Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 4
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 30 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Shazam4577 ont reçu un total de 302 090 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 15 908 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 4
Béatrice, 17ans, 1m76, 95D, le corps parfait de la blondasse, est la pute du lycée, elle était déjà la pute du collège quand Élodie a fait la connaissance de ses trois hommes. Mais la voir là, au bras de Romuald, un gros congolais qui se prend trop pour un beau gosse, et qui veut sortir avec Élodie depuis le début de la seconde. Loin de Paris, l'adolescente n'a pas le choix, va falloir qu'elle fasse contre mauvaise fortune bon cœur.
En mode faux cul, la gamine affiche son plus joli sourire et suit les garçons jusque dans la villa. Un frisson lui parcours l'échine lorsqu'elle entre dans la demeure climatisée. Élodie sent la pointe de ses tétons durcir immédiatement sous l'effet du froid, elle n'ose pas vérifier si ça se voit et fait mine de rien.
C'est alors qu'elle réalise qu'elle va devoir se montrer dans son deux pièces minuscule si elle veut aller se baigner. Le comble de tout c'est qu'elle ne peut pas non plus refuser d'aller se baigner si elle ne veut pas perdre la face devant le groupe ; "Putain de fierté mal placée !" conclut-elle. Fier comme un paon, Romuald fait visiter la propriété à ses invités, et alors qu'Élodie rumine sur ses choix, elle ne remarque pas tout de suite le petit jeu de séduction que mène la blonde sur le trio masculin.
En moins de temps qu'il n'en faut, Béa est déjà bras dessus bras dessous avec le beau Quentin sur sa droite et le belliqueux Enzo sur sa gauche, à glisser ses longs doigts fins sur les muscles saillants à force de bosser sur les chantiers.
-Eh ben les mecs, z'avez pas chômé dites-moi ! Ça c'est du beau mâle ! les charme-t ‘elle de ses grands yeux de biche.
-Tu dois pas t'emmerder avec de tels spécimens Elise ! enchérit-elle, écorchant intentionnellement le prénom et la fierté de la brunette plus petite d'une bonne tête.
“Putain la salope, et en plus il lui faut les trois’!” se dit la brunette en remarquant que Quentin n’est plus à ses platines. Élodie croise le regard félin de la grande blonde qui d’un sourire enjouer lance :
-Et si on allait rejoindre les tourtereaux ?
“Les tourtereaux ?” L’adolescente n’a pas le temps de réagir que Romuald l’attrape par la taille et la coince dans ses puissants bras.
-Alors ma belle, je t’ai manqué ?
Élodie sent à nouveau la grosse boule de l’entrejambe du grand black contre son dos. Elle se débat faiblement :
-Arrête putain !
Mais Romuald n’est pas prêt de relâcher son emprise :
-Fait moi un bisou et j’te lâche !
Et les trois garçons de rajouter en cœur :
-Le bisou .... le bisou .... le bisou ....
Pour toute réponse et rouge de honte et de colère, la petite brune les éclabousse :
-Vous êtes vraiment cons !
C’est que surgissant de l’eau devant elle, Béatrice l’attrape par les joues et lui roule une pelle, insinuant même sa langue frétillante entre les lèvres pulpeuse de la gamine. Tout d’abord surprise et choquée, Élodie fond rapidement sous les talents experts de la salope, personne ne l’a jamais embrassée avec une telle fougue. Mais l’extase ne dure pas et la rupture du contact buccale et aussi brusque qu’il était intense.
-Voilà ! Heureux bandes de vicieux ?
Est-ce que la salope vient juste de lui épargner un bisou des grosses lèvres du congolais ? Romuald, tout aussi surpris que les autres relâche à nouveau sa proie, qui en profite pour se dégager. Non sans remettre à nouveau en place ses “cache téton” qui s’était à nouveau fait la malle.
-Et si on s’faisait un p’ti volley ? renchérit la grande blonde. Qui joue avec moi ?
-Moi .... moi .... moi !
Le trio d’amis s’allie à la grande salope, d’une seule voix. Devant l’air renfrogner de la petite brune, Romuald, bon joueur lui sourit de ses grandes dents blanches et parfaites :
-T’inquiète chérie, on va leur mettre la pâté !
Et en effet, malgré le déséquilibre numéraire, les deux filles ont le même handicap, leurs seins se faisant la malle de leur faible soutien à la moindre balle un peu haute. Les micro “cache téton” d’Élodie, contre les fines bretelles échancrées de Béa. C’est vraiment Romuald qui fait la différence dans la partie. Malgré sa taille il est sur toutes les balles, ses retours puissants ne laissent aucune chance aux garçons. Et si ces derniers tentent des balles hautes, le géant soulève la brunette par la taille pour lui offrir un smash vengeur, qui ne déplait pas à la gamine. Elle se régale de leur mettre la pige.
Grisée par la victoire, Élodie se jette même dans les bras musclés de Romu, elle sent sa virilité reprendre immédiatement vie contre son ventre plat. Elle s’écarte aussitôt, honteuse de s’être laissée aller, et d’avoir kiffer le sentir bander contre elle.
La défaite amère inspire alors Béatrice qui en retour propose un jeu de tag pour se refaire. Élodie y voit l’opportunité de pouvoir renouer un contact physique avec ses hommes, mais c’est sans compter sur les talents de la grande salope, ni sur la ténacité du grand black à se rapprocher encore de la petite brunette.
Et en effet, non seulement Élodie n’a pas pu se rapprocher de ses amis, mais à chaque fois qu’elle devenait la proie, le trio faisait peu d’effort pour l’attraper, laissant la voie libre à Romu qui en profite à chaque fois pour l’attirer à lui et soit lui plaquer sa grosse bite gonflée entre ou contre les fesses, soit lui attraper un sein dans ses grosses paluches pour le malaxer. Il manque même de lui arracher le frêle soutien-gorge à deux reprises.
Comme si cela n’était pas assez, Élodie surprend plusieurs fois ses trois hommes délaisser la poursuite pour tourner autour de la grande salope, comme des hyènes affamées. Et alors qu’elle remet une nouvelle fois son soutif en place, Élodie l’attend alors proposer à ses courtisans :
-Bon les garçons, qui veut me mettre de la crème solaire ? J’ai besoin d’un peu d’attention moi !
C’en est trop pour Élodie, qui, sur le point d’exploser, ne sent pas la présence du grand black derrière elle. Confiant et sûr de lui, il l’attrape par la taille, la retourne et la plaque contre son ventre pour lui rouler une galoche baveuse, sa grosse langue s’insinuant entre les lèvres charnues de la petite brunette désarçonnée.
Dans le même mouvement, il passe sa main libre sous les fesses musclées de la gamine, les malaxe brutalement et lui plaque le bassin contre son gros bide poilu. Élodie sent la grosse bite gonflée entre ses cuisses ouvertes, et presser contre les lèvres de sa chatte, ouvertes par la ficelle de son micro-string. Elle veut se dégager de l’emprise du géant, mais son corps réagit à l’opposé de sa volonté. Une chaleur sourde prend naissance dans son ventre, des fourmis lui titillent la chatte, ses tétons gonflent et durcissent contre la poitrine puissant du congolais. Elle ferme les yeux, son corps fond et se laisse aller entre les bras puissants, elle lui retourne son baiser et commence à onduler du bassin contre la virilité de son hôte.
Elle est alors dans une extase qu’elle n’a jamais connu, mais un gloussement en provenance de la terrasse la sort de sa torpeur et elle rompt le contact avec le congolais, au grand désarroi du géant qui voit le visage poupon de la gamine se décomposer.
La brunette assiste à un spectacle qui la hantera longtemps après cette journée, ses hommes baladent leurs mains sur le corps dénudé de cette salope de Béa. Allongé sur le dos, elle a les jambes écartées afin de laisser libre accès aux doigts de Mathieu et Quentin qui lui fouillent allègrement la chatte et l’anus. Et c’est les reins cambrés, qu’elle laisse Enzo lui malaxer les seins, ce dernier la bite plantée entre les lèvres ouvertes de la belle salope, laissant à peine échapper les gloussements étouffés de plaisir de la belle blonde qui se fait baiser la bouche.
Élodie est secouée dans son être profond, elle observe son portugais aller et venir entre les lèvres luisantes, puis c’est le beau Quentin qui attrape les cuisses charnues pour les écarter et se planter en elle. Les garçons reculent la grande blonde sur son transat qui se retrouve la tête dans le vide pour qu’Enzo lui baise la bouche en profondeur. Quant à Mathieu, le gentil Mathieu, il enjambe le torse cambré de la salope, s’empare de ses obus, glaviotte entre ses gros seins avant d’y caler sa bite pour une bonne branlette espagnole.
De désespoir, elle se tourne vers Romuald, le regard suppliant :
-Est-ce que tu peux me ramener ? Je ferai ce que tu veux, mais là c’est trop ! S’il te plaît ?
Le congolais ne peut réprimer un sourire immense illuminant son visage de ses grandes dents blanches et le regard pétillant, il accepte.
-Ce que je veux, hein ?
Faisant contre fortune bon cœur l’adolescente lui retourne un sourire un peu timide “Dans quoi est ce que je m’embarque encore ?” mais l’idée d’assister plus longtemps à la partouze de l’autre salope la répugne plus que de satisfaire les envies lubriques du jeune congolais.
-Bon allez on bouge ?
Elle le précède sur la terrasse évitant au maximum de mater la partie de jambe en l’air, elle ne peut rester sourde aux râles de plaisir étouffés de l’autre salope. Du coin de l’œil Élodie la voit à quatre pattes maintenant, prise en sandwich, plantée sur Quentin, allongé sur le transat, alors qu’Enzo la prend en double par derrière “sûrement en train de l’enculer !” Se dit la gamine. Elle ne veut même pas voir son gentil Mathieu s’exciter dans la bouche de la blonde, elle attrape vite fait sa robe et son sac à dos et se précipite en direction de la baie vitrée.
Une fois à l’intérieur, Élodie enfile sa robe et attache ses cheveux bouclés en une queue de cheval haut sur le crâne. Elle enfile ses escarpins aux talons aiguilles pour ne pas s’écorcher les pieds sur les graviers de la cour où se trouvent garés la fiat 500 de Béa aux côtés du coupé BMW de Romuald. Lorsqu’elle essaye d’ouvrir la porte fermée à clé du coupé capoté, elle est au désarroi :
-TSK TSK....
Elle se retourne sur le géant d’ébène s’approchant d’un pas penaud :
-D’abord tu vas me donner ton petit maillot de bain !
-Mais je ....
Le regard soudain noir, il lui répond sèchement :
-Tu vas pas commencer à faire ta chiante ! Moi j'ai aucun problème à retourner mater l'autre pute, en plus j'me la farcirais bien ! Alors me fais pas regretter de ramener ton p'ti cul d’blanche !
Alors que le colosse fait mine de retourner dans la villa, la gamine capitule "Je sens que j'vais le regretter !» :
-OK OK OK, fait pas ton chien .... voilà !
Elle dénoue les lacets de son string qu'elle glisse sous le volant de sa robe, puis écarte le haut froncé pour faire de même avec ses "cache téton", et tend l'ensemble encore humide à son chauffeur. Il se frotte les mains et les attrape sans dissimuler son plaisir, la petite est à lui maintenant ! Le bruit des portes qui se déverrouillent invite Élodie à prendre place dans le siège passager, et Romuald s'installe et démarre en ouvrant la capote. Il démarre sur les chapeaux de roue, et avec la fougue de la jeunesse et l'impunité de sa plaque diplomatique, il s'engage sur l'autoroute en quelques minutes, atteignant rapidement les 160, puis les 180kmh.
Alors que la gamine s'accroche à son accoudoir, peu rassurée mais en même temps grisée par la vitesse du bolide, elle sent la paluche du jeune homme glisser sur la peau duveteuse de sa cuisse. Il se tourne vers elle et commence la négociation :
-Bon maintenant qu'on est tranquilles tous les deux, discutons de notre arrangement ! J'te dépose chez toi mais tu m'appartiens pour un mois !
-Eh mais ça va pas ou quoi, j'suis pas ta pute ou ton escorte !
-HAHAHAHA .... Il éclate de rire .... En effet, j'vais pas t’payer !
-Un mois, t'es malade mon vieux ! Même pas en rêve, j'suis prête à tout pour plus r'voir ces crevards, mais faut pas abuser non plus !
-Comme tu veux, sinon, j'te dépose sur l'aire de Beauchêne, y a bien quelques routiers qui rêveraient de "t'accompagner" chez toi !
"Putain le salop, c'est pas vrai !" La gamine est coincée, elle n'a guère le choix, mais elle tente tout de même une négociation :
-Bon ça va, espèce de salop ! J'veux bien mais deux semaines, pas plus!
Sans rien dire, et le regard fixé devant lui, Romuald enclenche son clignotant. En panique, Élodie lit le panneau au-dessus de leur tête <Aire sud de Beauchêne - 2000m> :
-Bon ça va ! ça va ! Trois semaines alors !
Il retire le clignotant :
-Trois semaines mais tu m'suces quand on arrive ! Et c'est moi qui décide où j’crache !
-T'es ouf ou quoi, j'vais pas faire ton vide couilles en plus!
Imperturbable, il enclenche à nouveau le clignotant <Aire sud de Beauchêne - 1000m>. La gamine panique, une aire boisée en plus, "Il peut se passer tout et n'importe quoi là-dedans !» :
-OK OK ! Tu décides ....
-C'est moi aussi qui décide ce que tu portes et interdiction de porter des sous-vêtements !
Le tic toc incessant la stress, elle sent la voiture se déporter sur la droite :
-OK OK j'suis d'accord, mais s'te plaît ....
Et en signe de victoire, le sourire jusqu'aux oreilles, le jeune homme reprend la route normale, puis il glisse sa main sous la robe de la gamine et presse son majeur entre les lèvres gonflées du vagin imberbe :
-Tu vois ? Tu mouilles déjà à l'idée de m’appartenir ! Écarte les cuisses maintenant !
Elle ne veut pas se l'avouer, mais son corps la trahit en effet, lorsque l'adolescente sent le gros doigt boudiner presser l'entrée de sa vulve, une vague de chaleur se propage dans son ventre et elle ne peut retenir un petit gémissement, heureusement couvert par le vent s'engouffrant dans l'habitacle. Le jeune homme entame le dépassement d'une file de semi-remorques :
-Zy-va, cale tes pieds sur le tableau de bord et écarte bien que j'te doigte la chatte !
Le cerveau dans le vague, noyée par un plaisir tabou, la jeune fille s'exécute et lorsqu'elle pose la semelle plateforme de ses sandales sur le vinyle du tableau de bord, le vent soulève le volant de sa robe. Par réflexe, elle attrape le tissu pour le remettre en place mais la voix dures du jeune homme la surprend :
-N'y pense même pas ! Incline plutôt ton dossier vers l'arrière et déballe-moi tes miches ! .... Implorante du regard, elle s'exécute devant l'impassibilité de son chauffeur .... C'est ça p'tite chienne, et pince moi ces gros tétons joufflus ! lui ordonne-t ‘il en la doigtant en profondeur.
Les allers et retour du doigt boudiné dans sa chatte et la montée d'adrénaline et de sérotonine porté par la vitesse et l'exposition de ses attributs font tomber les derniers remparts de pudeur de la gamine qui se laisse aller au plaisir du pistonnage en règle. Elle se mord la lèvre inférieure de plaisir lorsqu'il lui enfonce un deuxième doigt dans la chatte et qu'il accélère le pistonnage.
Élodie, les yeux mi-clos, ne remarque pas que le jeune homme a ralenti pour se mettre à la même vitesse que le premier semi. La tête en arrière, elle se pince, elle tord ses tétons gonflés de plaisir, et remarque à peine le bruit de corne de brume que le routier fait retentir.
-HA HA HA, c'est bien ça ! T'es qu'une chienne qui aime s’exhiber ! Je l'savais ... Tiens lèche moi ça !
Il retire ses doigts trempés de mouille et les porte aux lèvres pulpeuse de la gamine qui les avale et les nettoie sans vergogne, sous le regard ébahi du chauffeur routier. Elle aime le goût métallique de sa cyprine.
Le jeune homme accélère et tout en reprenant le doigtage en règle de la brunette, il dépasse un à un les camions, non sans leur offrir chacun leur dose de spectacle. Mais pour l'heure il lui tarde chez la gamine, qu'il puisse enfin goûter au délice de sentir ces lèvres charnues autour de sa grosse bite.
Vingt minutes plus tard, ils arrivent en trombe aux portes de Paris. Élodie reprend une apparence normale en couvrant son intimités exposée à la vue de tous sous le soleil d'été. Romuald retire son majeur de la vulve détrempée et goute à son tour au doux nectar de la gamine.
-MWAH Putain j'kiffe trop ta mouille !
Renfrognée et déçue de ne pas avoir vraiment jouit, la jeune fille ne lui répond même pas, mais ça n'empêche pas le jeune de faire la conversation.
-.... bon et tu crèches où? conclue-t ‘il.
Elle lui indique la route et le fait se garer dans une petite impasse discrète derrière son immeuble, directement en-dessous de la fenêtre de sa chambre.
-J'parie que tu dors juste là-haut, pointant du doigt la fenêtre du premier étage couverte de deux autocollants hello kitty.
-Ouais pas compliqué à deviner "Sherlock". Ajoute-t ‘elle en lui montrant son sac à dos
-Ouais fait pas ta maligne non plus! lui rétorque le jeune qui à son tour incline son dossier vers l'arrière. Allez ma belle, c'est ton tour de me gâter.
Il croise les mains derrière sa nuque et écarte les cuisses en signe d'invitation. Il est décidé à ne rien faire, elle va devoir se débrouiller seule.
-Tu .... fermes pas la capote? Lui demande-t ‘elle hésitante.
-Pas la peine, j'suis sûr que t'as une réput' de salope dans le coin ! Et bouge toi l'cul sinon, je t'arrache ta robe et j'te laisse en plan ici !
"En tout cas c'est sûr que j'vais en avoir une si on m'coince en train de l’pomper !" Résignée, et tout même un peu exciter à l'idée d'enfin voir à quoi ressemble ce gros morceau de chair formant une grosse boule sous la braguette tendue du jeans, elle déboutonne le pantalon et baisse la fermeture éclair, laissant apparaître les poils pubiens bouclés et noirs.
Elle glisse sa main dans la jambe du pantalon et saisit enfin le braquemart chaud et à moitié bandé du congolais. Lorsqu'elle sort la grosse saucisse mollassonne, elle écarquille les yeux, elle n'a jamais une bite aussi énorme de sa vie, à part sur les vidéos pornos qu'elle matait avec les garçons.
Sa petite main droite faisant à peine le tour du vit de chair, elle commence à l'astiquer, décalottant le gros gland par intermittence.
-Oui, c'est ça p'tite salope ! Branle la bien ma grosse bite de black !
Il grossit et durcit sous les doigts fins de l'adolescente, et le gros gland tuméfié s'extraie lentement de la protection du prépuce. Elle change de main et le branle de la gauche pendant que la droite extirpe ses grosses bourses emplies de foutre du futal.
-C'est ça, continue sale chienne, lèche-moi les couilles maintenant !
La gamine s'exécute, elle se penche sur l'entrejambe et tout en continuant la branlette, léchouille les bourses joufflues qui se rétractent et gonflent encore au contact de sa langue. Se basant sur les vidéos youporn, elle en caresse une pendant qu'elle essaye de gober l’autre :
-Oui vas-y p'tite salope ! Pompe-moi bien les couilles ! .... T'aimes ça hein ? Sales chienne ! .... T'aimes sucer mes couilles de black ?
-HUM HUM ....
-Allez, maintenant suce moi la bite ! lui ordonne-t ‘il en attrapant sa queue et en soulevant le visage de la gamine avec sa main libre.
Il lui plaque le visage sur la longueur de sa verge aux veines saillantes et gonflées. Élodie sort sa langue et la plaque sur la bite pour la lécher de bas en haut, jusqu'à atteindre le frein du gland.
-Pompe moi le gland, p'tite salope !
Et la gamine s'exécute, les yeux mi-clos, elle referme ses lèvres charnues sur le gland d'où perle déjà du liquide séminal. La goutte aux relents salés glisse sur sa langue lorsqu'elle aspire enfin le gland gonflé de désir.
-Ouiiiii .... Oh putain, j'savais que t'avais une bouche de pipeuse ! Allez pompe moi maintenant !
Il l'attrape par la queue de cheval et passe un bras son ventre pour la forcer à genou sur le siège passager. Dans cette position il guide la tête de la gamine en un mouvement brutal de haut en bas.
L'adolescente ne peut pas l'aspirer en entier comme elle le faisait avec ses hommes, il tente tout de même une gorge profonde, chose qu'Élodie n'a jamais faite, mais son gland tape contre la luette de la jeune fille, qui essaye de le repousser avant de lui gerber dessus. Il lui tire la tête en arrière pour la libérer avant qu'elle ne vomisse, un long filet de bave reliant sa bouche à la bite tendue.
-Allez, applique-toi ma salope ! On n'a pas la journée là !
Il plaque son pouce à la base de sa verge, y bloquant le sang et faisant instantanément gonfler encore plus les veines déjà saillantes de sa bite. Élodie emprisonne la queue tendue de ses deux mains et les fait glisser les long de la queue couverte de bave, puis elle reprend le pompage du gland entre ses lèvres.
Alors qu'elle le pompe goulûment, elle sent la paluche du grand black glisser sur son dos et relever le bas de sa robe pour exposer son cul tendu vers le haut. Il glisse ensuite son majeur entre les joues de ses fesses et l'humidifie copieusement de mouille avant de le remonter contre la pastille encore vierge de l'adolescente.
Il s'enfonce lentement en elle, lui arrachant un gémissement de plaisir étouffé. Les bruits de succion de la pipe se mêle au doux suintement de ses muqueuses anales dilatée pour le plus grand plaisir de la gamine. Il ne faut alors que quelques minutes de se traitement pour sentir le gland frétiller et gonfler contre sa langue.
Il est à point, il va bientôt gicler. Mais Romuald ne lui a pas encore dit où il voulait cracher, alors, ne voulant pas le mettre en colère et courir le risque de se retrouver à poil dans la rue, la gamine s'apprête à recevoir la décharge de foutre dans la bouche.
-Oui c’est ça ! Vas-y salope, continue que je crache bien dans ta bouche de chienne !
Et il ne tarde pas à s'exécuter, une première décharge chaude et gluante emplit la bouche humide de la gamine, une deuxième puis une troisième giclée finisse de lui emplir la bouche, ses joues se gonflent sous la pression du liquide visqueux.
Elle recule, bloquant ses lèvres à la base du gland pour ne pas en perdre une goutte, elle reçoit deux dernières doses avant de sentir le dard de chair ramollir dans ses mains. Le jeune hommes la tire à nouveau par a queue de cheval et lui ordonne :
-Vas-y ouvre ta bouche de salope !
Et il la snap direct sans même la prévenir, avant d’ajouter :
-Maintenant avale moi ça, montre-moi que t'es une bonne poubelle à foutre !
Sentant une goutte couler par la commissure de sa bouche, la gamine la récupère d'un doigt pour la remettre en bouche, puis elle déglutit la grosse quantité de foutre que le grand black vient de lui offrir dans un *GLOUP* bruyant. Sans autre forme de procès, satisfait de s'être vider dans la bouche de l'adolescente, le grand gaillard d'à peine 18 ans, ouvre la portière passager et fait sortir la gamine.
-Bon allez bouge ton p'ti cul, j'ai peut-être une chance de me farcir l'autre salope si j'mets les bout ! File-moi ton 06 et ton snap, je t'enverrai des tof' des tenues que tu porteras tous les jours et tu me montreras s'que t'auras sur le cul que je te donne le programme de chaque journée.
La gamine lui donne accès à ses comptes avant de sortir du bolide, encore un peu secouée de ce qui lui arrive, et il conclue avant de partir faisant crisser se pneus :
-Ah et demain, j'fais une soirée avec quelques potes, tu ramèneras ton p'ti cul d'blanche qu'on s'éclate un peu. Mets un truc bien sexy, tu m'enverras une tof' que j'valide, et je te donnerai l'adresse. Et n'oublie pas, à poil en dessous ! HA HA HA HA HA ....
Désemparée, incapable de bouger, la gamine sent le vent balayer la base de sa robe, se demandant dans quel pétrin elle ventait de se fourrer : "Trois semaines à supporter ce gros porc, putain!" Mais elle ne peut pas non plus renier le plaisir qu'elle vient de découvrir à se faire maltraiter comme la dernière des traînées. Pour l'heure, elle n'a qu'une envie, retrouver sa douche, sa chambre, son lit, .…
***
Seule, le goût doux/amer du sperme du black encore en bouche, la gamine rentre chez elle. Elle tourne la clé, passe le pas de la porte et manque de se vautré par terre, elle vient de glisser sur une feuille A4 est posée à même le sol. Intriguée, elle s'accroupit pour la ramasser. Visiblement, quelque chose est imprimé sur l'autre face. Fébrile, l'adolescente retourne le papier, c'est un montage de deux photo ....
********************
Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers : Silveradd
En mode faux cul, la gamine affiche son plus joli sourire et suit les garçons jusque dans la villa. Un frisson lui parcours l'échine lorsqu'elle entre dans la demeure climatisée. Élodie sent la pointe de ses tétons durcir immédiatement sous l'effet du froid, elle n'ose pas vérifier si ça se voit et fait mine de rien.
C'est alors qu'elle réalise qu'elle va devoir se montrer dans son deux pièces minuscule si elle veut aller se baigner. Le comble de tout c'est qu'elle ne peut pas non plus refuser d'aller se baigner si elle ne veut pas perdre la face devant le groupe ; "Putain de fierté mal placée !" conclut-elle. Fier comme un paon, Romuald fait visiter la propriété à ses invités, et alors qu'Élodie rumine sur ses choix, elle ne remarque pas tout de suite le petit jeu de séduction que mène la blonde sur le trio masculin.
En moins de temps qu'il n'en faut, Béa est déjà bras dessus bras dessous avec le beau Quentin sur sa droite et le belliqueux Enzo sur sa gauche, à glisser ses longs doigts fins sur les muscles saillants à force de bosser sur les chantiers.
-Eh ben les mecs, z'avez pas chômé dites-moi ! Ça c'est du beau mâle ! les charme-t ‘elle de ses grands yeux de biche.
-Tu dois pas t'emmerder avec de tels spécimens Elise ! enchérit-elle, écorchant intentionnellement le prénom et la fierté de la brunette plus petite d'une bonne tête.
“Putain la salope, et en plus il lui faut les trois’!” se dit la brunette en remarquant que Quentin n’est plus à ses platines. Élodie croise le regard félin de la grande blonde qui d’un sourire enjouer lance :
-Et si on allait rejoindre les tourtereaux ?
“Les tourtereaux ?” L’adolescente n’a pas le temps de réagir que Romuald l’attrape par la taille et la coince dans ses puissants bras.
-Alors ma belle, je t’ai manqué ?
Élodie sent à nouveau la grosse boule de l’entrejambe du grand black contre son dos. Elle se débat faiblement :
-Arrête putain !
Mais Romuald n’est pas prêt de relâcher son emprise :
-Fait moi un bisou et j’te lâche !
Et les trois garçons de rajouter en cœur :
-Le bisou .... le bisou .... le bisou ....
Pour toute réponse et rouge de honte et de colère, la petite brune les éclabousse :
-Vous êtes vraiment cons !
C’est que surgissant de l’eau devant elle, Béatrice l’attrape par les joues et lui roule une pelle, insinuant même sa langue frétillante entre les lèvres pulpeuse de la gamine. Tout d’abord surprise et choquée, Élodie fond rapidement sous les talents experts de la salope, personne ne l’a jamais embrassée avec une telle fougue. Mais l’extase ne dure pas et la rupture du contact buccale et aussi brusque qu’il était intense.
-Voilà ! Heureux bandes de vicieux ?
Est-ce que la salope vient juste de lui épargner un bisou des grosses lèvres du congolais ? Romuald, tout aussi surpris que les autres relâche à nouveau sa proie, qui en profite pour se dégager. Non sans remettre à nouveau en place ses “cache téton” qui s’était à nouveau fait la malle.
-Et si on s’faisait un p’ti volley ? renchérit la grande blonde. Qui joue avec moi ?
-Moi .... moi .... moi !
Le trio d’amis s’allie à la grande salope, d’une seule voix. Devant l’air renfrogner de la petite brune, Romuald, bon joueur lui sourit de ses grandes dents blanches et parfaites :
-T’inquiète chérie, on va leur mettre la pâté !
Et en effet, malgré le déséquilibre numéraire, les deux filles ont le même handicap, leurs seins se faisant la malle de leur faible soutien à la moindre balle un peu haute. Les micro “cache téton” d’Élodie, contre les fines bretelles échancrées de Béa. C’est vraiment Romuald qui fait la différence dans la partie. Malgré sa taille il est sur toutes les balles, ses retours puissants ne laissent aucune chance aux garçons. Et si ces derniers tentent des balles hautes, le géant soulève la brunette par la taille pour lui offrir un smash vengeur, qui ne déplait pas à la gamine. Elle se régale de leur mettre la pige.
Grisée par la victoire, Élodie se jette même dans les bras musclés de Romu, elle sent sa virilité reprendre immédiatement vie contre son ventre plat. Elle s’écarte aussitôt, honteuse de s’être laissée aller, et d’avoir kiffer le sentir bander contre elle.
La défaite amère inspire alors Béatrice qui en retour propose un jeu de tag pour se refaire. Élodie y voit l’opportunité de pouvoir renouer un contact physique avec ses hommes, mais c’est sans compter sur les talents de la grande salope, ni sur la ténacité du grand black à se rapprocher encore de la petite brunette.
Et en effet, non seulement Élodie n’a pas pu se rapprocher de ses amis, mais à chaque fois qu’elle devenait la proie, le trio faisait peu d’effort pour l’attraper, laissant la voie libre à Romu qui en profite à chaque fois pour l’attirer à lui et soit lui plaquer sa grosse bite gonflée entre ou contre les fesses, soit lui attraper un sein dans ses grosses paluches pour le malaxer. Il manque même de lui arracher le frêle soutien-gorge à deux reprises.
Comme si cela n’était pas assez, Élodie surprend plusieurs fois ses trois hommes délaisser la poursuite pour tourner autour de la grande salope, comme des hyènes affamées. Et alors qu’elle remet une nouvelle fois son soutif en place, Élodie l’attend alors proposer à ses courtisans :
-Bon les garçons, qui veut me mettre de la crème solaire ? J’ai besoin d’un peu d’attention moi !
C’en est trop pour Élodie, qui, sur le point d’exploser, ne sent pas la présence du grand black derrière elle. Confiant et sûr de lui, il l’attrape par la taille, la retourne et la plaque contre son ventre pour lui rouler une galoche baveuse, sa grosse langue s’insinuant entre les lèvres charnues de la petite brunette désarçonnée.
Dans le même mouvement, il passe sa main libre sous les fesses musclées de la gamine, les malaxe brutalement et lui plaque le bassin contre son gros bide poilu. Élodie sent la grosse bite gonflée entre ses cuisses ouvertes, et presser contre les lèvres de sa chatte, ouvertes par la ficelle de son micro-string. Elle veut se dégager de l’emprise du géant, mais son corps réagit à l’opposé de sa volonté. Une chaleur sourde prend naissance dans son ventre, des fourmis lui titillent la chatte, ses tétons gonflent et durcissent contre la poitrine puissant du congolais. Elle ferme les yeux, son corps fond et se laisse aller entre les bras puissants, elle lui retourne son baiser et commence à onduler du bassin contre la virilité de son hôte.
Elle est alors dans une extase qu’elle n’a jamais connu, mais un gloussement en provenance de la terrasse la sort de sa torpeur et elle rompt le contact avec le congolais, au grand désarroi du géant qui voit le visage poupon de la gamine se décomposer.
La brunette assiste à un spectacle qui la hantera longtemps après cette journée, ses hommes baladent leurs mains sur le corps dénudé de cette salope de Béa. Allongé sur le dos, elle a les jambes écartées afin de laisser libre accès aux doigts de Mathieu et Quentin qui lui fouillent allègrement la chatte et l’anus. Et c’est les reins cambrés, qu’elle laisse Enzo lui malaxer les seins, ce dernier la bite plantée entre les lèvres ouvertes de la belle salope, laissant à peine échapper les gloussements étouffés de plaisir de la belle blonde qui se fait baiser la bouche.
Élodie est secouée dans son être profond, elle observe son portugais aller et venir entre les lèvres luisantes, puis c’est le beau Quentin qui attrape les cuisses charnues pour les écarter et se planter en elle. Les garçons reculent la grande blonde sur son transat qui se retrouve la tête dans le vide pour qu’Enzo lui baise la bouche en profondeur. Quant à Mathieu, le gentil Mathieu, il enjambe le torse cambré de la salope, s’empare de ses obus, glaviotte entre ses gros seins avant d’y caler sa bite pour une bonne branlette espagnole.
De désespoir, elle se tourne vers Romuald, le regard suppliant :
-Est-ce que tu peux me ramener ? Je ferai ce que tu veux, mais là c’est trop ! S’il te plaît ?
Le congolais ne peut réprimer un sourire immense illuminant son visage de ses grandes dents blanches et le regard pétillant, il accepte.
-Ce que je veux, hein ?
Faisant contre fortune bon cœur l’adolescente lui retourne un sourire un peu timide “Dans quoi est ce que je m’embarque encore ?” mais l’idée d’assister plus longtemps à la partouze de l’autre salope la répugne plus que de satisfaire les envies lubriques du jeune congolais.
-Bon allez on bouge ?
Elle le précède sur la terrasse évitant au maximum de mater la partie de jambe en l’air, elle ne peut rester sourde aux râles de plaisir étouffés de l’autre salope. Du coin de l’œil Élodie la voit à quatre pattes maintenant, prise en sandwich, plantée sur Quentin, allongé sur le transat, alors qu’Enzo la prend en double par derrière “sûrement en train de l’enculer !” Se dit la gamine. Elle ne veut même pas voir son gentil Mathieu s’exciter dans la bouche de la blonde, elle attrape vite fait sa robe et son sac à dos et se précipite en direction de la baie vitrée.
Une fois à l’intérieur, Élodie enfile sa robe et attache ses cheveux bouclés en une queue de cheval haut sur le crâne. Elle enfile ses escarpins aux talons aiguilles pour ne pas s’écorcher les pieds sur les graviers de la cour où se trouvent garés la fiat 500 de Béa aux côtés du coupé BMW de Romuald. Lorsqu’elle essaye d’ouvrir la porte fermée à clé du coupé capoté, elle est au désarroi :
-TSK TSK....
Elle se retourne sur le géant d’ébène s’approchant d’un pas penaud :
-D’abord tu vas me donner ton petit maillot de bain !
-Mais je ....
Le regard soudain noir, il lui répond sèchement :
-Tu vas pas commencer à faire ta chiante ! Moi j'ai aucun problème à retourner mater l'autre pute, en plus j'me la farcirais bien ! Alors me fais pas regretter de ramener ton p'ti cul d’blanche !
Alors que le colosse fait mine de retourner dans la villa, la gamine capitule "Je sens que j'vais le regretter !» :
-OK OK OK, fait pas ton chien .... voilà !
Elle dénoue les lacets de son string qu'elle glisse sous le volant de sa robe, puis écarte le haut froncé pour faire de même avec ses "cache téton", et tend l'ensemble encore humide à son chauffeur. Il se frotte les mains et les attrape sans dissimuler son plaisir, la petite est à lui maintenant ! Le bruit des portes qui se déverrouillent invite Élodie à prendre place dans le siège passager, et Romuald s'installe et démarre en ouvrant la capote. Il démarre sur les chapeaux de roue, et avec la fougue de la jeunesse et l'impunité de sa plaque diplomatique, il s'engage sur l'autoroute en quelques minutes, atteignant rapidement les 160, puis les 180kmh.
Alors que la gamine s'accroche à son accoudoir, peu rassurée mais en même temps grisée par la vitesse du bolide, elle sent la paluche du jeune homme glisser sur la peau duveteuse de sa cuisse. Il se tourne vers elle et commence la négociation :
-Bon maintenant qu'on est tranquilles tous les deux, discutons de notre arrangement ! J'te dépose chez toi mais tu m'appartiens pour un mois !
-Eh mais ça va pas ou quoi, j'suis pas ta pute ou ton escorte !
-HAHAHAHA .... Il éclate de rire .... En effet, j'vais pas t’payer !
-Un mois, t'es malade mon vieux ! Même pas en rêve, j'suis prête à tout pour plus r'voir ces crevards, mais faut pas abuser non plus !
-Comme tu veux, sinon, j'te dépose sur l'aire de Beauchêne, y a bien quelques routiers qui rêveraient de "t'accompagner" chez toi !
"Putain le salop, c'est pas vrai !" La gamine est coincée, elle n'a guère le choix, mais elle tente tout de même une négociation :
-Bon ça va, espèce de salop ! J'veux bien mais deux semaines, pas plus!
Sans rien dire, et le regard fixé devant lui, Romuald enclenche son clignotant. En panique, Élodie lit le panneau au-dessus de leur tête <Aire sud de Beauchêne - 2000m> :
-Bon ça va ! ça va ! Trois semaines alors !
Il retire le clignotant :
-Trois semaines mais tu m'suces quand on arrive ! Et c'est moi qui décide où j’crache !
-T'es ouf ou quoi, j'vais pas faire ton vide couilles en plus!
Imperturbable, il enclenche à nouveau le clignotant <Aire sud de Beauchêne - 1000m>. La gamine panique, une aire boisée en plus, "Il peut se passer tout et n'importe quoi là-dedans !» :
-OK OK ! Tu décides ....
-C'est moi aussi qui décide ce que tu portes et interdiction de porter des sous-vêtements !
Le tic toc incessant la stress, elle sent la voiture se déporter sur la droite :
-OK OK j'suis d'accord, mais s'te plaît ....
Et en signe de victoire, le sourire jusqu'aux oreilles, le jeune homme reprend la route normale, puis il glisse sa main sous la robe de la gamine et presse son majeur entre les lèvres gonflées du vagin imberbe :
-Tu vois ? Tu mouilles déjà à l'idée de m’appartenir ! Écarte les cuisses maintenant !
Elle ne veut pas se l'avouer, mais son corps la trahit en effet, lorsque l'adolescente sent le gros doigt boudiner presser l'entrée de sa vulve, une vague de chaleur se propage dans son ventre et elle ne peut retenir un petit gémissement, heureusement couvert par le vent s'engouffrant dans l'habitacle. Le jeune homme entame le dépassement d'une file de semi-remorques :
-Zy-va, cale tes pieds sur le tableau de bord et écarte bien que j'te doigte la chatte !
Le cerveau dans le vague, noyée par un plaisir tabou, la jeune fille s'exécute et lorsqu'elle pose la semelle plateforme de ses sandales sur le vinyle du tableau de bord, le vent soulève le volant de sa robe. Par réflexe, elle attrape le tissu pour le remettre en place mais la voix dures du jeune homme la surprend :
-N'y pense même pas ! Incline plutôt ton dossier vers l'arrière et déballe-moi tes miches ! .... Implorante du regard, elle s'exécute devant l'impassibilité de son chauffeur .... C'est ça p'tite chienne, et pince moi ces gros tétons joufflus ! lui ordonne-t ‘il en la doigtant en profondeur.
Les allers et retour du doigt boudiné dans sa chatte et la montée d'adrénaline et de sérotonine porté par la vitesse et l'exposition de ses attributs font tomber les derniers remparts de pudeur de la gamine qui se laisse aller au plaisir du pistonnage en règle. Elle se mord la lèvre inférieure de plaisir lorsqu'il lui enfonce un deuxième doigt dans la chatte et qu'il accélère le pistonnage.
Élodie, les yeux mi-clos, ne remarque pas que le jeune homme a ralenti pour se mettre à la même vitesse que le premier semi. La tête en arrière, elle se pince, elle tord ses tétons gonflés de plaisir, et remarque à peine le bruit de corne de brume que le routier fait retentir.
-HA HA HA, c'est bien ça ! T'es qu'une chienne qui aime s’exhiber ! Je l'savais ... Tiens lèche moi ça !
Il retire ses doigts trempés de mouille et les porte aux lèvres pulpeuse de la gamine qui les avale et les nettoie sans vergogne, sous le regard ébahi du chauffeur routier. Elle aime le goût métallique de sa cyprine.
Le jeune homme accélère et tout en reprenant le doigtage en règle de la brunette, il dépasse un à un les camions, non sans leur offrir chacun leur dose de spectacle. Mais pour l'heure il lui tarde chez la gamine, qu'il puisse enfin goûter au délice de sentir ces lèvres charnues autour de sa grosse bite.
Vingt minutes plus tard, ils arrivent en trombe aux portes de Paris. Élodie reprend une apparence normale en couvrant son intimités exposée à la vue de tous sous le soleil d'été. Romuald retire son majeur de la vulve détrempée et goute à son tour au doux nectar de la gamine.
-MWAH Putain j'kiffe trop ta mouille !
Renfrognée et déçue de ne pas avoir vraiment jouit, la jeune fille ne lui répond même pas, mais ça n'empêche pas le jeune de faire la conversation.
-.... bon et tu crèches où? conclue-t ‘il.
Elle lui indique la route et le fait se garer dans une petite impasse discrète derrière son immeuble, directement en-dessous de la fenêtre de sa chambre.
-J'parie que tu dors juste là-haut, pointant du doigt la fenêtre du premier étage couverte de deux autocollants hello kitty.
-Ouais pas compliqué à deviner "Sherlock". Ajoute-t ‘elle en lui montrant son sac à dos
-Ouais fait pas ta maligne non plus! lui rétorque le jeune qui à son tour incline son dossier vers l'arrière. Allez ma belle, c'est ton tour de me gâter.
Il croise les mains derrière sa nuque et écarte les cuisses en signe d'invitation. Il est décidé à ne rien faire, elle va devoir se débrouiller seule.
-Tu .... fermes pas la capote? Lui demande-t ‘elle hésitante.
-Pas la peine, j'suis sûr que t'as une réput' de salope dans le coin ! Et bouge toi l'cul sinon, je t'arrache ta robe et j'te laisse en plan ici !
"En tout cas c'est sûr que j'vais en avoir une si on m'coince en train de l’pomper !" Résignée, et tout même un peu exciter à l'idée d'enfin voir à quoi ressemble ce gros morceau de chair formant une grosse boule sous la braguette tendue du jeans, elle déboutonne le pantalon et baisse la fermeture éclair, laissant apparaître les poils pubiens bouclés et noirs.
Elle glisse sa main dans la jambe du pantalon et saisit enfin le braquemart chaud et à moitié bandé du congolais. Lorsqu'elle sort la grosse saucisse mollassonne, elle écarquille les yeux, elle n'a jamais une bite aussi énorme de sa vie, à part sur les vidéos pornos qu'elle matait avec les garçons.
Sa petite main droite faisant à peine le tour du vit de chair, elle commence à l'astiquer, décalottant le gros gland par intermittence.
-Oui, c'est ça p'tite salope ! Branle la bien ma grosse bite de black !
Il grossit et durcit sous les doigts fins de l'adolescente, et le gros gland tuméfié s'extraie lentement de la protection du prépuce. Elle change de main et le branle de la gauche pendant que la droite extirpe ses grosses bourses emplies de foutre du futal.
-C'est ça, continue sale chienne, lèche-moi les couilles maintenant !
La gamine s'exécute, elle se penche sur l'entrejambe et tout en continuant la branlette, léchouille les bourses joufflues qui se rétractent et gonflent encore au contact de sa langue. Se basant sur les vidéos youporn, elle en caresse une pendant qu'elle essaye de gober l’autre :
-Oui vas-y p'tite salope ! Pompe-moi bien les couilles ! .... T'aimes ça hein ? Sales chienne ! .... T'aimes sucer mes couilles de black ?
-HUM HUM ....
-Allez, maintenant suce moi la bite ! lui ordonne-t ‘il en attrapant sa queue et en soulevant le visage de la gamine avec sa main libre.
Il lui plaque le visage sur la longueur de sa verge aux veines saillantes et gonflées. Élodie sort sa langue et la plaque sur la bite pour la lécher de bas en haut, jusqu'à atteindre le frein du gland.
-Pompe moi le gland, p'tite salope !
Et la gamine s'exécute, les yeux mi-clos, elle referme ses lèvres charnues sur le gland d'où perle déjà du liquide séminal. La goutte aux relents salés glisse sur sa langue lorsqu'elle aspire enfin le gland gonflé de désir.
-Ouiiiii .... Oh putain, j'savais que t'avais une bouche de pipeuse ! Allez pompe moi maintenant !
Il l'attrape par la queue de cheval et passe un bras son ventre pour la forcer à genou sur le siège passager. Dans cette position il guide la tête de la gamine en un mouvement brutal de haut en bas.
L'adolescente ne peut pas l'aspirer en entier comme elle le faisait avec ses hommes, il tente tout de même une gorge profonde, chose qu'Élodie n'a jamais faite, mais son gland tape contre la luette de la jeune fille, qui essaye de le repousser avant de lui gerber dessus. Il lui tire la tête en arrière pour la libérer avant qu'elle ne vomisse, un long filet de bave reliant sa bouche à la bite tendue.
-Allez, applique-toi ma salope ! On n'a pas la journée là !
Il plaque son pouce à la base de sa verge, y bloquant le sang et faisant instantanément gonfler encore plus les veines déjà saillantes de sa bite. Élodie emprisonne la queue tendue de ses deux mains et les fait glisser les long de la queue couverte de bave, puis elle reprend le pompage du gland entre ses lèvres.
Alors qu'elle le pompe goulûment, elle sent la paluche du grand black glisser sur son dos et relever le bas de sa robe pour exposer son cul tendu vers le haut. Il glisse ensuite son majeur entre les joues de ses fesses et l'humidifie copieusement de mouille avant de le remonter contre la pastille encore vierge de l'adolescente.
Il s'enfonce lentement en elle, lui arrachant un gémissement de plaisir étouffé. Les bruits de succion de la pipe se mêle au doux suintement de ses muqueuses anales dilatée pour le plus grand plaisir de la gamine. Il ne faut alors que quelques minutes de se traitement pour sentir le gland frétiller et gonfler contre sa langue.
Il est à point, il va bientôt gicler. Mais Romuald ne lui a pas encore dit où il voulait cracher, alors, ne voulant pas le mettre en colère et courir le risque de se retrouver à poil dans la rue, la gamine s'apprête à recevoir la décharge de foutre dans la bouche.
-Oui c’est ça ! Vas-y salope, continue que je crache bien dans ta bouche de chienne !
Et il ne tarde pas à s'exécuter, une première décharge chaude et gluante emplit la bouche humide de la gamine, une deuxième puis une troisième giclée finisse de lui emplir la bouche, ses joues se gonflent sous la pression du liquide visqueux.
Elle recule, bloquant ses lèvres à la base du gland pour ne pas en perdre une goutte, elle reçoit deux dernières doses avant de sentir le dard de chair ramollir dans ses mains. Le jeune hommes la tire à nouveau par a queue de cheval et lui ordonne :
-Vas-y ouvre ta bouche de salope !
Et il la snap direct sans même la prévenir, avant d’ajouter :
-Maintenant avale moi ça, montre-moi que t'es une bonne poubelle à foutre !
Sentant une goutte couler par la commissure de sa bouche, la gamine la récupère d'un doigt pour la remettre en bouche, puis elle déglutit la grosse quantité de foutre que le grand black vient de lui offrir dans un *GLOUP* bruyant. Sans autre forme de procès, satisfait de s'être vider dans la bouche de l'adolescente, le grand gaillard d'à peine 18 ans, ouvre la portière passager et fait sortir la gamine.
-Bon allez bouge ton p'ti cul, j'ai peut-être une chance de me farcir l'autre salope si j'mets les bout ! File-moi ton 06 et ton snap, je t'enverrai des tof' des tenues que tu porteras tous les jours et tu me montreras s'que t'auras sur le cul que je te donne le programme de chaque journée.
La gamine lui donne accès à ses comptes avant de sortir du bolide, encore un peu secouée de ce qui lui arrive, et il conclue avant de partir faisant crisser se pneus :
-Ah et demain, j'fais une soirée avec quelques potes, tu ramèneras ton p'ti cul d'blanche qu'on s'éclate un peu. Mets un truc bien sexy, tu m'enverras une tof' que j'valide, et je te donnerai l'adresse. Et n'oublie pas, à poil en dessous ! HA HA HA HA HA ....
Désemparée, incapable de bouger, la gamine sent le vent balayer la base de sa robe, se demandant dans quel pétrin elle ventait de se fourrer : "Trois semaines à supporter ce gros porc, putain!" Mais elle ne peut pas non plus renier le plaisir qu'elle vient de découvrir à se faire maltraiter comme la dernière des traînées. Pour l'heure, elle n'a qu'une envie, retrouver sa douche, sa chambre, son lit, .…
***
Seule, le goût doux/amer du sperme du black encore en bouche, la gamine rentre chez elle. Elle tourne la clé, passe le pas de la porte et manque de se vautré par terre, elle vient de glisser sur une feuille A4 est posée à même le sol. Intriguée, elle s'accroupit pour la ramasser. Visiblement, quelque chose est imprimé sur l'autre face. Fébrile, l'adolescente retourne le papier, c'est un montage de deux photo ....
********************
Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers : Silveradd
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Shazam4577
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...