ELODIE, SOUMISE MALGRE ELLE (episode 3)
Récit érotique écrit par Zalava [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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ELODIE, SOUMISE MALGRE ELLE (episode 3)
2 jours plus tard.
Je décide d'aller chez Elodie à l'improviste. Il est 18h30. Je frappe à sa porte. Dans son regard je lis la surprise, la gène peut-être aussi.
Elle reste immobile sur le seuil de la porte.
-Tu m'invites pas à entrer ?
-Je suis pas seule
- C'est qui ?
- Une copine
- Qu'est ce que t'attend pour me présenter ?
Elle n'a toujours pas bougé. Je m'approche d'elle et pose mes lèvres sur les siennes. Mon baiser la surprend mais elle s'y abandonne, ose me prendre dans ses bras, s'y blottir. Nos langues se trouvent. Je la laisse profiter de l'étreinte.
Le baiser prend fin. Je la laisse refermer la porte d'entrée, pose ma saccoche et me dirige vers le salon. La copine est installée sur le sofa. Elle me lance un boujour et se lève. Elle est brune, filiforme, souriante. Je m'approche d'elle et lui fais la bise en posant ma main sur son épaule comme si on se connaissait depuis longtemps. Elle se présente :
- Sylvie
- Moi c'est luc
Elodie nous a déjà rejoint. il y a deux verres sur la table basse.
- Je prendrais bien un martini avec un glaçon et une rondelle de citron.
Elodie s'éclipse sans répondre. Sylvie se rassoit. Je prends place sur le sofa, à coté d'elle, contre elle en fait. J'entame la conversation sur des banalités.
Elodie me sert le verre.
- Merci. Dis t'as pas autre chose que des olives ?
Elle repart sans mot dire. Ma présence lui déplait on dirait.
- Elodie
- Oui (sans se retourner)
- Regarde moi (Elle se retourne, je sens la crainte dans son regard, même si elle se force à sourire)
- Quand tu reviendras... je te veux seins nus !
La phrase met fin au sourire. Je détourne la tête vers ma voisine qui semble génée et fuit mon regard.
Je reprends la discussion avec elle, comme si de rien n'était, sur un ton enjoué. Sa gène semble disparaitre.
Elodie met un temps fou à revenir. Elle dois se trouver en plein dillemme. Honteuse de revenir les seins nus devant sa copine, peur de ma réaction si elle me desobéit.
Près de 5 mn plus tard, elle arrive enfin, un petit saladier de chips à la main et... les seins à l'air !
Elle me tend le saladier. Je la remercie et je lève mon verre :
- A Elodie, et à ses seins généreux !
Sylvie reste sans voix, comme paralysée.
- Alors Sylvie, tu lèves pas ton verre ?
- Si si... (elle joint son verre aux notres sans conviction)
Bizzarement Elodie me parait mieux que tout à l'heure. Plus sereine.
Je me retourne vers Sylvie. J'ai envie de jouer.
- Pourquoi tu parles plus. Il te plaisent pas ses seins.
- ... (pas de réponse. Elle rougit)
- Et si tu nous montrais les tiens
- Vous êtes pas bien. De toutes façons, les miens sont ridicules.
- Tu sais, j'adore les petits seins. Allez un effort.
- Non.
- Ce n'est pas sympa pour Elodie. Allez vas-y. Je regarde pas !
Elle sourit mais reste crispée sans bouger.
- Bon, tant pis, la soirée avait plutôt bien commencée. Dommage.
Je me lève et me dirige vers Elodie, assise face au sofa sur un pouf.
Je me place derrière elle, à son niveau, et place mes mains sous ses seins.
- Regarde Sylvie. (En fait elle regardait déjà). Regarde les seins de ta copine. Comme ils sont beaux. Comme ils attendent les caresses.
Et toi tu joues les pudiques, les saintes nitouches. Alors par ta faute, Elodie va souffrir. Regarde. Regarde là dans les yeux. Et toi Elodie, Regarde ta copine. Regarde-là dans les yeux.
Je sens Elodie se crisper contre moi. Elle ne se doute probablement pas de ce qui l'attend vraiment mais elle sait qu'elle va faire les frais du refus de Sylvie.
Tandis qu'elles se regardent, ma main droite quitte son sein et plonge dans la poche de mon pantalon. J'en ressors 2 pinces métalliques.
Je place la première sur le sein droit d'Elodie. Elle ne peut s'empécher de pousser un cri de douleur.
Moi j'observe le visage de Sylvie, indignée, elle dit, sans réelle conviction :
- Vous êtes cinglés. Te laisse pas faire Elodie.
Elodie se contente de souffrir en silence.
- Alors Sylvie, tu nous les montre tes nichons, où je lui mets la seconde pince ?
- ... Faites c'que vous voulez, j'me casse !
Elle se lève sans détacher ses yeux d'Elodie. J'en profites pour mettre la seconde pince. Elodie pousse un gémissement mais ne fais aucun geste pour ôter les pinces.
Sylvie se ravise, change de ton.
- Vous me bluffez. Elle fait semblant d'avoir mal. Vous avez tout manigancé depuis le début !
- Je te jure que non répond Elodie
- Alors enlève-les tes pinces si tu souffres autant !
- Crois-moi Sylvie, c'est hyper douloureux, mais tant qu'on me les enlèveras pas je les garderais.
- T'es trop conne, j'me barre !
Elle fait quelques pas, se retourne comme prise d'un remord. J'en profites pour lui parler.
- Elle souffre à cause de toi et toi tu t'barre ! Bravo la solidarité féminine.
- J'ai rien demandé moi.
- Tu as juste une chose à faire. Tu le sais. La fin de sa souffrance ne dépend que de toi.
- J'en ai rien à foutre de vos jeux de cinglés
- Alors pourquoi t'es encore là. Pourquoi t'es pas partit tout à l'heure quand elle s'est pointée les seins à l'air. Je vais te le dire moi. T'es restée parce que t'es une petite voyeuse vicieuse. T'avais envie de voir jusqu'où on irait. T'espérait p't-être qu'on baise devant toi comme-ça. Aller barre toi. Dégage. Ta copine préfère souffrir en silence que te voir jouer la comédie.
- ... non c'est faux
- Prouves-le. Enlève le haut !
Elle fait demi-tour comme pour partir. Mais elle reste sur place tandis que ses mains ôtent son tee-shirt puis dégraffe le soutif dans son dos.
Je reste silencieux. Elle finit par se retourner, l'air encore agressif :
- Vous êtes content. Vous les voyez !
- Allez viens ôter les pinces à Elodie
- ... (elle reste sur place, pensive)
- S'il te plait Sylvie, vite j'ai vraiment mal.
Elle se décide. avance vers Elodie.
- Sylvie, vas-y doucement s'il te plait
Sylvie saisie la première pince et l'enlève. Elodie gémit assez fort.
Sylvie saisie la seconde pince. Une larme roule sur la joue d'Elodie.
Les traces des pinces restent visibles autour des tétons.
- Merci Sylvie (Elodie fais un bisous à Sylvie).
Sylvie regarde les pinces dans sa main, les donne à Elodie en lui disant :
- Met les moi, je veux savoir ce que ça fait
- T'es sûr dit Elodie
Je suis estomaqué. Je ne dis rien. J'attends de voir. Après une courte réflexion elle répond :
- Oui vas-y.
Elodie prend les pinces. De sa main gauche elle attrape le petit téton dressé de Sylvie et y pose la pince en douceur.
Sylvie pousse un cri et se plie en 2.
- Bordel c'que ça fait mal. Comment tu fais ?
- Au bout d'un moment on s'habitue
- Mets moi l'autre.
- T'es sûr
- Oui
De nouveau Sylvie hurle, se plie en deux, finit par se redresser. Son visage est marqué par la souffrance. Elle porte les mains à ses seins. Je souris. Mais elle se ravise. Elle me regarde droit dans les yeux.
- Je tiendrais aussi longtemps qu'elle !
- 6 minutes 37 seconde. Chiche ?
- Salaud. T'as chronométré en plus !
- Elodie, pour chaque minute qu'elle tiendra, tu ôteras un de tes vêtements.
Vu le peu d'habits qui lui restait (2 bas, 1 porte-jaretelle, 1 jupe, 1 string), si Sylvie tenait, Elodie serait à poil avant la fin.
- Première minute.
Elodie enlève sa jupe. Première surprise, elle porte pas de culotte. Deuxième surprise, Sylvie en fait autant et enlève son pantalon ! Elle se retrouve en culotte ! là faut dire que je suis scotché. La soirée s'annonce hard. Y aurait-il du concours dans l'air entre ces deux garces ?
- Deuxième minute.
Elodie enlève un bas. Sylvie enlève sa culotte. Elle est à poil. Son pubis est très poilu. noir.
Elodie est vexée, jolouse peut-être. Elle enlève ce qui lui reste avant la troisième minute. Je me dirige vers elle. Je la saisi par le bras que je ramène dans son dos.
- Alors ma belle. On est feintée par sa copine. Et tu désobéis en plus. J'avais dit un vêtement par minute pas tout d'un coup. Alors pour la peine maintenant ce sera un coup de cravache par minute sur ton gros cul. Aller, en position.
- Non pas çà
- Rebellion ? 2 coups par minutes
Je pars chercher la cravache dans ma saccoche que j'ai abandonné dans l'entrée en arrivant. Quand je reviens, elle est à quatre patte par terre, le cul en l'air, le regard dans celui de Sylvie.
La troisième minute est passée depuis près de 30 seconde. Je frappe son cul 2 fois. Elle reste silencieuse.
La quatrième minute arrive. Je frappe de nouveau 2 coups, un peu plus fort. Elle ne bronche toujours pas.
Sans que je lui demande rien, Sylvie se met à quatre patte devant Elodie et me dis :
- Faits-moi la même chose
A coté de celui d'Elodie, son cul semble minuscule, ses hanches sont à peine saillantes. Je frappe 2 coups sur son petit cul. Son corps tressaute en silence
- J'en veux autant qu'elle en a reçu.
Je ratrappe le retard. Elle encaisse mais gémit. je donne les 2 coups de la cinquième minute à Elodie puis immédiattement après à Sylvie. J'ai frappé nettement plus fort. Elle ont crié toutes les deux. Les 2 culs sont zébrés de rouge
Sixième minute. 2 fois 2 coups. 2 gémissements. Elles restent en position.
Il est temps d'enlever les pinces de Sylvie. J'attrape la première pince. Elle hurle quand je lui ôte, se redresse puis se frotte le sein. Quand ma main s'approche du second sein, je la sens se raidir. Sa douleur n'es sera que plus vivement ressentit. Elle hurle encore plus fort, puis pleure sans bruit.
C'est le moment. Je me place dans son dos, la serre contre moi. Mes mains parcourent son corps nu, touchent son ventre, ses seins encore marquées, caressent sa peau mat. Elle se laisse faire, résignée, offerte. Je la pousse vers le sofa. Tel un pantin, elle se laisse guider. J'ouvre ses cuisses. Elle mouille tellement que ça se voit malgré sa toison fournie.
- Alors ma salope, on mouille
- ...
Pas de réponse. Je la pince au sein
- Aie !
- Répond quand je te parle !
- ça t'a excitée de recevoir des coups de cravache ?
- ... oui (à peine audible)
- T'as envie de te faire mettre ?
- ... oui (un peu plus distinct)
- Demandes-le
- ... (je la repince) Aie ! ... Je...j'ai envie qu'on me baise
- Allez mets toi à quatre patte (je lui montre l'emplacement juste devant Elodie qui était en train de se branler discrêtement) et suce là !
- Non ! je suis pas une gouine !
- Non, mais t'es une salope obéissante !
Avant qu'elle se méfie, je l'attrappe par le bout des seins et la tire pour qu'elle se lève puis la force à s'agenouiller devant Elodie qui me regarde ébahie.
- Suce où je reprends la cravache.
Doucement elle incline la tête. Elodie ouvre les cuisses. Sylvie s'arrête à quelques centimètres, hésite.
- Allez, lèche là !
- ...
Sa langue ose s'aventurer sur le sexe béant d'Elodie, d'abord timidement, puis plus franchement. Elodie se lache aussi
- Oui suce-moi. Fais-moi jouir salope
Ces mots dans la bouche d'Elodie semble l'exciter encore plus. J'en profite pour passer derrière elle.
- Ecartes les cuisses.
Elle se fait même pas prier. Je laisse ma main descendre le long du sillon de ses fesses, pour rejoindre son sexe trempé. J'y met trois doigts sans aucun effort. Je les ressors gluant et lui en enfile un dans le cul. Elle réagit aussitôt :
- Non, pas là.
Je lui assène une claque sur les fesses
- Tais-toi et suce !
Elle reprend le cunilungus et Elodie commence à gémir de plaisir.
Sur la table basse, la bouteille de coca en verre me fait de l'oeil. Je verse le fond de coca dans un verre vide, et lui enfile le goulot de la bouteille dans la chatte. Je commence le va et vient. En allant un peu plus profondément à chaque fois. Elle gigote du cul, pousse un gémissement de temps en temps, puis de plus en plus souvent.
Je ralentis le rythme pour pas qu'elle jouisse tout de suite, et tente d'aller plus profond. Elle râle doucement entre 2 coups de langue à sa copine. Tout en continuant de la baiser avec la bouteille, j'enfile le pouce de ma main gauche dans son cul. Elle râle comme une bête. Sa jouissance est proche, elle halète, remue en cadence, en oublie le sexe qu'elle léchait.
Je sors mon pouce. Lache la bouteille qui reste dans sa chatte. Je la retourne sur le dos. Je sors et renfile plusieurs fois de suite la bouteille de coca devant ses yeux ébahis. Chaque pénétration la fait gémir.
Elodie en manque de langue, ne perd pas le nord et vient poser sa chatte sur la bouche de Sylvie qui reprend son cuni. J'en profite pour baisser mon froc et mettre un préservatif.
Je place les jambes de Sylvie sur mes épaules et tandis que je reprends les vas et viens avec la bouteille, j'enfile mon sexe dans son cul.
Elle hurle, râle et jouit bruyament en quelques minutes.
Je l'abandonne avant de jouir, change de préservatif et baise Elodie en levrette assez sauvagement immédiattement après. Elle est plus longue à partir mais n'en finit pas de jouir.
Quelques minutes seulement ont passées. Mais Sylvie est déjà rhabillée, prête à partir.
Je me rhabille aussi rapidement que possible. Sylvie est partie sans même dire au revoir. Je laisse Elodie allongée par terre, épuisée. Je cours dans les escaliers, espérant rattraper Sylvie mais en arrivant au bas de l'immeuble, je la trouve immobile dans le hall, entrain de pleurer. Je m'approche, la prend dans mes bras, l'embrasse. Elle se laisse aller. Nous remontons les 2 étages. Une fois chez Elodie, je la deshabille, l'emmène jusqu'à un lit, la caresse, l'embrasse, lui lèche les seins, le sexe. Ses sanglots ont cessés. Son corps se réveille.
Elodie nous regarde dans la pénombre en se touchant...
Ce récit vous a plu ou déplu ? Ecrivez-moi (réponse assuré)
Je décide d'aller chez Elodie à l'improviste. Il est 18h30. Je frappe à sa porte. Dans son regard je lis la surprise, la gène peut-être aussi.
Elle reste immobile sur le seuil de la porte.
-Tu m'invites pas à entrer ?
-Je suis pas seule
- C'est qui ?
- Une copine
- Qu'est ce que t'attend pour me présenter ?
Elle n'a toujours pas bougé. Je m'approche d'elle et pose mes lèvres sur les siennes. Mon baiser la surprend mais elle s'y abandonne, ose me prendre dans ses bras, s'y blottir. Nos langues se trouvent. Je la laisse profiter de l'étreinte.
Le baiser prend fin. Je la laisse refermer la porte d'entrée, pose ma saccoche et me dirige vers le salon. La copine est installée sur le sofa. Elle me lance un boujour et se lève. Elle est brune, filiforme, souriante. Je m'approche d'elle et lui fais la bise en posant ma main sur son épaule comme si on se connaissait depuis longtemps. Elle se présente :
- Sylvie
- Moi c'est luc
Elodie nous a déjà rejoint. il y a deux verres sur la table basse.
- Je prendrais bien un martini avec un glaçon et une rondelle de citron.
Elodie s'éclipse sans répondre. Sylvie se rassoit. Je prends place sur le sofa, à coté d'elle, contre elle en fait. J'entame la conversation sur des banalités.
Elodie me sert le verre.
- Merci. Dis t'as pas autre chose que des olives ?
Elle repart sans mot dire. Ma présence lui déplait on dirait.
- Elodie
- Oui (sans se retourner)
- Regarde moi (Elle se retourne, je sens la crainte dans son regard, même si elle se force à sourire)
- Quand tu reviendras... je te veux seins nus !
La phrase met fin au sourire. Je détourne la tête vers ma voisine qui semble génée et fuit mon regard.
Je reprends la discussion avec elle, comme si de rien n'était, sur un ton enjoué. Sa gène semble disparaitre.
Elodie met un temps fou à revenir. Elle dois se trouver en plein dillemme. Honteuse de revenir les seins nus devant sa copine, peur de ma réaction si elle me desobéit.
Près de 5 mn plus tard, elle arrive enfin, un petit saladier de chips à la main et... les seins à l'air !
Elle me tend le saladier. Je la remercie et je lève mon verre :
- A Elodie, et à ses seins généreux !
Sylvie reste sans voix, comme paralysée.
- Alors Sylvie, tu lèves pas ton verre ?
- Si si... (elle joint son verre aux notres sans conviction)
Bizzarement Elodie me parait mieux que tout à l'heure. Plus sereine.
Je me retourne vers Sylvie. J'ai envie de jouer.
- Pourquoi tu parles plus. Il te plaisent pas ses seins.
- ... (pas de réponse. Elle rougit)
- Et si tu nous montrais les tiens
- Vous êtes pas bien. De toutes façons, les miens sont ridicules.
- Tu sais, j'adore les petits seins. Allez un effort.
- Non.
- Ce n'est pas sympa pour Elodie. Allez vas-y. Je regarde pas !
Elle sourit mais reste crispée sans bouger.
- Bon, tant pis, la soirée avait plutôt bien commencée. Dommage.
Je me lève et me dirige vers Elodie, assise face au sofa sur un pouf.
Je me place derrière elle, à son niveau, et place mes mains sous ses seins.
- Regarde Sylvie. (En fait elle regardait déjà). Regarde les seins de ta copine. Comme ils sont beaux. Comme ils attendent les caresses.
Et toi tu joues les pudiques, les saintes nitouches. Alors par ta faute, Elodie va souffrir. Regarde. Regarde là dans les yeux. Et toi Elodie, Regarde ta copine. Regarde-là dans les yeux.
Je sens Elodie se crisper contre moi. Elle ne se doute probablement pas de ce qui l'attend vraiment mais elle sait qu'elle va faire les frais du refus de Sylvie.
Tandis qu'elles se regardent, ma main droite quitte son sein et plonge dans la poche de mon pantalon. J'en ressors 2 pinces métalliques.
Je place la première sur le sein droit d'Elodie. Elle ne peut s'empécher de pousser un cri de douleur.
Moi j'observe le visage de Sylvie, indignée, elle dit, sans réelle conviction :
- Vous êtes cinglés. Te laisse pas faire Elodie.
Elodie se contente de souffrir en silence.
- Alors Sylvie, tu nous les montre tes nichons, où je lui mets la seconde pince ?
- ... Faites c'que vous voulez, j'me casse !
Elle se lève sans détacher ses yeux d'Elodie. J'en profites pour mettre la seconde pince. Elodie pousse un gémissement mais ne fais aucun geste pour ôter les pinces.
Sylvie se ravise, change de ton.
- Vous me bluffez. Elle fait semblant d'avoir mal. Vous avez tout manigancé depuis le début !
- Je te jure que non répond Elodie
- Alors enlève-les tes pinces si tu souffres autant !
- Crois-moi Sylvie, c'est hyper douloureux, mais tant qu'on me les enlèveras pas je les garderais.
- T'es trop conne, j'me barre !
Elle fait quelques pas, se retourne comme prise d'un remord. J'en profites pour lui parler.
- Elle souffre à cause de toi et toi tu t'barre ! Bravo la solidarité féminine.
- J'ai rien demandé moi.
- Tu as juste une chose à faire. Tu le sais. La fin de sa souffrance ne dépend que de toi.
- J'en ai rien à foutre de vos jeux de cinglés
- Alors pourquoi t'es encore là. Pourquoi t'es pas partit tout à l'heure quand elle s'est pointée les seins à l'air. Je vais te le dire moi. T'es restée parce que t'es une petite voyeuse vicieuse. T'avais envie de voir jusqu'où on irait. T'espérait p't-être qu'on baise devant toi comme-ça. Aller barre toi. Dégage. Ta copine préfère souffrir en silence que te voir jouer la comédie.
- ... non c'est faux
- Prouves-le. Enlève le haut !
Elle fait demi-tour comme pour partir. Mais elle reste sur place tandis que ses mains ôtent son tee-shirt puis dégraffe le soutif dans son dos.
Je reste silencieux. Elle finit par se retourner, l'air encore agressif :
- Vous êtes content. Vous les voyez !
- Allez viens ôter les pinces à Elodie
- ... (elle reste sur place, pensive)
- S'il te plait Sylvie, vite j'ai vraiment mal.
Elle se décide. avance vers Elodie.
- Sylvie, vas-y doucement s'il te plait
Sylvie saisie la première pince et l'enlève. Elodie gémit assez fort.
Sylvie saisie la seconde pince. Une larme roule sur la joue d'Elodie.
Les traces des pinces restent visibles autour des tétons.
- Merci Sylvie (Elodie fais un bisous à Sylvie).
Sylvie regarde les pinces dans sa main, les donne à Elodie en lui disant :
- Met les moi, je veux savoir ce que ça fait
- T'es sûr dit Elodie
Je suis estomaqué. Je ne dis rien. J'attends de voir. Après une courte réflexion elle répond :
- Oui vas-y.
Elodie prend les pinces. De sa main gauche elle attrape le petit téton dressé de Sylvie et y pose la pince en douceur.
Sylvie pousse un cri et se plie en 2.
- Bordel c'que ça fait mal. Comment tu fais ?
- Au bout d'un moment on s'habitue
- Mets moi l'autre.
- T'es sûr
- Oui
De nouveau Sylvie hurle, se plie en deux, finit par se redresser. Son visage est marqué par la souffrance. Elle porte les mains à ses seins. Je souris. Mais elle se ravise. Elle me regarde droit dans les yeux.
- Je tiendrais aussi longtemps qu'elle !
- 6 minutes 37 seconde. Chiche ?
- Salaud. T'as chronométré en plus !
- Elodie, pour chaque minute qu'elle tiendra, tu ôteras un de tes vêtements.
Vu le peu d'habits qui lui restait (2 bas, 1 porte-jaretelle, 1 jupe, 1 string), si Sylvie tenait, Elodie serait à poil avant la fin.
- Première minute.
Elodie enlève sa jupe. Première surprise, elle porte pas de culotte. Deuxième surprise, Sylvie en fait autant et enlève son pantalon ! Elle se retrouve en culotte ! là faut dire que je suis scotché. La soirée s'annonce hard. Y aurait-il du concours dans l'air entre ces deux garces ?
- Deuxième minute.
Elodie enlève un bas. Sylvie enlève sa culotte. Elle est à poil. Son pubis est très poilu. noir.
Elodie est vexée, jolouse peut-être. Elle enlève ce qui lui reste avant la troisième minute. Je me dirige vers elle. Je la saisi par le bras que je ramène dans son dos.
- Alors ma belle. On est feintée par sa copine. Et tu désobéis en plus. J'avais dit un vêtement par minute pas tout d'un coup. Alors pour la peine maintenant ce sera un coup de cravache par minute sur ton gros cul. Aller, en position.
- Non pas çà
- Rebellion ? 2 coups par minutes
Je pars chercher la cravache dans ma saccoche que j'ai abandonné dans l'entrée en arrivant. Quand je reviens, elle est à quatre patte par terre, le cul en l'air, le regard dans celui de Sylvie.
La troisième minute est passée depuis près de 30 seconde. Je frappe son cul 2 fois. Elle reste silencieuse.
La quatrième minute arrive. Je frappe de nouveau 2 coups, un peu plus fort. Elle ne bronche toujours pas.
Sans que je lui demande rien, Sylvie se met à quatre patte devant Elodie et me dis :
- Faits-moi la même chose
A coté de celui d'Elodie, son cul semble minuscule, ses hanches sont à peine saillantes. Je frappe 2 coups sur son petit cul. Son corps tressaute en silence
- J'en veux autant qu'elle en a reçu.
Je ratrappe le retard. Elle encaisse mais gémit. je donne les 2 coups de la cinquième minute à Elodie puis immédiattement après à Sylvie. J'ai frappé nettement plus fort. Elle ont crié toutes les deux. Les 2 culs sont zébrés de rouge
Sixième minute. 2 fois 2 coups. 2 gémissements. Elles restent en position.
Il est temps d'enlever les pinces de Sylvie. J'attrape la première pince. Elle hurle quand je lui ôte, se redresse puis se frotte le sein. Quand ma main s'approche du second sein, je la sens se raidir. Sa douleur n'es sera que plus vivement ressentit. Elle hurle encore plus fort, puis pleure sans bruit.
C'est le moment. Je me place dans son dos, la serre contre moi. Mes mains parcourent son corps nu, touchent son ventre, ses seins encore marquées, caressent sa peau mat. Elle se laisse faire, résignée, offerte. Je la pousse vers le sofa. Tel un pantin, elle se laisse guider. J'ouvre ses cuisses. Elle mouille tellement que ça se voit malgré sa toison fournie.
- Alors ma salope, on mouille
- ...
Pas de réponse. Je la pince au sein
- Aie !
- Répond quand je te parle !
- ça t'a excitée de recevoir des coups de cravache ?
- ... oui (à peine audible)
- T'as envie de te faire mettre ?
- ... oui (un peu plus distinct)
- Demandes-le
- ... (je la repince) Aie ! ... Je...j'ai envie qu'on me baise
- Allez mets toi à quatre patte (je lui montre l'emplacement juste devant Elodie qui était en train de se branler discrêtement) et suce là !
- Non ! je suis pas une gouine !
- Non, mais t'es une salope obéissante !
Avant qu'elle se méfie, je l'attrappe par le bout des seins et la tire pour qu'elle se lève puis la force à s'agenouiller devant Elodie qui me regarde ébahie.
- Suce où je reprends la cravache.
Doucement elle incline la tête. Elodie ouvre les cuisses. Sylvie s'arrête à quelques centimètres, hésite.
- Allez, lèche là !
- ...
Sa langue ose s'aventurer sur le sexe béant d'Elodie, d'abord timidement, puis plus franchement. Elodie se lache aussi
- Oui suce-moi. Fais-moi jouir salope
Ces mots dans la bouche d'Elodie semble l'exciter encore plus. J'en profite pour passer derrière elle.
- Ecartes les cuisses.
Elle se fait même pas prier. Je laisse ma main descendre le long du sillon de ses fesses, pour rejoindre son sexe trempé. J'y met trois doigts sans aucun effort. Je les ressors gluant et lui en enfile un dans le cul. Elle réagit aussitôt :
- Non, pas là.
Je lui assène une claque sur les fesses
- Tais-toi et suce !
Elle reprend le cunilungus et Elodie commence à gémir de plaisir.
Sur la table basse, la bouteille de coca en verre me fait de l'oeil. Je verse le fond de coca dans un verre vide, et lui enfile le goulot de la bouteille dans la chatte. Je commence le va et vient. En allant un peu plus profondément à chaque fois. Elle gigote du cul, pousse un gémissement de temps en temps, puis de plus en plus souvent.
Je ralentis le rythme pour pas qu'elle jouisse tout de suite, et tente d'aller plus profond. Elle râle doucement entre 2 coups de langue à sa copine. Tout en continuant de la baiser avec la bouteille, j'enfile le pouce de ma main gauche dans son cul. Elle râle comme une bête. Sa jouissance est proche, elle halète, remue en cadence, en oublie le sexe qu'elle léchait.
Je sors mon pouce. Lache la bouteille qui reste dans sa chatte. Je la retourne sur le dos. Je sors et renfile plusieurs fois de suite la bouteille de coca devant ses yeux ébahis. Chaque pénétration la fait gémir.
Elodie en manque de langue, ne perd pas le nord et vient poser sa chatte sur la bouche de Sylvie qui reprend son cuni. J'en profite pour baisser mon froc et mettre un préservatif.
Je place les jambes de Sylvie sur mes épaules et tandis que je reprends les vas et viens avec la bouteille, j'enfile mon sexe dans son cul.
Elle hurle, râle et jouit bruyament en quelques minutes.
Je l'abandonne avant de jouir, change de préservatif et baise Elodie en levrette assez sauvagement immédiattement après. Elle est plus longue à partir mais n'en finit pas de jouir.
Quelques minutes seulement ont passées. Mais Sylvie est déjà rhabillée, prête à partir.
Je me rhabille aussi rapidement que possible. Sylvie est partie sans même dire au revoir. Je laisse Elodie allongée par terre, épuisée. Je cours dans les escaliers, espérant rattraper Sylvie mais en arrivant au bas de l'immeuble, je la trouve immobile dans le hall, entrain de pleurer. Je m'approche, la prend dans mes bras, l'embrasse. Elle se laisse aller. Nous remontons les 2 étages. Une fois chez Elodie, je la deshabille, l'emmène jusqu'à un lit, la caresse, l'embrasse, lui lèche les seins, le sexe. Ses sanglots ont cessés. Son corps se réveille.
Elodie nous regarde dans la pénombre en se touchant...
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