qu'elle remarque les replis de son gros nez, lorsqu'il renifle la double odeur de foutre qui se dégage de la petite.

Il se recule pour laisser à la gamine son espace et dans un rictus évocateur :
-Ah la jeunesse et ses découvertes de la chair !

Pas très sûr de ce qu'insinue le vieux voisin, mais sans aucun doute sur le sous-entendu, l'adolescente tente de reprendre pied :
-Bonsoir Mr. André, je m'excuse .... Je ne .... voulais pas vous déranger!

-Mais penses-tu ma petite, à mon âge on dort peu, et de toute façon ton lascar a fait un tel chahut lorsqu'il est passé te déposer son "petit" cadeau ....

Il laisse la phrase en suspens, son rictus ingénu illuminant toujours son visage, et Élodie ne peut que remarquer l'insistance sur le mot "petit". La brunette sent la chaleur lui monter aux joues, et son cœur commencer à accélérer dans la poitrine, il faut qu'elle mette un terme à cette discussion :
-Oui je l'ai cherché partout chez moi, j'ai dû la faire tomber dans la cour tout à l'heure, et Raph l'aura ramassée.

-HUM HUM HUM .... J'ai l'impression qu'il n'a pas fait que la ramasser ! Mais bon, je ne suis pas là pour juger ....

Il s'en retourne chez lui mais pas sans un dernier commentaire marqué de son rire chaleureux si particulier :
-Je dis ça .... Je dis rien .... HA HA HA HA .... Allez bonne nuit ma petite Élodie !

Honteuse et en colère contre ce grand con de Raphaël, Élodie ne traîne pas plus longtemps dans l'escalier et rentre chez elle confuse, rouge de honte, mais gagnée par une autre réaction qu'elle ne comprend pas encore très bien.

Elle vient d'être prise la main dans le sac avec un mini string très aguicheur, et couvert de sperme froid et odorant, et pourtant une sourde chaleur papillonne dans son ventre, sa chatte frétille elle aussi d'excitation. Elle n'a jamais ressenti ça, même lorsque ses hommes agitent leurs sexes entre ses lèvres, une irrésistible envie d'ouvrir sa main et de renifler une nouvelle fois les effluves du grand connard.

Enivrée par l'excitation, elle porte le string poisseux à son nez et s'imprègne des odeurs musquées, si masculines. Elle ferme les yeux et laisse son corps réagir par instinct. Elle renifle à nouveau les odeurs, joue avec le bout de tissu poisseux entre ses doigts : "Putain le salop, il a déchargé comme un cheval!" Le liquide poisseux dégorge du morceau de coton.

Réflexe animal, ou bien libido déplacée, elle ouvre sa bouche, tire timidement la langue et goûte le nectar froid. Les notes salées, sucrée et âcre se mélangent, ce n'est pas aussi goûteux que le sperme chaud qu'elle a goûté tout à l'heure, mais elle sent sa chatte fondre dans son bikini. Elle se laisse glisser au sol, adossée contre la porte d'entrée et joue avec le tissu gluant entre ses doigts tout en détachant les ficelles qui tiennent son bas de maillot de bain.

Elle libère sa chatte, écarte les cuisses et commence à masser l'entrée de sa grotte vaginale. Son index glisse le long de sa fente en des allers et retours doux et glissant. Sa mouille lubrifie vite le bout de son doigt et elle commence à jouer avec le bouton de chair de son clitoris. Les doigts de son autre main continuent de malaxer et de jouer avec le bout de tissu détrempé, c'est ainsi qu'assise sur le sol, les cuisses écartées, les yeux mi-clos et la bouche ouverte de plaisir, elle n'a plus qu'une envie.

A demi consciente, et dans son délire sexuel, elle enfile le mini string et plaque le triangle de tissu humide et gluant contre sa chatte grande ouverte. La sensation grisante du contact froid et visqueux contre ses muqueuses chaudes et gonflées de sang l'électrise. Le souffle court et chaud elle commence à se caresser à travers le tissu imbibé des jus de ce connard de Raphaël.

"Raphaël …" Pourquoi s'excite-t ‘elle en pensant à ce salop qui essaye de se la faire depuis qu'il bosse au magasin. Elle se touche en repensant à la première où l'obsédé l'avait coincée dans la réserve pendant que ses parents étaient occupés ailleurs :
-Putain c'est que t'es devenu très bandante ! Tu dois en exciter des mecs au collège, hein p'tite salope ? Ça te tente une bonne grosse bite ?

Il avait serré la grosse boule que formait sa bite et ses couilles sous le tissu de son short, et l'agitait sous les yeux de la gamines. Maintenant qu'elle y repense : "Il doit être sacrément monté l'enculé!"
-HUN ....

A la pensée de cette potentielle grosse bite, la petite se mord la lèvre inférieure tout en appuyant le tissu gluant sur son clito tuméfié par le plaisir. Elle passe sa main libre sous sa robe et libère son téton pour le triturer entre ses doigts. Elle avait découvert ça en matant les meufs sur youporn avec les garçons. Depuis elle kiffe de jouer avec ses tétons tout en se branlant.

Et ce soir, l'idée que ce gras salop se branle et vide ses couilles dans ses sous-vêtements décuple le niveau de jouissance qu'elle ressent en se branlant à même le sol froid de son entrée. Elle gémit, doucement d'abord, puis avec le plaisir montant dans le creux de son ventre en manque, elle se lâche et ses plaintes de plaisir se font plus fortes et plus intenses à l'approche de la jouissance.

Les pieds crispés dans ses sandales, le ventre tendu en avant, elle part à la recherche de sa jouissance :
-HUN.... HUN.... HUN.... Oui oui .... HAN....

Son souffle se raccourci, ses plaintes se transforment en petits cris, elle approche, elle va jouir, elle accélère le mouvement de ses doigts sur son bouton de plaisir, triture le bout de son téton gonflé et tendu par le plaisir, quand soudain :
-BOUM....

Un bruit sourd en provenance de la cage d'escalier derrière elle la ramène brutalement à la réalité. Elle se recroqueville sur elle-même en mode de protection, sursaute et bondit sur ses pieds. Tremblante, fébrile, son sang gorgé de sérotonine, le cœur prêt à défaillir, elle bondit comme une chatte apeurée. Elle reste figée, debout sur ses gardes, dans son entrée, et essoufflée, elle n'ose plus bouger, comme aux aguets.

Puis un silence lourd s’installe : "Putain qu'est-ce que c'était que ça ? Le voisin qui écoutait à la porte ? Raphaël qui l’espionnait ?" Pendant quelques secondes, qui lui paraissent être des heures, elle n'ose pas bouger. Ses pieds lourds comme du plomb la plaque sur le parquet de l'entrée. Puis, petit à petit, son cœur se calme, les sensations reviennent dans ses extrémités, elle reprend conscience de son existence dans l'espace.

Encore un peu fébrile, elle s'avance vers la porte, puis observe par le judas mais ne rien bouger dans le couloir à peine éclairé par les interrupteurs lumineux. Pas rassurée, elle ouvre tout de même la porte, mais peu téméraire à cette heure tardive, elle n'ose pas allumer la lumière. Puis d'une petite voix :
-Hello .... elle attend, pas de réponse;
-Y a quelqu’un ? ....

Mais pas de réponse "En même temps, t'es conne ma fille, tu crois qu'on va te répondre ?" se dit-elle. Puis devant l'absurdité de la situation, elle rentre chez elle sans remarquer une ombre qui bouge dans un recoin du palier. Une fois à l'intérieur, elle s'enferme à double tour, puis s'adosse à la porte et allume la lumière pour se rassurer.

Elle ramasse mécaniquement le string de son bikini qui traîne toujours dans une flaque de sa propre mouille. Elle se déshabille et se sert de sa robe pour éponger le sol avant de tout balancer, robe, bikini, string hello Kitty, dans la machine à laver. Nue dans la salle de bain, elle se démaquille et nettoie son visage à l'eau micellaire avant d'aller se coucher et de s'effondrer nue et épuisée pour une bonne nuit de sommeil.

***
Le lendemain matin, guillerette et fraîche comme un gardon, l'adolescente s'occupe à tout ranger dans l'appartement, et lance une nouvelle machine avec toutes ses fringues sales. Elle s'active nue chez elle, les fenêtres ouvertes, à faire un grand coup de ménage avant d'aller prendre une bonne douche, et s’épiler de près le pubis en prévision de la pool party. Lorsqu'elle sort de la salle de bain, elle déniche la petite robe jaune que Enzo lui a sommé de porter, qu'elle accompagne d'une paire de sandale ouvertes, talons aiguilles et plateforme.

Coquine, et toujours échauffée de la veille, elle s'en tient aux ordres d'Enzo et c'est donc sans sous-vêtements et juste vêtue de la mini robe froncée sur sa poitrine non soutenue, et virevoltante au gré du vent qu'elle sort dans la cour intérieur pendre son linge propre. Une fois la lessive pendue, elle ne peut s'empêcher de regarder son petit string sans repenser au plaisir de la veille, et avec le fil de sa pensée, à la potentielle grosse bite du livreur de son beau-père : "Mais pourquoi tu penses encore à ce gros connard?" elle se fout une gifle mentale.

Mais elle sent bien que cette histoire de string gorgé de foutre lui triture l'esprit. Son ventre papillonne déjà à l'idée de la boule de chair caché dans le short du jeune homme : ".... hein p'tite salope? Ça te tente une bonne grosse bite ? ...." L'image est omniprésente dans son esprit torturé, quand tout à coup son smartphone vibre sur la petite table de jardin métallique, seul ornement de la cour.

<Alors t'es prête ma vieille ? On décolle .... dans 10 min chez toi!> C'est Enzo qui la prévient sur le snap du groupe.

<J'espère que t'es chaude psk nous on est cho com la braise> Et il lui envoie un screen de son visage de poupon couvert du sperme de Mathieu de la veille.

<Bande de p'tits cons va ! z'avez pas fini ak cette histoire ?> Lui répond-t ‘elle avec un emoji les yeux en cœur et les trois gouttes représentant la giclée de la veille.

Peu habituée à se promener sans sous-vêtements, elle découvre de nouvelles sensations ; les seins qui virevoltent en cadence avec ses pas, la brise qui se glisse entre les cuisses pour caresser sa vulve imberbe et découverte, elle file alors à l'étage finir de se préparer. Mascara, eye liner, et gloss waterproofs pour éclairer son visage, une touche de parfum sur ses épaules dénudées, elle attrape son sac à dos hello kitty juste au moment où les garçons la klaxonnent depuis la rue.

Toute guillerette à l'idée de retrouver ses hommes, elle sort de chez elle en virevoltant sur elle-même pour fermer à clé, quel bonheur de sentir la douceur du tissu se soulever et dévoiler son petit cul nu. Mais lorsqu'elle se retourne pour descendre les rejoindre, elle croise le regard enjoué de son voisin. Surprise à nouveau, elle plaque instinctivement se mains sur le volant de sa robe.

-Mr. André, bonjour .... Je .... Euh .... ne vous avais pas vu, désolé!

Elle baisse le regard comme une petite fille prise la main dans le sac.

-Eh bien Eh bien, espèce de petite écervelée va ! Tu m'as l'air bien joyeuse !

-Oui, en fait je pars pour l'après midi ! elle marque une pause
-Euh .... dites-moi Mr. André, ça vous dérange de jeter un œil sur mes affaires dans la cour?

-HA HA HA oui bien sûr ma petite, on ne voudrait pas retrouver une autre petite culotte sur sa porte ce soir, n'est-ce pas ?

Et il lui pince gentiment la joue, comme pour la taquiner. Élodie se retourne pour prendre congé et ....

-CLAC, .... allez ! file petite et profite bien!

Il vient de lui claquer les fesses. L'adolescente part un peu confuse de ce qui vient de se passer : "Bof, c'est juste un papy, il doit pas penser à mal !" Et c'est sur cette pensée que la gamine dévale les marches, les seins virevoltant au gré de ses pas sous le tissu élastique. Elle ne remarque pas le changement dans le regard de Mr. André Grosbout : "C'est ça petite profite bien !"
Elle n'entend pas non plus téléphone sonné chez elle, puis chez Mr. Grosbout. Il décroche :
-Oui .... Oh bonjour .... Oui en effet .... Non non elle vient de partir .... Très bien .... Oui je lui dirai, vous resterez deux jours de plus en province .... Elle devra ? .... Ah oui, faire la réception de la livraison de Lundi .... Comment .... Ah oui Raphaël, le livreur, oui je l'ai vu hier .... Pas de soucis, je le ferai la commission .... Non pensez-vous pas besoin, je m'arrangerai avec elle directement .... HA HA HA Oui oui bien sûr profitez bien .... Au revoir !

Il raccroche et se régale à l'idée de profiter de sa petite voisine sans ses parents : "deux jours de plus hé hé hé!"
Insouciante de l'intérêt qu'elle suscite chez son voisin, Élodie rejoint ses hommes dans le kangoo de Quentin. Le coffre est blindé de son matériel de DJ et le siège passager et occupé par une énorme glacière. La gamine se glisse donc à l'arrière, elle ouvre la porte battante et prend déjà Enzo à parti :
-Bon allez pousse ton gros cul de Tos là, que j'me cale !

Le gros brun éclate de rire, sans le moindre signe qu'il va lui rendre la tâche facile, la voilà donc contrainte d'enjamber le jeune homme qui en profite pour lui soulever le volant de la robe :
-Oulala matez moi ce joli p'ti cul !

Elle attrape le bas de sa robe par "pudeur" et se cale en rogne entre les deux amis :
-Putain tu fais chier Enzo !

Et elle lui colle un taquet bien placé derrière le crâne :
-Eh ça va ! HA HA HA .... Si on peut plus déconner ! Bon on décolle ?

-Et c'est parti ! Quentin prend la route et ils se dirigent vers la province.

-Et on va où au fait les gars ?

S'inquiète l'adolescente, un peu tardivement. Ils lui expliquent qu'ils vont dans l'ouest parisien dans la maison de campagne de l'oncle à un pote d'Enzo. Ils ont une petite heure de route à faire sur l'A13 et le jeune portugais attend d'être sorti des bouchons pour lui remettre un "petit" cadeau, littéralement.

-Au fait tiens ça c'est pour toi !

Lui dit-il en lui tendant une toute petite boîte en carton blanc sans marque.

-Je t'ai trouvé une "petite" merveille !

Conclue-t ‘il en instant sur le mot "petit". L'adolescente rit jaune, qu'est-ce qu'il a bien pu lui dégoter ? Tremblante et fébrile, la jeune fille ouvre la boîte et en sort un bikini encore plus minimaliste que celui qu'elle portait la veille.

-Mais vous êtes des grands malades, j'fais pas du porno non plus!

Sourire vicieux sur les lèvres, Enzo lui répond :
-Eh c'est comme tu veux ma vieille, mais soit t'as qu'une parole, soit tu te dégonfles, mais de toute façon t'as pas vraiment le choix, à moins que tu veuilles te baigner à poil !

"Merde, la conne, qu'est-ce qui m'a pris putain ?" Elle détaille alors le "vêtement" entre ses petits doigts fins ; le bas est des plus simples, un minuscule triangle blanc en mousseline aux mailles très fines et de tout juste 5cm de côté, ourlé d'une fine bande de coton blanc et de la pointe duquel part une ficelle de coton blanc. Tout comme son propre bikini, le string semble se nouer haut sur chaque hanche.

Quant au soutif, il est constitué de deux fuseaux confectionnés dans la même mousseline que le string. Les morceaux de tissu quasi transparents, longs d'à peine 2cm chacun, ils ne doivent pas faire plus d'1.5cm de large sur la plus grande largeur. Ourlés de la même manière que le triangle du string, ils sont reliés par un simple fil de coton blanc sur une de leur pointe, et s'attache d'un nœud entre les deux seins par une autre paire de fils de coton sur leur autre pointe.

-Bon allez donne-moi ça ! lui somme Enzo qui récupère la boîte et le frêle vêtement.

-Oui et essaye le pour voir ! lui dit en ricanant le rouquin à sa gauche, qui récupère quant à lui, le petit sac à dos.

Hésitante, la vision troublée par l'idée de s'exhiber de la sorte, Élodie écarte la fronce élastique de sa robe et la descend à mi-cuisse en protégeant vainement son intimité de ses petites mains.

-Mais vas-y! Fait pas ta pisseuse, on t'a d'jà vu à poil ! enchéri Enzo qui s'impatiente. Et balance ta robe à Mathieu que tu puisses passer ta nouvelle tenue de bain.

-Et t'as pas tout vu mec ! Mate sa chatte ! Elle est toute lisse ! balance le rouquin à son pote.

-Oh putain ma salope ! vas-y écarte un peu les cuisses qu'on mate !

Les deux garçons lui attrapent une jambe chacun et expose le minou imberbe et encore fermé de la gamine. Enzo balance la boîte et le bikini sur le côté et commence à caresser la chatte exposée. Mathieu de son côté passe deux doigts le long de la fente de la gamine qui gémit doucement en fermant les yeux, la tête projeté en arrière par le plaisir de sentir les doigts inquisiteur lui fouiller l'intimité.

Le rouquin retire ses doigts et fait constater à ses potes le filet de mouille dont ils sont imprégnés :
-Putain matez ça les mecs, elle mouille déjà comme une salope.

-Ouais et mate moi ses nibards, ils pointent de ouf ! enchéri le brun.

TUUUUT TUUUUT .... Le klaxon bruyant d'un semi-remorque se fait entendre à côté d'eux. Le routier que Quentin est en train de dépasser se régale du spectacle, mais le coup de corne de brume sort la gamine de sa torpeur, elle les supplie :
-Faites chier merde ! Rendez-moi mes fringues, j'vais pas faire la teupu devant ce porc non plus!

Et le routier que Quentin ne dépasse pas plus, intentionnellement, mime une pipe à l'attention de la brunette.

-Vas-y fait lui le spectacle ! la défie Quentin.

-Ouais suce nous un peu et on te rend tes fringues !

Bizarrement, le premier réflexe de la gamine n'est même pas de les engueuler pour le traquenard, et son hésitation ne passe pas inaperçue :
-On sait que t'en meurs d'envie de t'exhiber, hein que t'es une petite salope en vrai, non ?

Les paroles de Quentin résonnent dans son cerveau confus et à nouveau noyer d'hormones, de la part d'Enzo elle n'aurait pas été surprise, mais comment le gentil Mathieu peut la traitée comme une trainée. Est-ce que c'est le rouquin, le routier, la situation, mais la gamine est confuse, et malgré les papillons qui bourdonnent dans son ventre en chaleur, la gamine lutte contre une pulsion qui lui trotte dans la tête depuis la veille, et accepte sous condition :
-OK mais vous crachez pas alors, j'vous pompe un peu et on se casse après !

-Ouais ouais s'tu veux, mais vas-y suce les vite ! la prévient Quentin qui les mate dans le rétroviseur.

La petite écarte ses cheveux derrière son oreille gauche et se penche sur l'entrejambe du portugais qui dégaine sa petite bite trapue. Elle lui aspire la queue toute tendue et le brun se dandine sur son siège pour sortir ses boules tendues. Il guide la main gauche de la gamine et elle caresse les boules velues lorsqu'elle sent les poils sous sa peau.

Le routier et le portugais dégaine chacun leur smartphone et enregistrent la prestation de la petite. Élodie suce, aspire, lèche bruyamment le morceau de chair. Penchée sur la bite tendue, elle sent les mains de Mathieu glisser le long de sa cuisse gauche jusqu'à sa chatte. Il insinue deux doigts dans sa fente et lui écarte les lèvres gonflées de plaisir :
-Putain, mais elle mouille grave !

Sous l'effet des caresses, et chauffée de se faire mater par l'inconnu, la gamine gémit en suçant son portugais. Elle sent alors sa bite frétiller sur sa langue. Elle crève d'envie de le sentir gicler en elle, mais la peur de passer pour une salope est la plus forte. C'est à contre cœur qu'elle libère la bite et qu'elle se penche de l'autre côté pour s'occuper du rouquin.

Alors qu'elle se penche pour répéter l'opération, le portugais lui réserve une petite surprise. Il soulève ses 48kg comme un fétu de paille et la cale à genou sur ses cuisses velues et musclées. Le mouvement de balancier empale le sexe du rouquin au fond de la gorge de la gamine pour le plus grand plaisir de Mathieu. "Heureusement qu'il a pas une queue trop balaise, il se serait planté dans ma gorge."
Élodie tente vainement de se débattre mais c'est peine perdue, ce pervers d'Enzo la maintien les reins cambrés, le cul offert à la caméra du routier, et la bouche plantée sur le morceau de chair du rouquin. Mathieu en profite, il attrape la belle par ces anglaises brunes et lui pistonne la bouche de sa petite bite. Offerte et esclave de ses sens, Élodie se perd dans une nouvelle extase lorsque Enzo lui plante deux doigts dans la chatte et se met à la doigter avec vigueur sous le regard du routier qui fait à nouveau retentir sa corne de brume.

Mathieu s'active entre les lèvres charnues de l'adolescente, et lui claque alternativement les fesse, lui arrachant un petit cri étouffé à chaque fessée. Sous l'action du souffle chaud des cris étouffés, elle sent le gland de Mathieu gonfler sur sa langue : "L'enculé, je lui ai dit de pas cracher, putain !" Ramenée à la raison par le coup de klaxon, la belle sort de son extase et se débat d'entre les mains d'Enzo qui la libère, non sans regrets.

La petite reprend sa respiration, et haletante, plus d'avoir lutter pour ne pas les avoir laisser cracher dans sa bouche que de s'être débattue, elle leur dit :
-Bon c'est bon là ? Vous avez ce que vous vouliez ?

Le routier mime une mine triste, mais la gamine, remontée comme un ressort, le défi du regard et lui fait un doigt.

-Vas-y Quentin, putain, on peut s'arracher là ?

Et les trois garçons éclatent de rire, Élodie se joint à eux en récupérant ses affaires, juste à temps apparemment puisque Quentin ralentit à l'approche du péage. Élodie passe vite fait le "soutien-gorge" sur ses gros seins, ses tétons enflés saillants à travers la mousseline transparente. Elle le ferme d'une boucle entre ses seins, et se dandine sous le regard amusé des garçons pour passer la ficelle du micro-string sous ses fesses et l'attacher à son tour sur le haut de ses hanches charnues.

Le triangle de tissu couvre à peine son pubis ; "Heureusement que j'me suis épilée ce matin, la vache !" et la ficelle s'insinue entre ses lèvres encore gonflée par les attouchements des garçons, pour se plaquer ensuite sur la rondelle striée de son anus, lorsqu'elle tend les boucles latérales. Enfin, et juste avant que Quentin n'arrive devant la borne de péage, elle enfile vite fait sa petite robe et salue haletante le guichetier qui lui retourne son salut d'un sourire innocent. "S'il savait le pauvre !"
Élodie fait mine d'être vexée qu'ils l'aient réduite à un simple objet sexuel, elle leur fait la moue pour garder bonne figure. Elle n'ose pas s'avouer avoir ressenti quelque chose de nouveau à se faire abuser et exposer de la sorte.

-Allez c'est bon, fait pas ta prude, va !

Mais la petite se rebiffe contre Enzo :
-Mais ta gueule putain, ça fait deux fois déjà que tu m'traites de prude. Est-ce qu'une prude t’aurait sucer la bite ? .... J'crois pas non ! lui répond-t ‘elle avant qu'il ne puisse en placer une.

-Bon ça va vous deux, on est arrivé, et Enzo, arrête de la faire chier, on s'est bien amusé, ça va quoi !

Elle reconnaît enfin son Mathieu, celui qui la protège par sa douceur. Elle ne lui avouera jamais, mais même si elle kiffe le côté sans gêne et pervers de son portugais nerveux, elle aime aussi la douceur protectrice du rouquin. Arrivé devant la villa immense, ils sortent du Kangoo en s'insultant sans vergogne, et leur brimade coupe court lorsqu'à son tour Quentin se mêle de la conversation :
-Ben comme d'hab' je vois que j'suis le seul que t'as pas sucé ! La prochaine fois j'vous prévient c'est pas moi qui conduit.

Élodie fait alors mine de s’offusquer :
-Ah parce que tu crois qu'il y aura une prochaine fois peut-être ? J'suis pas votre vide couille de voyage non plus.

-Pour ça faudrait peut-être que tu nous les vides de temps en temps ! lâche Enzo sans réfléchir.

L'adolescente et sur le point de répliquer quand la porte de la villa s'ouvre sur un couple déjà en maillots de bain. Élodie les reconnait tout de suite, et sent le traquenard pourri se profiler ; "Nan mais j'y crois pas, Romuald et Béatrice".

Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers : Silveradd

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Texte coquin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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