Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 6

- Par l'auteur HDS Shazam4577 -
Récit érotique écrit par Shazam4577 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 6
Le soleil darde ses rayons salvateurs sur la peau de la jeune Élodie qui se réveille encore enivrée de son escapade burlesque de la veille avec Serge, le voisin au chien. Pourtant, la peau de son visage couverte de sperme desséché la tire, et elle meurt d'envie de prendre une bonne douche salvatrice avant de s’enfiler une bonne tasse de café bien chaud, mais ses yeux pétillent encore sur le gros gode ventouse toujours planté fièrement sur la baie vitrée la surplombant.

Allongée sur le plaid étalé à même le sol, la gamine promène son doigt le long de la fente de son vagin étroit. Lovée comme une petite chatte sur sa couverture, profitant de la chaleur qui lui caresse le corps, la brunette repense à son retour de la "promenade canine", encore euphorique ce cette expérience unique, des odeurs de sexe et de foutre plein les narines, elle jouait avec les ombres projetées sur son plafond, secouant ses gros nibard dans ses mains fines. Le souvenir encore trop présent de toutes ses bites inconnues, elle matait l'ombre de la grosse bite ventouse contrastant avec la sienne.

Curieuse de ressentir à nouveau la présence malsaine du congolais, elle l'imaginait présent dans son appart' coucher à ses côtés, et la lumière de son smartphone projetant l'ombre de sa grosse queue. Son index droite avait instinctivement trouver le chemin de sa grotte à plaisir et commençait à caresser sa vulve encore détrempée et ouverte de la baise de Serge. Elle n'avait qu’à tendre la main gauche pour attraper la grosse bite.

Elle ne mit pas longtemps à fourrager son majeur au fond de son minou humide, aspirant le gros gode entre ses lèvres, allongée le dos cambré sur le canapé. Tournant légèrement le visage sur la gauche, le regard à moitié dans le vague, elle crut apercevoir un rideau se refermer, mais elle s'en foutait, toute prisonnière qu'elle était par son plaisir charnel. Après quelques minutes de simulacre de pipe, la jeune fille, féline, se promène à quatre pattes dans le salon tirant le plaid avec elle, et n'oubliant pas le gros gode ventouse, elle se dirige vers la porte fenêtre coulissante au milieu de la pièce.

Le souffle chaud et le cerveau noyé par un nouveau plaisir insidieux, elle humidifie la base de la ventouse avec sa propre mouille et la plaque d'un grand *PLAC* contre le vitrage. Lorsqu'elle libère la grosse tige de latex, elle est hypnotisée par le balancement lancinant du gros gland proéminent. Les petits pieds recroquevillés sous son bassin, à genou devant son nouveau jouet, les mains plaquées au sol, la gamine ouvre la bouche et saisit le gland au vol. Elle aspire l'objet, s'imaginant soumise au géant africain.

Elle suce, avale, pompe la grosse bite aussi loin qu'elle le peut, délirant les ordres insultants de Romuald "Suce moi bien salope !", "C'est ça espèce de chienne blanche, avale ma grosse bite de queubla!", "Tu l'aimes ma bite ? Hein, sale chienne ?" L'adolescente gémit la bouche pleine, elle détend au maximum sa gorge, essayant de ressentir les impressions que le pincement de nez lui avait procuré un peu plus tôt, et luttant une nouvelle fois contre le haut le cœur, elle parvient à planter le gros gland au fond de sa gorge.

La luette passée, elle s'avance encore, enfonçant toujours plus loin la grosse tige. Plantée à fond sur la fausse bite, Élodie avait attrapé son téton droit entre son majeur et son index, le tiraillant pour le faire grandir, pendant qu'elle se caressait la vulve de la main gauche. Les yeux mi-clos, elle observait, absente, le rideau du deuxième étage, elle en était sûr, quelqu'un l'observait, ce qui alimentait étrangement sa libido. Elle entama alors une longue et trèèèès profonde fellation, sa toute première véritable gorge profonde.

La bite factice brillait dans la pénombre, couverte de la salive abondante de l'adolescente. Elle se donnait en spectacle, protégée derrière l'écran transparent de la fenêtre, comme une pièce de musée à l'abri dans sa cage de plexiglas, à la vue de tous, et pourtant inaccessible. La mâchoire endolorie par toutes ses pipes récentes, Élodie régurgita la grosse queue, non sans un dernier haut le cœur, mais un filet de bave brillante pendouillant entre la commissure de sa bouche et le bout de la fausse bite.

Comme si elle se donnait en spectacle, la gamine s'était alors retournée avec grâce et avait présenté son cul offert, la tête sur le sol, le cul cambré au maximum et guidant des doigts le gland de latex à l'entrée de sa petite chatte d'adolescente. Serge l'avait trouvée étroite malgré sa bite normale, pourrait-elle se planter sur la grosse queue sans se déchirer ? Cette perspective la stressait mais elle la galvanisait en même temps, se faire perforer par la même bite qu'avait pu enfourner cette salope de Béatrice.

Gagnée par l'excitation de pouvoir encaisser le gros sexe, Élodie avait alors commencer à se doigter et à se masser la chatte du bout du gland artificiel. A chaque frottement, elle poussait sur ses muqueuse ouverte et tendue pour s'empaler sur la grosse bite. Le souffle court et chaud, la gamine ne se contenait plus, et lorsqu'elle sentit la grosse boule s'ancrer en elle, son bassin pris le relais et ondula par reflexe pour s'enfiler sur la grosse tige.

Élodie se rappelle encore la sensation exquise du gros gode écartant ses muqueuses gonflées de sang et de plaisir. Elle s'était mise à osciller du bassin en "twerkant" comme une grosse black, les lobes de ses fesses largement écartées par la cambrure exagérée de ses reins. Mais elle n'avait pas la chatte assez profonde pour prendre le gode sur toute sa longueur, et elle s'était contentée de s'empaler sur la moitié.

Et ce matin, elle se doigte en douceur, en profondeur, les jambes écartées au pied de son nouvel amant de latex, tout en caressant voluptueusement sa poitrine généreuse. Un coup d'œil vers la fenêtre du deuxième étage, mais ce matin le rideau reste fermé. Un peu déçue, la gamine se fait tout de même du bien en repensant aux inconnus du petit sous-bois, mais elle ne veut pas se faire jouir, pas maintenant, elle s'attend à ce que son corbeau ou son grand renoi lui fasse découvrir de nouveaux délices charnels.

Élodie sombre de nouveau dans un sommeil profond et n’émerge pas avant 10h00, son second sommeil peuplé de rêves érotiques. Lorsqu’elle se réveille en sursaut, ses songes charnels s’estompent, seuls restent les sueurs sensuelles, les tétons gonflés de désir et sa chatte encore détrempée. L’adolescente inquiète vérifie son portable, mais aucun message de ses bourreaux. Ça devrait la rassurer, mais une pointe de déception la gagne tout de même, c’est qu’elle prend goût à tous ces nouveaux plaisir qu’elle apprend à dompter petit à petit.

Mais une autre réalisation la prend à la gorge : “Putain, les livraisons!” C’est que les affaires continuent même si ces parents se prennent un peu de bon temps ce week end. Le sang ne fait qu’un tour dans son corps, elle file sous la douche, et une fois le corps revigoré, et parfumé de sa crème réparatrice, elle file dans sa chambre, traversant sans plus aucun complexe les baies vitrées du salon. Pour aujourd’hui elle choisit un me petite jupe fourreau en matière très élastique, et cache sa poitrine en rabattant le bandana en une bande de 5cm qu’elle attache dans son dos d’une boucle simple.

Les anglaises brunes librement relâchés sur ses épaules, elle passe un trait d’eye liner pour souligner son regard, place ses lentilles de contact et couvre ses lèvres pulpeuse d’une couche de gloss rose. Ses Adidas préférées au pied, elle fonce au magasin, sans oublier le snap de Romuald, un cliché pris sur le palier, en trois quart arrière, la jupe relevée découvrant son joli cul nu. Élodie dévale l’étage qui la mène dans la cour centrale, son linge encore pendu sur le fil de séchage. “Merde le linge” réalise la gamine qui aperçoit la porte du stock entrouverte.

Inquiète, elle ouvre doucement la porte en bois et s’aventure dans la pénombre du cagibi :
-Hello ? Y a quelqu’un ?

Et sortant de nulle part, flanquant une frousse magistrale à la gamine, apparaît le grand Raphaël et sa chemisette hawaïenne improbable à moitié débraillée dans son short bleu et blanc des années 80. Surprise, la gamine manque de tomber à la renverse. Elle recule de deux pas et se retiens de justesse à une pile de cagettes pleine de concombres. De colère, elle frappe le torse du livreur :
-Mais t’es con, putain !

Le grand échalas éclate de rire en attrapant le petit poing fermé :
-J’ai gagné mon pari on dirait !

Incrédule, Élodie le regarde interrogatrice et Raph s’explique :
-Avec ton père .... J’avais parié que tu louperais les horaires de livraison, du coup j’ai décidé de passer, et j’ai bien ....

Il hoche la tête sur le côté, et son regard maintenant adapté à la pénombre, descend sur la naissance de la jupe retroussée de la gamine :
-Faiiit .... Mais attends viens un peu ici p’tite salope !

Et d’une poigne de fer, il l’attire à lui, la retourne et glisse une main entre ses cuisses duveteuses. Il remonte lentement sous la jupe et appuie un doigt sur la vulve dénudée de l’adolescente :
-Mais dis-moi, on met plus d’culotte on dirait ?

Il appuie son majeur entre les lèvres encore gorgées de mouille :
-Putain et tu mouilles comme un chienne en plus!

Élodie fond sous la caresse inattendue, elle ne peut retenir un petit gémissement de plaisir. Saisissant l’opportunité le livreur enfonce son doigt dans les muqueuses offertes et de sa main libre empoigne un des gros seins de la petite.

-Ouuuuhhh ....

Élodie, encore chaude et en manque ferme les yeux et se cambre sous la caresse inattendue. Mais, réalisant que son tortionnaire n’est autre que ce grand connard, elle lutte pour reprendre le contrôle. Dans grand coup de coude dans les côtes, elle surprend le gaillard qui lâche prise. Elle en profite, se dégage, lui fait volteface et dans une colère simulée :
-Mais dégage putain ! Tu fais chier ....

C’est ainsi que, les jambes flageolantes, et le cœur battant dans ses tempes, elle se barre sans demander son reste, claquant la porte en bois derrière elle. L’adrénaline l’aide à traverser la cour et à remonter les escaliers pour retrouver un peu de secours dans l’appartement. Adossée à la porte fermée, la gamine tente de calmer les pulsions déclenchées par le livreur. Elle sent encore son doigt lui écarter les chairs, lui tirer ce petit gémissement de plaisir, “Mais putain, qu’est-ce qui m’arrive ? C’est pas possible !” Comme un rituel, la jeune fille tire sur la ficelle du bandana qui choit à ses pieds, et tire sur la jupe élastique qui rejoint le bout de tissu roulé.

*PING* c’est son corbeau <belle initiative hier soir !> Le message est accompagné de deux clichés haute définitions sur lesquels on aperçoit l’adolescente à peine éclairée en contrejour, sucer et s’empaler sur son gode ventouse. “Le chien putain !” Le moment de surprise passer, Élodie tente d’analyser l’angle de la prise de vue. Pas facile vu que les photos ont dû être prises au téléobjectif, mais ça pourrait provenir du voisin du troisième, un informaticien trentenaire si elle ne se trompe pas. Le portable vibre alors, sortant la gamine de sa réflexion : <hôte moi ces baskets pourries, je préfère tes plateformes et tes talons aiguilles.

“Putain il en a jamais assez, c’est pas vrai !” La brunette déchausse ses Adidas et enfile une paire d’escarpins blanc plateforme et ouverts sur ses petits orteils, et fermés d’une fine lanière à la cheville. Elle se redresse sur ses talons aiguilles de 8cm en ramassant ses fringues. Elle remarque alors la petite carte manuscrite : c’est un 06 et un message <envoie-moi ton péri, j’ai bien aimé ton petit show d’hier, le voisin derrière son rideau :)> “Bon ben v’là ma théorie !” Il ne peut pas être son corbeau. Mais sa chatte la titille encore, et pourquoi pas, l’idée d’un petit show privé ne lui déplairait pas ! Un peu anxieuse de laisser un nouvel inconnu, elle envoie son pseudo periscope au voisin et file dans le salon plongé dans la pénombre des volets entre fermés.

Soudain son téléphone sonne, le voisin l’appelle ? Interrogative elle répond :
-Oui ?

-Salut, alors prête pour un nouveau show ?

-Ah ben tu vas droit au but dis-moi ?

-Ouais j’suis comme ça ! J’ai bien aimé ta performance hier soir et du coup ça m’a bien inspiré !

-OK ?

-Tu vas mettre tes earbuds et je vais te diriger, ça te tente ?

-Ben .... euh .... ouais pourquoi pas!

-Tu vas démarrer ton periscope et t’installer les jambes ouvertes en face de ta baie vitrée ouverte, mais tu gardes bien tes volets fermés.

-Hum .... tu sais c’que tu veux hein? Lui répond-elle taquine.

-Ouais t’inquiètes, et t’as un gode .... il pause, réalisant le stupidité de sa question .... enfin j’veux dire, un normal?

Elle éclate de rire “Ouaip définitivement pas mon maître chanteur !”:
-Ouais attends ....

Elle écarte la table basse, pose un coussin devant la porte fenêtre, attrape son gode à manche, et ouvre en grand les battants de la baie coulissante. Les bruits de la ville s’engouffrent alors dans l’appart’ jusqu’alors silencieux. Elle positionne ses earbuds et démarre son peri.

-Ça y est je te vois, putain qu’est-ce que t’es mignonne !

Elle rougit, un tantinet gênée, et il enchaine :
-Je suis tout excité c’est la première fois .... mais juste change de caméra, on voit presque rien sur la frontale!

La gamine s’exécute, elle aussi est toute excitée, et l’anonymité du dos du portable plutôt que la vitre, rend les choses encore plus excitante pour la brunette, dont le ventre est déjà en train de s’enflammer. Elle pose le smartphone à la verticale en face d’elle et positionne son petit cul sur le coussin en écartant bien les jambes pour son spectateur. L’imaginant en face d’elle, elle lui lance un petit sourire coquin et commence à se caresser le corps de la main droite, le buste légèrement cambré en arrière et en appui sur son bras gauche.

Elle incline un peu le visage en avant et sur le côté, puis mord sa lèvre inférieure, gagnée par un léger plaisir naissant entre ses cuisses bouillantes. “Ce connard de Raph m’a bien chauffé !”
-C’est ça ma belle ! Caresse-toi bien !

La voix dans ses oreilles rend le show encore plus personnel :
-Tu aimes ce que tu vois mon cochons, hein ?

-Ouais, t’es trop bandante, espèce de p’tite salope !

Les insultes l’excitent encore plus, elle glisse ses doigts le long de sa chatte et écarte ses lèvres humides :
-Elle te plaît, hein ? Ma petite chatte trempée, tu veux la bouffer, hein ?

-Vas-y branle toi p’tite trainée !

Obéissant à son “client” elle enfonce un doigt dans sa chatte, le ressort, commence à se doigter en douceur, lancinante, le regard gourmand vers la caméra :
-C’est ça p’tite pute branle toi bien ! .... Elle accélère et commence à gémir .... Maintenant suce ton doigt !

Elle lui sourit, tentatrice “Un p’tit cochon !” Elle ouvre sa bouche gourmande, sort sa langue, et glisse son doigt humide le long de sa langue en gouttière, et goutte sa mouille au goût métallique.

-Suce bien, pompe bien ! .... Mets un deuxième doigt et lubrifie-moi tout ça !

Elle s’exécute et commence à baver abondamment sur ses deux doigts :
-Maintenant branle toi, plante tes deux doigts dans ta petite chatte de pute !

Sous la direction du voisin, la gamine se doigte maintenant la chatte, mais elle en veut plus, elle s’allonge sur le parquet froid et cambre ses reins autour du coussin, sa main gauche libérée, elle commence à caresser son sein, et à jouer avec son téton gonfler tout en se doigtant en profondeur.

-Hun .... Ouiiii .... Elle halète de plaisir quand elle réalise qu’il y a du bruit dans la cour.

Elle est sur le poing de tout arrêter quand la voix de son oreille l’en empêche :
-T’arrêtes pas salope ! Continue d’astiquer ta chatte, plus vite !

Elle pourrait tout arrêter et envoyer chier ce connard, mais son corps ne l’entend pas de la même oreille. Prise dans son délire elle se mord la lèvre et tente d’étouffer ses cris de plaisir. Et au lieu de ralentir pour se toucher en silence, l’adolescente accélère encore le mouvement. Les voix masculines reprennent leur conversation, sans se douter qu’une gamine à poil se doigte au-dessus de leur tête :
-Hun .... Hun .... ah ah ah ....

Les cris étouffés, la respiration saccadée elle continue de se branler comme une dingue, le plaisir montant encore d’un cran dans son ventre et dans ses reins.

-C’est bien ça, t’es une bonne petite salope hein ? Dis-moi que t’es une bonne petite salope !

Dans une toute petite voix et entre coupé de halètements de chienne en chaleur elle lui répond dans un chuchotement à peine perceptible :
-oui .... ah ah ah .... je suis une petite salope!

-Maintenant, branle-toi bien le clito et caresse toi avec ton gode, glisse le bien le long de ta fente, mais ne le plante pas encore !

“Le chien, putain, il en profite !” Les yeux mi-clos, embrumés de plaisir, la gamine s’exécute, elle roule son clito entre ses doigts à plat sur son pubis, puis fait glisser langoureusement le bout du gode le long de ses lèvres luisantes. C’est délicieux, elle doit se retenir de crier et il l’empêche de soulager son besoin de jouir. Elle l’implore dans un chuchotement :
-Pitié laisse-moi jouir putain ! Hun .... Elle étouffe un nouveau cri en se mordant la lèvre.

-Tourne un peu ton cul et doigte toi le cul, sale chienne ! Et me dit pas s’que tu peux faire ! Frotte ton clito et doigte-toi la pastille, pus vite !

Aux abois, la gamine roule la tête de la bite en latex contre son bouton gonflé de plaisir, et se doigte l’anus, elle qui ne pensait jamais se faire sodomiser, c’est la deuxième fois qu’elle prend son pied un doigt dans le cul. Elle cambre sa voute plantaire écarte au maximum sa cuisse pour prendre son pied, et bien qu’un plaisir sourd lui traverse le corps par vagues de chaleur, il l’empêche de jouir. Et les connards de la cour qui sont toujours là : “putain!”
-Allez maintenant p’tite salope ! Plante-toi bien cette grosse queue dans ta chatte en chaleur !

La déferlante de jouissance est instantanée, elle plante le gode veineux dans sa bulve gonflée de plaisir, ses muqueuses aux abois aspirent le manche en elle.

-hun .... ah .... ah ....

Haletante, les sens aux abois, la gamine plante le gode au fond de sa chatte détrempée et se branle violemment, claquant le plat de la main contre son clito gorgé de sang à chaque pénétration violente. Des bruits de claquement humides envahissent le salon saturé d’effluves sexuelles. Sa chatte se contracte de plaisir à chaque coup de bite, éclaboussant le parquet et le smartphone de jets de cyprine.

La petite jouit violemment une puis deux puis trois fois, étouffant ses cris de la main plaquée sur sa bouche. Les larmes coulent de ses yeux sous les vagues de plaisir incontrôlables. Son corps se cambre violemment lorsqu’une nouvelle vague de plaisir sourd éclate dans son ventre en une nouvelle explosion de cyprine chaude.

La gamine s’écroule, exténuée, soulagée, pantelante, haletante, le regard noyer de larmes de plaisir.

-Eh ben ma salope !

-Oui .... humph humph .... Elle peine à retrouver sa respiration, le gode encore planté en elle.

-Maintenant caresse toi avec ton jouet, fais-nous rêver !

“Nous ?” Coquine, elle regarde la caméra, retire-le gode veineux de sa vulve détrempée, et le glisse langoureusement sur son ventre plat. Une idée lui vient en observant la tige luisante et dégoulinante de mouille, elle la glisse entre ses seins, qu’elle caresse et pince à pleine main. Le regard gourmand, elle se mordille la lèvre et porte le chibre dégoulinant à sa bouche. Penchant la tête en arrière, elle le gobe intégralement forçant légèrement le passage de sa luette détendue. Les idées un peu plus claires, alors qu’elle pompe allègrement le chibre couvert de ses jus intimes, elle reconnaît la voix rocailleuse de Mr. André qui discute encore avec Raphaël. La gamine réalise avec gourmandise qu’ils ont été les témoins de sa jouissance sans même le savoir, déclenchant une nouvelle vague de plaisir au fond de son petit être.

-Eh ben ma cochonne, quel spectacle ! Merci ma belle !

-Mais de rien !

Elle attrape vite fait son smartphone et comprend mieux pourquoi ce salaud voulait qu’elle le retourne, un dizaine de pseudo se déconnectent simultanément sauf celui de son voisin. Elle inverse à nouveau la caméra et dans un sourire complice elle conclue :
-Salop va !

***
*BOUM BOUM BOUM* Élodie est réveillée par un vacarme assourdissant, elle sursaute le corps engourdi. Après sa petite séance peri, la gamine s’est effondrée de fatigue sur le parquet humide de cyprine. Toute ankylosée, elle étire ses membres endoloris, réalisant le bordel sur la table du salon et devant elle.

-Elo ! Elo ! .... Tu fous quoi, putain ?

“Mais c’est Enzo !” Qu’est-ce qu’il fout chez elle ?

-Dégage Enzo ! Fait pas chier !

-Mais qu’est ce qui t’arrive ?

“Et Quentin ?” *PLOP* Elle arrache le gros gode encore ventouser à sa fenêtre, ramasse le plus petit tâché de cyprine mélanger à sa bave, récupère ses fringues et balance le tout dans la salle de bain, mais conserve le bandana qu’elle replace sur sa poitrine. Dans la panique, elle roule un peu trop le losange de tissu dont la bande finale d’à peine 2cm de large couvre à peine ses gros mamelons. “Chier pas le temps” :
-Qu’est-ce que vous m’voulez putain ! Crie-t ’elle en claquant des talons aiguilles dans le salon.

Elle file dans sa chambre enfiler le micro string hello kitty rose : “Merde putain l’est serré celui-là !” La pointe du triangle de tissu s’enfonce légèrement dans sa vulve, marquant le fin tissu de la fente et des deux bosses de ses lèvres vaginales charnues.

-T’as disparu sans rien dire hier ! Romu nous a dit que t’étais pas bien, on s’inquiétait !

“Mathieu aussi ?” Le trio est au complet, la gamine attache ses cheveux et se précipite dans le couloir, marquant une pause derrière la porte pour reprendre sa respiration et ses esprits. Fronçant le visage en une moue mécontente, la gamine au visage de poupée ouvre la porte.

Les garçons écarquillent les yeux, un peu surpris par la tenue inhabituelle de l’adolescente. Elle les confronte du “haut” de son mètre cinquante-six “perchée” sur ces talons aiguilles de 8cm :
-Bon vous voyez ça va ! Maintenant lâchez moi !

-Attends attends .... minute cocotte! Enzo s’invite chez elle sans attendre d’invitation, suivi par ses deux collègues. Qu’est-ce qu’on a fait ?

-Tu déconnes j’espère ! Vous partousez l’ot’ pute là, m’abandonnant à moitié à poil dans les pattes de ce gros porc attardé de Romu qu’est encore en seconde à 18 piges !

-Roooo ça va fait pas ta prude ! Elle nous a chauffé comme une chienne tu voulais qu’on fasse quoi ? C’est tous les jours qu’on peut farcir une chaudasse de ce calibre !

“Et moi ?” Crève-t ’elle d’envie de leur répondre :
-Bon ptêt’ .... Finit-elle par répondre en se calmant .... Mais me lâchez plus bande de salops !

L’abcès crevé, Enzo, toujours à son aise partout où il est, file dans la kitchenette et fouille le frigo:
-Bon tu payes ta bière ?

Et Quentin qui tire sur la corde des volets roulants pour faire entre la lumière, dévoilant le cercle de mouille là où trônait le gros gode ventouse :
-T’es au couvent ou quoi ?

“S’il se doutait !” Sourit-elle intérieurement, un nœud de désir se formant dans son ventre à l’idée du gros sexe ventousé. Mathieu et Quentin se vautrent dans le canapé invitant la gamine entre eux pour lui montrer les vidéos tournées la veille. Mais Enzo préférant l’intimité de la gamine les “invite” à le suivre dans le couloir menant dans la chambre à coucher rose et tapissée des restes pré pubère de l’adolescente.

-V’nez on va squatter sa chambre plutôt !

*CLAC*
-Allez ramène ton p’ti cul .... Enzo, sans complexes claque les fesses dénudées de la gamine qui le précède .... T’es bandante à souhait quand t’es au calme, tu t’promènes toujours à moitié à poil chez toi ?

-Qu’est-ce que ça peut t’foutre comment j’me promène ?

-HA HA HA .... c’est ton daron qui doit s’rincer l’œil, renchérit-il.

Avant d’entrer dans la chambre de la gamine, le portugais, décidément en forme cet après-midi, continue sur sa lancée taquine, et tire sur le lacet du bandana qui se fait la malle. Élodie le rattrape de justesse en hurlant :
-Putain Enzoooo .... Et elle le course, perchée sur ses talons, la main maintenant difficilement le bout de tissu glissant.

Indifférent à la détresse de la gamine, le brun trapu se vautre de tout son poids sur le lit encore défait. Renfrognée de s'être fait bernée, l'adolescente lui saute sur le bide pour le taper de son petit poing serré, sans vraiment lui faire le moindre mal.

Morts de rire, les deux autres compères suivent leurs camarades dans la petite pièce sombre. Mathieu ouvre la fenêtre et le volet de métal avant de s'assoir au bureau de la gamine. Il attrape une petite horloge et interroge l’adolescente :
-Tiens, c'est nouveau ça ?

La gamine se retourne, abandonnant temporairement son "combat" avec le portugais, et tout en rattachant son lacet, elle ne reconnait pas l'objet. Distraite, à califourchon sur le portugais, elle ne réagit pas quand Enzo l'attrape par les bras et se retourne, l'immobilisant devant lui. Il maintient ses poignets dans son poing fermé en une double clé de bras.

-Putain, Enzo lâche moi ! Aboie-t ‘elle en se débattant.

-Et si on s'amusait un peu avant ?

Élodie sent alors le lacet se tirer, se détendre dans son dos, Enzo, toujours taquin, tire lentement sur le lacet :
-Alleeeez lâche moi connard ! Et elle se débat comme elle peut, quand Mathieu prend enfin la parole :
-Bon allez, arrête de la faire chier !

-Ok Ok c'est bon, si on plus s'amuser ....

-C'est bon, j'suis pas ta pute non plus! Lui sort elle furax en vérifiant son lacet qui est toujours en place.

La tension redescend rapidement entre les quatre amis qui ont l'habitude de l'humour spécial du portugais. Ils se retrouvent tous sur le lit de la gamine, dégainant leurs phones tour à tour pour faire vivre à la jeune fille les événements marquants de la veille. Fiers comme des pans, ils lui montrent les vidéos de la baise en tournante de la salope de Béa.

-Putain qu'est-ce que vous lui mettez bande de salops !

-Et attends t'as pas tout vu ! Lance Enzo qui dégaine à son tour. Ça c'est quand les potes de Romu sont arrivés !

Il lui montre un petit film de Béa allongée en train de bronzer, endormie et nue sur son transat, et Romu, apparemment rentré de son escapade parisienne, qui accueille quatre mecs taillés come des rugbymen. Ils plaisantent et se font l'accolade, le grand black les introduit au groupe et à Béa qui sort de sa torpeur, couvrant son intimité d'une fausse pudeur.

Les cinq amis ignorent rapidement le trio et se dirigent vers la blonde qui tente de se couvrir avec une petite serviette de bain. La vidéo s'arrête soudain :
-Oh ben c'est tout ? S'indigne la petite brune.

-Attends, attends c'est pas fini, j'ai posé mon phone vers eux pendant qu'on allait se prendre un verre à l’intérieur !

En effet, il démarre une autre vidéo, prise en plan fixe serré; un grand chauve se tient derrière Béa, son gros bras droit interlocké entre les bras fins de la blonde en clé de bras, lui maintien la tête penchée sur le côté pendant qu'il lui baise le cou. Un deuxième lascar se tient devant elle et la claque sans ménagement sur la joue, courbé en avant, le bassin collé à sa chatte et baladant sa main libre sur le corps nu de la belle.

Romu, indifférent, discute tranquillement avec ses deux autres potes alors que le mec devant Béa la soulève par les genoux en lui écartant les cuisses après avoir sorti sa bite bandée, qu'Élodie devine être d'un beau calibre. Elle observe la blonde se cambrer alors qu'il se plante en elle d'un trait. La violence du coup titille les sens d'Élodie, sa chatte commence à fondre contre le tissu rose de son string, une chaleur sourde nait au creux de son ventre noué.

Elle entend Béa gémir sous les coups répétés du géant musclé, qui se retire au bout de quelques minutes. Son collègue chauve libère la blonde et l'agenouille entre eux. Élodie peut voir les deux bites tendues devant le visage de la blonde qui les attrape et les gobe l'une après l'autre en les branlant. Romu fait mine de se retourner et invite ses deux potes à se joindre au trio.

Un gros brun l'attire à lui, mettant fin à la double fellation, il la projette sans ménagement contre le transat. Béa se rattrape de justesse, les mains plantée sur l'assise, le cul tendu en arrière. Le brun l'attrape par le bassin pour la maintenir dans sa position, et de sa main libre, il libère sont chibre qu'il enfonce brutalement arrachant un cri à la jeune blonde.

-Vas-y ferme lui sa gueule à s'te pute ! Braille le gros brun à son collègue.

Le quatrième larron lui tire les cheveux en arrière et plante sa bite dans la bouche ouverte, étouffant la complainte de la gamine. Les deux mastodontes soulèvent la blonde et la mettent à quatre pattes sur le transat. Le brun se retire, place ses mains sur les fesses dodues et les écarte le plus largement possible. Élodie se voit à la place de la salope blonde, elle sent presque les mains lui écarter les fesses, tendant sa peau douloureuse.

Lorsque le molosse s'enfonce d'un coup dans la pastille dilaté de la blonde, l'adolescente comprend pourquoi elle gueule depuis qu'il la monte. Il la sodomise à sec sans même avoir lubrifier sa bite. il lui claque violemment les deux fesses à tour de rôle, et l'insulte en la sodomisant avec force. Il lui soulève ensuite la cuisse gauche pour la prendre bien en profondeur, lui arrachant de nouveaux cris étouffés. Son collègue se retire de la bouche qu'il baise depuis quelques minutes, il fait le tour et décule la gamine pour que le brun s'allonge à plat dos sur le transat.

Son pote soulève la blonde comme une poupée de chiffon et l'installe au-dessus de la bite tendue en l'air. Le chauve guide sa bite dans l'anus, qu'Élodie devine douloureux, mais à la surprise de la brunette, Béa ancre ses pieds de chaque côté des cuisses musclées et se plante d'elle-même d'un trait sur le chibre tendu. Le deuxième homme lui écarte les cuisses et se plante dans sa chatte, la prenant en double brutale, pendant que les deux derniers compères lui offre leur bite à sucer.

La brunette aux anglaises de poupée, sent sa chatte fondre, elle sent presque les bites la pénétrer, les mecs lui biffler les joues dodues, les va et vient dans chacun de ses trous. Nouveau changement de positions, ceux qu'elle suçait la soulève sans ménagement et un des gars se colle derrière elle lui plantant apparemment la bite dans le cul. Il la soulève par dessous les genoux et offre la belle à son collègue qui se place devant elle et rejoint son pote dans la pastille distendue de la blonde.

-Putain, double anale ! Elle a peur de rien s'exclame Élodie, qui sent sa chatte la démanger de plus en plus.

-Ouais et regarde comment ils la secouent c'te pute !

En effet, ils la prennent sauvagement, comme des brutes. Les plaintes de la jeune filles trahissent une jouissance douloureuse. Élodie se demande ce que doit ressentir la jeune salope. Elle se voit presque à sa place, se faire ramoner de la sorte comme la dernière des trainées, les mecs ne se sont même pas présentés, ils n'ont pas cherché à connaître la belle, ils se sont contentés de se servir, de la sauter les uns après les autres.

Ils la lâchent enfin, Béa s'effondre de fatigue sur le transat. Le chauve s'accroupit devant elle, écarte ses cuisses désarticulées, et lui baise maintenant la chatte sans aucun ménagement. Il ne cherche pas à faire jouir la blondasse, Béa n'est plus qu'une chienne, bonne à assouvir ses propres désirs. Il attrape ses gros seins le malaxe, les claque, les pinces, pendant que les quatre molosses discutent et boivent à leurs côtés.

Il se retire, et rejoint ses potes, pendant que le brun repart à l'assaut de la blonde. Il la met à quatre pattes, lui plaque le visage dans le treillis du transat, lui aboie de cambrer son cul avant de la baiser comme une chienne. Il lui claque la fesse gauche à plusieurs reprises, arrachant des cris à la trainée qu'il baise sans retenue. Les cris de Béa font étrangement écho aux rires des quatre amis qui trinquent et s'esclaffent à l'arrivée du trio.

Le chauve fait l'accolade à Quentin l'invitant à monter le son. Le jeune DJ disparaît et le son et les lumières reprennent dans la pénombre du crépuscule. Les jeux de couleurs donnent une nouvelle dimension à la baise continue de la blonde. Chacun leur tour les nouveaux arrivant, baisent, sodomisent, bifflent la jeune pute du lycée. Il se font sucer à tour de rôle, s'enfonce en gorge profonde en elle, mais aucun ne faiblit, s'arrêtant apparemment à chaque fois au bord de l'explosion à en juger par les râles qui éructent d'eux à chaque changement de rotation.

-Putain t'aurait dû voir ça ! C'était hardcore ! Interrompt Enzo, qui stoppe la vidéo, au grand désarroi de la brunette. Heureusement que t'es partie je crois !

-Direct, quand on s'est barré une heure plus tard, ils avaient toujours pas craché !

Et Quentin conclue avec un snap que leur a envoyé Romu ce matin :
-Ça c'est apparemment Romu vers une heure du mat'
La gamine reconnait le monstre de chair du congolais, il crache la purée sur le visage couvert de foutre de Béa, en rigolant et insultant la gamine :
-Tiens sale chienne, prends mon sperme de black dans ta face !

Élodie est perturbée par le spectacle auquel elle vient d'assister, elle se languit de la grosse pine, mais inquiète de ses propres réactions, elle en a même des papillons dans le ventre, et sa chatte qui la démange comme jamais. "Mais qu'est-ce qui m'arrive putain !"
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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers : Silveradd

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Texte coquin : Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 6
Histoire sexe : Une rose rouge
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