Femme sérieuse devient soumise... à cause d'une envie pressante (1)

- Par l'auteur HDS Zalava -
Récit érotique écrit par Zalava [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Femme sérieuse devient soumise... à cause d'une envie pressante (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Femme sérieuse devient soumise... à cause d'une envie pressante (1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Un dimanche après-midi. Une petite ville de province. Une furieuse envie de faire pipi. Et rien en vue pour me soulager. Voila comment tout a commencé.
Faute de mieux, je commence à m'accroupir entre 2 voitures garées dans une rue déserte. Un dernier coup d'oeil avant de descendre ma culotte, et...
- Eh la p'tite dame. Vous seriez pas mieux à l'intérieur ?
Mais c'est déjà trop tard. Mon envie est tellement intense que non seulement je n'arrive pas à me retenir, mais en plus avec la grosse qui m'a surprise en ouvrant sa fenêtre à 2 m de moi, je n'ai pas eu le temps d'ôter ma culotte.
Bref, me voila fasse à elle, la jupe retroussée, en train de pisser à travers ma culotte qui s'imbibe de mon urine ! Et comme je me suis vraiment trop retenue, impossible de m'arrêter.
Et l'autre qui se marre, en plus :- Oh, mais en voilà un gros pipi ma p'tite dame !
Je lui en foutrai des "ma p'tite Dame".
Je baisse la tête de honte tandis qu'elle continue de parler... puis la relève d'un coup quand je comprends qu'elle s'adresse à quelqu'un d'autre.
- Tiens reluque un peu ça mon Jean-Luc !
Eh le voila qui se pointe lui aussi à la fenêtre le Jean-Luc ! Son regard éberlué fait vite place à un regard bien salace :- Elle est bonne en plus la pisseuse ! J'lui mettrai bien ma grosse bite dans sa connasse !
Et tandis que je reste impuissante à pisser bêtement, il sort son engin. Et qu'elle engin ! Et il grandit encore alors qu'il se branle devant moi.
Pourquoi j'arrive pas à dévier mon regard de ce gourdin. Pourquoi ai-je tout d'un coup une drôle de sensation entre les cuisses. Même la grosse s'en aperçoit...
- On dirait qu'elle la kiffe, ta bite, Mon Jean-Luc !
Jean-Luc est toujours à la fenêtre en train de se branler sous mes yeux. La grosse disparaît tandis que le jet se tarrit enfin entre mes cuisses. Je me sens toute chose. Je prends appui sur les parechocs des voitures pour me relever.
Je suis debout, ma culotte trempée de pisse, une boule d'excitation au ventre face à ce sexe dressé. La porte d'entrée s'ouvre. La grosse vient vers moi toute souriante.
- bah faut pas rester comme ça, ma p'tite Dame. Mon Jean-Luc, y va s'occuper d'vous !
Je ne suis pas comme ça d'habitude, assez peu portée sur la chose en fait. Et pourtant, à ce moment là, je n'ai plus qu'une seule idée en tête. Cette queue dressée, au creux de ma chatte. Je suis sans doute rouge pivoine, mais incapable de lutter contre ce désir subit, je me laisse faire quand la grosse me prend par le bras et me fait rentrer chez elle.
Jean-Luc a juste refermé la fenêtre. Son pantalon sur les chevilles. Sa verge au garde à vous. La grosse me pousse direct vers lui.
- Allez, suce le ma belle !
Ce n'est pas cela que je veux. Je n'ai envie qu'une d'une seule chose, me faire prendre et disparaître loin d'ici, loin d'eux. Mais la grosse me laisse pas le choix. Voyant que je ne bouge pas, elle m'attrappe les cheveux avec la main et me force à m'agenouiller et ne me lache pas tant que je n'ai pas gobé ce sexe viril.
Cette bite sent fort, s'impose dans ma bouche sans me laisser le temps de m'habituer, et pourtant, de nouveau, une onde de chaleur parcours mon bas ventre.
Jean-Luc me parle crûment tandis que la grosse dégrafe mon corsage et mon soutif. Puis sans ménagement, alors que je suce ce sexe trop gros pour ma bouche, elle s'occupe de mes seins, les malaxent, les pincent, les agacent encore et encore. Parfois elle me fait mal, je gémis, mais je sens que mon excitation est à son comble. Je veux cette queue, maintenant, en moi.
Toute retenue me quitte, je deviens une chienne en chaleur. Je lâche la bite, me relève, prends appui de mes mains sur les accoudoirs d'un fauteuil, cambre les reins et écarte les jambes. Je m'offre sans retenue en hurlant "baise-moi"La main de Jean-Luc s'abat magistralement sur ma fesse droite, puis gauche. La fessée est rude mais ne calme pas mes ardeurs.
- Pas si vite ma belle ! Il faut la mériter la bite à Mon Jean-Luc.
La grosse trousse sa jupe, s'immisce entre moi et le fauteuil, où elle se laisse tomber jambe en l'air, chatte à l'air. Je n'ai pas le temps de réagir que sa main attrappe une nouvelle fois mes cheveux et attire ma bouche vers sa chatte poilue et odorante.
- Mon Jean-Luc te prendra seulement quand tu m'auras fait jouir...
Jean-Luc a posé son gland contre ma chatte. Je le sens palpiter. Je tortille le cul pour me faire mettre, mais il veille et exquive en cadence. Je sais ce qu'il me reste à faire. Je ne suis pas bi. Je ne suis pas attirée, mais je suis prête à tout. Je le sais. Je n'essaye même pas de me raisonner. Pour la première fois de ma vie, mon désirs est plus fort que ma raison. Je veux cette bite quelle que soit l'humiliation que l'on m'impose.
Alors je commence à lécher cette femme. Sa chatte est déjà trempée de mouille. Elle ondule et gémit en cadence. Elle aussi semble bien excitée. Elle répète "encore... encore..." à mon intention, part dans un râle sans fin. Je crois que c'est son orgasme, mais non. Je dois poursuivre tandis que la bite contre mes fesses entretient mon exitation au maximum.
Je n'en peux plus. Dans un sursaut de lucidité, je comprends que si je veux accélérer les choses, il faut que je prenne en main le plaisir de la grosse. Alors, sans cesser de la sucer, je lui colle deux doigts dans la foufoune. Je me reconnais plus. L'effet est immédiat. Elle se met à hâleter, et moi, je ressens un vrai plaisir à la faire jouir !
Elle jouit bruyamment, et au même instant le sexe de Jean-Luc me pénètre d'un coup. C'est à la fois violent et délicieux. Tout mon corps se contracte, j'arrête même de respirer quelques secondes. Je reste comme suspendue, ne ressentant qu'un formidable raz de marée en moi. Et puis la déferlante arrive. Un plaisir comme je n'avais jamais ressenti. J'hurle, gigote, ne veux plus que ça s'arrête.
Jean-Luc me pilonne, encore et encore, sans ménagement, je me comporte comme une bête, je ne sais plus ce qui m'arrive, mon corps ne m'appartient plus, c'est irréel, bestial, intense. Je m'aperçois que je jouis vraiment, pour la première fois de ma vie, à 35 ans.
Je m'affale dans le fauteuil sur le corps de la grosse. Mon plaisir se dissipe lentement faisant place à une grande fatique et un sentiment de honte. Ma raison se réveille enfin et constate les dégats : je suis dans les bras d'une femme, un inconnu vient de me baiser, moi, une femme mariée, jusque là fidèle, sérieuse...
Les larmes coulent en même temps que ma chatte qui refoule la semence dont j'ai été inondée. Partir... je n'ai plus que ce mot en tête. Fuir ce lieu de dépravation, ces gens que je ne connais pas, leur sourire béat, et leur phrases qui m'agacent :- Bah faut pas pleurer ma p'tite Dame.
Je trouve la force de me lever, remonte ma culotte trempée que j'avais sur les chevilles, rabat ma jupe, tente de rajuster mon soutif baissé et mon chemisier ouvert. J'attrape mon sac à main qui traine au milieu de la pièce.
PARTIR, vite !
- Vous devriez prendre une p'tite douche ma jolieNon, fuir, m'en aller...
- Vot'mari va pas aimer s'il vous voit rentrer dans cet état là.
Je me dirige déjà vers la porte. Je croise les yeux de Jean-Luc. Je vois son sourire à travers mes larmes. Sa queue dans sa main a déjà repris de la vigueur.
FUIR.
Avant que j'ai franchi la porte d'entrée, il me lance :- Reviens quand tu veux ma belle. Ma queue t'attend. Tu verras, tu pourras plus t'en passer.
J'aurais voulu pouvoir fermer mes oreilles comme on peut fermer les yeux. Ne pas entendre cela, ne pas m'en rappeler.
Sur le trottoir, je me sens écrasée par la lumière du soleil qui a percé à travers les nuages. Je marche sans entrain, sans but. Je ne peux pas rentrer chez moi comme cela. Il avait raison le Jean-Luc. La grosse a arracher 2 boutons mon chemisier, je dois avoir une tête affreuse d'avoir pleurer et baiser comme une salope.
J'attrape mon téléphone, appelle ma seule amie, pas de réponse. Je tente une collègue de travail qui me semble-t-il crèche pas trop loin. ça décroche enfin. Je lui demande si elle peut venir me chercher sans donner trop de détails. Quand je lui donne le nom de la rue où je me trouve, elle me dit que je suis tout près de chez elle. On reste en ligne et elle me guide jusqu'à chez elle. Les rues sont heureuserement presque désertes. J'ai l'impression que les quelques personnes que je croise, des personnes âgées essentiellement, lisent sur mon visage ce que je viens de faire.
J'arrive enfin. Elle imagine que je me suis fait violer en me voyant. Je lui raconte tout d'une seule traite, comme pour me libérer du poids de la honte, de l'humiliation et de la culpabilité.
Je suis épuisée physiquement et psychiquement. Elle me fait boire un verre d'eau. Je ne désire qu'une chose : une douche pour me laver de tout cela. Elle a compris sans que je lui dise. Elle me débarrasse de mon sac, me conduit à sa salle de bain et commence à me deshabiller. Je me laisse faire sans réfléchir, incapable de réagir, toujours avec une seule image en tête, celle de cette queue, de cette envie qui a été plus forte que tout, de ce plaisir qui m'a envahie.
Je ne me rends pas compte que je parle tout haut, que mon amie me parle doucement, me guide sous la douche qui coule déjà. Je suis nue, elle est dans mon dos. Elle me savonne doucement, avec mille délicatesses. Elle me dit de me laisser aller. C'est à ce moment que je me rend compte qu'elle aussi est nue, contre mon dos, que ses mains caresses mes seins, que ses bras m'enlacent.
Je me retourne et tente de la repousser avec la force qu'il me reste. Elle ne m'en laisse pas le temps et me gifle !
- Laisse toi faire, putain !
Sa violence et sa façon de me parler me laisse sans voix. Déjà elle a attrapé les pointes de mes seins. sans attendre elle les pince en tournant, me faisant pousser un cri.
De nouveau une onde de chaleur envahie mon bas ventre. Que m'arrive-t-il ? Qu'ai-je réveillé en moi.
Elle m'a plaquée contre la paroi de la douche. Sa main droite est contre mon sexe. Sa gauche tord l'un de mes seins.
- Alors, on aime ça, se faire maltraiter ? Depuis le temps que tu m'agaces avec tes airs de sainte nitouche !
De nouveau j'ai ce sentiment d'impuissance, ce besoin d'appartenir. Ses doigts frôlent mon sexe et déjà je soupire. Elle caresse mon clito et sitôt je gémis. Chaque fois elle pousse mon excitation un peu plus loin, chaque fois elle me pince plus fort les tétons pour ne pas que je jouisse. De nouveau mon corps réclame la pénétration, mais pas de bite pour me satisfaire. Mon cerveau me renvoit l'image de la bite de Jean-Luc. Je suis déjà en manque.
Je presse mon pubis contre sa main. Elle s'en rend compte, me lâche, et coupe le robinet de la douche. Elle attrappe une serviette, me sèche sans ménagement, puis fait de même pour elle.
Je n'ose rien dire, je ne bouge pas. Mon envie est toujours présente, impérieuse.
- Que veux-tu salope ?
- ....
- Aller parle, ou je te laisse frustrée !
D'une petite voix, j'arrive seulement à dire que j'ai envie- Envie de quoi ?
- ...Envie de jouir...
- Rhabille toi !
Je m'attendais pas à ça. Je la supplie de me faire jouir.
- Ta gueule, tu vas jouir, mais pas ici. Remets tes fringues.... et puis non tiens puisque t'es pressée.
Elle me traîne vers sa chambre, ouvre une armoire, me tend un manteau que je mets sur mon corps nu. Il m'arrive à peine à mi-cuisse.
- Va remettre tes chaussures pendant que je m'habille.
Elle est prête en 30 secondes. Son manteau est juste un peu plus long que le mien. Elle ouvre la porte d'entrée et me dit d'aller sonner en face. Elle referme sa porte pendant que je traverse et elle me rejoint quand la porte de la maison d'en face s'entre ouvre.
Un homme la cinquantaine bien conservée nous fait entrer. Ma collègue de travail me pousse au milieu du salon.
-Déshabille-toi !
Je reste immobile. alors elle vient vers moi et m'ôte la veste en s'adressant à l'homme qui n'a pas encore parlé depuis notre arrivée.
- Tiens Luc, toi qui m'as toujours dit que tu aimais les femmes soumises, profite bien, elle est à toi. Baise là autant que tu veux et appelle moi quand tu as fini.
Et tandis qu'elle m'abandonne lâchement à mon sort, la main de l'homme se pose et appuie sur ma nuque.
- Met toi à genou, petite chienne.
A suivre....

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