La déchéance d'une bourgeoise
Récit érotique écrit par Zalava [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La déchéance d'une bourgeoise
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je me prénomme Isabelle. Tout ce qui est relaté dans ce récit m'aurait paru totalement improbable il y a quelques temps encore...
Née dans une petite ville de province, d'un père entrepreneur et d'une fille de notable, j'ai été éduquée comme une bourgeoise devait l'être, entre puritanisme et mépris des gens de petite condition. J'étais suffisante et hautaine... on me le rendait bien !
Ma jeunesse a été recluse, propice aux fantasmes, loin des garçons qui me traitaient de bourge coincée et des copines qui me détestaient parce que ma famille était riche.
Ma seule aventure, ce fut avec Paul, un beau mec qui faisait mouiller les culottes et chavirer le cœur des pucelles. J'étais fière qu'il s'intéresse à moi. Il était juste ravi de se faire la "fille de".
Rendez-vous dans un atelier désaffecté, quelques baisers, et ma belle robe aussitôt troussée. Aucune douceur, aucune tendresse. Il baisse mon soutif sans l'ôter, pour palper mes seins, baisse ma culotte sur mes genoux, pour m'humilier encore. Il dégrafe son jean, me montre fièrement son sexe dressé en posant ma main dessus, tente de me le mettre dans la bouche. Mais je résiste, il n’aime pas. Un vieil établi l'inspire. Il m'y fait mettre allongée sur le dos, les fesses au bord, tâte de son doigt l'entrée de ma chatte trempée (et il me le fait remarquer en me traitant de salope) et me baise sans ménagement, longuement. Malgré moi, malgré la manière dont il me traite, un plaisir ravageur me foudroie. Il me laisse là et se casse après avoir jouit en moi. Le lendemain tout le monde au lycée savait que je n'étais plus vierge !
Je m'en voulais d'avoir succombé, d'avoir jouit en étant traitée comme une moins que rien. Plus jamais je ne voulais cela, plus jamais je n'ai jouit.
J'ai vu dans le mariage la seule issue pour quitter la province et vivre une vie à la hauteur de ma condition. Mais ma vie a été monotone, sans enfant. Un job sans intérêt. Un mari souvent absent, plus attiré par ses voyages d'affaires aux quatre coins du globe que par sa femme. Et une famille qui se résume à un père qui ne vivait que pour sa société.
Alors je m'évadais dans mes rêves, me satisfaisais d'une sexualité faite de fantasmes improbables et de plaisirs en solitaire, n'osant me remettre en question. Et puis, l'année dernière a été un véritable séisme dans ma vie.
D'abord mon mari qui a fini par partir avec sa secrétaire. Ensuite, une restructuration dans ma boite qui m'a permis de partir avec un petit pactole et d'envisager une année sabbatique et des voyages. Mais c'était sans compter avec un père qui s'en est allé prématurément, victime d'une crise cardiaque.
Bref, voila comment on passe en quelques mois, d'une vie insignifiante à celle d'une chef d'entreprise, étant seule héritière. Mais ça, ce n'était que le début de mes problèmes !
Je débarque donc dans cette ville de province où j'ai grandi, avec cette casquette de chef d'entreprise qui ne me sied pas. L'usine que j'ai connue dans ma jeunesse a bien changée. L'adjoint de mon père, qui se voit déjà calife à la place du calife, me fait faire le tour du propriétaire, me présente une multitude de collaborateurs, me glisse à l'oreille les petits défauts de chacun.
Tous me dévisagent comme une extraterrestre. Pour eux, je suis "la parisienne", celle qui a voulu fuir la région. Certains visages me sont vaguement familiers, souvenirs des années d'école. Et puis, soudain, là, devant moi, Paul, mon unique flirt de jeunesse. Déjà à l'époque, il sortait du lot. Tant d'année après, il a gardé son corps d'athlète, qui se dessine tout en muscles sous sa chemise, et son visage carré s'est affirmé.
Mon adjoint ne me laisse pas le temps de faire remonter les images à la surface, et me glisse à l'oreille "celui-là, c'est le pire : un foutu syndicaliste !". Paul me serre la main virilement sans le moindre signe sur son visage. Il ne peut pourtant pas ignorer qu'il m'a dépucelée bestialement. Mais je ne dois être qu'une parmi tant d'autres pour lui.
Dans les semaines qui ont suivi ma prise de fonction, j'ai tant bien que mal réussi à faire tourner la boutique et à prendre mes marques. Mon adjoint trop mielleux s'est mis à espérer qu'il pourrait me sauter (et surtout m'épouser et prendre la direction de la boite). Mais face à ma froideur, il a vite déchanté. Je n'ai qu'une seule collaboratrice sur laquelle je puisse compter, c'est Colette, la responsable du personnel, divorcée comme moi, seule dans sa vie, comme moi. On discute beaucoup, on refait le monde...
Elle m'invite à manger chez elle, me parle d'elle, de ses aventures. Elle est pulpeuse et ose s'habiller sexy, moi je suis svelte et m'habille de manière classe mais stricte. Elle parle de sexe sans aucun tabou, moi je n'ose pas. Elle ne se gêne pas pour vivre des aventures d'un soir, moi je me caresse seule dans mon lit.
A force de me parler de sexe sans pudeur et de me questionner intimement, je lui dis tout de moi. De mon aventure de jeunesse avec Paul, à mon trouble toujours présent quand je le revois.
Car Paul est délégué du personnel et membre du comité d'entreprise. Il fait tout pour me mettre des bâtons dans les roues, souffler le chaud et le froid, se montrer tantôt séduisant et conciliant tantôt macho et intransigeant. Je ressors de chaque réunion troublée. Malgré moi, ma culotte est mouillée. Et le soir, mon sexe dégage une odeur de femme en chaleur qui m'incite aux caresses. Je me déteste. J'ai honte.
Puis au fil des mois, les résultats de l'entreprise se sont dégradés. Il fallait se résoudre à une solution pour ne pas sombrer. J'ai réuni un comité d'entreprise et leur ai fait part des solutions envisageables : licenciements ou réductions de salaire. La séance a été houleuse. Paul s'est montré particulièrement virulent, me traitant d'incapable et de moins que rien. Je m'en voulais d'avoir pu, par le passé, être tombée amoureuse de lui. Je m'en voulais d'éprouver encore ce trouble pour lui, je m'en voulais mais n'y pouvais rien.
La nuit qui a suivi, j'ai eu du mal à trouver le sommeil. Je finis par sombrer vers 3h du mat. A 4h je me réveillais en sursaut et en âge, la chatte trempée, avec les restes d'un rêve en tête. Paul qui me prenait à la hussarde dans la salle de réunion !
Les jours qui ont suivis furent difficiles. La tension dans l'entreprise était à son comble. Les gens chuchotaient dans mon dos. Seule Colette m'encourageait. Je me dévoilais encore davantage à elle, lui livrant mes rêves érotiques avec Paul, mes séances de masturbation dans les toilettes de l'entreprise pour me calmer, me déstresser. Elle me demandait des détails, et je lui en donnais. Comment je me touchais, ce que j'avais en tête... J'avais l'impression de tout pouvoir lui dire sans qu'elle me juge. J'avais besoin de cette confidente que je n'avais jamais eue, d'une amie. Mes fantasmes n'avaient plus aucun secret pour elle.
A l'issue d'une énième discussion avec les syndicats, je fus retenue avec Colette dans la salle de réunion par Paul et quelques amis à lui. Ils ont mis des tours de garde en place pour ne pas que nous puissions quitter la salle tant que nous ne leur donnions pas satisfaction sur leurs revendications.
J'ai joué l'intransigeance sans résultat. Paul ne voulait pas du moindre compromis devant ses amis. Après plusieurs heures, j'ai émis l'idée qu'il serait plus facile de trouver un accord en petit comité. J'ai promis que nous ne chercherions pas à nous enfuir. Paul dit à ses collègues qu'ils pouvaient rentrer chez eux, après nous avoir fait apporter quelques pizzas.
On s'est retrouvé à 3, Colette, Paul et moi. Mais la discussion ne pris pas du tout le sens que je voulais lui donner.
-Alors Isabelle, toujours envie de moi ?
-Vous rêvez Paul !
-Je le vois dans tes yeux. En plus tu n'te fais pas baiser souvent. Tu dois être en manque ! J'me trompe ?"- Qu'est ce vous en savez ?
- Parait que tu mouilles chaque fois que tu me vois ! C'est Colette qui'm'l'a dit !!! Qu'est ce tu crois, qu'elle voulait faire copine avec la parisienne mal baisée ?
- ....
- ça t'en bouche un coin, hein !!! Tu vois cette nuit, ce ne sera pas un rêve de moi que tu vas faire !
- Arrêtez ces insinuations, on n’est pas là pour ça !
- Oh si, parce que d'une façon ou d'une autre, je vais te la mettre bien profond !
Il s'était approché de moi, très près. Ma main me démangeait et j'ai tenté de le gifler. Il l'a saisie avant que je le touche et m'a attiré à lui. Je le détestais, le haïssait, et pourtant son odeur, ce contact ont déclenché en mon corps un désir intense. Il l'a vu dans mes yeux. J'ai dit "non" sans conviction quand il a approché sa bouche de la mienne, mais je n'ai pas eu le temps de refermer ma bouche avant que sa langue en prenne possession.
J'avais l'impression d'être devenue une loque en quelques secondes. Seule une irrésistible envie au creux de mes hanches gouvernait mon corps. A cet instant, il pouvait faire de moi ce qu'il voulait. Et il ne s'est pas gêné. Sans cesser de m'embrasser, il a troussé la jupe de mon tailleur, baissé ma culotte et touché ma chatte. Comme pour m'achever, il dit à Colette qui n'en perdait pas une miette:- "En plus, elle est trempée la salope !
- j't'avais bien dit qu'elle mouillait rien qu'à te voir !
D'une main il a défait son jean et sortit son sexe encore plus impressionnant que dans mon souvenir. De son autre main, il saisit ma tête par les cheveux pour amener ma bouche à hauteur de sa bite- Allez, montre moi si t'as progressé, la bourge !
- arrrrgh...
- Putain, elle ne sait toujours pas sucer cette garce. Ouvre bien la bouche que je te la baise !
Et accompagnant le geste à la parole, il entreprit un va et vient dans ma bouche. Mais moi je n'avais plus envie que d'une seule chose, sa queue au fond de ma chatte. Quant enfin, il me releva et me bascula sur la table de réunion, mon rêve et mes fantasmes devinrent réalité. Je sentis ce sexe me prendre, me pénétrer, me remplir encore et encore. Je râlais, je suffoquais, je prenais mon pied comme jamais je ne l'avais pris. Je fermais les yeux pour ne plus voir Colette me regardant avec ce sourire de conasse sur le visage. Je les rouvrais pour voir cet homme viril me donner du plaisir. J'étais à lui, j'aimais cela, je ne voulais pas que cet instant s'arrête. Ses mains pétrissaient mes seins à travers mes habits. Tout mon corps était en transe. Les muscles de mon ventre répondaient à chaque assaut de son sexe.
Ma jouissance a été longue, ravageuse, bruyante. Mais j'en voulais encore, et il continuait de me pilonner.
Colette tout sourire, s'était rapprochée de nous, avait retroussé sa jupe et se touchait sans pudeur à travers sa culotte. Elle s'approcha de Paul qui me pénétrait toujours avec ardeur , et demanda son dû.
- T'oublis pas ce que tu m'as promis ?
- T'as raison Colette, tu l'as bien méritée ! Grimpe sur la table et fais-toi sucer.
Colette ôta son string détrempé, monta sur la table de réunion où j'étais allongée sur le dos, et vint s'accroupir au dessus de mon visage. Je voyais sa chatte ouverte et luisante à quelques centimètres de ma bouche. Malgré mon dégoût, mon bas ventre me donnait toujours du plaisir sous les assauts de Paul.
- Allez Isabelle, tu as intérêt à bien lécher Colette, sinon tu vas déguster.
Colette posa son entrejambe sur ma bouche que je maintenais fermée en gémissant. Voyant que je n'obéissais pas à ses désirs, elle dégagea ma poitrine, attrapa mes pointes de seins entre ses doigts et les tordit violemment. La douleur me fit ouvrir la bouche.
- Lèche salope ou je serre encore plus Elle relâcha mes seins lorsque je commençais à glisser ma langue entre ses lèvres. Sa cyprine coulait dans ma bouche.
Jamais je n'avais été autant humiliée, jamais je n'ai éprouvé un si violent désir. Je me haïssais mais pour rien au monde je ne voulais que cette queue s'arrête de me pénétrer la chatte. Colette maltraitait mes seins en cadence, dès que j'essayais de me soustraire à sa chatte pour reprendre ma respiration. Son odeur forte m'emplissait les narines. Elle s'est mise à s'agiter de plus en plus, avant de s'abandonner à un orgasme bruyant. Elle m'inonda littéralement, et je me rappelait à cet instant qu'elle m'avait dit être une femme fontaine.
Malgré moi, sous le rythme effréné de Paul, je partis dans un nouvel orgasme dévastateur, qui faisait de moi une simple femelle en chaleur, bien loin de l'image de bourgeoise respectable que j'ai toujours voulu donner de moi.
Mais Paul ne se fatiguait pas. A peine avais-je fini de jouir qu'il m'a relevée les jambe un peu plus haut pour positionner son sexe à l'entrée de mon cul.
- mon désir était soudain retombé après l'orgasme et je me débattais comme je pouvais pour éviter la pénétration annale que j'avais de tout temps refusé.
- Non Paul, pas ça !!!
- Qu'est ce que j'ai en échange- ... Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
- OK.Si Je te laisse partir s'en t'enculer, je veux qu'en échange, tu renonces au licenciements et baisses de salaires.
- Tu veux faire couler la boite ?
- Non, je veux que tu la revendes à notre concurrent. Lui saura investir et préserver l'emploi.
- Il a proposé un prix trop bas !
- Alors tant pis pour toi... Colette, sors ton smartphone, on va faire une sex tape !
- Salaud... je t'en supplie.
Colette a commencé à filmer la scène, enfin surtout moi, dépoitraillées, le visage ravagé par mes 2 précédents orgasmes, alors que je continuai de supplier Paul d'arrêter. Mes ses bras puissants m'empêchaient d'échapper à son désir de m'enculer.
La pénétration fut lente et d'autant plus douloureuse que j'étais contractée et réfractaire. Colette filmait en gros plan, survolant mon corps de mon sexe encore béant à mon visage. C'était ma première sodomie. Les larmes coulèrent sur mon visage. Paul avait commencé un va et vient très lent. Mon cerveau se représentait en même temps l'image de ce sexe m'ouvrant le cul. La sensation au delà de la douleur qui commençait à s'atténuer, était dérangeante, humiliante. J'aurais voulu me déconnecter, ne plus y penser, juste attendre que ça se passe. Mais Paul ne l'entendait pas de cette façon. Il savait ce qu'il faisait. Il savait que sa patience paierait. Il savait qu'en mettant une main sur mon sexe, il réveillerait le démon à peine endormi. Collette ne perdait rien du spectacle en enregistrant chaque détail. Le rictus de douleur sur mon visage s'effaçait, laissait place à celui de ma volonté de ne pas céder aux sensations. Mais quand on est une femme comme moi, qui n'arrive pas à dompter son corps, une femme qui trouve une excitation perverse à être humiliée, alors on est perdue d'avance. J'ai commencé à gémir, malgré moi. J'ai commencé à vouloir que ce sexe en moi accélère, bougeant du cul en cadence. J'ai commencé à être cette chienne qu'on voulait faire de moi.
Paul s'est arrêtée de me prendre subitement. J'étais soudain en manque comme une droguée. Je l'ai supplié de continuer, il m'a fait promettre de vendre l'usine. J'ai fini par accepter, pour quelques secondes de plaisir, pour un nouvel orgasme libérateur, parce que je ne suis qu'une femme incapable de contrôler mes désirs.
Le portable de Colette a tout filmé : mes suppliques, ma réddhition, mes râles de chienne en chaleur, mon orgasme bruyant, les jets de sperme que Paul a ensuite envoyé sur mon visage.
Ils m'ont laissée là, gisante, honteuse, dans la salle de réunion. Ils sont partis sans me dire un mot. Je suis restée recroquevillée sur moi même pendant sans doute une heure. Jusqu'à ce que les traces de spermes sèchent sur mon visage, jusqu'à ce que j'ai la force de me rhabiller et de rentrer chez moi.
Le lendemain, je suis allée au bureau sans vraiment savoir ce que je ferais. Colette était là, à son poste, se comportant comme si de rien était. Elle me tendit un courrier à signer. Celui où j'annonçais mon renoncement aux licenciements et baissent de salaire, celui où j'annonçais l'ouverture de négociations avec une société concurrente. Pendant que je lisais silencieusement le courrier, Colette glissa une clef USB dans mon ordinateur et lança un programme. J' étais soudain à l'écran, le visage grimaçant, les seins dressés, en train de me faire mettre. Je détournai la tête mais Colette me saisit par les cheveux et me força à recarder jusqu'au bout. Quand la vidéo a été terminée, une honte encore plus forte m'envahie. Une envie sourde me vrillait le bas ventre. J'avais de nouveau ce désir malsain qui réveillait mon corps. Colette l'a compris dans mes yeux. Elle me donna un stylo, et j'ai signé le courrier sans même chercher à me battre.
Puis elle m'a fait mettre à genou devant elle, et a relevé sa jupe. Elle ne portait rien en dessous.
- Suce-moiJe l'ai sucé, sans même protester.
- Branle-toiJ'ai troussé ma jupe, baissé ma culotte, et je me suis donné du plaisir devant elle.
J'ai vendu l'entreprise dans de mauvaises conditions, et le repreneur n'a pas attendu 1 an avant de procéder à des licenciements.
Aujourd'hui, je vis toujours dans la demeure de mes parents défunts, mais je ne suis plus rien. Colette s'est installée chez moi, et je suis à son service. En plus des taches ménagères, je veille à son plaisir. Chaque matin je dois faire sa toilette intime avec ma langue. Parfois elle m'autorise à me donner du plaisir. Parfois son frère, Victor, passe à la maison, et je dois le subir sans en retirer le moindre plaisir, tellement il s'y prend mal et éjacule après quelques va et vient.
Je n'ai pas revu Paul. Avant que je revende l'entreprise familiale, il m'a imposé de le nommer à un poste de direction. Mais il n'a pas su faire avec ses anciens camarades et a été viré après le rachat. Il est parti vivre dans une ville loin d'ici. Finalement c'est lui qui m'en veut pour tout ce gachis. Le soir dans mon lit, je rêve de son corps d'homme musclé, de ses mains sur mon corps, de sa queue en moi. Je rêve de lui appartenir comme j'appartiens à Colette, et je me caresse en silence jusqu'à trouver le sommeil.
Mais Collette a fini par entendre le lit grincer (je dors dans une chambre à coté d'elle) et elle est venue me surprendre un soir juste avant que je me fasse jouir. Elle m'a ordonnée de me placer à quatre patte par terre, nue, les jambes écartée. Elle m'a forcé à rester dans cette position humiliante pendant plus de 2 heures. A intervalles réguliers, elles revenait et maltraitais mes fesses et mes cuisses avec un martinet. Les lanières s'égaraient dans ma raie et contre mon sexe. La bourgeoise que j'étais n'est plus. Je suis devenue sa chienne soumise.
Depuis, chaque soir elle sangle mes poignets et les attache aux barreaux de la tête de lit, m'interdisant ainsi tout attouchement. La frustration me rend folle. Je serre et desserre les cuisses en fantasmant. C'est suffisant pour m'exciter mais pas pour me faire jouir. En journée, lorsqu'elle s'absente où qu'elle me trouve trop excitée, elle me met une ceinture de chasteté.
Lui obéir en tout est mon unique objectif. Et parfois, lorsqu'elle est satisfaite, elle m'autorise à me donner du plaisir devant elle où devant l'une de ses connaissances que je dois d'abord satisfaire sexuellement.
Je me prénomme Isabelle. Tout ce qui est relaté dans ce récit m'aurait paru totalement improbable il y a quelques temps encore...
Née dans une petite ville de province, d'un père entrepreneur et d'une fille de notable, j'ai été éduquée comme une bourgeoise devait l'être, entre puritanisme et mépris des gens de petite condition. J'étais suffisante et hautaine... on me le rendait bien !
Ma jeunesse a été recluse, propice aux fantasmes, loin des garçons qui me traitaient de bourge coincée et des copines qui me détestaient parce que ma famille était riche.
Ma seule aventure, ce fut avec Paul, un beau mec qui faisait mouiller les culottes et chavirer le cœur des pucelles. J'étais fière qu'il s'intéresse à moi. Il était juste ravi de se faire la "fille de".
Rendez-vous dans un atelier désaffecté, quelques baisers, et ma belle robe aussitôt troussée. Aucune douceur, aucune tendresse. Il baisse mon soutif sans l'ôter, pour palper mes seins, baisse ma culotte sur mes genoux, pour m'humilier encore. Il dégrafe son jean, me montre fièrement son sexe dressé en posant ma main dessus, tente de me le mettre dans la bouche. Mais je résiste, il n’aime pas. Un vieil établi l'inspire. Il m'y fait mettre allongée sur le dos, les fesses au bord, tâte de son doigt l'entrée de ma chatte trempée (et il me le fait remarquer en me traitant de salope) et me baise sans ménagement, longuement. Malgré moi, malgré la manière dont il me traite, un plaisir ravageur me foudroie. Il me laisse là et se casse après avoir jouit en moi. Le lendemain tout le monde au lycée savait que je n'étais plus vierge !
Je m'en voulais d'avoir succombé, d'avoir jouit en étant traitée comme une moins que rien. Plus jamais je ne voulais cela, plus jamais je n'ai jouit.
J'ai vu dans le mariage la seule issue pour quitter la province et vivre une vie à la hauteur de ma condition. Mais ma vie a été monotone, sans enfant. Un job sans intérêt. Un mari souvent absent, plus attiré par ses voyages d'affaires aux quatre coins du globe que par sa femme. Et une famille qui se résume à un père qui ne vivait que pour sa société.
Alors je m'évadais dans mes rêves, me satisfaisais d'une sexualité faite de fantasmes improbables et de plaisirs en solitaire, n'osant me remettre en question. Et puis, l'année dernière a été un véritable séisme dans ma vie.
D'abord mon mari qui a fini par partir avec sa secrétaire. Ensuite, une restructuration dans ma boite qui m'a permis de partir avec un petit pactole et d'envisager une année sabbatique et des voyages. Mais c'était sans compter avec un père qui s'en est allé prématurément, victime d'une crise cardiaque.
Bref, voila comment on passe en quelques mois, d'une vie insignifiante à celle d'une chef d'entreprise, étant seule héritière. Mais ça, ce n'était que le début de mes problèmes !
Je débarque donc dans cette ville de province où j'ai grandi, avec cette casquette de chef d'entreprise qui ne me sied pas. L'usine que j'ai connue dans ma jeunesse a bien changée. L'adjoint de mon père, qui se voit déjà calife à la place du calife, me fait faire le tour du propriétaire, me présente une multitude de collaborateurs, me glisse à l'oreille les petits défauts de chacun.
Tous me dévisagent comme une extraterrestre. Pour eux, je suis "la parisienne", celle qui a voulu fuir la région. Certains visages me sont vaguement familiers, souvenirs des années d'école. Et puis, soudain, là, devant moi, Paul, mon unique flirt de jeunesse. Déjà à l'époque, il sortait du lot. Tant d'année après, il a gardé son corps d'athlète, qui se dessine tout en muscles sous sa chemise, et son visage carré s'est affirmé.
Mon adjoint ne me laisse pas le temps de faire remonter les images à la surface, et me glisse à l'oreille "celui-là, c'est le pire : un foutu syndicaliste !". Paul me serre la main virilement sans le moindre signe sur son visage. Il ne peut pourtant pas ignorer qu'il m'a dépucelée bestialement. Mais je ne dois être qu'une parmi tant d'autres pour lui.
Dans les semaines qui ont suivi ma prise de fonction, j'ai tant bien que mal réussi à faire tourner la boutique et à prendre mes marques. Mon adjoint trop mielleux s'est mis à espérer qu'il pourrait me sauter (et surtout m'épouser et prendre la direction de la boite). Mais face à ma froideur, il a vite déchanté. Je n'ai qu'une seule collaboratrice sur laquelle je puisse compter, c'est Colette, la responsable du personnel, divorcée comme moi, seule dans sa vie, comme moi. On discute beaucoup, on refait le monde...
Elle m'invite à manger chez elle, me parle d'elle, de ses aventures. Elle est pulpeuse et ose s'habiller sexy, moi je suis svelte et m'habille de manière classe mais stricte. Elle parle de sexe sans aucun tabou, moi je n'ose pas. Elle ne se gêne pas pour vivre des aventures d'un soir, moi je me caresse seule dans mon lit.
A force de me parler de sexe sans pudeur et de me questionner intimement, je lui dis tout de moi. De mon aventure de jeunesse avec Paul, à mon trouble toujours présent quand je le revois.
Car Paul est délégué du personnel et membre du comité d'entreprise. Il fait tout pour me mettre des bâtons dans les roues, souffler le chaud et le froid, se montrer tantôt séduisant et conciliant tantôt macho et intransigeant. Je ressors de chaque réunion troublée. Malgré moi, ma culotte est mouillée. Et le soir, mon sexe dégage une odeur de femme en chaleur qui m'incite aux caresses. Je me déteste. J'ai honte.
Puis au fil des mois, les résultats de l'entreprise se sont dégradés. Il fallait se résoudre à une solution pour ne pas sombrer. J'ai réuni un comité d'entreprise et leur ai fait part des solutions envisageables : licenciements ou réductions de salaire. La séance a été houleuse. Paul s'est montré particulièrement virulent, me traitant d'incapable et de moins que rien. Je m'en voulais d'avoir pu, par le passé, être tombée amoureuse de lui. Je m'en voulais d'éprouver encore ce trouble pour lui, je m'en voulais mais n'y pouvais rien.
La nuit qui a suivi, j'ai eu du mal à trouver le sommeil. Je finis par sombrer vers 3h du mat. A 4h je me réveillais en sursaut et en âge, la chatte trempée, avec les restes d'un rêve en tête. Paul qui me prenait à la hussarde dans la salle de réunion !
Les jours qui ont suivis furent difficiles. La tension dans l'entreprise était à son comble. Les gens chuchotaient dans mon dos. Seule Colette m'encourageait. Je me dévoilais encore davantage à elle, lui livrant mes rêves érotiques avec Paul, mes séances de masturbation dans les toilettes de l'entreprise pour me calmer, me déstresser. Elle me demandait des détails, et je lui en donnais. Comment je me touchais, ce que j'avais en tête... J'avais l'impression de tout pouvoir lui dire sans qu'elle me juge. J'avais besoin de cette confidente que je n'avais jamais eue, d'une amie. Mes fantasmes n'avaient plus aucun secret pour elle.
A l'issue d'une énième discussion avec les syndicats, je fus retenue avec Colette dans la salle de réunion par Paul et quelques amis à lui. Ils ont mis des tours de garde en place pour ne pas que nous puissions quitter la salle tant que nous ne leur donnions pas satisfaction sur leurs revendications.
J'ai joué l'intransigeance sans résultat. Paul ne voulait pas du moindre compromis devant ses amis. Après plusieurs heures, j'ai émis l'idée qu'il serait plus facile de trouver un accord en petit comité. J'ai promis que nous ne chercherions pas à nous enfuir. Paul dit à ses collègues qu'ils pouvaient rentrer chez eux, après nous avoir fait apporter quelques pizzas.
On s'est retrouvé à 3, Colette, Paul et moi. Mais la discussion ne pris pas du tout le sens que je voulais lui donner.
-Alors Isabelle, toujours envie de moi ?
-Vous rêvez Paul !
-Je le vois dans tes yeux. En plus tu n'te fais pas baiser souvent. Tu dois être en manque ! J'me trompe ?"- Qu'est ce vous en savez ?
- Parait que tu mouilles chaque fois que tu me vois ! C'est Colette qui'm'l'a dit !!! Qu'est ce tu crois, qu'elle voulait faire copine avec la parisienne mal baisée ?
- ....
- ça t'en bouche un coin, hein !!! Tu vois cette nuit, ce ne sera pas un rêve de moi que tu vas faire !
- Arrêtez ces insinuations, on n’est pas là pour ça !
- Oh si, parce que d'une façon ou d'une autre, je vais te la mettre bien profond !
Il s'était approché de moi, très près. Ma main me démangeait et j'ai tenté de le gifler. Il l'a saisie avant que je le touche et m'a attiré à lui. Je le détestais, le haïssait, et pourtant son odeur, ce contact ont déclenché en mon corps un désir intense. Il l'a vu dans mes yeux. J'ai dit "non" sans conviction quand il a approché sa bouche de la mienne, mais je n'ai pas eu le temps de refermer ma bouche avant que sa langue en prenne possession.
J'avais l'impression d'être devenue une loque en quelques secondes. Seule une irrésistible envie au creux de mes hanches gouvernait mon corps. A cet instant, il pouvait faire de moi ce qu'il voulait. Et il ne s'est pas gêné. Sans cesser de m'embrasser, il a troussé la jupe de mon tailleur, baissé ma culotte et touché ma chatte. Comme pour m'achever, il dit à Colette qui n'en perdait pas une miette:- "En plus, elle est trempée la salope !
- j't'avais bien dit qu'elle mouillait rien qu'à te voir !
D'une main il a défait son jean et sortit son sexe encore plus impressionnant que dans mon souvenir. De son autre main, il saisit ma tête par les cheveux pour amener ma bouche à hauteur de sa bite- Allez, montre moi si t'as progressé, la bourge !
- arrrrgh...
- Putain, elle ne sait toujours pas sucer cette garce. Ouvre bien la bouche que je te la baise !
Et accompagnant le geste à la parole, il entreprit un va et vient dans ma bouche. Mais moi je n'avais plus envie que d'une seule chose, sa queue au fond de ma chatte. Quant enfin, il me releva et me bascula sur la table de réunion, mon rêve et mes fantasmes devinrent réalité. Je sentis ce sexe me prendre, me pénétrer, me remplir encore et encore. Je râlais, je suffoquais, je prenais mon pied comme jamais je ne l'avais pris. Je fermais les yeux pour ne plus voir Colette me regardant avec ce sourire de conasse sur le visage. Je les rouvrais pour voir cet homme viril me donner du plaisir. J'étais à lui, j'aimais cela, je ne voulais pas que cet instant s'arrête. Ses mains pétrissaient mes seins à travers mes habits. Tout mon corps était en transe. Les muscles de mon ventre répondaient à chaque assaut de son sexe.
Ma jouissance a été longue, ravageuse, bruyante. Mais j'en voulais encore, et il continuait de me pilonner.
Colette tout sourire, s'était rapprochée de nous, avait retroussé sa jupe et se touchait sans pudeur à travers sa culotte. Elle s'approcha de Paul qui me pénétrait toujours avec ardeur , et demanda son dû.
- T'oublis pas ce que tu m'as promis ?
- T'as raison Colette, tu l'as bien méritée ! Grimpe sur la table et fais-toi sucer.
Colette ôta son string détrempé, monta sur la table de réunion où j'étais allongée sur le dos, et vint s'accroupir au dessus de mon visage. Je voyais sa chatte ouverte et luisante à quelques centimètres de ma bouche. Malgré mon dégoût, mon bas ventre me donnait toujours du plaisir sous les assauts de Paul.
- Allez Isabelle, tu as intérêt à bien lécher Colette, sinon tu vas déguster.
Colette posa son entrejambe sur ma bouche que je maintenais fermée en gémissant. Voyant que je n'obéissais pas à ses désirs, elle dégagea ma poitrine, attrapa mes pointes de seins entre ses doigts et les tordit violemment. La douleur me fit ouvrir la bouche.
- Lèche salope ou je serre encore plus Elle relâcha mes seins lorsque je commençais à glisser ma langue entre ses lèvres. Sa cyprine coulait dans ma bouche.
Jamais je n'avais été autant humiliée, jamais je n'ai éprouvé un si violent désir. Je me haïssais mais pour rien au monde je ne voulais que cette queue s'arrête de me pénétrer la chatte. Colette maltraitait mes seins en cadence, dès que j'essayais de me soustraire à sa chatte pour reprendre ma respiration. Son odeur forte m'emplissait les narines. Elle s'est mise à s'agiter de plus en plus, avant de s'abandonner à un orgasme bruyant. Elle m'inonda littéralement, et je me rappelait à cet instant qu'elle m'avait dit être une femme fontaine.
Malgré moi, sous le rythme effréné de Paul, je partis dans un nouvel orgasme dévastateur, qui faisait de moi une simple femelle en chaleur, bien loin de l'image de bourgeoise respectable que j'ai toujours voulu donner de moi.
Mais Paul ne se fatiguait pas. A peine avais-je fini de jouir qu'il m'a relevée les jambe un peu plus haut pour positionner son sexe à l'entrée de mon cul.
- mon désir était soudain retombé après l'orgasme et je me débattais comme je pouvais pour éviter la pénétration annale que j'avais de tout temps refusé.
- Non Paul, pas ça !!!
- Qu'est ce que j'ai en échange- ... Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
- OK.Si Je te laisse partir s'en t'enculer, je veux qu'en échange, tu renonces au licenciements et baisses de salaires.
- Tu veux faire couler la boite ?
- Non, je veux que tu la revendes à notre concurrent. Lui saura investir et préserver l'emploi.
- Il a proposé un prix trop bas !
- Alors tant pis pour toi... Colette, sors ton smartphone, on va faire une sex tape !
- Salaud... je t'en supplie.
Colette a commencé à filmer la scène, enfin surtout moi, dépoitraillées, le visage ravagé par mes 2 précédents orgasmes, alors que je continuai de supplier Paul d'arrêter. Mes ses bras puissants m'empêchaient d'échapper à son désir de m'enculer.
La pénétration fut lente et d'autant plus douloureuse que j'étais contractée et réfractaire. Colette filmait en gros plan, survolant mon corps de mon sexe encore béant à mon visage. C'était ma première sodomie. Les larmes coulèrent sur mon visage. Paul avait commencé un va et vient très lent. Mon cerveau se représentait en même temps l'image de ce sexe m'ouvrant le cul. La sensation au delà de la douleur qui commençait à s'atténuer, était dérangeante, humiliante. J'aurais voulu me déconnecter, ne plus y penser, juste attendre que ça se passe. Mais Paul ne l'entendait pas de cette façon. Il savait ce qu'il faisait. Il savait que sa patience paierait. Il savait qu'en mettant une main sur mon sexe, il réveillerait le démon à peine endormi. Collette ne perdait rien du spectacle en enregistrant chaque détail. Le rictus de douleur sur mon visage s'effaçait, laissait place à celui de ma volonté de ne pas céder aux sensations. Mais quand on est une femme comme moi, qui n'arrive pas à dompter son corps, une femme qui trouve une excitation perverse à être humiliée, alors on est perdue d'avance. J'ai commencé à gémir, malgré moi. J'ai commencé à vouloir que ce sexe en moi accélère, bougeant du cul en cadence. J'ai commencé à être cette chienne qu'on voulait faire de moi.
Paul s'est arrêtée de me prendre subitement. J'étais soudain en manque comme une droguée. Je l'ai supplié de continuer, il m'a fait promettre de vendre l'usine. J'ai fini par accepter, pour quelques secondes de plaisir, pour un nouvel orgasme libérateur, parce que je ne suis qu'une femme incapable de contrôler mes désirs.
Le portable de Colette a tout filmé : mes suppliques, ma réddhition, mes râles de chienne en chaleur, mon orgasme bruyant, les jets de sperme que Paul a ensuite envoyé sur mon visage.
Ils m'ont laissée là, gisante, honteuse, dans la salle de réunion. Ils sont partis sans me dire un mot. Je suis restée recroquevillée sur moi même pendant sans doute une heure. Jusqu'à ce que les traces de spermes sèchent sur mon visage, jusqu'à ce que j'ai la force de me rhabiller et de rentrer chez moi.
Le lendemain, je suis allée au bureau sans vraiment savoir ce que je ferais. Colette était là, à son poste, se comportant comme si de rien était. Elle me tendit un courrier à signer. Celui où j'annonçais mon renoncement aux licenciements et baissent de salaire, celui où j'annonçais l'ouverture de négociations avec une société concurrente. Pendant que je lisais silencieusement le courrier, Colette glissa une clef USB dans mon ordinateur et lança un programme. J' étais soudain à l'écran, le visage grimaçant, les seins dressés, en train de me faire mettre. Je détournai la tête mais Colette me saisit par les cheveux et me força à recarder jusqu'au bout. Quand la vidéo a été terminée, une honte encore plus forte m'envahie. Une envie sourde me vrillait le bas ventre. J'avais de nouveau ce désir malsain qui réveillait mon corps. Colette l'a compris dans mes yeux. Elle me donna un stylo, et j'ai signé le courrier sans même chercher à me battre.
Puis elle m'a fait mettre à genou devant elle, et a relevé sa jupe. Elle ne portait rien en dessous.
- Suce-moiJe l'ai sucé, sans même protester.
- Branle-toiJ'ai troussé ma jupe, baissé ma culotte, et je me suis donné du plaisir devant elle.
J'ai vendu l'entreprise dans de mauvaises conditions, et le repreneur n'a pas attendu 1 an avant de procéder à des licenciements.
Aujourd'hui, je vis toujours dans la demeure de mes parents défunts, mais je ne suis plus rien. Colette s'est installée chez moi, et je suis à son service. En plus des taches ménagères, je veille à son plaisir. Chaque matin je dois faire sa toilette intime avec ma langue. Parfois elle m'autorise à me donner du plaisir. Parfois son frère, Victor, passe à la maison, et je dois le subir sans en retirer le moindre plaisir, tellement il s'y prend mal et éjacule après quelques va et vient.
Je n'ai pas revu Paul. Avant que je revende l'entreprise familiale, il m'a imposé de le nommer à un poste de direction. Mais il n'a pas su faire avec ses anciens camarades et a été viré après le rachat. Il est parti vivre dans une ville loin d'ici. Finalement c'est lui qui m'en veut pour tout ce gachis. Le soir dans mon lit, je rêve de son corps d'homme musclé, de ses mains sur mon corps, de sa queue en moi. Je rêve de lui appartenir comme j'appartiens à Colette, et je me caresse en silence jusqu'à trouver le sommeil.
Mais Collette a fini par entendre le lit grincer (je dors dans une chambre à coté d'elle) et elle est venue me surprendre un soir juste avant que je me fasse jouir. Elle m'a ordonnée de me placer à quatre patte par terre, nue, les jambes écartée. Elle m'a forcé à rester dans cette position humiliante pendant plus de 2 heures. A intervalles réguliers, elles revenait et maltraitais mes fesses et mes cuisses avec un martinet. Les lanières s'égaraient dans ma raie et contre mon sexe. La bourgeoise que j'étais n'est plus. Je suis devenue sa chienne soumise.
Depuis, chaque soir elle sangle mes poignets et les attache aux barreaux de la tête de lit, m'interdisant ainsi tout attouchement. La frustration me rend folle. Je serre et desserre les cuisses en fantasmant. C'est suffisant pour m'exciter mais pas pour me faire jouir. En journée, lorsqu'elle s'absente où qu'elle me trouve trop excitée, elle me met une ceinture de chasteté.
Lui obéir en tout est mon unique objectif. Et parfois, lorsqu'elle est satisfaite, elle m'autorise à me donner du plaisir devant elle où devant l'une de ses connaissances que je dois d'abord satisfaire sexuellement.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un récit que j'aimerais être réel et où je tiendrais le rôle de Colette… Bien écrit.
Humm torride à souhait et chute très intéressante